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LONGUE VUE SUR LE COURT : Des séries web et des documentaires de L’inis à découvrir du 25 avril au 3 mai

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, documentaire, Festival, Web, websérie.

Des séries web et des documentaires de L’inis à découvrir à LONGUE VUE SUR LE COURT 

Du 25 avril au 3 mai 2020

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Depuis lundi, et jusqu’au 3 mai, Longue vue sur le court, le festival international de courts métrages du Sud-Ouest de Montréal, présente gratuitement une programmation jeunesse diffusée sur le web pour accompagner les jeunes cinéphiles durant cette période de confinement. Deux nouveaux films, destinés aux enfants et aux adolescents, sont mis en ligne chaque jour et sont accompagnés d’activités pédagogiques, concours, jeux et exercices ludiques sur le site longuevuesurlecourtjeunesse.com.

Depuis maintenant 6 ans, le festival Longue vue sur le court est fier de présenter en primeur les premières œuvres des cinéastes de la relève en faisant la promotion du format court. L’an dernier, le festival avait notamment fait découvrir aux festivaliers le court Brotherhood de Meryam Joobeur, qui a fièrement représenté le Canada aux récents Oscars. Le festival a aussi pour but d’initier les jeunes des niveaux primaire, secondaire et collégial à cette forme d’art, tout en leur permettant de présenter leurs œuvres dans un contexte professionnel.

Dans cet esprit, le festival renouvelle sa précieuse collaboration avec L’inis en présentant dans sa programmation cette année les séries web et les projets documentaires de la cohorte du Programme Mixte – Documentaire et fiction, un programme soutenu par NETFLIX. Ainsi, trois séries web et trois documentaires seront diffusés sur les sites de Longue vue sur le court Jeunesse et Longue vue sur le court du 25 avril au 3 mai.

Séries Web

Bonne Figure de Sandra Mathieu, Stéphane Mukunzi et Pierre Villepelet raconte l’histoire de Sophia, jeune mère monoparentale, qui récupère la garde de Kyrah. Ensemble, les deux femmes vont essayer de tisser à nouveau cette relation mère-fille alors que plane sur elles la menace d’une éviction. Un portrait intime d’une période de transition familiale dans laquelle rien n’est joué d’avance et où détermination et fatalité s’opposent.

Rima + Jacob de Myriam Farsaoui, Luis Peinado et Nouhaymane Amahrit nous plonge dans l’histoire de Rima qui est confinée dans le pawnshop avec sa mère, après le décès de son père. À côté, se trouve Jacob qui lui aussi est coincé au barbershop de son père. Les deux adolescents se fréquentent en cachette, par peur que leurs parents les en empêchent. C’est dans l’église du quartier qu’ils rêvent, jusqu’au jour où une chicane éclate entre les parents, ce qui pousse les deux jeunes à fuir et ne peut-être jamais revenir.

Soupir de Valérie Bah, Eli Jean Tahchi et Phania Jean-Baptiste met en lumière Laurianne, une jeune femme désœuvrée vivant avec sa mère croyante, qui fait une rencontre inattendue qui lui insuffle une nouvelle vision d’elle-même.

Documentaires

Bâtiment X de Nouhaymane Amahrit, Stéphane Mukunzi et Valérie Bah présente trois activistes d’un quartier qui subit la gentrification à Montréal. Ceux-ci visualisent l’espace idéal qui subviendrait aux besoins de leurs communautés respectives. Simultanément, une illustration se dessine sous nos yeux.

Au coeur d’un quartier populaire de Montréal, Fissure, de Pierre Villepelet, Sandra Mathieu et Eli Jean Tahchi, est le portrait du père Robert et sa coordinatrice Jenny qui portent à bout de bras la dernière église du quartier. Sur fond de déclin religieux, ce court métrage documentaire témoigne de ce qui nous traverse quand notre monde s’effondre.

Hip Hop au féminin, de Phania Jean-Baptiste, Myriam Farsaoui et Luis Peinado, est un court métrage documentaire qui pose une réflexion sur l’identité de la femme dans la culture du hip-hop. Le film se construit à partir des témoignages personnels de trois artistes qui partagent la même passion. C’est à travers leur regard que l’on découvre l’influence féminine sur la scène hip-hop montréalaise. Ce dernier sera présenté les 2 et 3 mai sur la plateforme jeunesse pour la sélection de documentaire jeunesse du festival.

LONGUE VUE SUR LE COURT – 6e édition | du 25 au 29 novembre

Accompagnée de Carla Turcotte, porte-parole de la 6e édition du festival, la programmation des courts métrages de la compétition officielle de Longue vue sur le court sera présentée au public du 25 au 29 novembre à la Maison de la Culture Marie-Uguay et au Théâtre Paradoxe.

Pour donner un avant-goût de la programmation automnale, trois courts métrages seront dévoilés sur la page Facebook du festival du 29 avril au 2 mai. Les cinéastes des trois films participeront également à une période de questions-réponses en direct, animée par Daniel Racine, critique cinéma et programmateur du festival.

Katashat de Ève Ringuette
Présenté le mercredi 29 avril à 19h
Discussion avec la cinéaste le jeudi 30 avril à 19h

Jo de Carmen Rachiteanu
Présenté le jeudi 30 avril à 19h30
Discussion avec la cinéaste le vendredi 1er mai à 19h
*Jo est un projet réalisé à L’inis dans le cadre du programme Documentaire 2018

Roseline comme dans les films de Sara Bourdeau
Présenté le vendredi 1er mai à 19h30
Discussion avec la cinéaste le samedi 2 mai à 19h

Longue vue sur le court est réalisé en partenariat avec l’arrondissement du Sud-Ouest, la Maison de la culture Marie-Uguay, le Carrefour jeunesse-emploi du Sud-Ouest de Montréal, le Conseil des arts de Montréal, la Ville de Montréal, L’inis, l’Office national du film du Canada (Programme ACIC), Mouvement Desjardins – Caisse du Sud-Ouest de Montréal, SLA Productions, Bande à Part audio et post production – coop, le Cégep André-Laurendeau, Hallé Location, Théâtre Paradoxe, Bâtiment 7 et Les voies parallèles.

Longue vue sur le court – jeunesse est rendu possible grâce au Ministère de la culture et des communications du Québec, au Conseil des arts de Montréal, à l’arrondissement du Sud-Ouest de Montréal, à la Maison de la culture Marie-Uguay, aux Productions Cinta, à l’Office national du film du Canada (ONF), à Télé-Québec, à la Fabrique culturelle, à L’inis, à Pitoresk, à la Ville de Montréal et au Carrefour jeunesse-emploi du Sud-Ouest de Montréal (CJESO).

LONGUE VUE SUR LE COURT – JEUNESSE en ligne du 20 avril au 3 mai 2020.
La 6e édition de LONGUE VUE SUR LE COURT du 25 au 29 novembre 2020.

