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SYNTHÈSE – Repensez la conception de niveaux (level design) de jeux vidéo

ARTICLE – Repensez la conception de niveaux (level design) de jeux vidéo

SYNTHÈSE : Pôle image agit sur les enjeux de main-d’œuvre au Québec en effets visuels, jeux vidéo, expérience numérique et 2D-3D.

Créer des niveaux de jeux vidéo, c’est un art. Un équilibre subtil entre créativité et logique, où chacun des éléments doit parfaitement trouver sa place dans l’expérience globale du joueur.

Pour Bruno Bouchard, professeur-chercheur à l’UQAC, cette approche ressemble à la conception d’un système bien huilé, où chaque pièce contribue au bon fonctionnement de l’ensemble.

Avec un cursus universitaire impressionnant – un baccalauréat en informatique, une maîtrise en génie logiciel, ainsi qu’un doctorat et un post-doctorat en intelligence artificielle – il apporte un regard singulier et rigoureux au level design. Une approche façonnée par sa passion pour le jeu vidéo, qu’il cultive depuis son enfance. Selon lui, l’approche systémique est essentielle dans la création de niveaux de jeux.

« Il existe différentes visions et approches dans le domaine, dit-il. Personnellement, c’est l’approche systémique que je préconise. Ce que ça veut dire, en fait, c’est qu’on imagine et conçoit le jeu comme s’il s’agissait d’un système. »

Un système, c’est un ensemble d’éléments interconnectés qui, ensemble, produisent un effet global. Une machine, par exemple, se compose de courroies, de câbles, de rouages… Chacun de ces éléments a son rôle à jouer, et c’est leur interaction qui permet à la machine d’accomplir sa fonction.

« C’est la même chose pour un jeu, poursuit-il. Tous les aspects du level design doivent être incorporés et fonctionner ensemble pour produire une partie de plaisir au joueur. Pour ça, il faut développer une sorte d’œil d’ingénieur : on analyse le système de jeu et on ajoute ou on retire des pièces en conséquence. »

Par conséquent, loin d’être un simple assemblage d’éléments indépendants, un bon level design repose sur une synergie où chaque détail compte. Comprendre cette dynamique, c’est se donner les moyens de créer des expériences de jeu plus fluides, cohérentes et engageantes.

Un article en collaboration avec Le Lien Multimédia, rédigé par Félix Poncelet-Marsan, journaliste.Pour en savoir plus sur les différentes facettes du level design, c’est par ici !

Devenir Lead Level Designer, ça vous intéresse ?

Notre équipe a eu la chance de s’entretenir avec Calixta Girard, lead level designer chez Gameloft Montréal ! Nous lui avons posé quelques questions sur son parcours inspirant :

Q : Comment décrirais-tu une journée typique en tant que Lead Level Designer ?

« Une partie de ma journée est consacrée à réfléchir avec le directeur créatif et mon équipe aux nouveaux contenus à ajouter au jeu, qu’il s’agisse de nouvelles quêtes mettant en scène nos personnages ou de nouveaux royaumes Disney à explorer. L’autre partie de ma journée est dédiée aux tests du contenu conçu par les level designers. J’évalue leur travail, leur donne de la rétroaction et les accompagne pour donner vie à leurs idées. Je prends également le temps d’échanger avec mon équipe afin de connaître leur état d’esprit, d’identifier d’éventuelles difficultés et, si besoin, de les aider à les surmonter. »

Calixta Girard, Lead Level Designer chez Gameloft Montréal

Envie de connaître la suite du parcours de Calixta Girard ? C’est par ici !

SYNTHÈSE – Pôle Image Québec

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Xn Québec – Invitation : L’audiovisuel réinventé par l’IA générative

Xn Québec – Invitation : L’audiovisuel réinventé par l’IA générative le 19 février à la SAT 

 

Organisé par Xn Québec et l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision et présenté par la Caisse de la culture Desjardins, cet événement rassemble des expert.e.s et des penseur.euse.s du milieu de la création audiovisuelle pour explorer ces transformations majeures.

Au programme : études de cas inspirantes, discussions éclairantes et analyses des meilleures pratiques dans cet écosystème en mutation.

La conférence sera suivie du 5 à SAT sur l’innovation ouverte dès 17 h. Profitez de ce rendez-vous de réseautage pour poursuivre les discussions et ouvrir les collaborations !

 

Le 19 février 2025 -Noter dans l’agenda

Heure : 15h – 17h
Lieu SAT
1201 Boul. Saint-Laurent
Montréal, QC
H2X 2S6

EN SAVOIR PLUS

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Quatre présentations d’experts sur l’utilisation de l’intelligence artificielle dans la production audiovisuelle

Phish Live at Sphere

Jean-François Larouche, Moment Factory
Explorez les possibilités infinies de l’intelligence artificielle générative pour repousser les limites de la créativité et concevoir des expériences qui renforcent les connexions humaines dans le monde réel.

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V F C

Charles Stéphane Roy, Scintilla
Découvrez une expérience adaptative et augmentée de cinéma d’horreur reposant sur un système propriétaire de génération et diffusion audio par biofeedback.

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Intégration éthique des arts traditionnels et de l’IA générative avec Voïvod

Luc Leclerc, Above the Void
Découvrez le processus créatif derrière la réalisation des vidéos utilisées lors des concerts de Voivod.

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Quand l’IA dépasse son rôle d’outil : vers une collaboration créative

Frédéric Vicaire, art!equin
Découvrez un processus de création intégrant un modèle IA qui sait reconnaître et interpréter des émotions.

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Suivi d’un panel de discussion sur les opportunités et enjeux liés à l’emploi de l’IA dans la production médiatique

Chloé Sondervorst

Journaliste et réalisatrice, Radio-Canada
Passionnée par la culture numérique et son impact sur la société, elle signe une série originale sur TikTok consacrée aux applications d’intelligence artificielle dans le sillage de ChatGPT.

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Sandra Rodriguez

Créatrice et productrice
Sociologue des nouveaux médias, elle a scénarisé et réalisé des longs métrages documentaires, des webdocumentaires et des expériences de RV, de RE et d’IA ayant récolté de nombreux prix.

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Harold Dumur

Fondateur et PDG, OVA
Diplômé d’un baccalauréat en génie industriel de l’Université Laval en 2011, il a fondé la société OVA, créatrice de StellarX, une plateforme de création de contenu 3D pour les non-programmeurs assistée par l’intelligence artificielle.

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La conférence sera animée par:

Sarah Mackenzie

Directrice, MUTEK FORUM
Sarah Mackenzie est une stratège culturelle, réalisatrice de documentaires et commissaire en arts médiatiques basée à Montréal, travaillant à l’intersection de l’art, de la technologie et de la société.

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ACHETEZ VOTRE BILLET

 

 

 

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Valérie Creighton, Présidente et DG du FMC met l’accent sur l’importance de l’industrie audiovisuelle au Canada

L’industrie audiovisuelle canadienne est un puissant moteur économique.

« Si les productions étrangères sont importantes, nos propres histoires sont essentielles à notre avenir économique », écrit l’auteure.

