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Nelly et Simon : Mission Yéti touchera les écrans du Québec le 23 février prochain!

Nelly et Simon : Mission Yéti, en salle le 23 février et maintenant 56 pays rejoints à l’international

Alors que les droits de diffusion ont été cédés jusqu’à présent pour 56 pays à l’international, Nelly et Simon : Mission Yéti, le 3e long métrage de la cheffe de file en animation canadienne, Productions 10e Ave, touchera les écrans du Québec le 23 février prochain.

Ce film d’animation 100% canadien réalisé et produit totalement au Québec a nécessité plus de 5 ans de développement et 2 ans de production dans la région de la Capitale-Nationale. Plus de 200 travailleurs ont participé à la création de cette propriété intellectuelle originale d’ici, dont le scénario est imaginé par Pierre Greco et André Morency et imagé par Philippe Arseneau Bussières, sous la direction des deux réalisateurs Pierre Greco et Nancy Florence Savard, également productrice de 10e Ave.

Synopsis

Québec, 1956. Les destins de Nelly Maloye, détective privée débutante, et Simon Picard, assistant de recherche en sciences, se croisent accidentellement. Soutenus par un mécène ambitieux, Maloye, intuitive et chaotique, et Picard, méthodique et obsessionnel, se lancent dans une aventure visant à prouver l’existence du Yéti. Pour y arriver, Simon compte sur le journal d’un explorateur pour les mener au repaire de la créature mythique. Accompagnés de Tensing, un jeune guide Sherpa, et de Jasmin, un mainate bavard, ils sont confrontés à de nombreux dangers au coeur de l’Himalaya

Cette comédie d’aventure en animation produite par 10e Ave a réuni de nombreux acteurs chéris du public qui ont prêté leur voix aux personnages suivants:

Nelly Maloye :  SYLVIE MOREAU
Tensing Gombu : RACHID BADOURI
Simon Picard : GUILLAUME LEMAY-THIVIERGE
Annulu Gombu : MARTIN BOILY
Shirisha Gombu : LISE CASTONGUAY
Édouard Martineau : STÉPHANE CRÊTE
Taylor : EDGAR FRUITIER
Mme Martineau : SOPHIE FAUCHER
Gardien de l’université : MARTIN BOILY
Jasmin : ALEXANDRINE WARREN
Capitaine : MARTIN BOILY
Yétis : FRANÇOIS TRUDEL, PATRICK OUELLET
Le britannique : MARTIN BOILY
Journalistes : SÉBASTIEN BENOÎT, BERTRAND ALAIN, SIMON-PIERRE GARIÉPY

En plus de compter sur ces actrices et acteurs de talent, la production a également pu compter sur une équipe solide à la production.

Scénaristes : PIERRE GRECO, ANDRÉ MORENCY
Directeur artistique : PHILIPPE ARSENEAU BUSSIÈRES
Directeur de l’animation : STEVEN MAJAURY
Monteur: RENÉ CARON
Concepteur sonore : JÉRÔME BOITEAU
Compositeur musical : OLIVIER AURIOL

S’ajoutent à la dévouée équipe de 10e Ave de nombreux collaborateurs des studios du Québec : Frima FX, Studio Élément, Studio Expression, Studio SFX, Studio Harmonie & Technicolor.

« Tout comme la série de fiction ou documentaire, le long métrage d’animation est très structurant pour une région comme la Capitale-Nationale. Sans lui enlever quoique ce soit, faisons une comparaison entre le long métrage de fiction et le long métrage d’animation. Pour une étape comparable, celle du tournage versus celle de l’animation, le tournage en région donne 35 jours de travail aux créateurs, alors que pour le long métrage animé, cette même étape donne près de 350 jours de travail à l’équipe. Et ce sont des emplois bien rémunérés, précise la productrice Nancy Florence Savard. Toutefois, selon le plus récent portrait de l’Observatoire de la culture et des communications, il n’y a que 3% du volume de production originale québécoise, fiction et animation combinées, qui se produit de la région de Portneuf à Charlevoix. C’est un défi que nous relevons avec la complicité de nos acolytes. »

Ce 3e long métrage d’animation de 10e Ave voit le jour et rayonne grâce au soutien des partenaires suivants :

Crédit d’impôt du Québec Téléfilm Canada Fonds des talents Société de Développement des Entreprises Culturelles Cinema Management Grou p Fonds Harold Greenberg Crédit d’impôt du Canada Les Films Séville Fonds des Médias du Canada Fonds Shaw-Rocket Ville de Québec Fonds Québecor Télé-Québec The Movie Network Super Écran

Sélectionné dans plus de 7 festivals, Nelly et Simon : Mission Yéti sera présenté dans sa version originale française au TIFF Kids de Toronto, en mars prochain.

Missionyeti-lefilm.com

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Depuis 2013, Productions 10e Ave a porté à l’écran en cinéma d’animation le premier long métrage d’animation 100% canadien La légende de Sarila (Nancy Florence Savard), dont les droits de diffusion ont été acquis pour 40 pays, Le Coq de St-Victor (Pierre Greco), dont les droits ont été acquis pour plus de 100 pays et Nelly et Simon : Mission Yéti (Pierre Greco et Nancy Florence Savard) qui commence sa carrière cette semaine sur les écrans du Québec.

