Jouer dur : quand le jeu devient la réalité

Jouer dur : quand le jeu devient la réalité 

Une série documentaire présentant l’envers du décor d’une mégaproduction de jeu vidéo

Diffusée en trois parties, la série documentaire Jouer dur sera présentée dès le 30 novembre à 20 h à Télé-Québec. Tournée à Ubisoft Montréal, Jouer dur offre un accès inédit au monde secret des grands studios de jeux vidéo. C’est en effet la première fois qu’Ubisoft laisse entrer une caméra dans sa forteresse . Grâce à la détermination de Jean-Simon Chartier et à la collaboration de Stéphane Cardin et de Luc Duchaine, le téléspectateur devient le témoin privilégié du processus de création et de la mise en marché mondiale du jeu For Honor. L’industrie du jeu vidéo franchira en 2017 le cap des 100 milliards $ de revenus, soit plus du double du box-office annuel, ce qui en fait la plus importante industrie mondiale du divertissement, et certainement l’une des plus féroces en termes de compétition.

« On est dans une industrie super sauvage où 3 % des jeux ramènent 97 % des profits. »  Stéphane Cardin, producteur de For Honor

Durant quatre années, Jean-Simon Chartier, scénariste et réalisateur de la série, a suivi le travail de l’équipe de For Honor, dans les locaux d’Ubisoft à Montréal, mais aussi aux quatre coins de la planète. Au terme de l’aventure, ce sont 500 personnes qui ont travaillé à sa conception et à sa mise en marché. Depuis sa sortie en février dernier, le jeu se classe parmi les 10 jeux les plus vendus en 2017 sur la planète.

« Pour les gens, c’est juste un jeu vidéo qui est lancé, mais pour nous autres, c’est l’aboutissement de temps, d’efforts, de sacrifices, qui rend une journée comme ça super émotive. »  Luc Duchaine, directeur de marque de For Honor, au sujet du lancement du jeu.

À l’image de For Honor, où Vikings, chevaliers et samouraïs se livrent un combat épique, Jason, le créatif, Stéphane, le producteur et Luc, le directeur de marque, vivent des moments d’une grande intensité, doivent affronter l’adversité et trouver des solutions rapides aux écueils inhérents à une production d’une telle envergure. Compte tenu des enjeux financiers qui y sont liés, la pression exercée sur l’équipe est immense et l’erreur n’est pas une option. 

« J’ai déjà essayé de faire une marque et ça n’avait pas fonctionné. Je le sais aujourd’hui… la douleur quand ça ne fonctionne pas, et j’ai quand même été assez fou pour recommencer. »  Stéphane Cardin, producteur de For Honor

 

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