  • dans Le Devoir dans la section Libre opinion

 

Tournage de l’adaptation anglophone de la série Plan B. en couverture de l’article dans Le Devoir

 

Avez-vous regardé quelque chose de bon dernièrement ? Quand les gens discutent de films ou de séries, la conversation tourne souvent autour des vedettes, de la nouvelle série à dévorer ou du box-office.

Pour ma part, c’est le cœur battant de nos histoires qui me parle. Des histoires qui capturent l’essence de ce que nous sommes – nos triomphes, nos épreuves, notre identité complexe. Elles nous permettent de nous comprendre et de tisser des liens avec le monde.

L’industrie audiovisuelle canadienne est un puissant moteur économique.

Ça risque de vous surprendre, mais la contribution directe du secteur audiovisuel canadien à l’économie équivaut à celle de l’aérospatiale et surpasse celles des pêcheries et de l’automobile.

En 2023-2024, la production cinématographique et télévisuelle a ajouté plus de 11 milliards au PIB, généré 5,6 milliards d’investissements étrangers en ventes et en coproduction, et soutenu plus de 179 000 emplois – 271 000 en incluant toute la chaîne de valeur, comme les diffuseurs et les cinémas. Il y a de quoi être fier.

Derrière ces chiffres, il y a de vrais gens, de vraies communautés. De Victoria à St. John’s, en passant par Iqaluit, d’innombrables PME dépendent de cette industrie : hôtels, restaurants, entreprises de location, de transport, etc.

Fort ralentissement

Ces données proviennent de l’Association canadienne des producteurs médiatiques (CMPA), qui compile les statistiques annuelles de l’industrie audiovisuelle. Elles sont impressionnantes, mais il y a un bémol. Comparativement aux années précédentes, la production d’ici connaît un fort ralentissement. En un an, la valeur des activités de production est passée de 11,8 à 9,6 milliards, en chute de 19 %. Les investissements étrangers sont, eux, en recul de 24 %.

Que s’est-il passé ? Pendant que notre industrie se remettait de la COVID-19, l’économie a subi une dégelée, et deux grèves à lourds impacts ont été déclenchées à Hollywood.

Si la tendance se maintient, on peut s’attendre à moins de projets de nos créateurs, moins d’investissements étrangers et plusieurs occasions manquées. Partout au pays, l’économie en souffrira. Les enjeux sont de taille.

Changements majeurs

L’année s’annonce critique. Des changements majeurs pointent à l’horizon. En 2025, à la suite de la mise en œuvre de nouvelles règles par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), les plateformes de diffusion en continu commenceront à contribuer aux fonds canadiens. Parallèlement, le CRTC développe un cadre réglementaire incluant la redéfinition du contenu canadien. Patrimoine canadien travaille avec le Fonds des médias du Canada, Téléfilm Canada, l’Office national du film et le Bureau de l’écran autochtone pour moderniser les façons d’investir dans le contenu d’ici, sur tous les écrans.

C’est une occasion rare, mais il faut bien faire les choses. Les anciennes façons de faire ne suffiront plus dans un paysage dominé par les plateformes internationales, de rapides avancées technologiques et le réajustement constant des marchés.

Une approche audacieuse est de mise : une stratégie centrée sur le Canada, qui mise sur nos créateurs, entreprises, propriétés intellectuelles et innovations, tout en continuant d’attirer les investissements étrangers.

Le Canada est un lieu de prédilection pour les grosses productions internationales, qui s’installent ici pour nos décors à couper le souffle, nos équipes qualifiées et nos coûts compétitifs. C’est bon pour l’emploi et l’économie locale.

Si les productions étrangères sont importantes, nos propres histoires sont essentielles à notre avenir économique. Pour preuve : avec une contribution de 1,77 milliard au PIB du Québec⁠1 et des succès comme le Bye bye, Nos belles-sœurs, En direct de l’univers, 1995, Indéfendable et Le bonheur, l’industrie audiovisuelle québécoise démontre qu’il est payant d’investir dans notre secteur.

Les bonnes histoires ne tombent pas du ciel. Elles demandent de l’argent, du développement, du temps et de l’espace. Nous avons constaté l’impact d’un investissement public significatif au Québec, au Royaume-Uni, en Australie et dans les pays nordiques.

Notre voisin du Sud est le plus important producteur de divertissement au monde. Face à lui, il est essentiel d’investir publiquement pour aider nos créateurs à développer, produire et mettre en marché les meilleures productions d’ici.

Idéalement, notre nouveau cadre réglementaire reflétera notre industrie, récompensera l’innovation, stimulera l’investissement et veillera à ce que le talent et les histoires soient au premier plan – un exercice d’équilibre entre économie et culture.

Le statu quo ne suffit plus. Nous devons travailler ensemble pour tirer parti des investissements antérieurs et assurer la croissance pour la prochaine génération. Investir dans le cinéma, la télévision et les médias numériques d’ici, c’est célébrer notre culture et assurer notre avenir économique. Nos histoires, nos créateurs, nos entreprises et nos publics le méritent.

1. Profil de l’industrie audiovisuelle du Québec, édition 2024, Observatoire de la culture et des communications du Québec

 

dans Le Devoir le 22 janvier 2025 dans la section Libre opinion

 

 

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Le 6 février 2025, SYNTHÈSE vous invite à la première de sa série Regards croisés, Expériences partagées

SYNTHÈSE – Pôle Image Québec lance Regards croisés, expériences partagées, une série inédite de rencontres en présentiel, conçue pour mettre en lumière les récits inspirants des artistes et artisans en création numérique. 

Une occasion de plonger dans l’univers des jeux vidéo, des effets visuels, de l’animation et des expériences numériques grâce à ces conversations enrichissantes.

Une invitation à l’inspiration et au partage 

Ces rencontres exclusives offrent l’opportunité de découvrir des démarches techniques et artistiques novatrices tout en explorant les pratiques uniques d’artistes en création numérique.

Destinée aux professionnel·les, étudiant·es et enseignant·es en création numérique, cette série vise à tisser des ponts entre des disciplines et points de vue variés tout en favorisant des échanges autour de passions communes.

 

 

Première édition : plongez dans l’univers du stop motion et des effets visuels

Sur le thème de la collaboration entre l’animation en volume (stop motion) et les effets visuels, cette première rencontre aura lieu :

Quand : Le 6 février 2025, à 17h30
Où : Auditorium de l’École NAD-UQAC (6e étage)

Pour cette première conversation, SYNTHÈSE a le plaisir d’inviter Martin Lipmann, Sylvie Trouvé et Dale Hayward afin de discuter de la collaboration entre l’animation en volume (stop motion) et les effets visuels.

 

 

La rencontre portera sur la fabrication de personnages et d’éléments d’animation en volume et des effets visuels tels que l’eau, le feu et les explosions, réalisés dans le cadre de films, courts métrages et publicité d’animation.

Attendez-vous à des anecdotes de coulisse, des échanges sur les défis de production, des approches techniques /artistiques et des regards singuliers sur l’envers du décor.

La conversation sera suivie d’un cocktail de réseautage à 19h00 en collaboration avec le bar le Clébard.