Productions 10e Ave est une entreprise basée à Saint-Augustin-de-Desmaures. Fondée par Nancy Florence Savard, l’entreprise fêtera ses 20 ans d’existence à l’automne prochain. Elle développe actuellement 7 nouveaux projets en cinéma d’animation, dont Félix et le trésor de Morgäa, d’après un scénario de Marc Robitaille (Un été sans point ni coup sûr, Noémie le secret) et du réalisateur Nicola Lemay (Noël, Noël, Les yeux Noirs) et Brad, le génie des Pomerleau de l’auteure Johanne Mercier (Le Coq de St-Victor) et du réalisateur Pierre Greco.

Viens propulser ta carrière au Pixel Challenge!

Viens propulser ta carrière au Pixel Challenge! 

500 compétiteurs | 5 pays | 17 000$ en prix
La plus grande compétition de création numérique au Canada!

Pour tous les créateurs du numérique!

Le Pixel Challenge est une compétition internationale de création de jeux vidéo, d’animation, de musique & conception sonore et de scénarisation qui aura lieu du 5 au 7 avril à Québec, où 500 compétiteurs auront 48 heures pour démontrer tous leurs talents!

 

Grand retour pour le Pixel Challenge 2018!!! Ubisoft Québec offrira du mentorat aux compétiteurs de la catégorie jeu vidéo étudiant pendant les 48 heures de compétition. Des experts ayant travaillé sur des franchises AAA comme Assassin’s Creed et For Honor seront sur place pour conseiller et challenger les compétiteurs pour les mener à la victoire! Venez propulser votre carrière!

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Inscrivez-vous!

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Le billet d’Isabelle Cayer, DG du CDRIN dans le bulletin de février 2018

Le billet d’Isabelle Cayer dans le bulletin de février du Centre de développement et de recherche en imagerie numérique CDRIN

« Le 18 janvier dernier, j’ai assisté au discours de l’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique du Canada. Monsieur Bains a bien évidemment parlé d’innovation, d’intelligence artificielle, de manufacturiers de demain, mais il a aussi traité de l’impact imminent qu’aurait la Technologie sur les métiers dits « traditionnels » et de l’urgence d’adopter rapidement des mesures pour transformer les systèmes d’éducation pour les adapter aux compétences clés qui émergent de la 4e révolution technologique… et permettre aux travailleurs qui sont en plein milieu de leur vie professionnelle de s’adapter à ces changements.

« Ce discours a résonné en moi. Enfin, je sentais une intention ferme de mettre les compétences au premier rang des priorités. Oui, la 4e révolution industrielle est en marche avant et fracture et reconfigure tous nos acquis sur son passage. C’est un fait que nous ne pouvons détacher notre vision du futur de la place qu’aura le citoyen dans cette vision. Les deux vont de pair et agir rapidement sur la formation est un incontournable qui ne pourra se payer le luxe d’attendre qu’une autre réforme batte son plein.

« Dans nos discussions quotidiennes au CDRIN, il est question d’améliorer la technologie, de développer de meilleurs produits, de meilleurs services… et de satisfaire notre clientèle, mais aussi de la former. Et atteindre ces objectifs passe par des collaborateurs compétents qui excellent dans la recherche de solutions novatrices. Dans nos réflexions, on parle aussi de la difficulté à dénicher, convaincre et intégrer à l’équipe des collaborateurs qui ont l’ADN de la R-D. Le marché est vorace en talents et les besoins ne peuvent que se multiplier si nous voulons que le développement économique demeure à la hauteur de nos ambitions.

Alors, entendre un discours qui traite de l’enjeu des enjeux – de compétences de haut niveau et de formation continue – est un baume en quelque sorte. En attendant que ces actions se mettent en place, le CDRIN poursuivra ses activités de formation interne et de formation spécialisée. Si vous avez un besoin de développement de compétences, contactez-nous! »

Isabelle Cayer
Directrice générale

 

Vous avez envie d’innover :  Coll.Julien@cdrin.com

NELLY ET SIMON : MISSION YÉTI, au cinéma dès le vendredi 23 février 2018

NELLY ET SIMON : MISSION YÉTI, au cinéma dès le vendredi 23 février 2018

Grande première montréalaise le lundi 19 février à la salle Céline Dion du CHU Sainte-Justine en présence de l’équipe du film!
 
Grande première à Québec le dimanche 18 février au cinéma Le Clap
 

Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One, sont heureux d’annoncer que la grande première montréalaise du film Nelly et Simon : Mission Yéti aura lieu le lundi 19 février, à la salle Céline Dion du CHU Ste-Justine. Le film sera présenté en après-midi aux enfants de l’hôpital CHU Sainte-Justine et plusieurs surprises seront au rendez-vous. Par ailleurs, une projection spéciale en début de soirée aura lieu en présence des artisans du film.
L’équipe du film fera également escale à Québec le dimanche 18 février afin de présenter le film qui prendra l’affiche le vendredi 23 février prochain partout au Québec. Une activité idéale pour divertir les enfants pendant la semaine de relâche !

Le film d’animation réalisé par Nancy Florence Savard et Pierre Greco et produit par Nancy Florence Savard(Productions 10e Ave) met en vedette les voix de Guillaume Lemay-Thivierge, Sylvie Moreau et Rachid Badouri. Alexandrine Warren (Jasmin l’oiseau), Stéphane Crête, Edgar Fruitier, Sophie Faucher, Sébastien Benoît, Bertrand Alain, Simon-Pierre Gariépy, Martin Boily, Lise Castonguay, François Trudel et Patrick Ouellet font aussi partie de la distribution.

