Skip to main content

La disparition des lucioles : Karelle Tremblay récompensée à Festival de Tokyo

Publié le 3 novembre, 2018
Publié le 3 novembre, 2018

Karelle Tremblay reçoit le prix Tokyo Gemstone Award au 31e Tokyo International Film Festival

Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One, Seville International et l’ACPAV annoncent que Karelle Tremblay a remporté le prix Tokyo Gemstone Award au 31e Tokyo International Film Festival, où La disparition des lucioles a été présenté à guichets fermés le 28 octobre dernier.

Ce prix est décerné aux jeunes acteurs et actrices dont le talent mérite une reconnaissance internationale. Les lauréats sont choisis parmi tous les jeunes acteurs et actrices des films présentés durant le festival. Karelle Tremblay était présente à la cérémonie de remise de prix à Tokyo.

Réalisé par Sébastien Pilote, produit par Bernadette Payeur et Marc Daigle et représenté à l’international par Seville International, le film a été vendu en Chine sous la bannière Shanghai Jushi Films et continue sa tournée des festivals à travers le monde.

La disparition des lucioles a été présenté au TIFF dans la section Contemporary World Cinema, où il a remporté le prix du meilleur long-métrage canadien. Il a fait l’ouverture du Festival de cinéma de la ville de Québec, en plus d’avoir été très bien reçu à Karlovy Vary, l’un des plus vieux festivals au monde, classé par la FIAPF parmi les festivals importants du circuit international, et a été présenté au Haïfa Film Festival en Israël, ainsi qu’au Chicago Film Festival. Il sera présenté au Denver Film Festival les 3 et 4 novembre.

 

À propos du réalisateur 

Réalisateur originaire du Saguenay, Sébastien Pilote est influencé par la réalité de sa région qui se reflète dans tous ses films. En 2010, il réalise son premier long-métrage Le vendeur, qui est sélectionné en compétition au festival de SUNDANCE. Le film est récompensé dans plusieurs festivals et connait un bon succès en salle au Québec. Récipiendaire du prix de la FIPRESCI (Turin, Mannheim et San Francisco), Le vendeur se voit décerner au Québec le prix Gilles-Carle (meilleur premier film) et le prix Luc-Perrault du meilleur film de l’année, remis par l’Association québécoise des critiques de cinéma. Son deuxième long-métrage, Le démantèlement, est sélectionné à La Semaine de la Critique à Cannes où il remporte le prix SACD pour le meilleur scénario. Le film reçoit à Paris le prix du meilleur film aux Trophées francophones du cinéma en 2014. La même année, la Fédération internationale de la presse cinématographique (la FIPRESCI) lui remet son prix au festival de Turin.

Synopsis

C’est bientôt l’été et la fin des classes dans une ancienne ville industrielle au bord d’une baie. Léo, une jeune fille insatisfaite, rencontre Steve, un homme plus âgé, guitariste reclus et sans ambition. Léo vit avec sa mère et son beau-père, Paul, un animateur de radio populiste qui a poussé à l’exil dans le Nord l’homme qu’elle admire, Sylvain, le père dont elle s’ennuie, et ancien chef syndical déchu. Étrangère dans son propre monde, frustrée et en colère, c’est dans sa relation équivoque avec Steve, au rythme des leçons de guitare et de son nouveau boulot d’été, qu’elle pourra trouver une sorte de réconfort et amorcer sa fuite.

Distribué par Les Films Séville, une filiale d’eOne, produit par l’ACPAV et représenté à l’international par Seville International, La disparition des lucioles est encore à l’affiche.

***

Partager cet article