Pour plus d’information : longuevuesurlecourt.com

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Québec Cinéma : les finalistes aux Prix Iris 2020 sont…

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, animation, Cinéma, court métrage, documentaire, Gala, Prix.

« IL PLEUVAIT DES OISEAUX » et « LA FEMME DE MON FRÈRE » en tête des nominations aux PRIX IRIS 2020 de Québec Cinéma

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C’est en direct du salon du comédien Guillaume Lambert que Québec Cinéma a dévoilé aujourd’hui les finalistes aux Prix Iris 2020. Bien que la cérémonie télévisuelle ait été annulée, l’organisme travaille actuellement avec Radio-Canada et ses partenaires sur des alternatives créatives pour la remise des Prix Iris, afin de souligner tout le talent des créateurs d’ici et leurs œuvres. L’année 2019-2020 fut particulièrement faste pour notre cinéma et, plus que jamais, Québec Cinéma souhaite faire rayonner les films, les artistes et les artisans québécois dans le plus de foyers possibles. Plus de détails seront annoncés ultérieurement.

Ce sont 30 longs métrages de fiction, 32 longs métrages documentaires, 17 courts métrages d’animation et 37 courts métrages de fiction qui ont été évalués au cours des dernières semaines pour la nomination d’un total de 188 finalistes. Pour les Iris de la catégorie long métrage de fiction, plus de 2 200 membres votants issus de l’industrie cinématographique ont allié leur voix à celles du jury lors d’un premier tour de vote pondéré à 50/50, une participation presque deux fois plus importante que les années précédentes.

« Cette année de cinéma québécois a été exceptionnelle à plusieurs niveaux », remarque la directrice générale de Québec Cinéma, Ségolène Roederer. « Plusieurs films ont su aller chercher une large audience auprès du public québécois et six des sept longs métrages finalistes pour l’Iris 2020 du Meilleur film ont été réalisés par une femme, du jamais vu ! Si nous ne pouvons célébrer en grand tous ces précieux talents comme à l’habitude lors d’un Gala télévisuel d’envergure, il est d’autant plus primordial de mettre en lumière l’importance de notre culture dans le contexte actuel et de souligner les lauréats de ces Prix Iris 2020, nous assurant ainsi d’en dégager toute la fierté qu’il se doit pour notre cinématographie nationale. »

LES FINALISTES

C’est le film Il pleuvait des oiseaux de Louise Archambault qui mène le bal avec un total de 13 nominations, incluant notamment Meilleur film, Meilleur scénario, Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle (Andrée Lachapelle), Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle (Gilbert Sicotte), Meilleure direction de la photographie et Prix du public. La femme de mon frère de Monia Chokri récolte de son côté 11 nominations dont Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle (Anne-Élisabeth Bossé), Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle (Patrick Hivon), Film s’étant le plus illustré à l’extérieur du Québec et Prix du public.

Mafia Inc de Podz est, pour sa part, nommé 10 fois et se retrouve, entre autres, dans les catégories Meilleur film, Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle (Marc-André Grondin), Meilleure direction artistique ainsi que Prix du public.

Le vingtième siècle de Matthew Rankin, est en lice pour neuf Iris, incluant Meilleur premier film, Meilleure réalisation, Meilleure direction artistique et Meilleur musique originale. Antigone de Sophie Deraspe s’illustre quant à lui dans huit catégories dont Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario, Film s’étant le plus illustré à l’extérieur du Québec et Révélation de l’année (Nahéma Ricci). Kuessipan de Myriam Verreault, est dans la course dans sept catégories incluant entre autres Meilleur Film, Meilleure réalisation, Film s’étant le plus illustré à l’extérieur du Québec, Meilleur scénario et Révélation de l’année (Sharon Fontaine-Ishpatao). Trois films arrivent ex æquo avec respectivement six nominations : Jeune Juliette de Anne Émond, est notamment en lice dans les catégories Meilleur film, Meilleur scénario, Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle (Robin Aubert) et Révélation de l’année (Alexane Jamieson); Matthias & Maxime de Xavier Dolan se distingue pour sa part dans les catégories Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Micheline Bernard), Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Pier-Luc Funk), Meilleure direction de la photographie et Meilleure musique originale; et finalement, Sympathie pour le diable de Guillaume de Fontenay est quant à lui en lice pour Meilleur premier film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario et Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle (Niels Schneider).

Le film Fabuleuses de Mélanie Charbonneau est nommé dans cinq catégories incluant Meilleur film, Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle (Noémie O’Farrell) et Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Juliette Gosselin). The Song of Names de François Girard est dans la course pour quatre Iris dont Meilleur son, Meilleurs effets visuels et Meilleure musique originale.

14 jours 12 nuits de Jean-Philippe Duval se distingue dans les catégories Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle (Anne Dorval), Meilleure direction de la photographie et Meilleur montage. Jouliks de Mariloup Wolfe se mérite également trois nominations, soit Révélation de l’année (Lilou Roy-Lanouette), Meilleurs costumes et Meilleur maquillage. Pour sa part, Menteur d’Émile Gaudreault est en lice pour Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Geneviève Schmidt), Révélation de l’année (Catherine Chabot) et Prix du public.

Un deuxième film de la réalisatrice Louise Archambault est dans la course aux Iris 2020 : Merci pour tout est nommé dans les catégories Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Robin Aubert) et Prix du public. Le rire de Martin Laroche se démarque aussi dans deux catégories, Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle (Léane Labrèche-Dor) et Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Micheline Lanctôt).

Les films Genèse de Philippe Lesage, The Hummingbird Project de Kim Nguyen, Mad Dog Labine de Jonathan Beaulieu-Cyr et Renaud Lessard, Répertoire des villes disparues de Denis Côté ainsi que Ville Neuve de Félix Dufour-Laperrière obtiennent de leur côté une nomination chacun.

En tout, 21 des 30 films inscrits longs métrages de fiction s’illustrent dans au moins une catégorie.

LE DOCUMENTAIRE

Dans la section documentaire, le film Alexandre le fou de Pedro Pires arrive en tête avec quatre nominations : Meilleur film documentaire, Meilleure direction de la photographie, Meilleur montage et Meilleur son. Mad Dog & The Butcher – Les derniers vilains de Thomas Rinfret et Soleils noirs de Julien Elie, sont respectivement en lice dans trois catégories, Meilleur film documentaire, Meilleure direction de la photographie et Meilleur montage. Sur les toits Havane de Pedro Ruiz obtient lui aussi deux nominations, soit Meilleure direction de la photographie et Meilleur son. Le film Une femme, ma mère de Claude Demers est dans la course pour les Iris du Meilleur montage et du Meilleur son. Xalko de Hind Benchekroun et Sami Mermer se retrouve dans les catégories Meilleur film documentaire et Meilleure direction de la photographie. Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah de Catherine Hébert se mérite également deux nominations : Meilleur film documentaire ainsi que Meilleur montage. Finalement, Échos d’Istanbul de Giulia Frati et La fin des terres de Loïc Darses sont, pour sa part, nommés dans la catégorie Meilleur son.