QUAND : 6 février 2025, de 17h30 à 19h00

: L’auditorium de l’École NAD-UQAC

POUR QUI : Professionnel·les, enseigant·es et étudiant·es en création numérique

TARIF : 0$ – Inscription obligatoire

Accès gratuit – Réservation obligatoire

 

Réservez votre place

Les places étant limitées, réservez dès maintenant pour garantir votre participation !

Un rendez-vous pour la communauté de la création numérique

«  Notre série « Regards croisés, expériences partagées » offre un moment d’échanges entre artistes en création numérique, favorisant l’inspiration et le partage de connaissances au sein de la communauté professionnelle et académique. Ces rencontres contribuent au développement d’une expertise de pointe et au rayonnement de la créativité québécoise ».

– Elise Voyer, chargée de projets senior, SYNTHÈSE

 

 

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Article publié le 20 décembre 2024 et modifié le 15 janvier 2025

Normand Roger et Eunice Macaulay, légendes de l’animation à l’ONF, reçoivent le prix Winsor-McCay d’ASIFA-Hollywood

Normand Roger et Eunice Macaulay, légendes de l’animation à l’ONF, reçoivent le prix Winsor-McCay d’ASIFA-Hollywood couronnant une carrière exceptionnelle  

 

ASIFA-Hollywood décerne son prix Winsor-McCay à deux personnalités légendaires de l’animation à l’Office national du film du Canada, le compositeur et concepteur du son Normand Roger et l’animatrice et productrice Eunice Macaulay. Cette récompense attribuée en reconnaissance de réalisations sans précédent et d’une contribution remarquable à l’art de l’animation leur sera offerte à l’occasion de la 52e cérémonie annuelle de remise des prix Annie, le samedi 8 février 2025.

L’International Animated Film Society (ASIFA-Hollywood) est un organisme californien sans but lucratif fondé il y a plus de 35 ans en vue de promouvoir et d’encourager l’art de l’animation.

 

Le lauréat et la lauréate du prix Winsor-McCay

Normand Roger

Originaire de Montréal, Normand Roger signe sa première musique de film en 1971 en tant que pigiste pour l’Office national du film du Canada. Bien qu’il ait travaillé principalement dans le domaine du cinéma d’animation, pour lequel il a créé plus de 200 trames sonores au cours des 53 dernières années, il a aussi composé des musiques pour des documentaires, des longs métrages, des téléfilms, des séries pour enfants, des publicités, des installations multimédia et des réalités virtuelles, en plus d’avoir réalisé plusieurs thèmes pour la télévision au Canada et aux États-Unis. De grands animateurs et animatrices du Canada et de l’ONF ont fait appel à ses talents musicaux : Claude Cloutier, Paul Driessen, Eugene Fedorenko, Munro Ferguson, Chris Hinton, Co Hoedeman, René Jodoin, Caroline Leaf, Michèle Lemieux, Ishu Patel, Janet Perlman, Regina Pessoa, Bretislav Pojar, Gayle Thomas et Theodore Ushev, pour n’en citer que quelques-uns. Les films auxquels il a collaboré ont remporté plusieurs centaines de prix, y compris 13 nominations aux Oscars, dont 6 prestigieuses statuettes. Normand Roger est le conjoint de l’ancienne productrice en animation de l’ONF Marcy Page, laquelle s’est vu décerner le prix Winsor-McCay l’an dernier.

Eunice Macaulay (1923-2013 ; hommage posthume)

Née en Angleterre, Eunice Macaulay entre à l’Office national du film du Canada en 1973. Véritable femme-orchestre, elle y restera 17 ans et y occupera presque tous les postes du service de l’animation : superviseure des encrages, de la peinture et du rendu, conceptrice de couleurs, maquettiste, artiste de décors, scénariste, animatrice, productrice et réalisatrice. Son parcours à l’ONF est jalonné d’événements marquants : elle coécrit et coréalise avec John Weldon le court métrage Livraison spéciale (1978), primé aux Oscars ; elle coécrit le court métrage d’Ishu Patel Paradis (1984), réalisé pour l’ONF et nommé aux Oscars ; puis elle obtient de nouveau une nomination aux Oscars à titre de productrice pour le court métrage d’animation Georges et Rosemarie (1987), d’Alison Snowden et David Fine. Elle joue également un rôle clé, à titre de productrice de l’ONF, dans la création de la série de courts métrages pour enfants Just for Kids.

 

La rétrospective 2024 du BCTQ par ses co-directrices par intérim, Valérie Daigneault et Chanelle Routhier

La rétrospective 2024 du BCTQ par ses co-directrices par intérim, Valérie Daigneault et Chanelle Routhier

 

Alors que l’année 2024 touche à sa fin, nous souhaitons saluer la résilience exemplaire et la solidarité dont fait preuve l’industrie audiovisuelle du Québec face à des défis sans précédent.

Bien que des gains aient été obtenus en matière de soutien à la production locale et à la compétitivité du Québec à l’international, certains obstacles, notamment pour les secteurs des effets visuels et de l’animation, ont nécessité des efforts concertés pour adapter et redéfinir les stratégies. Ces défis soulignent l’importance d’une approche collaborative pour préserver et renforcer l’excellence de notre industrie tout en améliorant ses impacts sociaux, culturels et économiques.

Dans un contexte mondial en contraction, le BCTQ a multiplié les initiatives pour soutenir et dynamiser le milieu à travers des actions ciblées, des événements marquants et des efforts internationaux significatifs.

L’année a été ponctuée d’événements phares. La Journée de l’industrie audiovisuelle, tenue pour la première fois le 6 février à l’Assemblée nationale du Québec, a permis de renforcer les liens entre les parties prenantes de l’industrie et les décideurs politiques. Cet événement a été une opportunité précieuse pour présenter les besoins pressants de notre écosystème et explorer des approches concrètes pour assurer sa pérennité et son rayonnement.

Le premier Rendez-vous On tourne vert, organisé le 26 mars, a mis en lumière l’importance des pratiques écoresponsables dans l’industrie audiovisuelle. Cette journée, riche en échanges et en apprentissages, a réuni des professionnels engagés pour partager des solutions concrètes et promouvoir des approches durables. Les diffuseurs québécois y ont également officialisé leur soutien au programme On tourne vert en signant une charte écoresponsable, affirmant leur volonté de bâtir une industrie plus durable. On tourne vert continue d’évoluer avec maintenant plus de 150 productions accréditées, l’introduction de la première accréditation mondiale pour les studios d’effets visuels et d’animation, et le renouvellement du Parcours SODEC x On tourne vert, confirmant ainsi la mobilisation de notre écosystème vers une industrie plus verte et durable.

Un autre moment fort a été le Grand chantier de l’audiovisuel 2024, tenu en octobre. Cet événement a offert un espace de dialogue constructif et de réflexion autour de trois axes essentiels : main-d’œuvre et formation, financement et incitatifs fiscaux, ainsi qu’infrastructures et innovation. Cet événement a permis de mettre de l’avant des solutions concrètes et porteuses pour l’avenir de l’industrie.

