Kebec : l’histoire racontée autrement

Kebec : l’histoire racontée autrement

Après avoir esquissé un premier portrait de famille au cours de la première saison, Kebec continue de s’intéresser à l’histoire, mais de façon bien différente de celle qu’on enseigne à l’école. Dès le dimanche 5 avril 2020 à 21 h 30 à Télé-Québec, la journaliste Noémi Mercier nous fera découvrir plus d’une vingtaine de nouveaux thèmes amenés de façon inusitée pour mieux comprendre notre Québec. Pour visionner la bande-annonce, c’est ici.

« En cette ère de polarisation des opinions, on a besoin plus que jamais de comprendre comment s’est forgée la société dans laquelle nous vivons », confie Noémi Mercier« Quand on prend la mesure de ce que les générations précédentes ont traversé, on saisit mieux pourquoi certains de nos débats de société sont si déchirants. Et on ressent plus d’empathie pour ceux qui ne pensent pas comme nous. On a soif de contenu télévisuel qui rassemble et réconcilie au lieu de diviser. Et je suis persuadée que Kebec est un vecteur de compréhension mutuelle, de compassion et de solidarité entre les Québécois de toutes les générations et de toutes les origines. »

Dans cette deuxième saison de Kebec, on continue à associer une œuvre culturelle majeure – qu’elle soit littéraire, cinématographique ou encore musicale – à chacun des thèmes abordés et on en discute avec des personnalités publiques choisies.

Ainsi, on part de la pièce Broue pour discuter d’alcool avec Louis Saia; de La chasse-galerie pour s’étendre à propos de nos contes et légendes avec Stéphane Archambault; du film La lutte pour parler avec Hugo Girard de ce sport qui nous est cher; des caricatures de Chapleau pour jaser politique avec Lisa Frulla; des romans signés Chrystine Brouillet ayant pour toile de fond les enquêtes de Maud Graham pour s’expliquer nos services d’urgence avec Jacques Duchesneau; de La famille Plouffe pour parler de télévision avec Louise Deschâtelets; de l’œuvre Human Sex par Lala Human Steps pour mettre de l’avant nos figures à contre-courant avec Marc Béland; etc.

Il s’agit d’un tremplin incroyable pour plonger dans l’histoire et révéler un portrait de la société québécoise à une époque précise. Ces fascinants allers-retours dans le temps sont guidés par une animatrice curieuse, des historiens allumés, des images d’archives revisitées et des reconstitutions historiques surprenantes.

« Plusieurs enseignants nous ont dit avoir visionné la première saison de Kebec en classe avec leurs élèves. Des immigrants nous racontent qu’ils regardent Kebec pour apprendre à mieux connaître leur société d’accueil », affirme fièrement l’animatrice« C’est une série à la fois accessible et rigoureuse, étonnante et émouvante, parfois drôle aussi, qui plaît à toutes les générations et qui génère des discussions passionnantes entre parents, enfants et grands- parents. »

La première émission de cette deuxième saison de Kebec sera offerte en primeur sur telequebec.tv le dimanche 29 mars. La série entière (12 émissions) sera également offerte gratuitement dès sa première diffusion télé, le 5 avril prochain.

D’où vient l’accent québécois?

À quoi ressemblait la famille iroquoienne? Les autochtones ont-ils influencé la mode canadienne? Pourquoi a-t-on Hydro-Québec? D’où vient le sirop d’érable? En complément à la série, Kebec répond à ces questions et à bien d’autres dans de courtes capsules d’animation vidéo déjà offertes tant sur kebec.telequebec.tv que sur la plateforme jeunesse de Télé-Québec squat.telequebec.tv. À découvrir!

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