NOTRE CINÉMA SUR LA SCÈNE INTERNATIONALE

Le cinéma québécois a beaucoup voyagé et s’est démarqué partout à travers le monde cette année. Grâce à un système de pondération qui tient notamment compte des territoires hors Québec où le film a été distribué, du nombre de sélections dans les festivals internationaux et des prix remportés depuis la sortie du film jusqu’au 31 mars 2020, cinq longs métrages sont considérés pour l’IRIS DU FILM S’ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L’EXTÉRIEUR DU QUÉBEC : Antigone de Sophie Deraspe, La femme de mon frère de Monia Chokri, Genèse de Philippe Lesage, Kuessipan de Myriam Verreault et Répertoire des villes disparues de Denis Côté.

PRIX DU PUBLIC

Québec Cinéma invitera le public à voter pour son film favori parmi les cinq films ayant enregistré le plus d’entrées dans les salles du Québec durant la période d’éligibilité du Gala. Les films finalistes sont : La femme de mon frère de Monia Chokri, Il pleuvait des oiseaux de Louise Archambault, Mafia Inc de Daniel Grou (Podz), Menteur d’Émile Gaudreault et Merci pour tout de Louise Archambault.

LES COURTS MÉTRAGES

Dans la catégorie MEILLEUR COURT MÉTRAGE DE FICTION, nous retrouvons les films Je finirai en prison de Alexandre Dostie, Jojo de Guillaume Laurin, Juste moi et toi de Sandrine Brodeur-Desrosiers, SDR de Alexa-Jeanne Dubé et Une bombe au cœur de Rémi St-Michel.

Du côté de L’IRIS DU MEILLEUR COURT MÉTRAGE D’ANIMATION, les finalistes sont Le cortège de Pascal Blanchet et Rodolphe Saint-Gelais, Le mal du siècle de Catherine Lepage, Organic de Steven Woloshen, Physique de la tristesse de Theodore Ushev ainsi que Les vêtements de Caroline Blais.

IRIS HOMMAGE 2020

Le Gala Québec Cinéma souligne annuellement le travail d’une personnalité dont les réalisations marquent autant le public que l’histoire et l’évolution de notre industrie. Cette année, la récipiendaire a été sélectionnée à la suite d’une recommandation unanime du Comité de représentation professionnelle de Québec Cinéma (CRP). L’organisme est donc extrêmement fier d’annoncer que l’IRIS HOMMAGE 2020 sera remis à la cinéaste ALANIS OBOMSAWIN.

Membre de la nation abénaquise, Mme Obomsawin est l’une des plus éminentes documentaristes du Canada et son œuvre est aujourd’hui reconnue partout dans le monde. Depuis plus de 50 ans, elle exerce passionnément son métier et a rendu la parole, l’espoir et la mémoire aux membres des Premières Nations. Grâce à son art et à sa détermination, elle nous a donné à voir ces peuples invisibles, à entendre les voix de ces nations bâillonnées par l’Histoire. Pédagogue de la fierté autochtone, elle entre à l’ONF en 1967 où elle produira et réalisera 52 longs métrages documentaires et courts films documentaires éducatifs ou de fiction. Toute son œuvre tourne autour des Premières Nations du Canada, à qui elle offre cet autre regard subjectif et concerné, parfois révolté. Le rôle important qu’elle a joué dans notre cinématographie participe de la grande tradition du film documentaire, en jetant cet autre regard sur le monde, lequel a enrichi notre patrimoine tout en éveillant notre mémoire et nos consciences.

Voilà l’implication politique, culturelle et cinématographique d’Alanis Obomsawin, une femme dont le courage, le talent et la ténacité auront légué à notre société la mémoire de tout un peuple.

LE DEUXIÈME TOUR DE VOTE DÉBUTE AUJOURD’HUI

Les finalistes des 18 Prix Iris récompensant les longs métrages de fiction seront soumis dès aujourd’hui aux membres votants, qui détermineront les grands gagnants de ces catégories. Comme lors du premier tour, ceux-ci pourront profiter de la plateforme de visionnement de Québec Cinéma. À noter que le lauréat du Meilleur premier film est déterminé par le jury de présélection des finalistes. Par ailleurs, un jury composé d’artistes et de professionnels nommés par les associations siégeant au Comité de représentation professionnelle (CRP) de Québec Cinéma devra, pour sa part, déterminer les lauréat(e)s dans les catégories documentaires et courts métrages. Le vote pour le Prix du public, ouvert à tous les cinéphiles du Québec, démarrera quant à lui en mai.

 

LISTE DES FINALISTES 2020

https://gala.quebeccinema.ca/finalistes-et-laureats

Pour ne rien manquer du Gala Québec Cinéma : #GalaCinéma

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UN MERCI SPÉCIAL À NOS COLLABORATEURS POUR CETTE ANNÉE SPÉCIALE

Québec Cinéma tient à remercier ses précieux partenaires qui lui permettent de poursuivre sa mission de rayonnement du cinéma québécois et de remettre les Prix Iris 2020. Merci à Téléfilm Canada, à la Société de développement des entreprises culturelles du Québec (SODEC) et au Ministère de la Culture et des communications du Québec pour leur soutien indéfectible. Merci à Radio-Canada, notre complice de diffusion et à MELS, partenaire du Gala depuis ses débuts. Merci enfin au Fonds Québecor, à la Banque Nationale et à Netflix qui, en continuant à nous appuyer cette année, nous donnent la chance de promouvoir les talents du Québec auprès de nos concitoyens.

Merci à Annexe Communications, CTVM.info, Qui fait Quoi ainsi qu’à tous les partenaires du SPRINT Gala. Québec Cinéma tient enfin à saluer les associations professionnelles membres du CRP pour leur soutien et à leur signifier notre appui pour la suite de choses.

 

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REGARD | Le Grand rassemblement, ce soir 19h30 en direct sur Facebook

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Festival, Web.

LE GRAND RASSEMBLEMENT, présenté ce soir mercredi le 22 avril 2020 à 19h30 EN DIRECT sur Facebook en collaboration avec PLEINS ÉCRANS

À l’occasion du JOUR DE LA TERRE

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Le Festival Regard, en collaboration avec Pleins Écrans vous invite à vous rassembler, virtuellement, en grand nombre pour découvrir ce programme de courts métrages sur l’environnement pour souligner le Jour de la terre, ce 22 avril.