 Il ne s’agit pas de la première collaboration entre les deux réalisateurs Pierre Greco et Nancy Florence Savard. Pierre Greco a notamment réalisé W la série et Le Coq de St-Victor, produit par Productions 10e Ave, la boîte fondée par Nancy Florence Savard, qui a aussi produit et réalisé La légende de Sarila.

 Déjà, l’intérêt international pour Nelly et Simon : Mission Yéti, initié dans la région de la Capitale-Nationale est très important, alors que 56 pays ont acquis les droits de diffusion. Encore une fois, il s’agit d’une belle carte de visite pour le talent créatif des artisans du cinéma d’animation de la région de Québec. Plus de 200 personnes ont travaillé sur le film, qui sera également présenté en 3D!

 Synopsis

Québec, 1956. Les destins de Nelly Maloye (Sylvie Moreau), détective privée débutante, et Simon Picard (Guillaume Lemay-Thivierge), assistant de recherche en sciences, se croisent accidentellement. Soutenus par un mécène ambitieux, Maloye, intuitive et chaotique, et Picard, méthodique et obsessionnel, se lancent dans une aventure visant à prouver l’existence du Yéti. Pour y arriver, Simon compte sur le journal d’un explorateur pour les mener au repaire de la créature mythique. Accompagnés de Tensing (Rachid Badouri), un jeune guide Sherpa, et de Jasmin (Alexandrine Warren), un mainate bavard, ils sont confrontés à de nombreux dangers au cœur de l’Himalaya.

 

Bande-annonce : 

 

 Visitez nellyetsimonmissionyeti-lefilm.com

Distribué par Les Films Séville et produit par Nancy Florence Savard, Nelly et Simon : Mission Yéti prendra l’affiche le vendredi 23 février au Québec.

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effectsMTL18: appel aux conférenciers pour l’édition 2018

effectsMTL18: appel aux conférenciers pour l’édition 2018

La 4ème édition de la plus grande conférence internationale de VFX & d’animation de la côte Est de l’Amérique du Nord, effectsMTL18, est à la recherche de conférenciers pour présenter des sessions, panels, classes de maître et démos en direct les 5 & 6 juin 2018 au Palais des Congrès, Montréal.

Nous recherchons des personnes passionnées, désireuses de partager leurs connaissances, leurs expériences et leur vision de l’industrie des effets visuels et de l’animation.

Date limite d’inscription : 9 mars, 2018

 

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7 THÉMATIQUES : ARTS, ANIMATION, AFFAIRES & PRODUCTION, TECH & OUTILS, JEUX / AR / VR, VFX, CARRIÈRE & DIVERSITÉ

Nous acceptons les propositions de divers projets et sources comme : studios de cinéma, studios VFX principaux ou indépendants ou studios d’animation, artiste indépendant et techniciens VR ou expérimental.

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Soumettre votre proposition

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FMC VEILLE – La recherche d’un contre-pouvoir aux géants du web!!

Le plus récent rapport sur les tendances du FMC Veille, Le choc du présent est paru mercredi dernier et mérite toute notre attention.

 

Nous vous proposons d’examiner de plus près le premier élément du rapport qui porte sur la recherche d’un contre-pouvoir aux géants du web: 

 

(Extrait du rapport)

1. LA RECHERCHE D’UN CONTRE-POUVOIR AUX GÉANTS DU WEB

Nous l’avons souvent évoqué dans nos Rapports sur les tendances la révolution numérique a bouleversé les modèles d’affaires et fait émerger de nouveaux géants mondiaux. Si certains ont acquis une position dominante dans une industrie spécifique (pensons à Netflix ou, dans le domaine du jeu vidéo, la plateforme Steam), d’autres sont actifs dans un vaste éventail de domaines allant des équipements et logiciels aux médias sociaux et au commerce électronique, en passant par la production et la distribution de contenus. Dans les régions occidentales, les plus célèbres de ces géants sont sans doute Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, mieux connus sous l’acronyme GAFA ou GAFAM. Ailleurs dans le monde, d’autres géants émergent (pensons, en Chine, à Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi, surnommés les BATX), avec les mêmes conséquences : hyperconcentration, formation d’oligopoles.

Ainsi, le projet d’un Web ouvert, sans frontières, avec peu de contraintes réglementaires a laissé place à quelques écosystèmes contrôlés par de puissantes entreprises privées qui s’apparentent, selon certains, à des
« États virtuels » (voir che 1. Splinternets).

Ces entreprises contrôlent les infrastructures du Web (notamment l’infonuagique), les navigateurs,
les app stores, les systèmes d’exploitation, les moteurs de recherche et les engins de recommandation. Elles influencent les standards techniques et le cours des prix. Elles concentrent aussi les investissements en recherche et développement, notamment en matière d’intelligence arti cielle, qu’elles emploient abondamment en vue d’exploiter les masses de données qu’elles colligent sur les utilisateurs.

Est-ce dire que nous sommes tous — autant comme utilisateurs que professionnels des médias — condamnés à nous assujettir à ces joueurs dominants? Nous ne le pensons pas.

Oui, les algorithmes ont démontré leurs limites. On a vu cette année les « fake news » proliférer; des contenus douteux se glisser dans des environnements protégés (comme le démontrent les récents déboires de YouTube Kids); ou encore des entreprises s’insurger de voir leur marque associée à des contenus de mauvais goût sur les réseaux publicitaires de Google.

