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Ville de Québec – Annonce des nouveaux projets retenus en 2017

 

La Ville de Québec annonce les projets retenus dans le cadre de la mesure d’aide au démarrage de productions cinématographiques et télévisuelles, pour la période 2016-2017.

 

Parmi les 21 projets qui ont été soumis, sept ont été retenus par le comité de sélection, pour un investissement total de 150 000 $.

 

Les projets retenus sont les suivants :

  • Mö Films, pour le long métrage documentaire Ce que le monde porte en soi (15 000 $);
  • Frima Studio, pour l’émission de télévision d’animation L’agent Jean (25 725 $);
  • Productions 10e Ave, pour le long-métrage d’animation Le trésor de Morgäa (33 475 $);
  • Productions Squeeze, pour la série d’animation télévisée Monkey Beat (24 430 $);
  • K8e K8e productions animations culturelles, pour le long métrage de fiction Tsiueten, l’Enfant du Nord (23 829 $);
  • Spira, pour la série de courts métrages Urgence (10 041 $);
  • Productions Trait d’union, pour la série documentaire télévisée Faire la ville (17 500 $)

 

« Le secteur de la production audiovisuelle et cinématographique contribue largement à l’économie et au dynamisme culturel du Québec. Je suis heureux que l’Entente de développement culturel conclue entre la Ville de Québec et notre gouvernement permette à autant de projets intéressants de voir le jour », a mentionné M. Luc Fortin, ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française.

« Le partenariat en vertu de cette mesure permet l’émergence de projets de qualité et soutient des artisans d’ici qui enrichissent l’offre cinématographique et télévisuelle de chez nous. La région de la Capitale-Nationale possède beaucoup de talents et nous sommes heureux de contribuer au développement de ceux-ci », a souligné le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. François Blais.

« Grâce à la mesure d’aide au démarrage, de nombreux projets cinématographiques et télévisuels ont été réalisés au fil des années ici, à Québec, offrant un rayonnement sans pareil à la ville, a ajouté le maire de Québec, M. Régis Labeaume. Nous sommes fiers de favoriser le développement de projets de tournage à Québec et d’encourager les créateurs qui désirent œuvrer dans la région. »

 

À propos de la mesure d’aide au démarrage
La mesure d’aide au démarrage de productions cinématographiques et télévisuelles favorise l’augmentation de la production à Québec en soutenant les entreprises régionales dans le développement de leurs projets de productions audiovisuelles. Elle contribue ainsi à la vitalité de l’industrie cinématographique et télévisuelle de la région. Mise en place en 2009, elle a été renouvelée en 2012, en 2015, puis en 2016. La Ville de Québec est gestionnaire de cette mesure d’aide. Au total, depuis sa création, 76 subventions ont été octroyées, totalisant 1 500 000 $

Rappelons que cette mesure d’aide est rendue possible grâce à la contribution financière annuelle de la Ville de Québec (50 000 $) et du ministère de la Culture et des Communications (50 000 $), dans le cadre de l’Entente de développement culturel, ainsi que du Secrétariat à la Capitale-Nationale (50 000 $).

Pour obtenir plus de renseignements, les personnes intéressées peuvent consulter le: https://ville.quebec.qc.ca/tournage.

 

 

La mesure d’aide au démarrage de productions cinématographiques et télévisuelles a permis à plusieurs projets de voir concrètement le jour à Québec.

En 2016, le long métrage de fiction Le Pacte des Anges (intitulé auparavant Desperado), mettant en vedette Marc Messier, a pris l’affiche. Ce film, qui a été soutenu par la mesure d’aide, a été tourné en partie à Québec. Il est réalisé par Richard Angers et produit par Productions des Années lumière.

De plus, La Chute de Sparte, l’adaptation du populaire roman de Biz, doit prendre l’affiche en 2017. Ce long métrage est produit par Parallaxes.

Finalement, le long métrage d’animation Mission Yéti, les aventures de Nelly et Simon, réalisé par Productions 10e Ave, est actuellement en postproduction. Sa sortie est prévue en 2018 et le long métrage sera distribué au Canada par E-One, et au Québec par Les Films Séville. Il sera également distribué en Corée du Sud l’achat ayant déjà été confirmé.

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Le Bureau des grands événements de la Ville de Québec agit à titre de bureau de cinéma et de télévision autant pour l’accueil de productions dans la région de la Capitale-Nationale que pour l’industrie locale. Il est le guichet unique auprès des services municipaux requis par les tournages et facilite l’accès aux lieux et aux ressources locales. Il gère des ententes avec des partenaires privés et publics, il administre des programmes de financement et il coordonne des actions dans le but de stimuler l’industrie cinématographique et télévisuelle de Québec.

L’AQA SALUE DES MESURES BUDGÉTAIRES STRUCTURANTES

Un élan à l’industrie québécoise de l’animation

L’AQA SALUE DES MESURES BUDGÉTAIRES STRUCTURANTES

 

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L’Alliance Québec Animation (AQA) se réjouit de voir le gouvernement du Québec renouveler son engagement envers les entreprises de la nouvelle économie et salue plus particulièrement la hausse du crédit d’impôt pour la production cinématographique ou télévisuelle québécoise, de même que le prolongement et la révision du Fonds Capital Culture qui sera élargi au secteur de l’animation.

Ces mesures budgétaires structurantes permettront, d’une part, de favoriser l’émergence de propriétés intellectuelles québécoises, les coproductions avec des sociétés étrangères et les productions dans le secteur de l’animation et, d’autre part, de compléter le financement d’une production par l’attribution d’un prêt en capital de risque ou de faciliter le crédit temporaire sur les revenus de vente.

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« L’industrie de l’animation québécoise suscite fierté et admiration de par son rayonnement international. Elle constitue avant tout un moteur de développement économique majeur et contribue de manière significative à la création d’emplois, à l’exportation du génie et du savoir-faire québécois et au rayonnement du Québec sur l’échiquier mondial », d’indiquer Marie-Claude Beauchamp, présidente de l’AQA et productrice.

 

Les perspectives d’avenir sont particulièrement emballantes comme en témoigne une enquête récente effectuée auprès des membres de l’AQA. Un portfolio potentiel de 44 projets d’animation – pour un volume de production en animation d’environ 250 M$ – en services et en production originale de longs-métrages et de séries télévisuelles à produire par des entreprises québécoises au cours des prochaines années. Ce qui se traduirait également par la création de près de 9 000 emplois directs et indirects, ceci, sans compter la valeur ajoutée d’activités dérivées par la création de propriété intellectuelle.

 

« Visiblement, l’AQA a su faire entendre sa voix et surtout offrir au gouvernement une opportunité d’en soutenir plus fermement le potentiel exponentiel. Cet élan renouvelé nous permet d’envisager la suite avec grand enthousiasme », de conclure la présidente.

 

Fondée en 2011, l’Alliance Québec Animation (AQA) est le porte-parole de l’industrie de l’animation au Québec. Son objectif global est de contribuer à la relance de l’industrie au Québec et à la valorisation de la propriété intellectuelle à travers quatre grands axes d’intervention, soit la création et l’innovation; la formation et la main-d’œuvre; le financement et la coproduction; et enfin, la mise en marché des productions d’animation

La réaction du BCTQ au Budget du Québec 2017-2018

Un budget qui accroît et renforce les outils de développement économique de l’industrie audiovisuelle québécoise

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Le BCTQ salue les nouvelles mesures visant à soutenir l’industrie audiovisuelle annoncées hier par le ministre des Finances, M. Leitão, dans le cadre du budget provincial 2017-2018.

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Éligibilité des contenus de réalité virtuelle et augmentée au crédit d’impôt pour les services de production cinématographique ou télévisuelle

Directement issue de son plan d’action et fruit d’un an d’investissement du BCTQ, l’annonce de la mise à jour de l’arsenal fiscal pour les contenus en réalité virtuelle et augmentée va favoriser la croissance des entreprises québécoises, qui bénéficient déjà d’une reconnaissance internationale pour leur grande créativité. Le BCTQ entend maintenir son implication pour l’année à venir, en organisant des missions commerciales et en invitant au Québec des clients internationaux. À terme, l’objectif visé par le BCTQ est la création d’un pôle d’excellence au Québec tel qu’il en existe déjà pour les secteurs des effets visuels et de l’animation ainsi que du jeu vidéo.

