La productrice Christine Falco, le réalisateur Marc Bisaillon, les acteurs Pierre-Luc Lafontaine et Paul Doucet ainsi qu’Andrew Noble de Filmoption International seront à Rouyn-Noranda le 27 octobre prochain à l’occasion de la première mondiale de « L’amour ».
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Le film sera projeté en ouverture du 37e Festival de cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Le film prendra ensuite l’affiche au Québec le 16 novembre.
L’amour, troisième long métrage de Marc Bisaillon, met également en vedette Fanny Mallette et Claude Despins dans les rôles principaux.
Synopsis
Alex (Pierre-Luc Lafontaine), en apparence doux et introverti, part en secret de chez lui à Sept-Îles au Québec pour aller visiter son père (Paul Doucet) dans le Maine. Là-bas, aidé d’un registre public et habité d’une sourde colère, il repère et traque des délinquants sexuels. En parallèle, Rose (Fanny Mallette), sa mère, refait le voyage d’Alex afin de tenter de comprendre ce qui a pu le pousser dans cette folie meurtrière. Le film est librement inspiré de l’histoire de Stephen Marshall qui a ébranlé le Canada en 2006.
Marc Bisaillon est un scénariste et réalisateur québécois. Avant de se lancer en réalisation avec les courts métrages SPCE (2002), Y en n’a pas comme nous ! (2005) et One take one shot – Une prise une gorgée (2007), il a scénarisé le long métrage Les immortels (2003). S’inspirant de faits réels, il amorce en 2006 l’écriture et la réalisation d’une trilogie thématique sur le silence coupable avec le long métrage La lâcheté, suivi en 2011 du deuxième volet, La vérité. L’amour, le troisième volet, sortira en salle le 16 novembre.
L’amour est écrit (avec la collaboration de Philippe Schommer) et réalisé par Marc Bisaillon, la direction de la photo est assurée par Vincent Biron, la direction artistique par Corinne Montpetit. Stéphane Barsalou fait la prise de son tandis que le montage est confié à Mathieu Bouchard-Malo. Le concepteur sonore est Simon Gervais et c’est Éric Rathé qui compose la musique.
L’amour est produit par Les Films Camera Oscura avec la participation financière de la SODEC, de Téléfilm Canada, du Fonds Harold Greenberg, de la Société Radio-Canada et de la SACD.
