TENIR SALON – Sophie Fouron à la rencontre des communautés culturelles sur TV5
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Catégorie(s) : Actualités — documentaire — Série télévisée — Télévision
TENIR SALON, à la rencontre des communautés culturelles, une coupe de cheveux à la fois!
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TV5 propose cet automne un rendez-vous avec la diversité des cultures qui vitalisent Montréal. La chaîne diffusera Tenir salon les mardis 21 h 30 dès le 10 novembre 2020. Dans cette série documentaire signée Attraction images, Sophie Fouron ( Ports d’attache, Chacun son île) part à la rencontre des différentes communautés culturelles de la métropole du Québec en s’immisçant dans les salons de coiffure situés en plein cœur de celles-ci. Réalisés par Maude-Éthier Boutet, les six épisodes de la série seront disponibles en ligne dès le 10 novembre.
Chaque épisode amène l’animatrice à tenir salon dans un nouvel établissement, où elle fait la connaissance d’un coiffeur, d’une coiffeuse ou d’un barbier et de sa clientèle. Aucun sujet n’est tabou ; l’importance de l’amitié, des traditions et des liens familiaux; les petits et grands deuils qui viennent avec l’âge ; les conflits générationnels ; les relations hommes-femmes. Les coiffeurs prennent le temps de construire et de développer une relation avec leurs clients. Ils apprennent à connaître tout le monde et sont au courant de toutes les histoires. Entre tranches de vie, récits d’immigration et confidences, ils partagent larmes, rires et sourires. Sur la chaise du coiffeur, sous la lame ou sous le séchoir, Sophie Fouron fait la rencontre des gens les plus fascinants des communautés
« J’ai eu l’idée de cette série pendant un tournage de Ports d’attache à Glasgow. Je me faisais coiffer par un sénégalais dans un salon de la ville. Il m’a raconté sa vie, mais aussi les réalités du quartier. La cliente à gauche s’est jointe à la conversation et m’a brossé un portrait lucide de sa ville, en plus de mentionner qu’elle se faisait coiffer pour un premier rendez-vous. Ce genre de situation, je l’ai vécu à plusieurs reprises dans de multiples salons de coiffure à travers le monde », explique Sophie Fouron.
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