Tournage de la série JE VOUDRAIS QU’ON M’EFFACE adaptée du roman d’Anaïs Barbeau-Lavalette

L’adaptation du roman d’Anaïs Barbeau-Lavalette JE VOUDRAIS QU’ON M’EFFACE à venir sur ICI TOU.TV à l’automne 2020

Avec Julie Perreault et Jean-Nicolas Verreault

La série JE VOUDRAIS QU’ON M’EFFACE, une adaptation libre du roman à succès du même titre de l’autrice Anaïs Barbeau-Lavalette, sera présentée sur ICI TOU.TV à l’automne 2020.

Le réalisateur Eric Piccoli, aussi coauteur de la série avec Florence Lafond, poursuit présentement le tournage à Montréal de la série de 8 épisodes produite par Babel FilmsJulie Perreault, Jean-Nicolas Verreault, Schelby Jean-Baptiste, Anglesh Major, Mireille Métellus, Frédéric Pierre, Dramatik (Jocelyn Bruno), Roberto Mei et Marie-Evelyne Lessard partagent l’écran avec les trois jeunes acteurs principaux : Charlee-Ann Paul, Malik Gervais Aubourg et Sarah-Maxine Racicot.

 

 

JE VOUDRAIS QU’ON M’EFFACE raconte l’histoire de trois enfances écorchées qui s’entrechoquent dans le quartier populaire de Saint-Michel à Montréal. Mélissa (15 ans), Eddy (13 ans) et Karine (14 ans) vivent dans le même bloc, mais ne sont pas des amis. Dès leur jeune âge, ils doivent composer avec un environnement qui mange déjà tout rond les adultes. Le coin des putes, les soirées de débauche des parents, de mauvaises fréquentations à l’école ; pour eux, tout ça, c’est bien normal. C’est leur quotidien. C’est l’environnement dans lequel ils grandissent.

« Nous avons transposé l’histoire d’Anaïs dans le quartier Saint-Michel avec l’autoroute 40 qui coupe la ville en deux. C’est là où j’ai grandi avec comme repère la métropolitaine bruyante qui tranchait le quartier, tout comme les amitiés et les familles. L’âme de l’histoire demeure la même : trois jeunes évoluent dans un milieu « rushant » qui est déjà impitoyable pour les grands. Pour en sortir indemnes, ils doivent avoir les reins solides ou un entourage fort et aimant », précise Eric Piccoli, producteur, réalisateur et coauteur de la série.

 

 

Les producteurs Eric Piccoli et Marco Frascarelli de Babel Films et leur équipe ont tenu à tourner JE VOUDRAIS QU’ON M’EFFACE dans un quartier sous-représenté à l’écran, en respectant chaque aspect du quartier et en offrant une parole aux membres qui le composent. C’est entre autres pourquoi ils ont tissé des liens étroits avec La Maison d’Haïti et leurs travailleurs sociaux pour intégrer réalisme et cohérence à la série.

 

 

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