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Téléfilm Canada – Étude sur la Consommation de films au Canada – Exploration de la santé du long métrage au pays

Publié le 9 février, 2024
Publié le 9 février, 2024

Étude sur la Consommation de films au Canada – Exploration de la santé du long métrage au pays 

Téléfilm Canada a commandé à ERm Research une étude nationale pour explorer l’état actuel de la consommation de longs métrages et segmenter les consommateurs de films en groupes distincts afin de mieux cerner les opportunités d’engagement des auditoires.

Dans l’étude intitulée Consommation de films au Canada – Exploration de la santé du long métrage au pays, ERm Research offre un portrait des habitudes générales de consommation, des sources médiatiques utilisées par les auditoires, de leur processus de prise de décision, de leurs préférences en matière de genre, des obstacles qui les empêchent de regarder plus de films, de leurs habitudes de fréquentation des salles de cinéma ainsi que de leurs perceptions du contenu canadien.

L’étude a été menée du 17 septembre au 2 octobre 2023 auprès de 2 200 consommateurs de longs métrages au Canada.

Principaux points à retenir : 

  • Un pourcentage élevé de 95 % de Canadiens de 18 ans et plus ont regardé un ou plusieurs longs métrages au cours de la dernière année, et près des trois quarts d’entre eux ont vu un film en salle.
  • Les fervents adeptes du cinéma en salle sont aussi ceux qui regardent le plus de films à domicile, mais les adeptes modérés et les non-adeptes du cinéma en salle regardent aussi beaucoup de films à domicile.
  • Pour beaucoup, l’expérience partagée en salle favorise un sentiment de connexion et d’excitation quit améliore la façon dont ils s’engagent dans un film. Cela est particulièrement vrai chez les amateurs de films d’action, de science-fiction et d’horreur.
  • Le cinéma en salle est une affaire sociale, 46 % des spectateurs allant habituellement au cinéma en groupes de trois personnes ou plus.
  • Les influenceurs ont plus de poids auprès des jeunes spectateurs.
  • Les spectateurs canadiens-français sont plus enclins à voir des films canadiens en salle et ont généralement une meilleure opinion des films canadiens.
  • Les non-adeptes du cinéma en salle aiment les films moins spectaculaires et sont plus susceptibles de regarder des films diffusés à la télévision.
  • Les services payants de diffusion continue en ligne représentent 54 % de la consommation totale de longs métrages. Environ neuf consommateurs de films sur dix utilisent au moins un service de diffusion continue en ligne, la plupart en utilisant plusieurs.

L’étude complète est disponible ici.

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