Le programme complet Grand rassemblement présente (film dans l’ordre):

  • INTRODUCTION – Équipe du festival Regard
  • NIBI WABO – Carlos Mao Cortés
  • NANAPUSH ET LA TORTUE – Mélissa Mollen Dupuis
  • A PLENTIFUL FEAST – Jodeb
  • LOST WORLD – Kalyanee Mam
  • ANICET APICULTEUR – David Simard et Philippe Toupin
  • WATT IF – NETHERLANDS (BUIKSLOTERHAM) – Olivier Sabatier
  • LOWLAND KIDS – Sandra Winther

Consultez les synopsis de chaque film : https://festivalregard.com/programmation/programmes-thematiques-fr-24e-festival-2020/grand-rassemblement

Restez connectés ensuite pour le Q&A live présenté à la suite de la diffusion, qui sera animé par le professeur en éco-conseil Olivier Riffon. Vous en apprendrez davantage sur les courts métrages présentés en présence des cinéastes en ligne. Préparez vos questions!

Description du programme : Festivalières, festivaliers, membres des communautés étudiantes et artistiques, culturelles et autochtones, LGBTQ+ et environnementalistes, rassemblons-nous autour de films inspirants sur l’environnement. Venez à la rencontre des premiers réfugiés climatiques américains, d’Anicet, éleveur d’abeilles, et des admirables femmes dans Nibi Wabo. Dans la lignée des actions pacifiques pour le climat du 27 septembre dernier, continuons de se mobiliser, de souligner l’urgence d’agir, avec cette fois le court comme élément rassembleur, pour alimenter les discussions et nourrir la flamme.

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L’ONF sera au Festival international du film d’animation d’Annecy 2020 en ligne

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Festival.

Des courts métrages de Theodore Ushev et de Jean-François Lévesque de l’ONF en compétition officielle au Festival international du film d’animation d’Annecy 2020

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L’Office national du film du Canada se taille une place de choix dans la compétition des courts métrages du prestigieux Festival international du film d’animation d’Annecy, qui se tiendra en ligne du 15 au 30 juin 2020. Deux productions y ont été sélectionnées : Physique de la tristesse de Theodore Ushev, cinéaste nommé aux Oscars en 2017, et Moi, Barnabé de Jean-François Lévesque, présenté en première mondiale. Ces œuvres, profondément ancrées dans des histoires personnelles, révèlent avec éclat des signatures d’auteur uniques et marquantes.

 

 Compétition Courts métrages

Physique de la tristesse de Theodore Ushev (27 min) – Produit par l’ONF avec la participation d’ARTE France

  • Première œuvre entièrement animée selon la technique de l’encaustique, Physique de la tristesse est inspiré d’un roman de l’écrivain bulgare Guéorgui Gospodinov et brosse un portrait fascinant et personnel sur le thème du déracinement et de l’identité. Le film est narré en anglais par Rossif Sutherland, avec la participation spéciale de Donald Sutherland, et en français par Xavier Dolan.
  • Theodore Ushev trouve à l’ONF le terreau fertile qui l’amène à réaliser plus de 10 films à ce jour, dont Les journaux de Lipsett (2010), un hommage au célèbre cinéaste expérimental Arthur Lipsett, et Vaysha l’aveugle, nommé aux Oscars en 2017 et lauréat de deux prix à Annecy. Les films de Theodore Ushev ont remporté plus de 150 prix et distinctions, et Physique de la tristesse a gagné jusqu’à présent plus de 20 récompenses et compte au-delà de 50 sélections dans les festivals internationaux.

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Moi, Barnabé de Jean-François Lévesque (15 min) – PREMIÈRE MONDIALE

Produit par l’ONF avec la participation d’ARTE France

  • Moi, Barnabé pose un regard lumineux sur la crise existentielle et la quête spirituelle d’un homme désespéré. Par une nuit d’ivresse orageuse, celui-ci reçoit la visite d’un étrange volatile qui le force à reconsidérer sa vie.
  • Jean-François Lévesque a remporté la 17e édition du concours Cinéaste recherché(e) de l’ONF, ce qui lui a permis de réaliser Le nœud cravate (2008), gagnant d’une quinzaine de prix au Canada et à l’étranger. Dans Moi, Barnabé, il poursuit les explorations sur l’hybridation des techniques d’animation amorcées dans sa première collaboration avec l’ONF.

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Nouveautés en Vidéo sur demande : semaine du 17 avril 2020

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, application, Cinéma, court métrage, Festival, Web.

Nouveautés de la semaine du 17 avril 2020 en Vidéo sur demande

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PLATEFORME DU CINÉMA MODERNE

Bacurau de Juliano Dornelles et Kleber Mendonça Filho

Brésil, France / 2019 / v.o. anglaise et portugaise avec sous-titres français ou anglais / 131 minutes
Distribution : Kino Lorber

cinemamoderne.com/films/details/bacurau

L’amant d’un jour de Philippe Garrel

France / 2017 / v.o. française avec sous-titres anglais / 76 minutes
Distribution : Acéphale
cinemamoderne.com/films/details/a-venir-lamant-dun-jour
Quinzaine des réalisateurs – Festival de Cannes 2017

Rêveuses de villes de Joseph Hillel

Québec / 2018 / v.o. française et anglaise avec sous-titres français ou anglais / 80 minutes
Distribution : Maison 4:3
cinemamoderne.com/films/details/a-venir-reveuses-de-villes
RIDM 2018

PLATEFORME TËNK

Step Across the Border de Nicolas Humbert et Werner Penzel

Allemagne, Suisse / 1990 / v.o. anglaise avec sous-titres français / 86 minutes
tenk.ca/fr/d/musique/step-across-the-border
Uppsala Filmkaja – Meilleur film documentaire, 1990

Vacances Prolongées de Johan Van der Keuken

France, Pays-Bas / 2000 / v.o. néerlandaise avec sous-titres français / 146 minutes
tenk.ca/fr/d/portraits/vacances-prolongees
Grand Prix – Visions du Réel, 2000

Akaboum de Manon Vila

France / 2019 / v.o. française / 30 minutes
tenk.ca/fr/d/festivals/visions-du-reel/akaboum
Prix du meilleur court-métrage – Visions du Réel, 2019

Norie de Yuki Kawamura

Luxembourg, Japon / 2019 / v.o. japonaise avec sous-titres anglais ou français / 82 minutes
tenk.ca/fr/d/festivals/visions-du-reel/norie
Mention spéciale, Prix Interreligieux – Visions du Réel, 2019

Le Pays de Lucien Monot

France, Suisse / 2019 / v.o. allemande avec sous-titres français ou anglais / 45 minutes
tenk.ca/fr/d/festivals/visions-du-reel/le-pays
Sélection officielle catégorie Burning Lights – Visions du Réel, 2019

LONGUE VUE SUR LE COURT – JEUNESSE

DU 20 AVRIL AU 3 MAI 2020, le festival LONGUE VUE SUR LE COURT présente gratuitement une programmation de 20 courts métrages pour les enfants et les adolescent.e.s. Pour en savoir plus, visitez : www.longuevuesurlecourtjeunesse.com

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Programmation en ligne – dv_vd : Rachel Maclean

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Web.

