FANTASIA, une programmation pour tous les goûts!

Camera Lucida : le cinéma de genre dans tous ses états!

Dédiée au cinéma de genre ludique et contemporain, la section Camera Lucida est de retour avec une sélection des plus avant-gardistes.

Cette année, douze longs métrages ont été retenus pour représenter le volet, chacun proposant à sa manière une perspective novatrice du film de genre.

C’est aux cinéastes indiens Q (GANDU) et Nikon que revient l’honneur d’ouvrir la 6e édition de Camera Lucida avec la première mondiale de LUDO, une plongée à la SPRING BREAKERS dans la vie nocturne de Bombay qui mute malicieusement en conte horrifique pour adultes avertis;

Le producteur de ROOM 237, Tim Kirk, présentera DIRECTOR’S COMMENTARY – TERROR OF FRANKENSTEIN (première internationale), une réinterprétation insolite d’un film d’horreur oublié;

En plus de LOVE & PEACE de Sion Sono, l’Asie est représentée par THE BLUE HOUR (première canadienne) du Thaïlandais Anucha Boonyawatana, un drame intimiste suivant deux jeunes amants poursuivis par un esprit malfaisant;

Avec SOCIALPHOBIA (première québécoise), le Sud-Coréen Hong Seok-jae explore les méfaits des médias sociaux sur notre société;

Véritable cri de rage, ANIMA STATE (première québécoise) de Hammad Khan remet en cause la situation politique du Pakistan d’aujourd’hui;

L’Australien Joseph Sims-Dennett signe avec OBSERVANCE (première mondiale) un atmosphérique drame d’épouvante dans la lignée du LOCATAIRE de Roman Polanski;

Présenté à Sundance et Berlin, H. (première canadienne) de Rania Attieh et Daniel Garcia réinvente avec mélancolie les codes du cinéma post-apocalyptique; tourné dans la forêt de la Colombie-Britannique, l’angoissant THE INTERIOR (première mondiale) nous introduit à Trevor Juras, un nouveau talent du cinéma canadien à surveiller de près;

Premier long métrage de science-fiction produit en Ethiopie, CRUMBS (première canadienne) de Miguel Llanso est une comédie surréaliste qui défie toute logique;

Dans un monde dévasté par la folie des hommes, le poétique ORION (première mondiale) d’Asiel Norton met en vedette David Arquette dans un contre-emploi déstabilisant et enchante malgré sa cruauté;

Camera Lucida se clôturera avec la première nord-américaine de COSMODRAMA de l’artiste visuel français Philippe Fernandez, un hommage aux premières séries rétro de science-fiction qui s’appuie sur de véritables hypothèses cosmologiques.

Une programmation explosive pour la section Action!

Toujours à l’affût de faire découvrir aux festivaliers le meilleur du cinéma d’action international, la section Action! revient en force pour sa 4e édition. L’Indonésie, la Corée du Sud, la Norvège, l’Afrique du Sud, Hong Kong, l’Inde, le Japon et Taïwan seront représentés par dix longs métrages haletants.

Présenté en première mondiale, MOMENTUM du canadien Stephen Campanelli est un thriller captivant campé dans les décors magnifiques du continent africain;

Avec WILD CITY (première canadienne), Ringo Lam (FULL CONTACT) fait son retour derrière la caméra après plus d’une décennie et confirme son titre de maître du cinéma d’action;

Un maniaque de voitures prend part à une course illégale à travers la Norvège dans BORNING de Hallvard Braein, film de poursuite tourné dans les règles de l’art;

Lee Jeong-jae (THE THIEVES), Shin Ha-kyun (THIRST) et la vedette de la K-Pop BoA sont les vedettes de la comédie d’arts martiaux BIG MATCH (première canadienne) de Choi Ho;

Les amateurs de Bollywood se réjouiront de retrouver leur agent secret favori dans de nouvelles aventures avec SINGHAM RETURNS de Rohit Shetty;

Avec THE GOLDEN CANE WARRIOR (première canadienne), le réalisateur Ifa Isfansyah confirme la place de l’Indonésie dans le cinéma d’arts martiaux.

En outre, le suspense politique ASSASSINATION de Choi Dong-hoon sera présenté pour la première fois en-dehors de la Corée du Sud lors de la soirée de clôture de Fantasia

 

 et , le documentaire à l’honneur au Festival Fantasia!
La section Documentaires de la marge est de retour pour sa 9e édition. Comme toujours, les sujets des films retenus s’avèrent riches et insolites, allant de l’éventuelle venue des extraterrestres sur Terre au plus grand film amateur de tous les temps.

Récipiendaire d’une mention spéciale au dernier festival de Sundance, (T)ERROR (première québécoise) de Lyric R. Cabral et David Felix Sutcliffe suit en temps réel la dernière mission d’un agent double du FBI qui tente de mettre sous arrêt un individu soupçonné d’être un terroriste;

L’irrésistible formation british est de retour dans MONTY PYTHON : THE MEANING OF LIVE (première québécoise) de Roger Graef, une incursion derrière la scène lors de la dernière tournée des «Beatles de la comédie»;

Dans REMAKE, REMIX, RIP-OFF : ABOUT COPY CULTURE & TURKISH POP CINEMA (première nord-américaine), Cem Kaya revient sur le courant cinématographique des copies de films hollywoodiens produites en Turquie;

La légende vivante du rock Jon Miki Thor sera l’hôte de la première québécoise de I AM THOR de Ryan Wise, le survol acclamé de sa carrière endiablée;

Avec THE VISIT (première québécoise), le Danois Michael Madsen (INTO ETERNITY) renouvelle le documentaire de science-fiction en invitant des scientifiques et des militaires à simuler devant la caméra l’arrivée d’un visiteur interstellaire;

Applaudi à Hot Docs, RAIDERS! THE STORY OF THE GREATEST FAN FILM EVER MADE (première québécoise) de Jeremy Coon et Tim Skousen suit le tournage étiré sur plusieurs années du remake plan par plan de RAIDERS OF THE LOST ARK produit par des amateurs aussi enthousiastes que persévérants.

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