Le Festival international du film francophone de Namur au Centre Phi

Le Festival international du film francophone de Namur au Centre Phi

Du 6 au 8 juin, Phi présente FIFF Namur, les coups de cœur du Festival international du film francophone de Namur à Montréal.

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Chef de file mondial parmi les festivals de films francophones, le FIFF Namur saluera au Centre Phi le talent extraordinaire des cinéastes et partagera au public montréalais quelques-uns de leurs chefs-d’œuvre.

Du 6 au 8 juin, cet événement hommage au cinéma francophone mettra à l’honneur les films marquants de la 32e édition du FIFF. Un rendez-vous incontournable qui mise sur le pluralisme et la richesse exceptionnelle des courts et longs métrages francophones

6 juin, 19h30

Soirée de courts métrages belges
Une sélection exclusive de courts métrages belges choisie par Mylène Mackay, Catherine de Léan, Émile Schneider et Pierre-Luc Lafontaine. 

Au programme de la soirée: Kapitalistis de Pablo Munoz Gomez (Prix du public FIFF 2017), Avec Thelma, d’Ann Sirot et Raphaël Balboni (Magritte du meilleur court fiction 2017), L’ours noir de Xavier Seron et Meryl Fortunat Rossi (Magritte du meilleur court fiction 2016), Les petites mains de Rémi Allier, Angelika de Léopold Legrand (Prix du meilleur court de la Compétition nationale FIFF 2016) et Au château des alouettes de Lucien Gabriel.

Nicole Gillet, déléguée générale du FIFF Namur, et Emanuelle Beaugrand Champagne, consultante en scénarisation, seront présentes pour introduire les films.

7 juin, 19h30

Wallay 

Ady est un adolescent indocile. Très indocile. À bout de ressources, son père décide de l’envoyer au Burkina Faso, chez son oncle chargé de le ramener dans le droit chemin. Entre modernité et tradition, cette comédie dramatique évoque ces expériences et rencontres impromptues qui façonnent notre trame identitaire. Signé par le réalisateur Berni Goldblat et mettant en vedette le jeune acteur franco-malien Makan Nathan Diarra, Wallay oscille entre l’invitation au voyage et la fable morale teintée de tendresse.

8 juin, 19h30

Carré 35
Dans une investigation documentaire poignante de vérité, le réalisateur Éric Caravaca conjugue l’histoire de sa famille au passé recomposé. En marge de sa quête menée entre la France et le Maghreb, il découvre le Carré 35, où est enterrée Christine, sa sœur aînée morte à l’âge de trois ans. Une sœur dont la famille n’a gardé aucune photographie. Une sœur ensevelie deux fois, d’abord sous la terre, puis dans l’inconscient familial. Un portrait à la fois intime et pudique, sans jugement ni amertume, qui libère un vécu renié, mais fondateur.

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