Cependant, personne ne peut nier les avantages de se trouver sur ces super- plateformes. Elles mobilisent l’attention d’une grande majorité des utilisateurs à l’échelle du globe et permettent de diffuser mondialement de vastes répertoires de contenus. Elles offrent des avenues de monétisation viables et attirent aujourd’hui la part du lion des dollars publicitaires.

 

PART DU MARCHÉ CANADIEN DE LA PUBLICITÉ NUMÉRIQUE DE GOOGLE ET FACEBOOK EN 2016

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En fait, nous pourrions qualifier 2017 d’année de prise de conscience : la mainmise des géants s’est confirmée au même titre que leurs nombreuses failles. 2018 sera celle de l’éveil : créateurs, producteurs et diffuseurs
de contenus devront apprendre à mieux négocier leur présence et leur collaboration avec les super-plateformes, tout en apprenant à faire un meilleur usage des technologies qui régissent l’environnement numérique.

Depuis quelque temps, des réactions s’organisent à l’échelle des gouvernements et des utilisateurs. Pensons, par exemple, à l’amende de 2,42 milliards d’euros imposée à Google pour abus de position dominante,
aux 13 milliards d’euros réclamés à Apple pour impôts non payés en Europe, aux mesures prises dans divers pays pour contrôler davantage les grandes plateformes (entre autres, une décision de juin 2017 de la Cour suprême
du Canada imposant à Google de retirer de l’information de son moteur de recherche), ou encore au nombre croissant d’élus américains qui réclament que les activités des géants du Web soient examinées à la lumière des lois antitrust (comme l’ont été celles d’AT&T, d’IBM et de Microsoft par le passé). Bref, les GAFA sont scrutés à la loupe par les autorités à divers endroits du globe, et plusieurs parlent d’un véritable « techclash ».

Les entreprises aussi s’organisent: on voit des géants de la télévision et du cinéma comme Disney, HBO et FOX reprendre leurs catalogues en main et retirer leurs contenus de Netflix et d’Amazon Prime Video. Ou encore des alliances entre joueurs traditionnels se former et se renforcer : European Media Alliance; plateforme Kocowa en Corée du Sud; partenariats publicitaires (Nonio au Portugal, Gravity Alliance en France, Emetriq en Allemagne, OpenAP aux É.-U.); etc.

Les technologies émergentes qui favorisent la décentralisation ont également la cote. C’est le cas de la blockchain (voir che 2. Blockchain), dont plusieurs applications pertinentes. Plusieurs observateurs restent cependant sceptiques. La technologie blockchain reste étroitement liée aux cryptomonnaies comme le Bitcoin et l’Ether, qui sont très volatiles et sont loin de faire l’unanimité. De plus, la technologie est en développement depuis plusieurs années, mais elle a donné peu de résultats tangibles à ce jour.

Malgré ces incertitudes, les investisseurs demeurent confiants : les investissements dans la technologie pourraient s’élever à 830 millions de dollars américains en 2017 et le marché de la blockchain, atteindre des
billions de dollars d’ici quelques années selon certains analystes. Dans les industries culturelles, la technologie blockchain pourrait contribuer à optimiser l’exploitation des produits culturels numériques (sécurité, traçabilité, intégrité des données) tout en éliminant les intermédiaires.

(Fin de l’extrait)

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Si vous souhaitez lire immédiatement les autres sections du rapport:

2. S’APPROPRIER LA TECHNOLOGIE À DES FINS DE CRÉATION

3. LA REVANCHE DE L’AUDIO

4. LA PUBLICITÉ SE TRANSFORME

 

Suivez le lien:

Le choc du présent, rapport sur les tendances 2018

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L’équipe du Festival REGARD dévoile les Jurys et Prix de sa 22e édition

REGARD dévoile les Jurys et Prix de sa 22e édition

C’est avec une grande fierté que l’équipe du Festival REGARD présente les différents jurys et prix qui prendront part à la 22e édition.

« La composition des jurys est très importante pour nous. On veut que les œuvres des cinéastes soient jugées par des professionnels de haut calibre, des cinéphiles aguerris, qui comprennent l’importance du parcours d’un court métrage. Cette année, on frappe très fort avec un jury pro de calibre supérieur et des jurys parallèles tout aussi admirables. », souligne la directrice de la programmation, Mélissa Bouchard.

Marie Elaine Riou, directrice générale du Festival, précise par ailleurs: « En réunissant des spécialistes d’influence dans leur disciplines respectives; en direction photo, production, jeu, réalisation et programmation, nous nous assurons de provoquer des discussions qui mèneront à un palmarès significatif pour la 22e édition du Festival. »

 


En ce qui a trait au jury professionnel, les six personnalités qui ont été choisies cette année pour remettre les prix sont la productrice Kim McCraw, la directrice du volet court métrage du Palm Springs Film Festival (États-Unis) Liliana Rodriguez, le comédien Marc-André Grondin, le directeur photo Pierre Mignot, le directeur du Tampere Film Festival (Finlande) Jukka-Pekka Laakso et le réalisateur américain Reed Van Dyk. Ce dernier s’est mérité l’an dernier à REGARD une mention spéciale du jury dans la catégorie Grand prix international avec son film Dekalb Elementary nommé aux OSCARS la semaine dernière.

Le jury professionnel remettra le Grand prix international présenté par Ville Saguenay, le Grand prix canadien présenté par l’UQAC en collaboration avec le groupe MTL Grandé, le Prix du Jury remis par la Caisse de la culture, le Prix du meilleur film d’animation remis par Rodeo FX et le Prix du meilleur documentaire.