Du côté du rayonnement international, l’année 2024 fût marquée par trois missions économiques à Los Angeles. La première mission était axée sur l’attraction de séries télévisées. La deuxième, qui s’est tenue en mai, a été réalisée en collaboration avec la Ville de MontréalDéveloppement économique Canada pour les régions du Québec et le Bureau du cinéma et de la télévision de Montréal (BCTM), en présence de la mairesse, Valérie Plante. Enfin, la troisième mission visait à promouvoir le secteur audiovisuel du Québec ainsi que nos talents.

Le BCTQ a également organisé avec succès trois tournées de familiarisation ciblées. Deux étaient dédiées au secteur de la prise de vue en temps réel, tandis que la troisième s’est spécifiquement concentrée sur les effets visuels et l’animation. Celle-ci a été organisée en collaboration avec Investissement Québec et la Délégation générale du Québec à Los Angeles (DGQLA). Elle a eu lieu dans la même semaine que l’initiative CAFÉ VFX lors de HUB Montréal à l’automne, un événement qui a rassemblé des créateurs, des producteurs et de nombreux talents. Cette initiative a permis de mettre en valeur l’expertise reconnue de notre industrie, notamment grâce aux démonstrations de Rodeo FX et Mikros Animation, ainsi qu’à une conférence inspirante animée par Sir William Sargent, président et cofondateur du studio Framestore.

Toutes ces initiatives nous rappellent que l’avenir de l’industrie audiovisuelle du Québec repose sur une collaboration continue entre les parties prenantes de l’ensemble des secteurs, ainsi que sur la capacité à innover et à anticiper les changements. Alors que nous tournons la page sur 2024, il est essentiel de continuer à bâtir un écosystème concerté, dynamique, écoresponsable et inclusif.

Rien de tout cela n’aurait été possible sans votre soutien indéfectible. Nous remercions chaleureusement nos partenaires ambassadeurs, membres et bailleurs de fonds pour leur confiance et leur collaboration, ainsi que tous nos collaborateurs qui, de près ou de loin, ont contribué à façonner notre année 2024. Merci également aux membres de notre Conseil d’administration pour leur vision, leur dynamisme et appui constants. Nous sommes convaincues que, grâce à nos efforts collectifs, l’industrie audiovisuelle du Québec est prête à relever les défis de demain et à saisir les opportunités à venir.

Au nom de toute l’équipe du BCTQ, nous vous transmettons nos meilleurs vœux pour un temps des Fêtes empreint de joie, de paix et d’espoir. Que l’année 2025 soit pour vous et votre entreprise une année remplie de créativité et de réalisations à la hauteur de vos ambitions.

Avec toute notre gratitude,

Valérie Daigneault
Co-directrice par intérim du BCTQ et Directrice du secrétariat de la Grappe de l’audiovisuel

Chanelle Routhier
Co-directrice par intérim du BCTQ et Commissaire nationale, Film et Télévision, pour la province de Québec

 

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Wapikoni : Des changements au sein du conseil d’administration et 20e anniversaire !

Wapikoni est heureux d’annoncer des changements au sein de son conseil d’administration 

Nous saluons chaleureusement la nomination de Catherine Boivin en tant que nouvelle présidente. Melissa Mollen-Dupuis, qui a exercé ce rôle avec dynamisme et dévouement pendant 10 ans, continuera son implication à titre d’administratrice. Nous tenons à lui exprimer notre profonde gratitude pour son engagement inestimable au fil des années et pour avoir contribué à façonner et à faire rayonner notre mission.

Catherine Boivin, nouvelle présidente du conseil d’administration du Wapikoni.

Patricia Auclair, qui a rejoint le conseil d’administration en 2019, quitte son poste de secrétaire-trésorière et termine son mandat d’administratrice. Nous la remercions sincèrement pour son travail dévoué, qui a grandement enrichi le Wapikoni au cours des 5 dernières années. Émilie Ruffin, jusqu’ici administratrice, a été nommée secrétaire-trésorière.

Nous avons également le privilège d’accueillir Emilio Wawatie en tant que nouvel administrateur au siège dédié à la jeunesse. Emilio est un Anishnabe, membre du collectif du Wapikoni depuis de nombreuses années. Diplômé en musique et en études des Premières Nations de l’Université Concordia, il est musicien, cinéaste, chercheur et éducateur. Depuis 2023, il collabore avec Minwashin, où il se consacre à la recherche musicale Anishnabe.

Emilio Wawatie, administrateur au siège dédié à la jeunesse.

« Je suis très fier d’avoir été choisi comme nouveau membre du conseil d’administration du Wapikon. Au cours des 20 dernières années, j’ai occupé progressivement différents rôles au Wapikoni, d’abord comme participant, puis je me suis développé professionnellement pour devenir mentor et éventuellement un collègue du Wapikoni.J’ai fait un grand bout de chemin avec l’organisme, et d’y revenir comme membre du conseil d’administration me permet de faire une boucle complète de l’organisme. Mikwetc! »

– Emilio Wawatie

Ces changements au sein de notre conseil d’administration contribueront à poursuivre notre mission avec vitalité et à enrichir notre gouvernance.

Notre soirée 20e anniversaire approche à grands pas.

Soyez de la fête lors de notre cocktail dînatoire le jeudi 21 novembre 2024, dès 17h, au Marché Bonsecours, Salle de la Commune (350 Rue Saint-Paul E, Montréal, QC H2Y 1H2).

À l’animation Melissa Mollen Dupuis, avec des témoignages et des performances de Samian, Jacques Newashish, Réal Junior Leblanc et plusieurs autres surprises.

POUR VOUS PROCURER DES BILLETS : 

BILLETTERIE

 

 

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La France, pays à l’honneur de la 30e édition du Festival CINEMANIA

CINEMANIA célèbre son 30e anniversaire avec la France à l’honneur !

À l’occasion de sa 30e édition, le Festival CINEMANIA présente, un hommage exceptionnel à la France, berceau du cinéma.

Du 6 au 17 novembre 2024, le public aura l’occasion de découvrir une riche programmation mettant en lumière la diversité et la créativité du cinéma français à travers des projections, conférences et événements exclusifs.

 

Des classiques intemporels du cinéma français au programme

Cette édition proposera un parcours cinématographique unique, allant des classiques intemporels tels que LA REINE MARGOT de Patrice Chéreau aux œuvres contemporaines comme JEANNE DU BARRY de Maïwenn, en passant par des films engagés comme OLYMPE, UNE FEMME DANS LA RÉVOLUTION de Julie Gayet et Mathieu Busson, présenté en présence de Julie Gayet (également co-présidente du Jury Visages de la Francophonie). Le cycle consacré aux Figures Féminines Historiques Emblématiques mettra aussi en lumière LA PRINCESSE DE MONTPENSIER de Bertrand Tavernier, soulignant la puissance des héroïnes de l’histoire française.

 

Lumière sur trois régions 

CINEMANIA mettra également en lumière  les territoires cinématographiques français, avec des régions comme la Région Grand Est et la Nouvelle-Aquitaine, reconnues pour leur soutien exceptionnel à la production de films. 

