L’APEM se réjouit qu’il y ait une place pour nos musiques dans le Plan pour la langue française

L’APEM se réjouit qu’il y ait une place pour nos musiques dans le Plan pour la langue française

Ce dimanche, le Groupe d’action pour l’avenir de la langue française (GAALF) présidé par le ministre de la Langue française Jean-François Roberge et constitué de cinq ministres incluant le ministre de la Culture et des communications Mathieu Lacombe s’est réuni pour présenter le Plan pour la langue française. L’APEM se réjouit qu’il y ait une place pour nos musiques dans ce plan qui sera important pour l’avenir de la langue française et de la culture francophone.

Nous trouvons encourageant que le gouvernement réitère sa volonté d’utiliser tous les leviers qui sont à sa disposition, en mettant notamment en place des outils permettant de favoriser l’accessibilité et la découvrabilité de notre musique sur les plateformes numériques. L’APEM considère ces éléments comme étant fondamentaux pour l’avenir de nos musiques.

Ce plan vise à aider la situation linguistique du français au Québec. L’axe Culture est un des six axes de ce plan et comporte deux des neuf priorités mises de l’avant.

À propos de l’APEM

L’Association des professionnels de l’édition musicale (APEM) représente les éditeurs musicaux francophones au Canada. Ses membres représentent environ 830 maisons d’édition comportant 400 000 œuvres musicales.

À propos de l’édition musicale

Les éditeurs musicaux sont les professionnels de la gestion des œuvres musicales et du développement de la carrière des créateurs. On dit qu’ils sont aux auteurs-compositeurs et à leurs œuvres ce qu’un gérant est à un interprète. Les activités éditoriales génèrent des revenus dans tous les contextes où nous pouvons utiliser de la musique (concerts, enregistrements sonores, réinterprétations, productions audiovisuelles, web, jeux vidéo, etc.).

***

Partager cet article

Plus d'articles dans Actualités / Musique