 

Jury FIPRESCI

Pour une deuxième année, le Festival sera l’hôte d’un jury de la Fédération internationale de la presse cinématographique (FIPRESCI). Ce jury sera composé de l’Israélien Shy K. Segev (Megafon Daily News, Israel Weekly, Ynet), de la Canadienne Anne Brodie (Metro News Canada, Mrs. Robinson) et du Français Leo Soesanto (Les Inrockuptibles, Libération). Ce jury remettra le Prix de la critique internationale FIPRESCI présenté par Post-Moderne en collaboration avec SLA Location.

 

Jury de l’AQCC

Encore une fois, en collaboration avec l’AQCC, le Festival recevra un jury de critiques québécois constitué du critique, animateur et programmateur Daniel Racine (CIBL, ACPQ), de la critique et enseignante Julie Vaillancourt (Fugues, Séquences) et du critique, blogueur et programmateur Paul Landriau (Plein(s) Écran(s), Point de vues). Ce jury remettra le Prix de la critique au nom de de l’Association Québécoise des Critiques de Cinéma (AQCC).

 

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Jury Tourner à Tout Prix!

Le Jury Tourner à Tout Prix! sera composé d’Anna Henckel-Donnersmarck de La Berlinale, de la directrice principale Stratégies et marques chez TV5 Québec Canada Anne Sérode et de Peter Murdmaa, directeur de la programmation du Festival GoDebut et fondateur du Estonian Short Film Center. Ce jury remettra le Prix Tourner à Tout Prix!, récompensant un film indépendant et produit à petit budget, présenté par UNIS.tv en collaboration avec Spira et la Bourse à la création régionale offerte par Énergie 94,5 en collaboration avec La Bande Sonimage.

 

Jury du public

Constitué de mordus de tous âges et se voulant représentatif de l’état de la cinéphilie au Québec, les trois postes de jurés publics seront occupés par André Chiasson, retraité, Mélina Malo, enseignante et Vanessa Tremblay, conseillère en finance chez Desjardins. Ils décerneront ensemble le Prix du public.

 

Jury jeunes cinéphiles

Finalement, pour le Jury jeunes cinéphiles ce sont les jeunes Simon Tremblay, François Robin et Mélodie Bergeron qui auront la captivante tâche de remettre le Prix du meilleur film jeunesse.

Le Jury du concours inter-collégial de court métrage basé au Cégep de Jonquière De l’âme à l’écran (DAE) est quant à lui composé du critique et chroniqueur Maxime Labrecque, de la comédienne Alexa-Jeanne Dubé et de la réalisatrice Sophie Goyette.

 

Lien vers le site du Festival  https://festivalregard.com

Lien vers la billetterie et passeportshttps://app.beavertix.com/fr/billetterie/achat-de-billet/1407/2957/WEB/ZXF

 

Quatre productions et coproductions de l’ONF seront présentées à la Berlinale

 Quatre productions et coproductions de l’ONF seront présentées à la prestigieuse Berlinale

Premières mondiales des longs métrages documentaires Premières armes, de Jean-François Caissy, et What Walaa Wants, de Christy Garland

Le public du 68e Festival international du film de Berlin, qui se déroulera du 15 au 25 février 2018, aura l’occasion d’apprécier l’excellence canadienne en animation et en documentaire avec quatre nouvelles œuvres de l’Office national du film du Canada.

La Berlinale accueillera les premières mondiales de deux nouveaux longs métrages documentaires de l’ONF : Premières armes, du réalisateur Jean-François Caissy, et la coproduction canado-danoise What Walaa Wants (Murmur Media/ONF/Final Cut for Real), réalisée par Christy Garland. Les festivaliers découvriront également deux courts métrages d’animation applaudis de l’ONF qui feront leurs débuts sur les écrans européens, soit Trois mille, que signe Asinnajaq, et Rubans, le plus récent film de la cinéaste oscarisée Torill Kove.

 

 

Premières armes est le troisième film de Jean-François Caissy sélectionné au Festival de Berlin après La belle visite (2009) et le long métrage documentaire de l’ONF La marche à suivre (2014). Christy Garland est la réalisatrice saluée de documentaires indépendants tels The Bastard Sings the Sweetest Song (2012) et Cheer Up (2016).

 

 

 

Section Forum première mondiale

Premières armes (First Stripes), 106 min

Lancés dans une formation intensive de 12 semaines, de jeunes civils se voient progressivement transformés en soldats des Forces armées canadiennes. Peu rompue au rythme de la vie militaire, cette cohorte disparate d’hommes et de femmes doit s’adapter à un monde régi par ses propres règles et valeurs. Dans un cadre austère qui impose la discipline, ces recrues se plient à l’apprentissage d’un métier avec un mélange d’appréhension et d’enthousiasme. Désormais, à leurs yeux, le groupe est plus important que l’individu et le pays passe avant soi-même. Pour ce troisième volet de sa série traitant librement des étapes de la vie, Jean-François Caissy propose un regard fascinant sur ce choix de carrière et le début de l’âge adulte. Premières armes est produit à l’ONF par Johanne Bergeron, avec la productrice exécutive Colette Loumède.