 

Baisse du budget minimal admissible aux crédits d’impôt pour services de production

Parmi les points importants des mesures annoncées figure également l’abaissement du budget minimal pour être éligible au crédit d’impôt pour services de production. Pour bénéficier du taux de base de 20 % du crédit d’impôt applicable sur l’ensemble des frais de production admissibles, une production devra désormais comporter un budget minimal de 250 000 $ pour une œuvre unique ou pour l’ensemble d’une série ou d’une mini-série, peu importe leur durée. Cette condition s’applique également au secteur de la réalité virtuelle et augmentée.

 

Mise en place d’un projet pilote pour développer l’enregistrement de trames sonores

Mené de concert avec l’ensemble des partenaires de l’industrie de la musique, le projet de réaliser au Québec des enregistrements de musique destinés à la production audiovisuelle va bonifier l’offre industrielle locale, qui comprend déjà les infrastructures de tournage et la création d’effets visuels, et lui donner un positionnement concurrentiel unique dans le paysage nord-américain.

Grâce à cette initiative, des emplois actuellement inexistants pourront être créés au Québec. Pour les compositeurs, les musiciens, et tout le personnel technique qui graviteront autour de cette activité, il s’agit d’une opportunité sans précédent qui permettra de développer de nouveaux créneaux d’emploi à partir d’une base de talent déjà reconnue à l’échelle internationale.

 

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« Ces mesures sont l’aboutissement d’un travail de longue haleine effectué par le BCTQ en collaboration avec les joueurs-clés de l’industrie depuis plus d’un an, notamment dans les secteurs de l’enregistrement sonore et de la réalité virtuelle et augmentée. Nous sommes désormais les premiers à proposer des mesures fiscales incitatives spécifiquement dédiées au secteur RV/RA qui est en pleine expansion. L’instauration de ces mesures aura des effets structurants pour l’ensemble de l’industrie » souligne Pierre Moreau, président-directeur général du BCTQ.

« Le Bureau est fier du leadership démontré tout au long du développement de ces mesures et salue leurs mises en place par le gouvernement québécois. L’industrie audiovisuelle québécoise pourra poursuivre sa croissance et augmenter son rayonnement au Québec comme à l’international. Merci et bravo aux équipes qui ont travaillé sans relâche à la réalisation de ces dossiers créateurs d’emplois » ajoute M. Moreau.

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D’autres mesures annoncées dans le cadre du budget permettront de renforcer le développement de propriétés intellectuelles et de productions québécoises :
Le nouveau budget comprend également diverses mesures offrant une bonification du crédit d’impôt pour la production cinématographique ou télévisuelle québécoise :

  • La hausse de 8 % à 16 % du taux de bonification pour les productions sans aide publique et sa modulation selon le niveau d’aide publique;
  • La majoration de 8 % à 10 % du taux de la bonification pour effets spéciaux et animations informatiques;
  • L’augmentation de 8 % à 10 % et de 16 % à 20 % des taux de la bonification régionale, selon le type de production.

Ces mesures permettront notamment de soutenir la production québécoise d’animation qui bénéficie d’une forte capacité de rayonnement et d’exportation.

 

Pour consulter le document complet du budget:

www.budget.finances.gouv.qc.ca/budget/2017-2018/index.asp

 

À propos du BCTQ

Créé en 2006, le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ) est un organisme sans but lucratif qui contribue au développement et à la compétitivité du Québec comme centre de production multi-écrans de calibre international. En tant qu’agence de développement économique, il a la mission de générer des investissements en territoire québécois en s’appuyant sur des programmes d’incitatifs fiscaux compétitifs, sur le savoir-faire des membres de la filière, la diversité architecturale, la qualité des infrastructures et la capacité de l’industrie à exporter ses produits sur les marchés étrangers.

 

Mon ami Bulle accompagne déjà près de 35 000 enfants

L’expérience numérique Mon ami Bulle accompagne déjà près de 35 000 enfants, un allié des parents depuis bientôt un an à Télé-Québec!

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Mon ami bulle

Depuis bientôt un an, l’expérience numérique exclusive à Télé-Québec Mon ami Bulle a fait son entrée sur le Web, et déjà plus de 34 400 enfants québécois ont un profil actif sur l’application, soit près de 13 % des 3 à 5 ans de la province. Offert en ligne et sur appareils mobiles, Mon ami Bulle est une application multiplateforme gratuite au service du développement socioaffectif et cognitif des tout-petits.

Destinée aux jeunes du préscolaire et à leurs parents, l’expérience est à la fois interactive, immersive et personnalisée. Le parent fournit des informations sur l’enfant (son nom, ses intérêts, ses défis, ses craintes, ses joies, ses peines, son quotidien, etc.) et, grâce aux renseignements obtenus, Bulle adapte les sujets qu’il aborde avec lui. Chaque visite se révèle différente et unique à chaque enfant, invité à participer tant dans les chansons que dans les jeux.

Tout l’univers de Bulle est basé sur le lien de proximité établi entre celui-ci et l’enfant. Ainsi, Bulle peut l’accompagner efficacement tout au long de son développement personnel.

 

Une expérience pour le plaisir des yeux et des oreilles!

Les tout-petits peuvent également voir leur ami Bulle dans une série d’animation diffusée tous les jours à 7 h 57 à Télé-Québec, juste après La Pat’Patrouille. À l’écran, Bulle, Tartine, Momo et les autres personnages de l’application numérique font des voyages et des découvertes dans des univers épatants!

 

En musique

L’expérience Mon ami Bulle se poursuit également en musique avec les albums Je suis content! et Quand on est deux!, proposant 60 chansons originales à télécharger sur iTunes et Google Play.

Créée par Télé-Québec, Mon ami Bulle reflète parfaitement la mission de l’institution de proposer du contenu pédagogique audiovisuel et numérique de qualité afin d’accompagner le jeune dans son apprentissage.

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La jeunesse à Télé-Québec
Télé-Québec fait de la jeunesse sa priorité en lui consacrant plus de 42 % de sa grille horaire, avec des programmes de qualité développés ici et à l’international. Et le jeune public le lui rend bien, puisque Télé-Québec est le choix numéro un des enfants! Avec une programmation novatrice et toujours plus d’émissions consacrées exclusivement aux parents, Télé-Québec affiche plus que jamais son parti pris pour la famille.

Pour tout connaître de Mon ami Bulle :https://www.telequebec.tv/bulle

Facebook: https://www.facebook.com/TeleQcJeunesse/

Et les mots-clics #monamibulle #tqc

Le budget fédéral 2017 et l’avenir numérique du Canada

 

 

Extraits du Budget fédéral 2017 présenté mercredi 22 mars par le ministre des Finances Bill Morneau

 

« Le monde est de plus en plus interrelié – on s’attend à ce que, d’ici 2021, plus de 4,5 milliards de personnes aient accès à Internet. Ce n’est là qu’un des effets d’un virage mondial vers une nouvelle réalité numérique où, d’ici 2020, il y aura plus de 25 milliards d’appareils munis de systèmes Internet, dont les utilisateurs visionneront chaque seconde un million de minutes de contenu vidéo à l’échelle du réseau. Cette réalité offrira aussi des possibilités économiques d’une valeur estimée à 6,6 billions de dollars par année dans les pays membres du G20.

Pour les Canadiens, ce virage numérique est présent partout. Bon nombre de citoyens vivent déjà dans des « maisons intelligentes » où l’éclairage, la température, la sécurité et les électroménagers sont interreliés, et la promesse des voitures sans chauffeur devient chaque jour plus proche de la réalité.

Dans nos communautés, les appareils reliés à Internet contribuent à façonner nos déplacements quotidiens, avec des feux de circulation « intelligents » qui mesurent et adaptent les intervalles de temps afin d’améliorer la circulation routière. Dans les villes reliées, l’électricité est maintenant distribuée dans des réseaux de stockage d’énergie dispersés et l’énergie tirée des centrales d’énergie solaire, éolienne et géothermique est envoyée là où l’alimentation est nécessaire. Les réseaux d’égouts souterrains reliés pourront détecter les fuites et surveiller le débit d’eau en temps réel, et, sur nos routes et nos autoroutes, nos réseaux de transport offriront des renseignements en temps réel sur le trafic ferroviaire, la capacité de transport et les temps de chargement dans les ports, rendant les chaînes d’approvisionnement plus rapides et plus fiables.