Le Grand Est sera à l’honneur avec une sélection de films tournés dans cette région riche en patrimoine et en soutien à la création cinématographique. Parmi eux, LES FANTÔMES de Jonathan Millet (projeté en présence du réalisateur), LES TROIS FANTASTIQUES de Michaël Dichter, LEURS ENFANTS APRÈS EUX de Ludovic et Zoran Boukherma (aussi projeté en présence des cinéastes), ainsi que LANGUE ÉTRANGÈRE de Claire Burger. Également tourné dans plusieurs villes du Grand-Est, JOUER AVEC LE FEU de Muriel et Delphine Coulin, un film qui a suscité une grande émotion lors de la dernière édition de la Mostra de Venise (12 minutes d’ovation) et qui a valu à Vincent Lindon le prix de la meilleure interprétation, se joint à cette sélection. Les sœurs Coulin, qui avaient déjà participé à CINEMANIA en 2016 pour leur précédent film VOIR DU PAYS, présenteront en personne les deux séances à Montréal. Enfin, les court-métrage LES BELLES CICATRICES de Raphaël Jouzeau et UN BON GARÇON de Paul Vincent De Lestrade, également soutenus par la Région Grand-Est, seront projetés en présence du réalisateur. 

 

Pour sa part, la Région Nouvelle-Aquitaine et son Agence Livre Cinéma & Audiovisuel (ALCA) bénéficieront à CINEMANIA d’une belle résonance, avec la présentation du film LA PRISONNIÈRE DE BORDEAUX, réalisé par Patricia Mazuy, une œuvre tournée dans les paysages saisissants de cette région et particulièrement dans la ville de Bordeaux. La réalisatrice accompagnera les deux projections de ce film fort attendu, qui met en vedette Isabelle Huppert. De plus, le Festival du Cinéma de Brive, en collaboration avec CINEMANIA, présentera deux moyens métrages exceptionnels : MADAME RODIN OU L’ÂGE MÛR de Lana Cheramy (qui l’accompagnera) et SALUT LES ZINS! de Paul Nouhet. Ces films illustrent la vitalité créative de la région et son soutien constant aux formats émergents, comme les moyens métrages.

Enfin, s’ajoute au programme un “Focus sur le nouveau cinéma corse”, composé de trois films marquants : À SON IMAGE de Thierry de Peretti, LE MOHICAN de Frédéric Farrucci, et LE ROYAUME de Julien Colonna. Présentés dans des festivals internationaux,  Cannes ou la Mostra de Venise, ces œuvres racontent l’histoire de la Corse à travers les mouvements indépendantistes des années 1980 à nos jours. Fresques politiques, sociales et familiales, elles témoignent de l’essor du nouveau cinéma corse. Tournés intégralement en Corse, les trois longs-métrages abordent des questions identitaires fortes. Les réalisateurs Julien Colonna et Frédéric Farrucci, ainsi que l’actrice Clara-Maria Laredo (À SON IMAGE) seront présent·e·s pour accompagner les séances et rencontrer les spectateurs montréalais. Cette programmation est rendue possible par le soutien de la Collectivité de Corse, d’UNIFRANCE et le Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNC). 

Chaque film de cette sélection prestigieuse témoigne du dynamisme de la production cinématographique française, tout en offrant un regard neuf sur son patrimoine, ses paysages et ses récits intemporels.

 

L’Adami à l’écran : un engagement pour les artistes-interprètes

Fondée en 1955, l’Adami est une société centrale dans la défense des droits des artistes-interprètes en France. Pour cette édition de CINEMANIA, l’Adami présentera quatre courts-métrages devant une sélection de longs-métrages, mettant en avant des créations originales et ambitieuses. Parmi les œuvres proposées, JUDITH HÔTEL de Charlotte Le Bon plonge dans l’univers onirique d’un insomniaque, tandis que L’ARCHE DES CANOPÉES de Céline Sallette explore un futur bouleversé par le changement climatique. Les spectateur·trice·s pourront également découvrir POUR LE RÔLE de Pierre Niney, où un casting prend une tournure inattendue, et ZANAAR de Damien Bonnard et Alexis Manenti, qui nous emmène au cœur du mystère d’un volcan endormi. 

Nouveauté : CINEMANIA VR, une plongée dans la réalité virtuelle
À l’occasion de son 30e anniversaire, CINEMANIA innove avec le lancement de CINEMANIA VR, un espace entièrement dédié à l’exploration de la réalité virtuelle. Installé à la Cinémathèque québécoise et en entrée libre, cet espace proposera une expérience immersive exceptionnelle, accessible du 7 au 10 novembre, où le public pourra découvrir cinq œuvres immersives qui repoussent les frontières du cinéma traditionnel.

 

Les œuvres présentées incluent :

  • NOTRE-DAME DE PARIS : VOYAGE DANS LE PASSÉ d’Ubisoft
  • ARCHI VR : LA VILLA SAVOYE de Gordon
  • OTO’S PLANET de Gwenael François
  • MAMIE LOU d’Isabelle Andreani
  • ITO MEIKYŪ de Boris Labbé

En complément de cette sélection, RENCONTRES de Mathieu Pradat sera présenté en première canadienne du 12 au 15 novembre, offrant une prolongation immersive au public.

Ce volet VR s’inscrit dans le cadre de Novembre Numérique et bénéficie du soutien de l’Institut Français, du Consulat Général de France à Québec, du Centre des Monuments Nationaux, de la Région Grand Est, du Film Fund Luxembourg, et de XN Québec. CINEMANIA VR offre ainsi une immersion captivante et novatrice, où technologie et patrimoine se rencontrent pour offrir une expérience sensorielle unique. Cette programmation est une occasion de vivre le cinéma autrement, en explorant des mondes virtuels inédits.

Sensitive Abstraction : une immersion entre arts et mathématiques

Présentée les 13 et 14 novembre dans la Satosphère de la Société des Arts Technologiques (SAT), SENSITIVE ABSTRACTION est une performance artistique innovante née de la collaboration entre l’artiste visuel Yannick Moréteau et la compositrice Flore. Cette œuvre hybride allie art graphique et musique pour explorer la relation complexe et fascinante entre les arts et les mathématiques. À travers une série de tableaux mouvants et synesthésiques, la performance interroge l’influence des concepts mathématiques dans la création artistique, révélant ainsi une poésie visuelle et sonore unique. Soutenue par le Consulat Général de France à Québec et l’Institut Français, cette expérience immersive offre au public un voyage sensoriel inédit, où minimalisme et surréalisme se rencontrent dans un cadre technologique avant-gardiste.

 

Exposition urbaine — Patrimoine en scène : Les Monuments Nationaux dans le cinéma

En partenariat avec le Centre des Monuments Nationaux, l’exposition Patrimoine en scène : Les Monuments Nationaux dans le cinéma s’installe au cœur du Quartier Latin de Montréal pour célébrer les monuments français ayant servi de décors emblématiques au cinéma. Présentée du 6 au 13 novembre sur la rue Emery, en face du Cinéplex Odéon Quartier Latin, cette exposition immersive propose quatorze panneaux photographiques rétro-éclairés, dévoilant des lieux historiques devenus des décors iconiques pour de grandes productions cinématographiques.

