ANOTE’S ARK de Matthieu Rytz, En première mondiale et en compétition officielle au Festival du Film de Sundance
EyeSteelFilm est heureuse d’annoncer que le film ANOTE’S ARK du québécois Matthieu Rytz sera présenté en première mondiale et en compétition officielle au Festival du Film de Sundance en janvier 2018 dans la catégorie « World Cinema Documentary Competition ».
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ANOTE’S ARK est le tout premier long métrage tourné dans la République de Kiribati, État du Pacifique amené à disparaître à cause de la montée des eaux, et conférant de ce fait à son peuple le statut de premiers réfugiés climatiques de l’histoire.
Que se passe-t-il lorsque votre nation est avalée par la mer ? Kiribati, un atoll de basse altitude, est amené à disparaître en quelques décennies – en raison de l’élévation du niveau de la mer, de la croissance démographique et des changements climatiques. Interrogeant deux histoires personnelles de survie et de résilience, Anote’s Ark explore les manières d’émigrer une nation entière avec dignité.
Matthieu Rytz
ANOTE’S ARK est le premier long métrage réalisé par Matthieu Rytz, cinéaste et photographe spécialisé en anthropologie visuelle. Curateur d’expositions et producteur de l’édition montréalaise du World Press Photo, Matthieu Rytz immortalise la diversité culturelle et humaine à travers le monde depuis plus de dix ans.
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Synopsis
ANOTE’S ARK est le cinquième film produit par EyeSteelFilm à être présenté en compétition officielle au Festival du Film de Sundance dans la catégorie « World Cinema Documentary Competition » après The Yangtze (2009), Last Train Home (2010), China heavyweight (2012), et Tokyo Idols (2017).
Distribué par EyeSteelFilm au Canada, ANOTE’S ARK prendra l’affiche au Canada le printemps prochain.
Plus d’infos: https://www.facebook.com/anotesark/ //http://www.eyesteelfilm.com/anotesark
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À propos de EyeSteelFilm
EyeSteelFilm est une société de films et de médias interactifs dont les œuvres ont pour but de mettre en avant le changement politique et l’engagement social. Créée avec l’idée de donner une voix à ceux qui sont généralement ignorés des médias traditionnels, EyeSteelFilm a eu l’occasion d’explorer des projets et de rencontrer des collaborateurs à travers le monde entier.
EyeSteelFilm a été fondée en faisant des films sur la communauté de sans-abris. La trilogie de la rue de Daniel Cross, (Danny Boy, 1993; The Street: a film with the homeless, 1996; SPIT: Squeegee Punks in Traffic, 2002) dresse le portrait d’une génération perdue, celle de canadiens étouffés par les coupes de fonds publics, l’apathie politique, l’alcoolisme et la toxicomanie. Ces films ont formé un modèle pour EyeSteelFilm, soit un mélange entre cinéma vérité et interactivité, avec pour but des oeuvres qui mettent en avant le changement et l’autonomisation communautaire.
Depuis plus de 20 ans la compagnie multi-recompensée EyeSteelFilm a eu un impact à l’international grâce à des documentaires sociaux tels que Let There be Light (2017), I am the Blues (2015), Deprogrammé (2015), Chaméléon (2014), La Forêt aux Esprits (2013), Dans la peau de Lara Roxx (2011), Le fils Béni (2011), Rip!: Remix Manifesto (2009), ainsi que des films films dépeignant la vie moderne en Chine: Bone (2005), Chairman George (2006), Sur le Yangzi (2007), Le Dernier Train (2009), Vanishing Spring Light (2011) et China Heavyweight – L’école des champions, (2012). Au cours de sa carrière, elle a reçu plus de 100 prix internationaux.
EyeSteelFilm est fréquemment citée comme l’une des 100 meilleures compagnies de production de documentaires au monde par le magazine RealScreen. Le groupe EyeSteelFilm comprend aussi un département de distribution de documentaires long-métrages et de films d’auteurs de fiction ainsi que le Laboratoire de Réalité Créative qui explore la création de narrations significatives.