Parallèlement, ces possibilités qui changent le monde présentent des défis à la classe moyenne du Canada et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie. À mesure que les industries adoptent en plus grand nombre l’avenir numérique, les travailleurs canadiens auront besoin de nouveaux outils et de nouvelles compétences pour demeurer concurrentiels.

Certains Canadiens sont en outre confrontés à des obstacles à leur pleine participation à l’économie numérique. Afin de s’attaquer à ces fractures numériques, il faut s’assurer que tous les Canadiens possèdent les compétences numériques nécessaires pour être actifs en ligne et qu’ils ont des occasions de le faire. Le budget de 2017 réalise un investissement important afin de relever ces défis, y compris grâce à un accès à Internet abordable, à une formation axée sur les compétences pour les travailleurs âgés, à une formation en codage informatique pour les enfants et à une plus grande accessibilité aux services en ligne pour les personnes handicapées.

Afin d’aider les entreprises canadiennes à réussir dans ce monde nouveau, le gouvernement met l’accent sur l’appui de l’innovation dans le domaine numérique au Canada.

 

COMPÉTENCES, INNOVATION ET EMPLOIS POUR LA CLASSE MOYENNE

Les investissements réalisés dans les budgets de 2016 et de 2017 jettent les bases d’un nouveau plan pour l’avenir numérique du Canada qui aura les objectifs suivants :

  • Faire du Canada un environnement numérique de pointe, un pays où il y a plus de « villes intelligentes » et de communautés reliées, où la recherche et la technologie à la fine pointe favorisent la croissance des entreprises et créent de bons emplois bien rémunérés pour la classe moyenne.
  • Offrir un accès Internet à haute vitesse, de façon à ce que tous les Canadiens, qu’ils vivent en milieu urbain ou rural, puissent faire partie de l’économie numérique.
  • Donner à tous les Canadiens une possibilité réelle de participer à l’économie numérique, tout particulièrement ceux pour lesquels la technologie en évolution peut apporter une aide qui changera leur vie, mais qui peuvent aussi devoir surmonter des obstacles pour y accéder, comme les Canadiens à faible revenu, les apprenants adultes et les Canadiens handicapés.
  • Appuyer un Internet ouvert et transparent, qui souligne la liberté d’innover, de discuter et de perturber, y compris la façon dont nous abordons les questions de neutralité du réseau, de médias et de création de contenus canadiens.

 

Les travaux visant à faire de cet avenir numérique une réalité sont déjà en cours.

 

 

Le Canada en tant qu’environnement numérique de pointe

«Afin d’accélérer le développement d’un plus grand nombre de « villes intelligentes », où les personnes et les endroits sont mieux reliés, où la communication de machine à machine aide à faciliter la circulation routière et à protéger les réseaux d’alimentation en eau, et où les communautés sont mieux en mesure de se préparer aux défis futurs, le gouvernement propose de mettre sur pied l’initiative Défi des villes intelligentes en partenariat avec le Fonds Impact Canada.

Étant donné que les personnes ont besoin de nouvelles compétences et de nouveaux outils pour réussir dans un monde numérique nouveau, le gouvernement investit aussi pour aider les Canadiens de tous âges à trouver de nouvelles possibilités. Entre autres investissements, mentionnons l’enseignement des compétences numériques aux enfants, les programmes d’apprentissage intégré au travail de Mitacs et l’accès amélioré aux bourses d’études canadiennes et aux prêts d’études canadiens.

D’autres investissements pour favoriser la création de supergrappes, attirer et soutenir de nouveaux investissements commerciaux de grande qualité (au moyen du Fonds stratégique pour l’innovation) et appuyer les entreprises innovantes à l’aide de capital de risque, contribueront à assurer l’avenir du Canada à titre de chef de file dans le domaine numérique.

 

Rehausser l’avantage du Canada en matière d’intelligence artificielle

Qu’il s’agisse d’applications de téléphones intelligents qui parviennent à comprendre le langage humain ou de voitures sans chauffeur, l’intelligence artificielle change la façon dont les gens interagissent entre eux et avec le monde. Elle peut générer une croissance économique solide, en améliorant la façon de produire des biens, d’offrir des services et de surmonter des défis comme les changements climatiques.

L’intelligence artificielle offre des possibilités dans de nombreux secteurs, de l’agriculture aux services financiers, créant des occasions pour les entreprises de toutes tailles, que ce soit des entreprises technologiques en démarrage ou les plus importantes institutions financières du Canada.

Un appui public solide aux programmes de recherche et à l’expertise de calibre mondial offerts dans les universités canadiennes a contribué à donner au Canada un rôle de chef de file en matière de recherche sur l’intelligence artificielle et l’apprentissage profond et l’utilisation de ceux-ci. Les idées et les talents canadiens suscitent l’envie partout dans le monde, mais pour profiter des avantages qu’offre l’intelligence artificielle, les activités doivent demeurer au Canada.

Pour maintenir en poste et attirer la crème du talent universitaire, et pour accroître le nombre de stagiaires et de chercheurs de deuxième cycle qui étudient l’intelligence artificielle et l’apprentissage profond, le budget de 2017 propose d’affecter 125 millions de dollars au lancement d’une stratégie pancanadienne en matière d’intelligence artificielle pour la recherche et le talent. Cette stratégie favorisera la collaboration entre les principaux centres canadiens d’expertise situés à Montréal, à Toronto-Waterloo et à Edmonton et positionnera le Canada en tant que destination de calibre mondial pour les entreprises désirant investir dans l’intelligence artificielle et l’innovation. Les entreprises qui souhaitent élaborer et soumettre une proposition de supergrappe d’intelligence artificielle profiteront de cet élargissement de la filière de talents canadiens en matière d’intelligence artificielle.

L’Institut canadien de recherches avancées (ICRA), un chef de file dans le domaine de l’intelligence artificielle, sera chargé d’administrer le financement de la nouvelle stratégie.

 

Internet à haute vitesse pour tous les Canadiens, peu importe où ils vivent

Dans le budget de 2016, le gouvernement s’était engagé à investir 500 millions de dollars afin de déployer un service Internet à haute vitesse dans les communautés rurales et éloignées du Canada. Un nouveau programme, Brancher pour innover, est axé sur l’investissement dans les réseaux de base – les autoroutes numériques qui acheminent le trafic entre les communautés – et un soutien est également offert pour les applications du « dernier kilomètre ». Le processus de demande concurrentiel du programme est ouvert jusqu’au 20 avril 2017.

En 2016, le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a par ailleurs mis à jour ses normes en matière de vitesses minimales du service Internet, et il a annoncé des mesures recommandées pour atteindre son but ambitieux.

Le gouvernement est résolu à collaborer avec le CRTC en vue de coordonner les cibles et d’établir des façons efficaces de les atteindre.

 

Une réelle possibilité de faire partie de l’économie numérique

Les changements technologiques apportent d’immenses possibilités, mais les Canadiens ne sont pas tous en mesure d’accéder aux avantages qui font partie d’un monde numérique en évolution.

En vue de s’assurer que tous les Canadiens peuvent participer pleinement à l’économie numérique et qu’ils peuvent directement tirer parti de ses avantages, le gouvernement investit dans des programmes visant à mieux aider les Canadiens mal desservis.

Parmi ces investissements, mentionnons les suivants : rendre l’Internet résidentiel plus abordable pour les familles à faible revenu, aider les travailleurs adultes à mettre à niveau leurs compétences, et investir dans le développement de nouvelles technologies pour aider les Canadiens handicapés.

 

COMPÉTENCES, INNOVATION ET EMPLOIS POUR LA CLASSE MOYENNE

Un service Internet ouvert, transparent et innovateur

Au cours de la dernière année, la ministre du Patrimoine canadien a consulté les Canadiens sur l’avenir d’Internet et des médias d’information ainsi que sur le rôle du contenu canadien dans un monde de plus en plus numérique.

Le gouvernement croit quant à lui en un environnement Internet ouvert et transparent, qui met l’accent sur la liberté : la liberté d’innover, la liberté d’être en contact avec autrui et la liberté de discuter.