Deux écrans de présentation, situés à l’entrée de la rue Emery et devant la Cinémathèque Québécoise, guideront les visiteur·euse·s à travers ce parcours visuel. En complément, une vidéo projection sera projetée sur la façade de la Bibliothèque des Archives Nationales du Québec (BAnQ) du 6 au 17 novembre. L’artiste Théo Le Roux, qui a assuré la direction artistique et conçu l’ensemble des visuels de l’exposition, propose à travers son univers graphique une nouvelle perspective artistique sur ces lieux emblématiques.

Cette exposition invite le public à découvrir le dialogue entre patrimoine architectural et cinéma, où les monuments deviennent des acteurs à part entière du 7e art.

Conférences et événements exclusifs

Le programme sera enrichi par des conférences, notamment sur les enjeux du cinéma francophone et la préservation du patrimoine. Parmi les événements phares, la conférence Les Monuments Nationaux : Coulisses des Tournages, Impact et Opportunités se tiendra le 9 novembre à la Cinémathèque québécoise, à la suite de la projection de JEANNE DU BARRY de Maïwenn. Avec la participation de Marina Santelli, cheffe du département domanial du Centre des Monuments Nationaux, cette conférence explorera l’impact des tournages dans les monuments nationaux et les opportunités qu’ils créent pour la préservation du patrimoine.

Un autre événement clé sera la conférence D’un océan à l’autre : les enjeux de la langue française, entre protection et diversité, le 8 novembre à 16h à la Cinémathèque québécoise, après la première nord-américaine du film SARAH BERNHARDT, LA DIVINE de Guillaume Nicloux. Cette conférence accueillera Paul Rondin, directeur de la Cité Internationale de la Langue Française, Michel Robitaille, président du Conseil d’administration du Centre de la Francophonie des Amériques, et Noémie Dansereau-Lavoie, commissaire de la langue française de la Ville de Montréal. La modération sera assurée par Marie Grégoire, présidente-directrice-générale de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ). Ensemble, ils aborderont les défis liés à la langue française dans le contexte mondial, explorant son rôle en tant que lien culturel entre différentes nations francophones.

 

Délégation France à l’honneur

L’ensemble de la programmation dédiée à la France à l’honneur est soutenue par une délégation de plus de 40 invité·e·s, venu·e·s spécialement pour représenter la richesse et la diversité de la création cinématographique francophone. Parmi ces invité·e·s, on compte des réalisateur·trice·s, acteur·trice·s, producteur·trice·s, expert·e·s et institutionnel·le·s du cinéma, qui viendront présenter leurs œuvres, participer à des discussions et soutenir les échanges autour du cinéma français lors de cette édition exceptionnelle du festival CINEMANIA. Leur présence renforce les liens culturels et artistiques entre la France et la communauté francophone internationale, soulignant ainsi l’engagement de CINEMANIA à promouvoir la diversité du cinéma francophone.

Un festival à ne pas manquer !

CINEMANIA continue d’être un carrefour entre le cinéma français, québécois et francophone, et invite tous les cinéphiles à se joindre à cette célébration du 6 au 17 novembre prochain, qui met en lumière 30 ans de passion cinématographique.

www.festivalcinemania.com 

 

DÉLÉGATION PAYS À L’HONNEUR

UNIFRANCE

  • Jean-Christophe Baubiat – Chargé de territoires
  • Daniela Elstner – Directrice Générale

PÔLE IMAGE MAGELIS

  • David Beauvallet – Directeur Marketing et Communication

CNC

  • Jérémie Kessler – Directeur des affaires européennes et internationales

ALCA

  • Bruno Boutleux – Président de l’ALCA
  • Maguy Cisterne – Secrétaire générale du Festival de Brives
  • Géraldine Arnoux – Directrice de la Communication et des événements

ALCA / DISNOSC

  • Fabrice Otaño – Co-créateur et Producteur pour Disnosc

ALCA / GODO FILMS

  • Christophe Erbes – Co-créateur et Producteur pour Godo Films

ALCA / PUNCHLINE CINEMA

  • Lucas Tothe – Producteur pour Punchline Cinéma

CENTRE DES MONUMENTS NATIONAUX

  • Josy Carrel-Torlet – Directrice du développement économique
  • Marina Santelli – Cheffe de département domanial à la Direction du Développement Économique

MON VOISIN PRODUCTIONS

  • Dominique Besnehard – Président et producteur

CITÉ INTERNATIONALE DE LA LANGUE FRANÇAISE

  • Paul Rondin – Directeur

LA PRAIRIE PRODUCTION

  • Mathieu Pradat – Auteur et Réalisateur
  • Loïc Vigor – Développeur d’application 3D

SENSITIVE ABSTRACTION

  • Flore Morfin – Artiste
  • Yannick Moreteau – Vidéaste

Mother Production

  • Aurélien Larger – Président et producteur

Next Originals

  • Eva Zadeh – Productrice

Tiktak Production

  • Michèle Reich – Productrice

Nerd Entertainment System

  • Ronan Letoqueux – Producteur
  • Maria Taratina – Productrice

Julianne Films

  • Jean-Charles Ostorero – Producteur

UNTERVAL

  • Véronique Radovic – Directrice générale
  • George Catté – Président
  • Elodie Gironde – Chargée de mission France-Canada

Doc & roll films production

  • Thomas Catté – Producteur Associé
  • Laurence Tremblay – Productrice Associée

ADAMI

  • Olivier Sitruk – Producteur
  • Sam Karmann – comédien, réalisateur et membre du Conseil d’administration
  • Elizabeth Le Hot – Directrice générale
  • Anne Bouvier – comédienne, metteuse en scène et présidente du Conseil d’administration

 

 

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Consultations en cours du Groupe de travail sur l’avenir de l’audiovisuel au Québec

Groupe de travail sur l’avenir de l’audiovisuel au Québec poursuit la période de consultations

 Rappelons qu’en réponse aux défis du secteur audiovisuel, le ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe, a annoncé en juin dernier la création d’un Groupe de travail sur l’avenir de l’audiovisuel au Québec.

Le mandat du Groupe de travail consiste à présenter au ministre de la Culture et des Communications des propositions concrètes et un plan d’intervention spécifique afin d’assurer la pérennité, le maintien de la qualité et le rayonnement, au Québec et à l’international, du secteur audiovisuel québécois.

Le Groupe de travail est co-présidé par Monique Simard et Philippe Lamarre et composé de quatre autres membres, dont Sophie Dufort, Jean-Christophe J. Lamontagne, Christine Maestracci et Stéphanie Morissette.

Consultations

Le Groupe de travail invite activement les professionnelles et les professionnels de l’industrie, les membres de regroupements et d’associations ainsi que toute personne désirant s’exprimer et participer aux réflexions en cliquant sur le bouton Contribuez aux travaux.

Le Groupe tiendra également des consultations sur invitation (en présentiel ou en visioconférence).

