Le Festival du nouveau cinéma dévoile ses premiers titres et le visuel de la 47e édition

Le Festival du nouveau cinéma dévoile ses premiers titres et le visuel de la 47e édition

Le Festival du nouveau cinéma de Montréal (FNC), doyen des festivals de films au Canada, est heureux d’annoncer que sa 47e édition se déroulera du 3 au 14 octobre prochain.

Ayant toujours à cœur d’offrir au public les plus grandes voix du paysage cinématographique actuel, le FNC ne dérogera pas à sa réputation d’excellence cette année avec plusieurs titres attendus et salués dans les plus grands festivals internationaux.

Sélection internationale

Ainsi les cinéphiles montréalais pourront notamment découvrir en primeur : l’incontournable Shoplifters de Hirokazu Kore-eda (Japon), lauréat de la Palme d’or du Festival de Cannes; Capharnaüm de Nadine Labaki (Liban) – Prix du Jury à Cannes; Trois Visages de Jafar Panahi (Iran) – Prix du meilleur scénario à Cannes; Woman at War de Benedikt Erlingsson (Islande) – Sélection à la Semaine de la Critique à Cannes; le cinglant The House that Jack Built de Lars von Trier (Danemark); ainsi que la comédie décalée Au poste! réalisée par le cinéaste et musicien Quentin Dupieux (Mr. Oizo) qui reviendra au FNC, quatre ans après avoir présenté son film Réalité.

Longs métrages québécois

En complément de cette sélection internationale, sont dévoilés trois premiers longs métrages québécois qui promettent de ravir, chacun à leur manière, le public du Festival, soit: Genèse de Philippe Lesage, chaleureusement accueilli par la critique et le public lors de sa première mondiale au Festival de Locarno; le film d’animation Ville Neuve de Félix Dufour-Laperrière, présenté prochainement en première mondiale au Festival international du Film de Venise, dans lequel on pourra entendre les voix de Paul Ahmarani, Gildor Roy et Johanne-Marie Tremblay; sans oublier Dérive, premier long métrage de David Uloth et Chloé Cinq-Mars, mettant en scène Mélissa Désormeaux-Poulin, Maèva Tremblay, Éléonore Loiselle, Émilie Bierre et Réal Bossé.

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Par ailleurs, plus de 300 oeuvres seront présentées pendant ces 12 jours de festivités qui se déploieront dans les 11 lieux suivants : le Cinéma du Parc, le Cinéma Impérial – le nouveau point de vente officiel dès le 25 septembre, la Cinémathèque québécoise, le Cineplex Odéon du Quartier Latin, la Grande-Place du complexe Desjardins, l’INIS, la Société des arts technologiques (SAT), le Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts ainsi que les deux nouvelles salles de Montréal : le Cinéma du Musée au Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) et le Cinéma Moderne. Le Quartier général demeure situé à l’Agora Hydro-Québec du Cœur des sciences de l’UQÀM et à la Chaufferie.

Les festivaliers pourront de nouveau s’attendre à une programmation riche et variée à travers les diverses sections du Festival : Compétition internationale, Focus Québec / Canada, Temps Ø, Les incontournables, Les nouveaux alchimistes, Panorama international, Histoire(s) du cinéma, Présentations spéciales, FNC Explore, P’tits Loups, Rencontres pancanadiennes du cinéma étudiant, ainsi que la section destinée aux professionnels, FNC Forum.

Plusieurs longs et courts métrages, rétrospectives, films d’animation et documentaires de haut calibre seront au menu en plus de la présence d’un grand nombre d’œuvres en réalité virtuelle, de rencontres professionnelles et d’événements à ne pas manquer tout le long de la manifestation!

Mentionnons par ailleurs que Genèse (Produit par Unité Centrale et distribué par FunFilm), prendra l’affiche dans la foulée du FNC, le 19 octobre prochain. Ville Neuve (Produit par Unité Centrale et distribué par FunFilm) et Dérive (Produit par Unité Centrale et distribué par AXIA Films) sortiront en salles dans le prochains mois.

Enfin, pour la deuxième année consécutive, le studio Ottoblix signe l’identité visuelle du FNC, que ce soit sur les supports imprimés mais également dans la bande-annonce officielle. Figure emblématique du Festival, la louve veille sur cette 47e édition, l’air serein mais toujours avec un esprit vif ! L’esthétique surannée et la mise en scène kitsch, associées à une mise en page moderne et dynamique, renvoient l’image d’un cinéma en pleine mutation qui, plus que jamais, s’avère nécessaire.

 

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