Il s’agit d’un avenir qui doit inclure les entrepreneurs créatifs et les chefs de file culturels du Canada, qui sont des personnes essentielles pour bâtir un Canada inclusif et innovateur. Depuis la publicité et la conception jusqu’à la télévision et à la cinématographie, en passant par la mode et l’édition, les industries créatives du Canada sont aux prises avec un changement rapide et perturbateur, y compris le passage aux technologies en ligne, la poussée vers les nouveaux modèles opérationnels, et la concurrence accrue en raison de la mondialisation. Ces risques sont toutefois accompagnés de la possibilité pour le Canada, et son secteur créatif, de montrer la voie en vue de créer de nouvelles expériences, de nouvelles technologies et de nouveaux emplois bien rémunérés pour les Canadiens.

Au cours de la prochaine année, le gouvernement présentera une nouvelle approche pour assurer la croissance du secteur créatif canadien. Cette approche sera axée sur l’avenir et sur l’offre des meilleurs aspects du Canada dans le monde, plutôt que sur un point de vue protectionniste qui limite la croissance et les possibilités.

En cette ère numérique, le gouvernement est aussi conscient que les industries médiatiques canadiennes, ainsi que les systèmes qui assurent la diffusion et l’échange d’idées, évoluent de manière fondamentale.

Afin de garantir que les Canadiens continuent à profiter d’un Internet ouvert et innovateur, le gouvernement propose d’examiner et de moderniser la Loi sur la radiodiffusion et la Loi sur les télécommunications.

Dans le cadre de cet examen, le gouvernement examinera des questions comme les télécommunications et la création de contenu à l’ère numérique, la neutralité et la diversité culturelle d’Internet, et la façon d’assurer un avenir plus solide aux médias canadiens et à la création de contenu canadien. D’autres détails sur l’examen seront annoncés au cours des prochains mois.

ENCOURAGER L’INNOVATION À L’AIDE DU DÉFI DES VILLES INTELLIGENTES

Les Canadiens qui vivent en milieu urbain font face à un grand nombre de problèmes, qu’il s’agisse de la congestion routière, qui leur fait passer moins de temps avec leur famille et leurs amis, ou de la mauvaise qualité de l’air. Ces problèmes peuvent faire en sorte qu’il soit difficile de profiter de tout ce que les villes ont à offrir.
Des investissements judicieux dans l’infrastructure peuvent contribuer à la résolution des problèmes actuels tout en aidant les villes du Canada à se préparer aux défis à venir.

Afin d’encourager les villes à adopter des approches novatrices en matière d’aménagement urbain, le gouvernement propose de verser à Infrastructure Canada 300 millions de dollars sur 11 ans pour lancer un fonds pour le défi des villes intelligentes.
Dans le cadre de ce défi inspiré d’un concours similaire aux États-Unis, les villes à l’échelle du Canada seraient invitées à élaborer des plans de villes intelligentes, en collaboration avec les administrations locales, les citoyens, les entreprises et la société civile.

Les villes participantes élaboreront des plans ambitieux destinés à améliorer la qualité de vie de leurs résidents, à l’aide d’une meilleure planification urbaine et par la mise en œuvre de technologies propres et numériquement reliées, y compris des bâtiments plus écologiques, des réseaux routiers et des systèmes énergétiques intelligents, ainsi que des connexions numériques évoluées pour les résidences et les entreprises.
Les villes lauréates seront choisies dans le cadre d’un concours national fondé sur le mérite, soutenu par le nouveau Fonds Impact Canada du gouvernemen.

Pour accélérer davantage l’innovation, les secteurs de l’infrastructure et des transports seront aussi admissibles dans le cadre de l’engagement du gouvernement de soutenir les « supergrappes » d’innovation dirigées par les entreprises qui présenteront le plus grand potentiel d’accélération de la croissance économique).

RENFORCER L’INFRASTRUCTURE CULTURELLE ET RÉCRÉATIVE

Les industries culturelles du Canada – de la production télévisuelle ou cinématographique à la danse en passant par les jeux numériques – sont le cœur de nos communautés, en plus d’apporter une contribution importante à l’économie canadienne. Mises ensemble, elles emploient près de 650 000 Canadiens, offrant de bons emplois bien rémunérés pour la classe moyenne, et elles comptent pour environ 3 % du produit intérieur brut du pays.

DES COMMUNAUTÉS CONÇUES POUR L’AVENIR

Plus qu’un moteur économique, les industries culturelles du Canada sont le reflet de l’expérience canadienne, et elles transmettent cette expérience au reste du monde. Elles mettent en valeur la créativité et la diversité canadiennes, renforçant notre compréhension de l’identité canadienne.

Afin d’aider à promouvoir les arts et la culture au Canada, le budget de 2016 a prévu 1,9 milliard de dollars sur cinq ans à l’appui d’institutions culturelles nationales d’importance. Ce financement comprenait également 168,2 millions sur deux ans pour le Fonds du Canada pour les espaces culturels.

Le budget de 2017 propose de prendre appui sur cet engagement en investissant 1,8 milliard de dollars supplémentaires sur 10 ans à compter de 2018-2019. De ce montant, plus de 1,3 milliard seront versés aux provinces et aux territoires dans le cadre d’ententes bilatérales intégrées, selon une base d’affectation prévoyant un montant de base en plus d’un montant par habitant. Cet investissement sera réalisé dans le cadre de la deuxième phase du financement de l’infrastructure sociale.

FONDS DU CANADA POUR LES ESPACES CULTURELS

Afin de construire, de rénover et de mieux équiper les espaces et les carrefours de création qui abriteront la nouvelle génération d’artistes et d’innovateurs, le budget de 2017 propose d’attribuer 300 millions de dollars sur 10 ans au Fonds du Canada pour les espaces culturels. Cet investissement soutiendra le perfectionnement des talents canadiens ainsi que l’entrepreneuriat dans les milieux artistiques et culturels.

Ce nouvel investissement permettra de rassembler les artistes, les entrepreneurs culturels et les organismes dans des espaces communs où ils pourront collaborer et amener leurs idées vers de nouveaux sommets. Le nouvel investissement dans le Fonds du Canada pour les espaces culturels sera centré sur les besoins en matière de construction, de rénovation et d’équipement des espaces et des carrefours de création, ce qui contribuera à stimuler la croissance de l’économie créative du Canada. »

Squeeze lance MOOV, premier studio de capture de mouvement à Québec

Squeeze lance MOOV, le tout premier studio de capture de mouvement à Québec

La nouvelle division offrira la technologie de capture de mouvement la plus avancée au monde

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Québec, Canada Squeeze est fier d’annoncer la création de MOOV, une nouvelle division d’animation de type réaliste. Situé dans les bureaux de Squeeze, MOOV devient le tout premier studio de capture de mouvement à Québec. MOOV offre des services d’animation 3D de grande qualité aux producteurs de films et de jeux vidéo, utilisant la technologie la plus avancée au monde.

 

Sous la direction de Dave Massicotte, un vétéran du film et du jeu vidéo, la nouvelle division devrait créer de 5 à 10 nouveaux emplois à temps plein au cours de l’année 2017, tout en supportant de nombreux emplois indirects reliés à l’industrie locale du film (acteurs, cascadeurs, techniciens et services audio).

 

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Denis Doré

« Durant nos cinq premières années d’existence, Squeeze a développé une expertise reconnue en animation de type keyframe », souligne Denis Doré, le président et cofondateur de Squeeze. « En offrant la technologie de capture de mouvement avec MOOV, il devient possible pour nous d’atteindre ce même niveau d’excellence avec des animations réalistes. Les opportunités de collaboration avec les producteurs de jeux vidéo, de télé et de film situés à Québec devraient être plus nombreuses. Nous serons également en mesure d’offrir encore plus de services à nos partenaires internationaux ».