Dates importantes

  • Période de consultations : mi-novembre à mi-décembre
  • Date limite pour déposer un mémoire : 15 novembre 2024 à 23h59
  • Dépôt du rapport : mai 2025

Contribuez aux travaux

Le Groupe de travail sur l’avenir de l’audiovisuel au Québec souhaite connaître vos idées et pistes de solution concrètes pour assurer l’avenir de l’industrie audiovisuelle québécoise. Les personnes ou organisations qui souhaitent contribuer aux travaux sont invitées à le faire en s’appuyant sur l’un ou plusieurs des objectifs suivants :

  • Stimuler la création et l’émergence des meilleurs talents, idées et histoires ;
  • Soutenir la production de contenus variés de qualité ;
  • Accroître la production de contenu jeunesse ;
  • Favoriser la diffusion et l’exploitation des contenus afin de les rendre accessibles pour tous les publics et écrans ;
  • Améliorer la promotion des contenus à travers toutes les étapes de production et diffusion, tant dans les espaces tant traditionnels que numériques ;
  • Stimuler l’exportation et favoriser le rayonnement des contenus et des talents québécois sur les marchés internationaux.

 

Contexte et mandat : https://gtaaq.com/mandat/

 

Modalités de contribution

Les contributions attendues doivent prendre la forme d’un mémoire écrit répondant au questionnaire que vous pouvez télécharger plus bas. Veillez à faire ressortir clairement vos positions et recommandations en répondant aux questions de votre choix.

  • Longueur du mémoire : Maximum de 15 pages.

  • Les mémoires doivent être acheminés en format PDF à l’adresse suivante : infoaudiovisuel@mcc.gouv.qc.ca.

Date limite

La date limite pour la réception des mémoires est le 15 novembre 2024 à 23h59.

Remarque importante

Veuillez noter qu’en plus d’alimenter les réflexions du groupe de travail, les mémoires reçus seront rendus publics et pourront être publiés à la fin des travaux avec le rapport du Groupe.

Pour télécharger le questionnaire, vous devez remplir les champs ci-dessous. Par conséquent, en téléchargeant le formulaire, vous consentez à ce que vos informations soient collectées, conservées et utilisées conformément à la politique de confidentialité en vigueur, dans le cadre exclusif de cette demande et des travaux du Groupe de travail.

Remplir le formulaire

 

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Québec accorde 42,6 M$ au domaine des arts et de la créativité numérique à l’Îlot Balmoral

Québec accorde 42,6 M$ au domaine des arts et de la créativité numérique à l’Îlot Balmoral

Afin d’accroître la collaboration entre les établissements d’enseignement et les entreprises dans le domaine des arts et de la créativité numérique, la ministre de l’Enseignement supérieur, Mme Pascale Déry, a annoncé ce jeudi 16 mai, l’attribution d’une aide financière de 42,6 millions de dollars à l’Université du Québec (UQSS) pour la location d’espaces et la réalisation de travaux d’aménagement locatif à l’Îlot Balmoral, situé à Montréal.

Cette aide financière permettra de regrouper sous un même toit l’École des arts numériques, de l’animation et du design (NAD) de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), les installations montréalaises de l‘Unité d’enseignement et de recherche (UER) en création et nouveaux médias de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) ainsi qu’un regroupement de cinq cégeps (Collège Bois-de-Boulogne, Collège Dawson, Cégep de Matane, Cégep Limoilou et Cégep du Vieux Montréal) offrant de la formation dans le domaine des arts numériques.

 

Les nouvelles sommes allouées permettront la location de trois étages et demi supplémentaires qui s’ajouteront à ceux déjà occupés par l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) à l’Îlot Balmoral depuis 2019.

Ces nouveaux investissements contribueront par le fait même au développement du projet SYNTHÈSE – Pôle Image Québec, qui a pour objectif d’accroître la synergie des acteurs de ce secteur d’activité et d’augmenter la diplomation, notamment dans des programmes ciblés par l’Opération main-d’œuvre, soit en développement de jeux vidéo, en animation 3D et en design numérique.

Ces espaces permettront aux étudiants, professeurs, chercheurs, créateurs et entreprises de se retrouver pour des activités d’apprentissage, d’expérimentation, de conception, de création et de recherche. Des laboratoires pluridisciplinaires, des salles de cours, des espaces de travail collaboratifs et des studios de recherche et développement seront mis en commun afin d’intensifier le maillage entre la formation de la main-d’œuvre et les besoins des entreprises en arts numériques.

 

Citations :

« Plus de 1 000 étudiants universitaires et collégiaux rassemblés sous un même toit, dans un partenariat étroit avec l’industrie, voilà qui servira à propulser vers de nouveaux sommets la créativité et l’innovation dans le domaine des arts numériques. Il s’agit d’un investissement important qui reflète le rôle crucial joué par ce maillage entre la formation de la main-d’œuvre et les besoins des entreprises, mené en collaboration avec l’Université du Québec et SYNTHÈSE – Pôle Image Québec. C’est un projet emballant qui bénéficiera autant aux étudiants qu’au personnel enseignant, qui pourront mettre en commun leur expertise et leur inventivité. »

Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur

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« Dans les domaines de l’art et de la culture, la synergie est source de création et d’innovation. C’est ce que nous favoriserons à l’Îlot Balmoral, où se retrouveront de nombreux créateurs et chercheurs, en plus des étudiants. Je suis absolument convaincu que ce regroupement de talents sera source de création pour de nombreux projets ambitieux et significatifs pour la culture québécoise. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais

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« La concrétisation de ce projet porté depuis longtemps est une excellente nouvelle pour l’Université du Québec. Ces nouveaux investissements viennent consolider la place déjà importante des établissements de l’UQ dans le domaine des arts et de la créativité numérique. Nous sommes fiers de collaborer avec l’ensemble des acteurs et des partenaires du réseau de l’enseignement supérieur pour faire avancer la formation, la recherche et la création dans le domaine du numérique. »

Alexandre Cloutier, président de l’Université du Québec

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« En souhaitant la bienvenue à l’UQAT à l’Îlot Balmoral, l’UQAC souhaite souligner l’ajout significatif et complémentaire de cette équipe à l’expertise unique développée par ses professeures et professeurs, et est fière de contribuer à consolider la place enviable qu’occupent les universités du réseau de l’Université du Québec en matière d’enseignement et de recherche dans des domaines d’avenir tels que l’animation 3D et le design numérique. »

Ghislain Samson, recteur de l’Université du Québec à Chicoutimi

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« L’annonce d’aujourd’hui représente une nouvelle étape marquante du développement de l’UQAT à Montréal. C’est avec grand plaisir que nous nous joignons à l’Îlot Balmoral pour ce projet rassembleur, aux côtés de précieux collaborateurs tels que l’UQAC et SYNTHÈSE – Pôle Image Québec. Présente sur le territoire montréalais depuis plus de 15 ans déjà, l’UQAT s’est rapidement taillé une place comme chef de file dans le domaine de l’enseignement universitaire en création numérique, en jeux vidéo, en création 3D et en effets visuels. »

Vincent Rousson, recteur de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue

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« Depuis sa création, SYNTHÈSE a développé plusieurs initiatives porteuses qui assurent le maillage entre le milieu de l’enseignement supérieur et les entreprises de la création numérique. La création du pôle physique, avec ses espaces collaboratifs et mutualisés, est un projet d’ancrage qui permettra de renforcer ces actions en faveur du développement des talents, de l’expertise de pointe et de la R&D, de doter le Québec d’une main-d’œuvre qualifiée et de favoriser la réalisation de projets innovants dans ce secteur. »

