Première mondiale du film steampunk A Time of Mice And Hubris /Les cobayes du temps d’Olivier Xavier ce vendredi 2 août à Fantasia

Mettant en vedette Mylène St-Sauveur et Vincent Leclerc

Le film A Time of Mice And Hubris/Les cobayes du temps sera présenté en première mondiale ce vendredi 2 août à 21 h au Cinéma du Musée dans le cadre du Festival International du film Fantasia.

Avec sa première réalisation, le cinéaste Olivier Xavier marque un précédent dans le cinéma québécois avec ce court-métrage qui adopte l’esthétique rétrofuturiste du steampunk. Mylène St-Sauveur et Vincent Leclerc y tiennent la tête d’affiche, dans une distribution complétée par Patrick Baby, Jean-François Beaupré et Michel Perron.

Présenté dans le programme Multiples Multivers des Fantastiques week-ends du cinéma québécois, intitulé A Time Of Mice And Hubris en anglais, le film sera présenté en version française avec sous-titres anglais.

Les cobayes du temps nous plonge dans l’ambiance déstabilisante de l’université montréalaise Arthur Kemp à la fin du 19e siècle, un monde oscillant entre le passé et le futur où Stephanie, jeune femme douée pour les sciences, écrit son destin. La démonstration ratée d’un prototype de machine à voyager dans le temps entraîne le congédiement du Professeur Beaumont, son mentor et collègue à l’origine du projet. Qu’à cela ne tienne, Stephanie refuse d’abandonner, avec la ferme intention de prendre sa revanche sur le monde misogyne et phallocrate de l’université.

Produit par Jean Fugazza (Productions Écranhia, ecranhia.ca), ce court-métrage a été réalisé par Olivier Xavier qui en a également écrit le scénario avec Patrick Baby. La direction de la photographie est signée Amélie Douville.

Sa diffusion sera assurée par ID communications (Amérique du nord) et Intereurop (Europe). Le film est disponible en versions anglaise et française.

La production tient à remercier chaleureusement la SODEC (Aide à la production), Québec crédits d’impôts cinéma et télévision et le Programme de crédits d’impôts pour production cinématographique et magnétoscopique canadienne (CIPC), ainsi que toute l’équipe du film, pour leur soutien aussi indispensable qu’apprécié.

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