 

Dave Massicotte

« Avec MOOV, nous souhaitons pousser plus loin le jeu des acteurs et la technologie pour produire les animations 3D les plus réalistes possibles », déclare Dave Massicotte, directeur de la capture de mouvement chez MOOV. « Nous bâtissons présentement une équipe d’artistes extrêmement talentueux, possédant une solide expérience en film et en jeu vidéo. Ces experts travailleront avec la meilleure technologie disponible dans le but de livrer des animations de personnages plus grandes que nature. »

 

 

 

À propos de MOOV
MOOV rassemble le jeu d’acteur et la technologie pour créer l’expérience ultime d’animation 3D en capture de mouvement. Spécialisé dans le réalisme, le studio fournit des services de grande qualité afin de transformer votre projet de capture de mouvement en créateur d’émerveillement. Avec son studio ultra moderne, l’équipe de MOOV offre une expertise solide en nettoyage de data, retargeting et solving. Elle est aussi votre alliée pour vos besoins d’animation in-game, de cinématique, ou encore pour rehausser les animations. Notre mission : donner une âme à chacun de vos personnages.

À propos de Dave Massicotte
Un vétéran du jeu vidéo, Dave a fait sa marque en tant que producteur et directeur R-D dans des studios aussi renommés qu’Ubisoft, Eidos Montréal et Moment Factory. Reconnu pour ses projets à succès et son approche visionnaire de la technologie, Dave apporte une énergie contagieuse afin de pousser l’art de la capture de mouvement toujours plus loin. Ses projets incluent :

Assassin’s Creed 2
Rainbow 6 Siege
Rainbow 6 Patriots
Thief
Halo 3
Shaun White Snow

À propos de la technologie de capture de mouvement
La capture de mouvement est un procédé d’animation de personnages virtuels. Les mouvements réels d’un humain, d’un animal ou d’un objet sont enregistrés en utilisant des marqueurs et ensuite appliqués au modèle virtuel.

Information additionnelle et photos
Pour plus d’information sur MOOV, visitez : https://moovstudio.com.

 

 

À propos de Squeeze
Fondé en 2011 par Denis Doré et Patrick Beaulieu, deux vétérans de l’animation et du jeu vidéo, Squeeze est un studio d’animation de renommée internationale établi dans la merveilleuse ville de Québec au Canada. Porté par une équipe de créateurs talentueux et passionnés, le studio donne vie à des personnages plus grands que nature par la magie de l’animation 3D. L’entreprise collabore avec des partenaires d’ici et d’ailleurs parmi les plus prestigieux, tout en réalisant ses propres créations originales. Pour plus d’information, visitez squeezestudio.com.

Le BCTQ à Los Angeles : des ambitions encore plus grandes pour le Québec

La mission économique du BCTQ à Los Angeles : Des ambitions encore plus grandes pour le Québec

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C’est avec le sentiment d’avoir fait progresser l’économie créative du Québec que le BCTQ revient de sa mission économique de trois jours à Los Angeles. Une mission organisée en collaboration avec le cabinet du maire de Montréal.

 

La chef de mission, Madame Manon Gauthier, responsable de la culture, du patrimoine, du design, d’Espace pour la vie ainsi que du statut de la femme au comité exécutif de la Ville de Montréal, accompagnait la délégation québécoise regroupant le BCTQ et 13 compagnies.

 

Entre le 6 et le 9 mars, les participants ont rencontré plusieurs décideurs-clés issus des secteurs de la production et des finances à Hollywood avec en tête des objectifs clairs : Présenter l’offre globale du Québec en matière de services d’accueil de la production audiovisuelle, placer à l’avant-scène les secteurs des effets visuels et des effets spéciaux ainsi que de la réalité virtuelle et augmentée et positionner les incitatifs fiscaux compétitifs du Québec. La mission a également permis de faire la promotion de l’impressionnante diversité des propositions architecturales positionnant ainsi le Québec comme l’une des destinations des plus attrayantes pour les producteurs et les directeurs artistiques tout en offrant une garantie d’excellence en matière de services financiers.

 

« La filière audiovisuelle québécoise connaît une forte croissance économique et le BCTQ entend soutenir cette croissance en mettant en place des stratégies de développement structurantes, porteuses de résultats et suscitant l’enthousiasme de la communauté audiovisuelle du Québec. Cette mission, de première importance, nous rend plus fort puisque nous revenons avec un potentiel d’investissements supplémentaires à court terme évalué à 70 millions $ » souligne le président-directeur général du BCTQ Pierre Moreau.

« Je tiens à féliciter l’équipe d’accueil du Bureau qui, à nouveau, a fait preuve d’un très grand professionnalisme et d’une rigueur exemplaire dans l’organisation de cette mission » ajoute Monsieur Moreau.

 

2017, une année qui s’annonce faste pour le Québec

En 2016, 26 productions étrangères ont totalisé 298,3 millions $ en dépenses directes effectuées au Québec.

Avec plusieurs tournages déjà confirmés dont X-Men (20th Century Fox) ainsi que les séries télé Jack Ryan (Amazon Studio et Paramount Television) et The Bold Type (Universal Television), l’année 2017 affiche déjà un résultat impressionnant de 227 millions $ en dépenses directes faites au Québec. Dans un contexte économique stable, le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec souhaiterait donc maintenir un rythme de croissance d’environ 30 % par année pour atteindre un total 700 millions $ annuel d’ici 2022.

Le BCTQ tient à remercier Madame Manon Gauthier de la Ville de Montréal ainsi que les compagnies et organismes qui ont participé à cette mission : BUF, CieAR, Globalex, Hybride, MELS, Mr. X, MTL Grandé, la Banque Nationale, Raymond Chabot Grant Thornton, Rodeo FX, la SODEC et 5th Wall.
Enfin, le BCTQ remercie chaleureusement le Consulat général du Canada et la Délégation du Québec à Los Angeles pour leur précieux soutien dans la réalisation de cette mission économique.

 

À propos du BCTQ

Créé en 2006, le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ) est un organisme sans but lucratif qui contribue au développement et à la compétitivité du Québec comme centre de production multi-écrans de calibre international. En tant qu’agence de développement économique, il a la mission de générer des investissements en territoire québécois en s’appuyant sur des programmes d’incitatifs fiscaux compétitifs, sur le savoir-faire des membres de la filière, la diversité architecturale, la qualité des infrastructures et la capacité de l’industrie à exporter ses produits sur les marchés étrangers.

Le BCTQ reçoit le soutien de ses partenaires « Prestige » : Banque Nationale, Iatse 514, Technicolor, Miller Thomson, Raymond Chabot Grant Thornton, Hôtel William Gray, Intercontinental, le Ritz Carlton, Corporate Stays, Loews Hôtel Vogue et Hôtel Gault/Monville ainsi que celui des différents paliers gouvernementaux : fédéral, provincial et municipal. Pour toute information supplémentaire, on peut visiter le: https://www.bctq.ca.

Les RVCQ ont remis 9 prix cet après-midi à la Cinémathèque

Québec Cinéma est très heureux de dévoiler les récipiendaires des 9 PRIX RVCQ qui ont été remis cet après-midi à la Cinémathèque québécoise

 

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Les prix RVCQ, synonymes de reconnaissance du talent des cinéastes d’ici, sont un encouragement à la poursuite de leur démarche artistique, et ont un réel impact sur leur carrière. Cette année, la totalité des prix remis lors des RVCQ, dépasse la barre des 58 000 $, faisant de 2017 l’édition la plus généreuse de l’histoire du festival (50 000 $ en 2016).

Les neuf prix RVCQ soulignent la qualité de films de toutes catégories, ainsi que la pertinence du regard posé sur une œuvre par un(e) jeune critique.

 

Le jury du Prix Gilles-Carle, qui récompense un premierou deuxième long métrage de fiction, a souligné cette année le travail de Vincent Biron, pour Prank. Le jury a été charmé par l’originalité de la proposition, l’efficacité de son humour et la maitrise de sa réalisation. Le réalisateur s’est méritéune bourse de 5 000 $ remise par Bell.

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Le Prix Pierre et Yolande Perrault présenté par Hydro-Québec et assorti d’une bourse de 5 000 $ en argent, souligne quant à lui la qualité d’un premier ou deuxième long métrage documentaire. Le jury a choisi cette année le film de Félix Lamarche, Les terres lointaines, pour l’acuité de ses cadres et son rythme juste et maîtrisé.