 

Section Generation 14plus – première mondiale

What Walaa Wants, 90 min

En Cisjordanie, Walaa rêve de devenir policière dans les Forces de sécurité palestiniennes. Elle veut gagner un salaire, faire carrière, ne pas être obligée de se marier. Ce qui l’en empêche ? Son comportement d’adolescente rebelle et sa relation conflictuelle avec sa mère. Dans What Walaa Wants, la réalisatrice Christy Garland est témoin de l’entraînement de base intense que suit Walaa par une chaleur accablante, des obstacles (généralement créés par elle-même) qui se dressent sur son chemin, des rencontres avec les gens et des défis qui vont graduellement changer sa vie. Les officiers de l’académie ont vite fait de jauger son potentiel. Walaa est l’une des meilleures recrues, hommes et femmes confondus, et peut viser très haut. Mais son mauvais comportement et son insubordination pourraient lui coûter sa place au sein des Forces. Walaa a maintenant le choix : soit elle se conforme aux règles, soit on la renvoie chez elle. What Walaa Wants est une coproduction internationale réunissant les producteurs Anne Köhncke (Final Cut for Real, Danemark), Matt Code et Christy Garland (Murmur Media, Canada), et Justine Pimlott (ONF, Canada). Anita Lee est la productrice exécutive pour l’ONF.

Anne Köhncke a signé la production de The Act of Killing (2012) et de Pervert Park (2014) ; elle était productrice déléguée pour The Look of Silence (2014). Matt Code a été producteur pour Mary Goes Round et producteur exécutif de Cardinals, tous deux sortis en 2017.

 

Section NATIVe – A Journey into Indigenous Cinema – première européenne

Three Thousand (Trois mille), 14 min  

Dans Trois mille, l’artiste inuite Asinnajaq, aussi connue sous le nom d’Isabella-Rose Weetaluktuk, nous plonge dans un sublime univers imaginaire. En 12 minutes de cinéma lumineux inspiré par des documents d’archives, elle revisite le passé et le présent du peuple inuit pour imaginer son avenir sous un angle nouveau et saisissant. À partir des vastes archives de l’ONF, elle examine l’histoire complexe de la représentation du peuple inuit au cinéma et intègre des images historiques à une animation originale pour faire apparaître une vision d’espoir et de belles possibilités. Gagnant du prix Kent-Monkman de la meilleure œuvre expérimentale au Festival imagineNATIVE du film et des arts médiatiques, Trois mille est produit par Kat Baulu pour le Studio du Québec et de l’Atlantique de l’ONF, avec la productrice exécutive Annette Clarke. Récemment, Asinnajaq a été choisie par Zacharias Kunuk (Atanarjuat : La légende de l’homme rapide), lauréat du prix Technicolor Clyde-Gilmour 2017 de la Toronto Film Critics Association, pour recevoir des services de postproduction d’une valeur de 50 000 $.

 

Section Generation Kplus – première européenne

Threads (Rubans), 8 min

Rubans, la toute dernière coproduction Mikrofilm AS/ONF que signe Torill Kove, explore la beauté et la complexité de l’amour parental. Dans ce film sans paroles, l’animatrice fait appel aux personnages minimalistes et au tracé dépouillé caractéristiques de son style pour illustrer avec éloquence la notion d’attachement, ces liens dont nous avons besoin, que nous tissons et qui nous affligent parfois, laissant place au sentiment de solitude ou d’abandon. Inscrit au palmarès des dix meilleurs films canadiens de l’année du TIFF, Rubans est le quatrième court métrage d’animation coproduit avec l’ONF pour Torill Kove, qui a remporté un Oscar pour Le poète danois (2006), ainsi que deux nominations de l’Académie des arts et des sciences du cinéma pour Ma grand-mère repassait les chemises du roi (1999) et Ma Moulton et moi (2014). Ce film de huit minutes est produit par Lise Fearnley et Tonje Skar Reiersen pour Mikrofilm AS et par Michael Fukushima pour le Studio d’animation anglais de l’ONF.

PORTES OUVERTES À L’ÉCOLE NAD, CE SAMEDI 27 JANVIER, DE 12H À 16H

PORTES OUVERTES À L’ÉCOLE NAD, CE SAMEDI 27 JANVIER, DE 12H À 16H

UNE JOURNÉE EN 3D – Effets visuels pour le film et la vidéo ou jeux vidéo

Ce samedi, l’École NAD ouvre ses portes ! C’est l’occasion de rencontrer l’équipe ainsi que de nombreux étudiants, de faire une visite dynamique, de participer aux ateliers et démonstrations, de tester des prototypes de jeux et de poser toutes vos questions sur l’admission.

L’École NAD, campus de l’UQAC situé à Montréal, propose une solide formation universitaire en Effets visuels pour le film et la vidéo ou en Jeux vidéo.

Notre programme s’adresse aux curieux et mordus d’arts visuels et numériques, aux étudiants ou diplômés passionnés par les arts technologiques et aux artistes avec une expérience professionnelle pertinente.

Nous proposons le baccalauréat, le certificat, la maîtrise, de nombreuses formations professionnelles, des camps de jour variés et un tout nouveau DESS en design de jeux vidéo narratif.