Brigitte Monneau, directrice générale de SYNTHÈSE – Pôle Image Québec

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« Depuis le début du projet de l’Îlot Balmoral, la SHDM a œuvré pour créer une communauté verticale numérique qui puisse tirer profit de la synergie entre créateurs, chercheurs, étudiants, grand public et gens d’affaires. Aujourd’hui, cette annonce vient parachever cette vision, permettant de créer la première tour entièrement consacrée à la création numérique au Canada. »

Sophie Rousseau-Loiselle, directrice générale de la Société d’habitation et de développement de Montréal 

 

Faits saillants :

  • Le ministère de l’Enseignement supérieur accorde à l’Université du Québec une subvention globale et maximale de 29 960 000 $ sur cinq ans, pour les exercices financiers 2024-2025 à 2028-2029, aux fins de la location des espaces situés au 1501, rue De Bleury, Montréal (Îlot Balmoral).
  • Également, la ministre de l’Enseignement supérieur accorde à l’UQSS une aide financière de 12 671 676 $ afin de réaliser les travaux d’aménagement locatif et d’acquérir des équipements requis pour l’utilisation des espaces locatifs à l’Îlot Balmoral.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Synthèse Pôle image : Pleins feux sur des métiers d’avenir

PLEINS FEUX SUR DES MÉTIERS D’AVENIR À LA CROISÉE DE LA CULTURE ET DE LA CRÉATION NUMÉRIQUE

SYNTHÈSE annonce sa toute première collaboration avec Compétence Culture, dans le cadre de la nouvelle phase de déploiement de la campagne de valorisation des carrières dans le secteur culturel, Culture et moi.

 

Nouveau déploiement de la campagne Culture et moi

Cette campagne est née en novembre 2022 afin de répondre concrètement aux enjeux de main-d’œuvre dans le secteur culturel. Depuis, 15 métiers ont déjà été mis à l’honneur dans des capsules vidéo ouvrant des perspectives d’emploi stimulantes et souvent méconnues. Fort du succès de l’opération, Compétence Culture renouvelle l’expérience, avec la participation financière du gouvernement du Québec, en visant cinq métiers d’avenir qui sont présentés au travers de contenus numériques réalisés par URBANIA.

Le partenariat entre SYNTHÈSE et Compétence Culture vise plus particulièrement deux nouveaux métiers à la croisée de la culture et de la création numérique, soit : superviseur·e de capture de mouvement (mocap) avec David Hurtubise et réalisateur·rice de réalité virtuelle avec Nicolas S. Roy, président et directeur de création exécutif chez DPT. Afin de mettre en valeur ces deux métiers, SYNTHÈSE a participé à la création des capsules vidéo dont l’identification des professionnels ainsi qu’au développement des fiches métiers et du matériel pédagogique.

 

Deux métiers de passion au cœur de l’industrie québécoise

Pour cette deuxième phase qui se déroulera de janvier à mars 2024, SYNTHÈSE et Compétence Culture feront la promotion de ces deux nouveaux métiers sur leur plateformes respectives BOUSSOLE et CULTIVE ainsi qu’à travers une série d’activités promotionnelles conjointes, destinées plus particulièrement aux étudiant·es, jeunes professionnel·les et aux groupes dits de la diversité.

« Avec les changements technologiques actuels et futurs, le secteur de la culture vit, tout comme celui de la création numérique, de profonds bouleversements ayant un impact sur la transformation des métiers existants ou encore sur la création de nouveaux métiers requérant des compétences techniques et artistiques à la fine pointe de l’innovation », mentionne Brigitte Monneau, directrice générale de SYNTHÈSE.

En effet, de nombreux artistes en création numérique travaillent quotidiennement au service de l’industrie culturelle. Une exposition immersive dans un musée, un parcours interactif dans un quartier historique, un numéro de danse en réalité virtuelle, des effets visuels dans un film ou encore une séance de capture de mouvements mettant en scène un artiste du cirque, ne sont que quelques exemples de ce qui existe aujourd’hui comme champ des possibles, lorsque culture et création numérique se rencontrent.

 

 

Mettre en lumière des professions peu connues

« Collaborer avec Compétence Culture est tout à fait naturel car de plus en plus de métiers du secteur de la culture font maintenant appel à des compétences qui sont développées et utilisées en création numérique. À travers cette collaboration, SYNTHÈSE souhaite faire découvrir des métiers peu connus du grand public dans le but d’intéresser et de former une relève qualifiée et répondre ainsi aux besoins du marché du travail », explique Anne Le Bouyonnec, directrice Expertise et métiers et initiatrice des premières démarches de ce partenariat.

Pour visionner les capsules et consulter les fiches métiers de la campagne Culture et moi, rendez-vous sur les sites BOUSSOLE et  CULTIVE. Pour plus d’information, il est possible de lire le communiqué de presse de Compétence Culture, de s’abonner à l’infolettre mensuelle de SYNTHÈSE et de visionner la bande annonce.

Partenaire de la campagne :

À propos de SYNTHÈSE – Pôle Image Québec : Pour agir sur les enjeux d’adéquation formation-emploi dans le secteur des effets visuels et de l’animation, du jeu vidéo, des environnements immersifs, des installations numériques d’envergure et de la réalité virtuelle, le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) a créé SYNTHÈSE – Pôle Image Québec. En plus de fédérer les acteurs du milieu de l’enseignement et les entreprises de la création numérique partout au Québec, SYNTHÈSE vise à optimiser le développement, le placement et la rétention de la main-d’œuvre dans le secteur de la création numérique. www.polesynthese.com

 

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Synthèse présente EXPERTS et vous invite à participer à son nouvel appel à projets !

Partagez votre expertise en création numérique et rejoignez EXPERTS à l’occasion du nouvel appel à projets de Synthèse!

 SYNTHÈSE lance un nouvel appel à projets visant à enrichir sa plateforme d’apprentissage, EXPERTS. 

Cette opportunité est destinée aux professionnel·les et enseignant·es œuvrant dans les secteurs des jeux vidéo, des expériences numériques, des effets visuels et de l’animation.

De niveaux intermédiaire à avancé, une cinquantaine de formations sont présentement disponibles sur la plateforme EXPERTS, englobant une multitude de thèmes dont la gestion, la création 2D-3D, la programmation et le design. À travers cette initiative collaborative, vous aurez l’opportunité de réaliser votre projet de formation en partenariat avec une maison d’enseignement supérieur public du Québec.

La plateforme EXPERTS est accessible gratuitement et réservée exclusivement aux :

Vous désirez vous lancer et partager vos connaissances artistiques, techniques et managériales? Voici les dates à retenir : 

  • Les dépôts de projets sont acceptés à partir du 11 décembre 2023 jusqu’au 4 février 2024 à 23h59.
  • Les décisions seront rendues au plus tard le 23 février 2024.
  • Les projets retenus devront être réalisés et déposés pour diffusion sur la plateforme EXPERTS pour le 17 mai 2024.

Pour télécharger le formulaire de participation et le guide de l’appel à projets, et en savoir plus sur le financement, rendez-vous à cette page.

Si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez pas à nous les adresser à : experts@polesynthese.com

Nous sommes impatients d’échanger avec vous !

Je participe

L’équipe de SYNTHÈSE

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