 

Photo page couverture remise de prix RVCQ 2017

De gauche à droite à partir d’en haut : Louis-Emmanuel Gagné-Brochu, Félix Lamarche, Chloé Leriche, Vincent Biron, Théodore Ushev, Dominique Dugars, Gabrielle Demers, François Jaros et Fanny-Laure Malo
De gauche à droite à partir d’en bas :
Fanie Pelletier, Caroline Monnet, Diane Obomsawin, Mylène Corbeil, Ara Ball et Estelle Champoux

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Le festival et ses partenaires ont également récompensé des courts et moyens métrages réalisés par des professionnels et des étudiants :

Mobiliser de Caroline Monnet a récolté les hommages pour la Meilleure œuvre d’art et expérimentation, comprenant une bourse de 20 000 $ en services présentée par Productions Réalisations Indépendantes de Montréal (PRIM).

ICI Tou.tv a remis à Vie d’ruelles, de Ara Ball, le prix du Meilleur court métrage de fiction, assorti d’une bourse de 3 000 $ en argent.

Le prix du Meilleur court métrage documentaire présenté par SPIRA, incluant une bourse de 1 000 $ en argent et de 20 000 $ en services techniques, a été remporté par la réalisatrice Fanie Pelletier pour son film Photo jaunie.

J’aime les filles de Diane Obomsawin et Vaysha l’aveugle de Théodore Ushev ont pour leur part reçu ex æquo le prix du Meilleur court métrage d’animation. La Caisse de la culture, qui remettait une bourse de 1 500 $ en argent, a généreusement bonifié ce montant de 1 000 $ à l’annonce des résultats des délibérations donnant deux gagnants.

Le prix du Meilleur film étudiant et sa bourse de 1 000 $ présentée par La Fabrique culturelle de Télé-Québec est quant à lui allé à La ronde de minuit de Gabrielle Demers.

La doctorante en cinéma et critique Helen Faradji a choisi de récompenser Louis-Emmanuel Gagné-Brochu pour sa critique du film Avant les rues de Chloé Leriche. Il s’envolera pour le Festival international du film de La Rochelle grâce à une bourse de mobilité remise par Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ).

Rappelons que le prix du Meilleur film franco-canadien, présenté par Unis TV, qui souligne le travail d’un réalisateur ou d’une réalisatrice de la francophonie canadienne avec une bourse de 1 500 $ en argent, a été remis à Claudia Hébert pour son film Le déni, lors du Grand rendez-vous franco-canadien le 1er mars.

Outre ces neuf prix, deux autres récompenses ont aussi été remises dans le cadre des Rendez-vous du cinéma québécois 2017 :

Le Prix Luc-Perreault/AQCC du meilleur film québécois de l’année 2016, est assorti d’une bourse de 2 000 $, offerte à parts égales par madame Lucille Beauchemin, veuve de Luc Perreault, et par l’AQCC. Le prix a été remis à Avant les rues de Chloé Leriche.

Le court métrage Oh What a Wonderful Feeling de François Jaros s’est par ailleurs valu le Prix Coup de cœur présenté par Le Conseil des arts de Montréal et la Coop Vidéo, incluant une bourse de 3 000 $ en argent et une invitation au développement d’un projet à la Coop Vidéo.

 

 

LISTE DES GAGNANTS PAR CATÉGORIE

Prix RVCQ

MEILLEUR PREMIER OU DEUXIÈME LONG MÉTRAGE DE FICTION
Prix Gilles-Carle présenté par Bell
Bourse : 5 000 $
GAGNANT : Prank de Vincent Biron

MEILLEUR PREMIER OU DEUXIÈME LONG MÉTRAGE DOCUMENTAIRE
Prix Pierre et Yolande Perrault présenté par Hydro-Québec
Bourse : 5 000 $
GAGNANT : Les terres lointaines de Félix Lamarche

MEILLEUR COURT MÉTRAGE DE FICTION
Prix présenté par ICI Tou.tv
Bourse : 3 000 $
GAGNANT : Vie d’ruelles de Ara Ball

MEILLEUR COURT MÉTRAGE DOCUMENTAIRE
Prix présenté par SPIRA
Bourse de 1 000$ en argent et 20 000$ en services techniques
GAGNANT : Photo jaunie de Fanie Pelletier

MEILLEUR COURT MÉTRAGE D’ANIMATION
Prix présenté par la Caisse de la culture
Bourse de2 500$ en argent
GAGNANTS EX ÆQUO : J’aime les filles de Diane Obomsawin et Vaysha l’aveugle de Théodore Ushev

MEILLEURE ŒUVRE D’ART ET EXPÉRIMENTATION
Prix présenté par PRIM
Bourse de 20 000$ en services
GAGNANT : Mobiliser de Caroline Monnet

MEILLEUR FILM FRANCO-CANADIEN
Prix présenté par Unis TV
Bourse de 1 500$ en argent
GAGNANT : Le déni de Claudia Hébert

MEILLEUR FILM ÉTUDIANT
Prix présenté par La Fabrique culturelle de Télé-Québec
Bourse de 1 000$ en argent
GAGNANT : La ronde de minuit de Gabrielle Demers.

PRIX DE LA JEUNE CRITIQUE
Bourse de mobilité pour participer au Festival International du Film de La Rochelle en juillet 2017
Présenté par Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ)
GAGNANT : Louis-Emmanuel Gagné-Brochu pour sa critique d’Avant les rues de Chloé Leriche

Autres prix remis dans le cadre des RVCQ

PRIX COUP DE CŒUR – COURT MÉTRAGE DE FICTION
Prix remis par le Conseil des arts de Montréal et la Coop Vidéo
Bourse de 3 000 $ en argent et une invitation au développement d’un projet à la Coop Vidéo.
GAGNANT : Oh What a Wonderful Feeling de François Jaros

PRIX LUC PERREAULT/AQCC
Remis par l’Association québécoise des critiques de cinéma
Bourse de 2 000 $ en argent
GAGNANT : Avant les rues de Chloé Leriche

Pour tout savoir sur la 35e édition des Rendez-vous du cinéma québécois : #RVCQ2017
https://www.facebook.com/QcCinema

Une première entente lie la SODEC et le CNC

Le Centre national du cinéma et de l’image animée de France (CNC) et la Société de développement des entreprises culturelles du Québec (SODEC) viennent de signer une entente de jumelage, d’une durée de trois ans renouvelable.

 


 

« Je suis très fière que nous ayons signé cet accord. Cette entente est plus qu’une signature, elle comprend des gestes concrets à poser dès demain sur des programmes et projets très précis dans lesquels on aura de vrais échanges le plus rapidement possible », a indiqué en France avec beaucoup d’enthousiasme la présidente et chef de la direction de la SODEC, Monique Simard, « le fait de vivre dans un monde anglo-saxon avec un voisin géant aux plans économique et culturel a eu comme conséquence que les Québécois décuplent leur créativité et se distinguent. Cela a provoqué une créativité mondialement reconnue…»

 

L’entente signée prévoit deux rencontres par an, ainsi que l’échange systématique d’informations (publications, statistiques, études et programmes), d’idées et de ressources pour mieux soutenir le cinéma et l’audiovisuel au Québec et en France. Le jumelage CNC / SODEC comprend aussi la création d’un label France Québec, décerné à des festivals mettant en valeur la francophonie et l’amitié franco-québécoise.

 

Les deux institutions s’engagent également à réfléchir à la création d’événements culturels franco-québécois dans les domaines du cinéma et de l’audiovisuel, ainsi qu’à la coproduction et à la promotion conjointe des films français et québécois.

 

Selon le directeur général délégué du CNC, Christophe Tardieu : « C’est un immense plaisir de pouvoir travailler avec une institution québécoise, avec laquelle nous possédons une histoire commune, une culture commune et une langue commune. Même si un océan nous sépare, nous avons beaucoup à apprendre de la résistance positive du Québec et de l’expression de son identité. »

 

Rappelons que la France est un partenaire majeur pour la coproduction et la diffusion du cinéma québécois : cette année, 10 films québécois sortiront en France. 72 films français sont sortis au Québec en 2015, réalisant au total près de 900 000 entrées.

 

BALLERINA prendra l’affiche au Québec le 24 février 2017

Les Films Séville annoncent la sortie du film BALLERINA le 24 février prochain au Québec.