Dans le cadre des soirées dv_vd, Vidéographe et Dazibao présentent deux œuvres vidéo de l’artiste écossaise Rachel Maclean en ligne

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Ce programme propose son long métrage Make Me Up (2018), précédé du court Eyes 2 Me (2015). Une entrevue au cours de laquelle l’artiste présente son travail, réalisée pour son exposition au musée Kunsthalle Kiel (Allemagne), introduira cette programmation.

Quelque part entre l’esthétique Youtube, Matthew Barney et Dickens, l’artiste écossaise Rachel Maclean explore l’identité féminine, les rôles sociaux, l’influence des médias et le Royaume-Uni contemporain sur le mode de la comédie noire. Son esthétique de l’excès, qui se déploie sous formes de costumes, maquillages et environnements numériques colorés et délirants, est traversée d’une lucidité implacable sur les pièges de la culture de l’image d’aujourd’hui. Performeuse hors paire, elle interprète tous les rôles dans la plupart de ses vidéos.

Eyes 2 Me

(R-U, 2015, 3 min, vidéo numérique, VOA)
Commande de Film London pour Channel 4 Random Acts

Eyes 2 Me suit une protagoniste-poupée nommée Sophie évoluant dans un jardin enchanté habité par une race de cyclopes câlins connus sous le nom d’Eeblebops. La vidéo bascule entre différents formats (une émission de télévision pour enfants, un shooting de mode et une entrevue), pendant que Sophie est interrogée, contrainte et réprimandée par une voix off masculine omniprésente dont le ton passe graduellement de l’affabilité paternelle à une froide désapprobation militante. L’œuvre fut entièrement tournée avec un écran vert. Maclean, qui en est la seule interprète, mime sur une bande sonore préenregistrée et déforme ses traits pour créer des personnages étranges et caricaturaux évoluant dans un monde numérique sursaturé.

Make Me Up

(R-U, 2018, 84 min, vidéo numérique, VOA)

Cette comédie noire jette un regard satirique sur les pressions contradictoires auxquelles sont confrontées les femmes. Elle examine comment la télévision et les médias sociaux peuvent être des espaces amusants et expressifs pour explorer leur identité, tout en étant des prisons dorées qui encouragent les femmes à se conformer à des idéaux stricts de beauté.

À son réveil, Siri se trouve prise au piège dans une maison de rêve brutaliste aux couleurs bonbon. Malgré son décor mignon, l’endroit est loin d’être bienveillant. Elle et ses codétenues sont encouragées à compétitionner pour leur survie sous l’observation continue de caméras de surveillance.

Le groupe est mené par une diva autoritaire qui parle avec la voix de Kenneth Clark dans la série Civilization qui jouait à la BBC dans les années 1960. Alors que cette femme force les détenues à s’affronter dans une série de tâches dégradantes, Siri, aidée par Alexa, commence à renverser les règles et révèle bientôt la sinistre vérité qui sous-tend ce monde makemeupfilm.com

Produit par Hopscotch Films avec NVA, commandé par la BBC, Creative Scotland et 14-18 NOW: WW1 Centenary Art Commissions, avec le soutien de la Jerwood Charitable Foundation, la National Lottery via le Heritage Lottery Fund, et par le Department of Digital, Culture Media and Sport. Make Me Up fait partie de Represent, une série de travaux inspirés par la Representation of the Peoples Act 1918.

Biographie de l’artiste

Rachel Maclean, née à Édimbourg en 1987, est une artiste multimédia. À travers l’utilisation de films et de photographies, elle crée des personnages farfelus mis en scène dans des univers fantastiques afin de construire une critique colorée de notre société. Arborant costumes et maquillages flamboyants, Rachel Maclean joue presque tous les rôles dans ses films. Elle utilise la technologie numérique pour bâtir ses univers et emprunte des extraits audios tirés de la télévision et du cinéma pour élaborer ses récits avec un touche d’humour. Rachel Maclean a réalisé plusieurs expositions individuelles à Londres, Édimbourg, Nottingham et ailleurs dans le monde comme en Russie et en Allemagne. En 2013, elle reçoit le Margaret Tait Award pour sa contribution au Glasgow Film Festival et est présélectionnée pour le Film London Jarman Award. Rachel Maclean est également sélectionnée pour représenter l’Écosse lors de la 57e Biennale de Venise en 2017. rachelmaclean.com

DIFFUSION EN LIGNE
Jeudi 23 avril 2020
19 h – 22 h

Accéder à la diffusion, ici[+]
(Ce lien sera fonctionnel uniquement durant la projection)

Événement Facebook[+]

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LONGUE VUE SUR LE COURT – JEUNESSE : Courts métrages pour jeunes cinéphiles à voir en ligne du 20 avril au 3 mai 2020

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Festival, Web.

LONGUE VUE SUR LE COURT – JEUNESSE, courts métrages pour jeunes cinéphiles à voir en ligne du 20 avril au 3 mai 2020

La 6e édition de LONGUE VUE SUR LE COURT reportée en novembre 2020

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Longue vue sur le court, le festival international de courts métrages du Sud-Ouest de Montréal, annonce que sa programmation jeunesse sera diffusée sur le web pour accompagner les jeunes cinéphiles durant cette période de confinement. Dans le contexte actuel, le festival est heureux d’offrir aux enfants et adolescents des films de qualité dans le confort et la sécurité de leur foyer. 20 courts métrages québécois, canadiens et internationaux seront ainsi offerts gratuitement du 20 avril au 3 mai sur le site : longuevuesurlecourtjeunesse.com

Du lundi au vendredi, deux nouveaux films seront mis en ligne chaque jour : un court métrage destiné aux enfants et un autre aux adolescents, et seront accompagnés d’activités pédagogiques, concours, jeux et exercices ludiques.

Bande-annonce : bit.ly/LongueVueSurLeCourt_Jeunesse

Longue vue sur le court est également fier d’annoncer que l’édition 2020 du festival sera accompagnée par la comédienne Carla Turcotte qui a accepté d’être la porte-parole de la 6e édition. Quant au festival dans sa forme originale, rassembleuse et sur grand écran, il aura lieu du 25 au 29 novembre à la Maison de la Culture Marie-Uguay et au Théâtre Paradoxe.

LONGUE VUE SUR LE COURT – Jeunesse | du 20 avril au 3 mai 2020

La programmation jeunesse, soigneusement concoctée par Amélie Richter, Julie Prieur et Jacinthe Moffatt, propose un juste équilibre entre films d’animation et de fiction. On y retrouvera entre autres le court métrage Le rêve de Sam, film gagnant du Prix Jeunesse 2019 – Longue vue sur le court.