 

L’École NAD en chiffres  

  • 26 ans d’expertise
  • Plus de 80% : taux de placement de nos étudiants dans le domaine, l’année suivant l’obtention de leur diplôme.
  • 128 places disponibles pour la rentrée de septembre 2017
  • 2000 diplômés et plus
  • 30 partenaires, membres de l’industrie qui s’impliquent directement
  • 10 professeurs / chercheurs
  • 30 chargés de cours œuvrant dans l’industrie

 

Le domaine de l’animation 3D est en pleine croissance et la variété des postes à combler est considérable : animateur, modeleur, concepteur de niveaux de jeu et scénariste, pour ne citer que ceux-là. De plus, il est possible d’appliquer cette technique dans plusieurs domaines tels que le cinéma, la télévision, le jeu vidéo, le multimédia, l’aéronautique, l’architecture et le design industriel.

PORTES OUVERTES au NAD

Le samedi 27 janvier 2018
De 12h à 16h
405, avenue Ogilvy
3e étage
Montréal
Métro Parc, stationnement gratuit
NAD.CA

Au programme de cette journée :

  • Jeu vidéo
  • Compositing et intégration d’effets visuels en film
  • Modélisation d’un environnement 3D
  • Animation 3D
  • Admission et programmes – Baccalauréat, certificat, DESS et maîtrise
  • Dossiers visuels / portfolios
  • Camps d’été et formations professionnelles
  • Visite guidée des locaux

Une seule admission par année : 128 places disponibles pour la rentrée de septembre

Admission : 1er mars

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À propos de l’École des arts numériques, de l’animation et du design

Campus de l’Université du Québec à Chicoutimi (« UQAC ») situé à Montréal, l’École NAD est un établissement de formation et de recherche et développement en animation 3D, effets visuels, design et arts numériques. Fondée en 1992 par le Cégep de Jonquière, l’École NAD offre depuis 2008 des programmes universitaires de premier et deuxième cycles en animation 3D et en design numérique de l’UQAC. L’École NAD a formé au fil des ans plus de 2000 artistes 3D qui travaillent aujourd’hui dans les domaines de la production cinématographique et télévisuelle et du jeu vidéo et ce, au sein d’entreprises réputées à travers le monde. Fort de ses 25 années d’expertise en création d’image de synthèse, l’École NAD fournit ses services de formation, de transfert de connaissances, de recherche et développement et de consultation à des individus, à de grandes entreprises et à des institutions d’enseignement à travers le monde. Pour plus de renseignements sur l’École, veuillez consulter le www.nad.ca

 

Les dates de la prochaine édition d’effects MTL sont annoncées

effectsMTL18: La plus grande conférence d’effets visuels et d’animation de la côte Est de l’Amérique du Nord

effectsMTL18 revient pour sa quatrième édition les 5 et 6 juin au Palais des Congrès de Montréal.

Venez nous rejoindre pour la plus grande conférence d’effets visuels et d’animation sur la côte Est de l’Amérique du Nord. Cette conférence offre aux professionnels locaux l’occasion d’apprendre et de réseauter avec leurs pairs à l’étranger; aux professionnels internationaux l’accès à l’un des plus grands centres d’expertise de l’industrie sur la planète.

effectsMTL vous offre d’excellentes opportunités de rencontre avec les sociétés cinématographiques, de diffusion, les studios et d’autres acheteurs qui cherchent des effets visuels et animation pour leurs projets. Vous pourrez également côtoyer les studios du monde entier pour monter des projets en coproduction.

Si votre expertise comprend effets visuels et animation, venez rencontrer des studios constamment à la recherche de nouveaux produits et services de haute qualité.

Pour plus d’informations sur les opportunités d’affaires, veuillez contacter sales@connection-events.com

Plus d’information va suivre : appel à conférenciers, l’offre commerciale destinée aux exposants et commanditaires, le programme du contenu.

www.effectsmtl.com

Trois courts métrages d’animation primés de l’ONF au Festival Sundance

Trois courts métrages d’animation primés de l’ONF au Festival Sundance

J’AIME LES FILLES DE DIANE OBOMSAWIN, MANIVALD DE CHINTIS LUNDGREN ET LA MAISON DU HÉRISSON D’EVA CVIJANOVIĆ SONT INSCRITS AU PROGRAMME DE COURTS MÉTRAGES DU FESTIVAL DU FILM DE SUNDANCE

L’Office national du film du Canada (ONF) est de retour au Festival du film de Sundance — la principale vitrine du cinéma indépendant américain et international, qui se tiendra du 18 au 28 janvier 2018 — avec trois films sélectionnés dans le programme de courts métrages du festival : J’aime les filles de Diane Obomsawin, Manivald (Chintis Lundgreni Animatsioonistuudio/Adriatic Animation/ONF) de Chintis Lundgren et La maison du hérisson (ONF/Bonobostudio) d’Eva Cvijanović.

Il s’agit du plus récent honneur pour ces films qui, ensemble, cumulent 40 récompenses à ce jour ! Le choix de ces trois productions de l’ONF témoigne ainsi de la renommée internationale de ses emblématiques studios d’animation, de même que de l’engagement de l’institution à produire des œuvres audacieuses réalisées par des femmes.

La maison du hérisson

Lauréat à ce jour de plus de 25 prix et honneurs internationaux, dont une nomination aux Annie Awards dans la catégorie Meilleur court métrage d’animation, le Prix jeune public au Festival international du film d’animation d’Annecy et le Prix du public pour un court métrage à l’Animafest de Zagreb, La maison du hérisson d’Eva Cvijanović est une magnifique fable tout en finesse, réalisée image par image, qui fait renaître l’idée à la fois intemporelle et toujours opportune de cultiver son propre havre de sécurité, de dignité et de confort, peu importe sa taille. Cette coproduction internationale est produite par Jelena Popović (ONF) et Vanja Andrijević (Bonobostudio, Croatie), avec Michael Fukushima en tant que producteur exécutif. La narration est assurée par Kenneth Welsh en anglais et France Castel en français.