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Les Films Séville, annoncent également la grande première du film Ballerina, le samedi 18 février prochain, au Cinéma Impérial. Les invités seront appelés à faire des contributions volontaires pour l’occasion et la totalité des fonds amassés seront versés à la Fondation CHU Sainte-Justine, un choix significatif pour Les Films Séville, ainsi que les producteurs, Caramel Films, Quad et Main Journey. 

 

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À l’affiche dans près de 40 pays à travers le monde depuis quelques semaines, BALLERINA connaît déjà un impressionnant parcours à l’international. Depuis sa sortie autour du monde, le film a déjà atteint un box-office de plus de 45 millions de dollars. « Les résultats au box-office international dépassent nos attentes, et nous sommes très confiants pour la sortie au Québec, » dit André Rouleau, président de Caramel Films.

 

L’Atelier Animation, un studio montréalais dédié à la fabrication de longs métrages et séries d’animation 3D, signe la conception de BALLERINA. « Nous sommes heureux et très fiers du travail accompli par notre équipe pour le film, d’autant qu’il s’agit du premier projet de l’Atelier Animation, » déclare Johanne St-Arnauld, directrice générale. Établi à Montréal depuis 2012, l’Atelier se démarque par le choix de ses projets d’envergure et par son infrastructure technologique en constante évolution. Véritable lieu de créativité, le studio privilégie le talent et l’audace en s’entourant d’artistes, de techniciens et de gestionnaires passionnés.

Synopsis

Félicie est une jeune orpheline bretonne qui n’a qu’une passion : la danse. Avec son meilleur ami Victor qui aimerait devenir un grand inventeur, ils mettent au point un plan rocambolesque pour s’échapper de l’orphelinat, direction Paris, ville lumière et sa Tour Eiffel en construction ! Félicie devra se battre comme jamais, se dépasser et apprendre de ses erreurs pour réaliser son rêve le plus fou : devenir danseuse étoile à l’Opéra de Paris…

Elle Fanning, Dane DeHaan, Maddie Ziegler, Carly Ray Jepsen et Shoshana Sperling ont prêtés leur voix à la version anglaise du film, alors que la version française est interprétée par Camille Cottin, Malik Bentalha, Kaycie Chase, Magali Barney et Frédéric Souterelle.

 

Visitez :https://ballerina-lefilm.ca

 

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BALLERINA, un scénario de Carol Noble et Laurent Zeitoun, une réalisation de Eric Warin et Eric Summer

Produit par André Rouleau et Valérie d’Auteuil (Caramel Films), Yann Zenou, et Laurent Zeitoun et Nicolas Duval Adassovsky (Quad Productions, Main Journey)

Distribué par Les Films Séville, une filiale d’eOne, et produit par Caramel Films, Quad et Main Journey, BALLERINA prendra l’affiche le 24 février 2017 au Québec.

 

 

 

 

Programmation de la 20e édition du FIFEM du 4 AU 12 mars 2017

 

LE FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM POUR ENFANTS DE MONTRÉAL DÉVOILE LA PROGRAMMATION DE SA 20E ÉDITION !

 

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Le Festival International du Film pour Enfants de Montréal (FIFEM) se tiendra pendant la semaine de relâche, du 4 au 12 mars prochain à Montréal.

C’est un nombre record de 20 films, dont 10 courts-métrages, qui seront présentés en compétition officielle. La programmation inclura également une section en version anglaise, des courts-métrages pour les tout-petits et plusieurs autres surprises, pour le plus grand plaisir des jeunes cinéphiles.

 

En ouverture et clôture

Rappelons que c’est le film LE CŒUR EN BRAILLE, adapté du roman éponyme de Pascal Ruter, qui sera présenté en ouverture. Le long-métrage est réalisé par le populaire comédien français Michel Boujenah (Père et fils, 3 amis), qui sera d’ailleurs présent à Montréal dans le cadre du festival.

Présenté en première nord-américaine, c’est le film PRIMAIRE, mettant en vedette Sara Forestier, qui clôturera le festival en présence de la réalisatrice Hélène Angel.

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Depuis maintenant 20 ans, le FIFEM s’engage à ouvrir les horizons des cinéphiles de demain grâce à sa programmation internationale. Avec 20 films présentés en « Compétition officielle », les familles montréalaises seront conviées à un véritable tour du monde en 9 jours.

Longs-métrages

  • Du côté des longs-métrages, on visitera l’Allemagne avec À HAUTEUR D’HOMME d’Evi Goldbrunner et Joachim Dollhopf, qui trace l’histoire de Michael, un jeune garçon intimidé à l’école qui déménage à contrecœur chez son père alors que ce dernier est la raison des railleries dont il est victime;
  • la Norvège avec GRAND HÔTEL d’Arild Fröhlich, sur l’amitié inusitée entre un enfant atteint du syndrome de Gilles de La Tourette et d’un vieil écrivain alcoolique;
  • la France avec JAMAIS CONTENTE d’Émilie Deleuze, à propos de l’adolescence difficile d’une jeune fille pour qui rien ne va;
  • la Pologne avec LA PORTE BLEUE de Mariusz Palej, qui suit les aventures incroyables du petit Lukas, qui, suite à un accident ayant laissé sa mère dans le coma, doit affronter ses peurs lorsqu’il trouve un passage secret vers une autre dimension;
  • les Pays-Bas, la Belgique et la Croatie avec LE JOUR OÙ MON PÈRE EST DEVENU UN BUISSON de Nicole van Kilsdonk, sur le périple de Toda, qui entreprend un voyage audacieux quand son père est subitement appelé à défendre son pays;
  • la Suisse avec LE PETIT SUMO de Stefan Jäger, à propos d’un ancien champion de lutte qui voit sa retraite bouleversée par l’arrivée dans son immeuble d’un jeune garçon qui rêve de devenir lutteur-sumo;
  • la Corée du Sud avec MEILLEURES ENNEMIES de Ga-Eun Yoon, film émouvant qui donne un aperçu du monde affectif ambivalent et très complexe de deux fillettes;
  • Taïwan avec SOURIEZ LES ENFANTS de Laha Mebow, sur l’enfance soudée de trois gamins nés dans une tribu indigène isolée;
  • et la Suisse avec MA VIE DE COURGETTE de Claude Barras, sur l’histoire d’un vaillant petit garçon qui doit s’adapter à sa nouvelle vie en foyer d’accueil. Ce long-métrage a d’ailleurs été présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes et a reçu de nombreux prix dans plusieurs festivals à travers le monde, dont le Cristal du long métrage et le prix du public au Festival international du film d’animation d’Annecy en 2016. Il est également nommé pour l’Oscar du meilleur film d’animation en 2017.

 

Courts-métrages

Pour la toute première fois, on retrouvera également une sélection de courts-métrages en « Compétition officielle ».

  • Ce volet inédit permettra aux cinéphiles de découvrir le film d’animation DEUX ESCARGOTS S’EN VONT (France) du réalisateur Jean-Pierre Jeunet, inspiré d’un poème de Jacques Prévert et mettant en vedette les voix de nombreux comédiens dont Audrey Tautou;
  • SPRING JAM (Nouvelle-Zélande) de Ned Wenlock, à propos d’un jeune cerf dont les bois n’ont pas encore poussé et qui a besoin de musique pour la saison des amours;
  • NADINE (Canada) de Patrick Péris, qui présente un adolescent qui doit surmonter sa timidité lorsqu’il veut aborder une belle inconnue; LE PETIT BONHOMME DE POCHE (Suisse, France, Géorgie) d’Ana Chubinidze, l’histoire d’un petit bonhomme qui se lie d’amitié avec un vieil aveugle grâce à leur passion mutuelle pour la musique;
  • J’AIME LES FILLES (Canada) de Diane Obomsawin, qui dépeint les anecdotes intimistes de quatre amies qui se racontent avec franchise leurs premières histoires d’amour;
  • THE SHADOW WHICH TURNED INTO LIGHT (Iran) de Nazanin Soghan Sarbandi, le récit surréaliste de l’ombre d’un marionnettiste qui décide de quitter ce dernier et faire carrière solo;
  • ROGER (Espagne) de Sonia Cendón, Arnau Gòdia, Sara Esteban, Ingrid Masarnau, Martí Montañosa, comédie qui met en scène Roger, personnage de pâte à modeler en vedette dans une série d’animation stop motion, qui est mis de côté au profit de son double;
  • LA LICORNE (France) de Rémi Durin, à propos d’une reine qui décide de partir à la recherche d’un animal mythique;
  • WAY OF GIANTS (Brésil) d’Alois di Leo, où l’on suit Oquirá, une petite fille indigène de six ans qui vit dans une forêt d’arbres géants;
  • et finalement MOON GIRL (France) de Nicolas Bianco Levrin, le touchant récit d’un petit cafard qui, depuis les bas-fonds parisiens, nourrit un amour inconditionnel pour la lune.