PROGRAMMATION – Films pour enfants

  • 20 avril : Made in France de Lamia Akhabbar, Robin Cioffi, Brice Dublé, Stanislas Gruénais, Maxime Guerry, Alexia Portal (Animation, France, 2017, 6 minutes)
  • 21 avril : Ariane’s Sky de Roy Tariaffe, Andreia Silva, Florian Mignet, Quentin Delobel, Amer Abou-Rizk, Dorian Bougard et Victor Jeanneret (Animation, Québec, 2017, 3 minutes)
  • 22 avril : Le Roi est Mort de Miguel Lambert (Fiction, Québec, 2017, 6 minutes)
  • 23 avril : Belly Flop de Kelly Dillon et Jeremy Collins (Animation, Afrique du Sud, 2018, 5 minutes)
  • 24 avril : Turbine de Alex Boya (Animation, Québec, 2018, 8 minutes)
  • 27 avril : Maestro du collectif Illogic (Animation, France, 2019, 2 minutes)
  • 28 avril : Squirrels! de James Bourque (Fiction, Canada, 2018, 4 minutes)
  • 29 avril : Kaal de Charlie Aufroy (Animation, France, 2018, 4 minutes)
  • 30 avril : Le rêve de Sam de Nölwenn Roberts (Animation, France, 2018, 7 minutes)
  • 1er mai : A Single Life du studio Job, Joris & Marieke (Animation, Pays-Bas, 2014, 2 minutes) 

PROGRAMMATION – Films pour adolescents

  • 20 avril : La pepperette de Jérôme Hof (Fiction, Québec, 2014, 4 minutes)
  • 21 avril : Lay Them Straight de Robert DeLeskie (Fiction, Canada, 2018, 10 minutes)
  • 22 avril : Fuck les gars de Anthony Coveney (Fiction, Québec, 2018, 8 minutes)
  • 23 avril : Tommy Lemenchick ou comment devenir une légende de Bastien Alexandre (Fiction, Québec, 2017, 12 minutes)
  • 24 avril : Mahalia Melts in the Rain de Emilie Mannering et Carmine Pierre-Dufour (Fiction, Canada, 2018, 12 minutes)
  • 27 avril : La pureté de l’enfance de Zviane (Animation, Québec, 2017, 3 minutes)
  • 28 avril : Black Friday de Stéphane Moukarzel (Fiction, Québec, 2017, 18 minutes)
  • 29 avril : Sang Papier de Kevin T. Landry (Fiction, Québec, 2017, 8 minutes)
  • 30 avril : Les petites vagues de Ariane Louis-Seize (Fiction, Québec, 2018, 12 minutes)
  • 1er mai : Le sujet de Patrick Bouchard (Animation, Québec, 2018, 10 minutes)

Chaque court métrage aura sa propre page avec du contenu additionnel : capsule vidéo du ou de la cinéaste racontant la genèse de l’oeuvre, des photos, une biographie adaptée pour les jeunes, ainsi que des articles et vidéos en lien avec le film.

En plus des films professionnels, Longue vue sur le court diffusera trois films documentaires réalisés de pair avec la cinéaste accompagnatrice Jacinthe Moffatt dans le cadre du programme de médiation culturelle de l’édition 2019 du festival. Les courts métrages présentés seront Groupe 51, en collaboration avec l’école Jeanne-LeBer, Évolution, en collaboration avec le centre pour personnes âgées l’ACHIM et Les voix de Saint-Henri, en collaboration avec Solidarité Saint-Henri. Un guide pédagogique a également été créé à l’intention des enseignants.

Une activité intitulée Apprend à faire une critique de film sera menée par Daniel Racine, critique de cinéma et programmateur du festival, qui fera une vidéo pour guider les jeunes à faire des critiques de films. Les meilleurs textes seront publiés sur le site et les gagnants seront invités à faire partie du jury public de la prochaine édition.

Longue vue sur le court – jeunesse fait également la part belle aux arts visuels et aux jeunes artisans en lançant le concours d’illustration Fais ton affiche! Une œuvre sera choisie pour devenir la signature visuelle de ce volet jeunesse 2020. Pour tout savoir, rendez-vous sur longuevuesurlecourtjeunesse.com.

CARLA TURCOTTE, PORTE-PAROLE

Longue vue sur le court – jeunesse en ligne, ainsi que la 6e édition du festival en salle, seront portés par la comédienne Carla Turcotte, qu’on a pu voir dans L’Affaire Dumont (Podz), Camion (Rafaël Ouellet) et Sarah préfère la course (Chloé Robichaud) entre autres. Plus récemment, elle a tenu le rôle de Sasha dans Shashinka (Kristina Wagenbauer) qui lui a valu des nominations au Gala Québec Cinéma et aux Prix Écrans canadiens. Sa participation à plusieurs courts métrages est remarquable, notamment dans Jo pour Jonathan (Maxime Giroux) et Black Friday (Stéphane Monkarzel).


LONGUE VUE SUR LE COURT – 6e édition | du 25 au 29 novembre

Les courts métrages de la programmation 2020 de Longue vue sur le court seront présentés au public du 25 au 29 novembre. Ce sera l’occasion de voir sur grand écran les films de la compétition officielle et de la section «Du court au long». Cette 6e édition se déroulera, comme chaque année, à la Maison de la Culture Marie-Uguay et au Théâtre Paradoxe.

Pour donner un avant-goût de cette programmation, le programmateur Daniel Racine proposera cinq courts métrages à découvrir sur la page Facebook du festival du 29 avril au 3 mai, dates où devait initialement se tenir le festival cette année.


Longue vue sur le court est réalisé en partenariat avec l’arrondissement du Sud-Ouest, la Maison de la culture Marie-Uguay, le Carrefour jeunesse-emploi du Sud-Ouest de Montréal, le Conseil des arts de Montréal, la Ville de Montréal, L’inis, l’Office national du film du Canada (Programme ACIC), Mouvement Desjardins – Caisse du Sud-Ouest de Montréal, SLA Productions, Bande à Part audio et post production – coop, le Cégep André-Laurendeau, Hallé Location, Théâtre Paradoxe, Bâtiment 7 et Les voies parallèles.

Longue vue sur le court – jeunesse est rendu possible grâce au Ministère de la culture et des communications du Québec, au Conseil des arts de Montréal, à l’arrondissement du Sud-Ouest de Montréal, à la Maison de la culture Marie-Uguay, aux Productions Cinta, à l’Office national du film du Canada (ONF), à Télé-Québec, à la Fabrique culturelle, à L’inis, à Pitoresk, à la Ville de Montréal et au Carrefour jeunesse-emploi du Sud-Ouest de Montréal (CJESO).

LONGUE VUE SUR LE COURT – JEUNESSE en ligne du 20 avril au 3 mai 2020.
La 6e édition de LONGUE VUE SUR LE COURT sur grand écran du 25 au 29 novembre 2020.

Pour plus d’information : longuevuesurlecourt.com

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Appel à participations pour ÊTRE NOIR.E à Montréal, date limite prolongée : 15 mai 2020!

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Avis à l'industrie, Cinéma, court métrage.

Appel à participations pour ÊTRE NOIR.E à Montréal, la date limite est prolongée jusqu’au 15 mai 2020

Une bonne nouvelle pour les jeunes cinéastes Noirs dans ces temps difficiles!