J’aime les filles

La bédéiste et cinéaste d’animation montréalaise Diane Obomsawin, alias Obom, porte sa dernière bande
dessinée à l’écran. Dans J’aime les filles, elle recourt à des personnages anthropomorphes attachants pour
relater des témoignages authentiques à propos du premier amour.

Ce film de huit minutes a reçu cinq récompenses jusqu’à maintenant, notamment le Grand Prix Nelvana du meilleur court métrage d’animation indépendant au Festival international d’animation d’Ottawa, ainsi que le Prix du meilleur film LGBT au Festival du court métrage de New York. J’aime les filles est produit par Marc Bertrand et la productrice exécutive Julie Roy pour le Studio d’animation français de l’ONF.

Manivald

Manivald le renard vient d’avoir 33 ans. Surdiplômé, chômeur et plutôt coincé, il habite avec sa mère : une vie facile, mais terne. Cette dépendance mutuelle est toutefois chamboulée par un lave-linge en panne et un réparateur nommé Toomas, jeune loup sexy et aventurier venu à la rescousse. La comédienne et chanteuse québécoise France Castel et le comédien et auteur canadien Trevor Boris prêtent leur voix au film.

Manivald de Chintis Lundgren a remporté neuf prix, dont le Prix du public du programme A au Festival du court métrage de New York et le Prix du meilleur scénario au Festival international d’animation d’Ottawa. Le film est produit par Chintis Lundgren (Chintis Lundgreni Animatsioonistuudio, Estonie), Draško Ivezić (Adriatic Animation, Croatie) et Jelena Popović (ONF). Michael Fukushima en est le producteur exécutif.

Les grands classiques de l’animation Franco-Belge à Grévin Montréal

Redécouvrez les grands classiques de l’animation Franco-Belge à Grévin Montréal du 22 décembre 2017 au 2 avril 2018!

Pour la première fois en Amérique du Nord, découvrez des archives exclusives, des années 60’ à aujourd’hui, mises en scène dans une exposition inédite.

Apprenez comment les plus grands artistes de l’animation ont donné vie à des personnages phares tels que Lucky Luke, Astérix, le Petit Spirou ou encore les Schtroumpfs!

De l’écriture aux rendus finaux en passant par les storyboards, crayonnés et celluloïdes, cette visite interactive se veut une immersion dans les fascinants métiers et étapes de l’animation traditionnelle.

‘’Je suis très touchée de voir que le savoir-faire de l’époque ait traversé l’Atlantique pour cette fabuleuse exposition!’’ – Paulette Smets,  Chef coloriste et présidente d’honneur, Belvision

Petits et grands pourront profiter d’animations et d’activités diverses dont se mettre dans la peau d’un animateur et dessiner sur des tables inspirées de l’époque ou encore jouer sur des consoles de jeux-vidéo vintage !

En famille, partagez aussi un moment de détente devant vos films d’animation préférés dans le cadre d’un partenariat avec Télé-Québec, qui souligne cette année les 35 ans de Ciné-Cadeau.

Complétez votre expérience en téléchargeant dès le 21 décembre 2017, l’application Les coulisses de l’animation pour collectionner des cartes inédites et apprendre les différentes étapes de création d’un film d’animation.

 

À propos de K6 Media Group

K6 Media Group est une maison de production multimédia montréalaise, qui œuvre dans les technologies d’animation et d’interactivité depuis deux décennies. Ils coproduisent l’application et l’exposition Les Coulisses de l’animation avec Belvision en Belgique, le studio derrière la production des films d’animation tels que ‘’Tintin et le lac aux requins’’ (1972) ou encore ‘’Astérix et Cléopâtre’’ (1967).

 

À propos de Grévin Montréal

Appartenant à l’un des plus grands groupes de loisirs au monde la Compagnie des Alpes, Grévin Montréal ouvrit ses portes en avril 2013, et devient la première filiale internationale du très célèbre Grévin Paris qui a célébré ses 135 ans d’existence en 2017. Réunir et partager les savoir-faire franco-québécois reflètent l’ambition et l’audace de Grévin, tout en pérennisant l’image et les valeurs du groupe. La marque a poursuivi son expansion à l’international avec, en 2016, l’ouverture de Chaplin’s World by Grévin, à Vevey en Suisse.

Partez à la rencontre de plus de 120 personnalités et venez explorer le musée le plus divertissant de Montréal pour votre plus grand plaisir. Une expérience dont vous vous souviendrez assurément!

 

INFORMATIONS PRATIQUES

Heures d’ouverture

Ouverture du lundi au samedi de 10h à 18h et le dimanche de 11h à 17h.
Fermeture du musée les 25 et 26 décembre 2017 (ouverture à 13h le 26 décembre 2017) et les 1er, 10, 11 et 12 janvier 2018. Attention: la billetterie ferme une heure plus tôt que le musée.

Droits d’entrée

Les tarifs en vigueur sont : enfant moins de 6 ans : gratuit ; enfant de 6 à 12 ans : 16,00$; jeune et étudiant : 18,00$; adulte : 22,00$; aîné 65 ans et + : 20,50$; famille (2 enfants-2 adultes ou 3 enfants-1 adulte): 59,75 $ plus taxes.