 

 

Panorama

Comme chaque année, le FIFEM fait la part belle à des œuvres inédites du patrimoine cinématographique mondial, notamment grâce à sa section « Panorama ».

Longs-métrages présentés en français au Cinéma Beaubien :

  • la trilogie ANTBOY, d’Ask Hasselbalch, qui vous donne la chance de revoir sur grand écran les deux premiers épisodes de la trilogie mettant en vedette ce héros attachant et le retrouver dans sa nouvelle aventure : ANTBOY 3 : LE COMBAT FINAL;
  • GUS, PETIT OISEAU, GRAND VOYAGE de Christian de Vita, qui nous fait découvrir l’histoire de Gus, petit oisillon, qui doit diriger ses semblables dans la grande migration;
  • IQBAL, L’ENFANT QUI N’AVAIT PAS PEUR de Michel Fuzellier et Babak Payami, qui met en scène un jeune garçon prêt à tout pour aider sa mère et soigner son frère, même à vendre sa chèvre adorée;
  • et OPÉRATION PINGOUINS de Stuart McDonald, l’histoire d’un fermier excentrique qui tente, avec l’aide de sa petite fille, d’entraîner son chien Oddball à protéger un enclos de pingouins des attaques de renards.

 

 

 

Versions anglaises au Cinéma du Parc

Encore une fois, le FIFEM propose une multitude d’œuvres en version anglaise au Cinéma du Parc.

  • Parmi les films présentés figurent SHEEP AND WOLVES réalisé par Maxim Volkov et Andrej Galat et présenté au Festival d’Annecy en 2016, qui raconte l’histoire d’un troupeau de moutons qui voit sa paisible existence mise en péril par l’arrivée d’une meute de loups;
  • THE EAGLE HUNTRESS d’Otto Bell, documentaire inspirant qui nous transporte en Mongolie, où la jeune Aisholpan désire devenir la première dresseuse d’aigles, discipline jusque-là dominée par les hommes;
  • et WINDOW HORSES d’Ann Marie Fleming, film d’animation qui dresse le récit d’une jeune poétesse canadienne qui se rend en Iran pour participer à un festival de poésie.

 

 

Finalement, certains films seront présentés à la fois en anglais au Cinéma du Parc et en français au Cinéma Beaubien.

  • C’est le cas des films MA VIE DE COURGETTE (My Life As a Courgette) de Claude Barras, qui fait partie de la compétition officielle;
  • À LA POURSUITE DU ROI PLUMES (Beyond Beyond) du cinéaste Esben Toft Jacobsen, qui nous présente Johan, un petit lapin qui vit heureux avec ses parents jusqu’au jour où sa mère est emportée par le Roi Plumes;
  • L’ÉLAN DE NOËL (A Christmoose Story) de Lourens Blok, conte de Noël sur le périple du jeune Max, chargé de remplacer le Père-Noël pour la distribution des cadeaux;
  • TOUT EN HAUT DU MONDE (Long Way North) de Rémi Chayé, film d’animation à propos d’une fillette qui décide de suivre les traces de son grand-père, un ancien explorateur de grande renommée;
  • et finalement MONSIEUR GRENOUILLE (Mr. Frog) d’Ana van der Heide, le récit cocasse d’un professeur qui possède un don assez particulier : celui de se transformer en grenouille!

 

La programmation du FIFEM s’adresse à toute la jeunesse.

Des films accessibles aux enfants dès l’âge de deux ans seront ainsi proposés dans la section « Mini-cinéphiles », avec notamment :

  • ERNEST ET CÉLESTINE, LA COLLECTION de Julien Chheng et Jean-Christophe Roger, un montage de six épisodes des aventures d’Ernest, ours bougon et asocial, et de Célestine, petite souris optimiste et généreuse;
  • BANDE DE CANAILLES de Velt Helmer, qui suit les enfants de Bollevillage, alors qu’ils décident de saboter une étude menée auprès de leurs parents et reprendre le contrôle sur leur ville;
  • LES P’TITES POULES de Jean-Luc François, les aventures rocambolesques de Carmen et Carlito, deux poules téméraires, et de leur ami Belino le mouton;
  • et finalement GRABOUILLON ET LE TRÉSOR DU CAPITAINE NEM’OS de Paul Leluc, film d’animation mettant en vedette Grabouillon, un chien qui passe le plus clair de son temps à faire des bêtises, alors qu’il vient de découvrir un coffre au trésor rempli d’indices mystérieux.

Comme toujours, la programmation de cette 20e édition du FIFEM fait honneur à la diversité culturelle avec des films venus d’une trentaine de pays différents. Le FIFEM est présenté en collaboration avec le Cinéma Beaubien, Télé-Québec et Renaud-Bray.

Le programme complet du festival sera disponible chez Renaud-Bray et au https://www.fifem.com à compter du 14 février.

Les activités pro des Sommets de l’animation

Les Sommets du cinéma d’animation concrétisent leur place de choix dans le panorama montréalais de l’animation, en proposant une gamme d’activités professionnelles.

 

L’évènement de réseautage pour les professionnels du cinéma d’animation L’Avenir/The Future qui se tiendra le vendredi 25 novembre de 10h à midi au Centre Phi, réunira les studios qui viendront présenter leurs projets en cours de production, et qui donnera le ton à l’année 2017 en matière d’animation.

Organisé avec le soutien du Centre Phi et de la SODEC, L’Avenir/The Future aura comme objectif célébrer la vitalité et le savoir-faire montréalais et de créer un climat d’échange et de discussion. Parmi les projets dévoilés, soulignons :

PADDINGTON 2 sera présenté par par Pierre-Luc Labbée et Laurent Laban, superviseurs des effets visuels chez Framestore.
VILLE NEUVE, Galilé Marion Gauvin présentera le long métrage de Félix Dufour-Laperrière, produit par Unité Centrale;
RETOUR À HAIRY HILL produit par E.D.Films, un conte familial inspiré des traditions orales sera dévoilé par Emily Paige;
TESLA de Matthew Rankin, un portrait impressionniste du serbe Nikola Tesla, considéré comme l’un des plus grands scientifiques dans l’histoire des technologies, produit par Julie Roy de l’ONF;
HARVEY, Corinne Destombes du studio français Folimage, dévoilera des images du projet de Nicola Lemay et Janice Nadeau, coproduit par l’ONF;
MUSEUM OF SYMMETRY de Paloma Dawkins, un projet de réalité virtuelle produit par Maral Mohammadian de l’ONF.

La rencontre sera clôturée par une présentation de Marcel Jean, délégué artistique du Festival international du film d’animation d’Annecy qui s’entretiendra sur les grandes tendances de 2017 en animation.

Événement gratuit, sur réservation : cvienlabeaume@cinematheque.qc.ca

Site de la Cinémathèque: https://www.cinematheque.qc.ca/fr/sommets

 

 

 

 

Jardin de réalité virtuelle Centre PHI

De plus, le Jardin de réalité virtuelle du Centre Phi, entièrement consacré au cinéma d’animation à l’occasion des Sommets, sera ouvert aux participants de L’Avenir/Te Future. Cinq œuvres seront présentées en 360º, incluant le court métrage animé Henry, créé par l’Oculus Story Studio, qui a remporté un Emmy cette année. L’expérience de réalité virtuelle Eagle flight signée Ubisoft, qui propose une découverte des cieux de Paris cinquante ans après la disparition de la race humaine et Minotor, une animation en réalité virtuelle de Munro Ferguson produite par l’ONF, qui représente de façon abstraite le parcours du héros mythique vers la mort et la renaissance, y seront également présentées.

Le Jardin de réalité virtuelle est ouvert à tous, en entrée libre dès le 23 novembre.