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Nous sommes heureux de permettre aux cinéastes émergents Noirs de postuler en ligne pour la 3e édition du programme Être Noir.e à Montréal (une initiative du Programme Relève et Diversité de la Fondation Fabienne Colas: Être Noir.e au Canada). Supporté par le Conseil des Arts du Canada et des partenaires locaux, ce programme de cinéma, avec un grand impact social et professionnel, offrira aux participants(es) l’opportunité de créer un premier court-métrage documentaire dès que la situation nous permettra de reprendre la production et le mentorat.

Nous vivons des circonstances sans précédent et le milieu artistique est mis à l’épreuve comme jamais auparavant. Cette pandémie du #Covid19 a complètement bouleversé notre planète. Nous devons nous assurer de prendre les mesures appropriées pour se protéger et protéger nos semblables. Alors que nous devons continuer à nous isoler volontairement, nous voulons nous assurer de continuer à nous occuper de nos artistes, dans la mesure du possible.

Vite! Voyez tous les détails et POSTULEZ ICI
Pour artistes émergents Noirs I 18 à 30 ans I De la Grande Région de Montréal
Date limite: 15 MAI 2020

Vous résidez à TORONTO? Appliquez ICI / Vous résidez à HALIFAX? Appliquez ICI

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F3M à HOT DOCS avec « Prière pour une mitaine perdue », « Sous un même soleil »et « Le frère »

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, animation, Cinéma, court métrage, documentaire, Festival.

LES FILMS DU 3 MARS à HOT DOCS : « Prière pour une mitaine perdue » de Jean-François Lesage, « Sous un même soleil » de François Jacob et « Le frère » de Jérémie Battaglia

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Les Films du 3 Mars est heureux d’annoncer sa participation à la 26e édition du Festival international canadien du documentaire HOT DOCS. Sous un même soleil (Under the Same Sun) de François Jacob et Prière pour une mitaine perdue (Prayer for a Lost Mitten) de Jean-François Lesage sont sélectionnés en compétition dans la section « Canadian Spectrum » du festival. Le frère (The Brother) de Jérémie Battaglia sera également présenté en compétition pour le prix du Meilleur court métrage documentaire.

En raison de la crise sanitaire actuelle, le festival explore en ce moment la meilleure façon de présenter sa sélection de films au grand public et fera une annonce prochainement à ce sujet. Pour l’instant, les membres de l’industrie inscrits au Doc Shop de Hot Docs pourront exceptionnellement voir les films en ligne à compter du 30 avril.

SOUS UN MÊME SOLEIL de François Jacob

Québec, Canada. 97 minutes. Version originale en arménien, azerbaïdjanais, russe et anglais avec sous-titres anglais.

Production : Les Films de l’Autre

[box bg= »# » color= »# » border= »# » radius= »0″]Malgré le cessez-le-feu de 1994, il n’y a toujours pas de vraie paix entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, qui continuent de se disputer âprement la région montagneuse du Nagorny Karabakh. Plus de 25 ans après la guerre, les passions nationales semblent aussi fortes que jamais. La litanie des rancunes et des accusations continue de se heurter au déni dans un dialogue de sourds interminable. Avec la retenue qui accompagne notre regard d’étrangers, Sous un même soleil prête une oreille attentive aux habitants de la région, à la recherche d’explications dans ces jeunes pays aux blessures anciennes.[/box]

Extrait :vimeo.com/407658109
Site : f3m.ca/film/sous-un-meme-soleil
Facebook : facebook.com/Sousunmemesoleil

Sous un même soleil sera présenté en première mondiale à HOT DOCS. Il prendra l’affiche en 2021.
HOT DOCS 2020 : bit.ly/HotDocs2020_UnderTheSameSun

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PRIÈRE POUR UNE MITAINE PERDUE de Jean-François Lesage

Québec, Canada. 79 minutes. Version originale en français, anglais et créole avec sous-titres anglais.

Production : Les Films de l’Autre

[box bg= »# » color= »# » border= »# » radius= »0″]La nuit tombe. Il neige sur Montréal. Des gens font la file au bureau des objets perdus de la société des transports. Tous ont perdu un objet qui, quand on s’y attarde, devient le symbole d’une perte plus profonde. Prière pour une mitaine perdue est un documentaire de création — par moment mélancolique, par moment festif, toujours amoureux — qui aide à traverser l’hiver.[/box]

Extrait : vimeo.com/394337507
Site : f3m.ca/film/priere-pour-une-mitaine-perdue
Facebook : facebook.com/Prierepourunemitaineperdue

Prière pour une mitaine perdue sera présenté en première mondiale (disponible partout sauf en Amérique du nord) au festival Visions du réel, qui se tiendra exceptionnellement en ligne cette année, puis en première nord-américaine à HOT DOCS. Il prendra l’affiche en 2021.

HOT DOCS 2020 : bit.ly/HotDocs2020_PrayerForALostMitten

 

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LE FRÈRE de Jérémie Battaglia

Québec, Canada. 2019. 28 minutes. Version originale en français et japonais avec sous-titres anglais.

Production : Les Films Extérieur Jour

[box bg= »# » color= »# » border= »# » radius= »0″]Atteint d’une maladie lui faisant perdre l’usage de son corps, Kaïs est réveillé chaque matin par un membre différent de sa famille. Le corps figé, il se rêve la nuit héros de son manga préféré avec ses frères, Fehd le bodybuilder et Zaïd le ninja.[/box]

Bande-annonce : vimeo.com/371796242
Facebook : facebook.com/lefrerefilm
Site : f3m.ca/film/le-frere

Le frère a été présenté en première mondiale aux Rendez-vous Québec Cinéma 2020. Il sera présenté en première ontarienne à HOT DOCS.

HOT DOCS 2020 : bit.ly/HotDocs2020_TheBrother

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Pour plus d’information, visitez le site : www.hotdocs.ca

LES FILMS DU 3 MARS est soutenu par plus d’une centaine de membres issus du milieu cinématographique ainsi que par les institutions suivantes: Conseil des arts et des lettres du Québec; Conseil des arts du Canada; Conseil des arts de Montréal; Société de développement des entreprises culturelles (SODEC); Téléfilm Canada.

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Les PERCÉIDES : Concours de courts métrages gaspésiens sous le thème du confinement

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, animation, Cinéma, court métrage, documentaire, Festival.

Le Concours de courts métrages gaspésiens 2020 est lancé officiellement

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30 JUIN 2020 – DATE LIMITE DE SOUMISSION AU CONCOURS DE COURTS MÉTRAGES GASPÉSIENS

Le Concours de courts métrages gaspésiens 2020 est donc lancé officiellement aujourd’hui et les participants auront jusqu’au 30 juin 2020 pour soumettre leur film. Tous les genres seront acceptés : documentaire, portrait, plan séquence original, fiction, cinéma expérimental, animation. La durée des films soumis doit être de cinq minutes et moins et comporter une grande part de contenus en lien avec la Gaspésie. Tous les films soumis doivent être inédits, respecter les règlements du concours et ne jamais avoir été diffusés sous quelque forme que ce soit.

DIFFUSION DES FILMS PRIMÉS

Les lauréats du concours seront déterminés par un jury d’artisans du cinéma et présidé par le réalisateur gaspésien Charles Parisé. Les courts métrages retenus seront annoncés en août prochain et diffusés en grande première lors d’un événement en ligne par le biais d’une plateforme numérique (Cinéma Gaspésie) spécialement dédiée pour le concours. De plus, les cinéastes primés auront la chance de voir leur film partir en tournée au Québec et pourront éventuellement le présenter dans différents festivals de films et diffusés sur différentes plateformes numériques de cinéma.

Pour l’occasion le Festival Les Percéides diffuse le court métrage Un homme éternue et meurt de Charles Parisé (Québec 2019, 1 min)

À PROPOS DU FESTIVAL LES PERCÉIDES

Le Festival Les Percéides créé en 2008 à Percé a pour mandat de mettre en lumière le jeune cinéma d’auteur tout en présentant des films de réalisateurs confirmés et privilégie la médiation culturelle cinématographique. Il se donne comme mandat de stimuler la création artistique et cinématographique, en offrant aux artisans du cinéma dans la région gaspésienne des occasions inestimables de produire des œuvres originales et ainsi de faire rayonner la Gaspésie au Québec et ailleurs.

Pour tous les détails du concours : www.perceides.ca

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« RÊVE DE PARFUM », de KATHLEEN HEPBURN, un court-métrage disponible sur Facebook

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, documentaire, Web.

« RÊVE DE PARFUM », un court-métrage documentaire de KATHLEEN HEPBURN (ONF), disponible sur Facebook

Une œuvre qui fait appel aux fragrances pour évoquer les souvenirs émotifs de l’amour maternel

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L’ONF rend disponible le plus récent court-métrage documentaire de la scénariste et réalisatrice vancouvéroise Kathleen Hepburn (Never Steady, Never Still; The Body Remembers When the World Broke Open), RÊVE DE PARFUM sur la plateforme Facebook (uniquement).

RÊVE DE PARFUM est une oeuvre produite par Jeremy Mendes du Studio interactif de Vancouver de l’Office national du film du Canada.  

[box bg= »# » color= »# » border= »# » radius= »0″]

Synopsis

Alors qu’elle attend son premier enfant, la créatrice de parfums Megan Hepburn pleure la perte de sa propre mère et fait appel aux fragrances pour évoquer les souvenirs émotifs de l’amour maternel.[/box]

Biographie de Kathleen Hepburn :

Scénariste et réalisatrice, Kathleen Hepburn vit à Vancouver. Le long métrage The Body Remembers When the World Broke Open, dont elle signe le scénario et la réalisation avec Elle-Máijá Tailfeathers alors qu’elle est étudiante, est présenté en première à la Berlinale (2019) et remporte le Grand Prix au Festival du nouveau cinéma. Retenu pour six prix Écrans canadiens, dont ceux du meilleur film et de la meilleure réalisation, le film est actuellement offert sur Netflix aux États-Unis.

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Plein(s) Écran(s) donne carte blanche aux festivals annulés!

Écrit par Marie-Eve Gratton le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Festival, Web.

À partir du mois d’avril 2020, Plein(s) Écran(s) est de retour avec une offre cinématographique en collaboration avec des festivals de courts métrages québécois.

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Le festival Plein(s) Écran(s), qui se terminait en janvier dernier, a enregistré une année record lors de sa dernière édition avec près de 3,7 millions de visionnements, une augmentation des interactions du public de plus de 47 % et plus de 33 300 abonnés à sa page Facebook, dont une augmentation en région au Québec.

Un projet spécial de diffusion

En cette période exceptionnelle, l’équipe de Plein(s) Écran(s) a dû se consulter afin de réfléchir à son rôle et faire pivoter son modèle d’affaires afin de trouver des solutions qui viendraient soutenir l’industrie cinématographique. Si le premier festival de cinéma sur Facebook n’avait pas de contenu dès le début de la crise, ce n’est pas par manque de volonté. « Notre désir était avant tout de prendre le pouls auprès des organismes afin de voir si on pouvait soutenir la diffusion des évènements annulés. On ne voulait pas se précipiter et mettre du contenu sur notre plateforme, on voulait créer des liens avec le milieu et particulièrement auprès des festivals éloignés, en région, durement touchés par l’annulation des activités. Bien que la diffusion du contenu court québécois reste une priorité pour nous, on cherche un moyen de soutenir les ayants droit tout en faisant briller des festivals régionaux auprès de leur public, afin qu’ils ne disparaissent pas de l’écosystème », témoigne Catherine Legaré-Pelletier, directrice générale de Plein(s) Écran(s). La particularité du festival est qu’il rend accessible gratuitement un contenu de qualité auprès de la plus importante communauté en ligne au monde, Facebook. Cela fait du festival une expérience unique qui permet au grand public d’interagir avec le contenu. Plein(s) Écran(s) désire créer à plus grande échelle une des forces vives d’un festival, soit la rencontre entre les créateurs et le public.

Un premier arrêt en Gaspésie

Le bal est lancé avec une carte blanche du Festival Vues sur mer à Gaspé. Ce partenariat permettra au public de Vues sur mer de visionner une sélection de courts métrages initialement prévus à la programmation du Festival, qui devait se tenir du 16 au 19 avril à Gaspé. Le concept est simple et reste en harmonie avec la formule du festival Plein(s) Écran(s). Cette fois, c’est 1 court par jour du 17 au 19 avril, diffusé pendant 24 heures, en ligne gratuitement sur la page Facebook de Plein(s) Écran(s) et en simultané sur celle de la page du festival invité. La programmation est composée du court CLEBS, d’Halima Ouardiri, primé à la Berlinale, suivi de RACINES CROISÉES de Paul Tom, pour finir avec TERRES FANTÔMES de Félix Lamarche. Une série de documentaires habilement ficelée par Maxime Boucher, le directeur de la programmation de Vues sur mer. Cestrois courts métrages d’une qualité incroyable nous parlent tous du rapport universel poignant entre notre appartenance à la terre d’origine et à celle d’accueil, mais aussi aux questions de migrations obligées. On vous promet des réflexions émouvantes.

D’autres collaborations à venir?

Plusieurs festivals importants qui ont dû suspendre leur évènement sont intéressés à collaborer avec Plein(s) Écran(s). «Nous avons déposé le projet auprès des institutions gouvernementales, afin de faire valoir cette proposition comme une piste de solution au rayonnement de notre cinématographie nationale, ici et partout dans le monde. On espère des réponses positives afin de continuer à soutenir l’industrie à traverser cette crise» annonce Catherine Legaré-Pelletier.

PAGE DU FESTIVAL : https://www.facebook.com/pleinsecrans/

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