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L’ONF présente six courts métrages en compétition aux 23e Sommets du cinéma d’animation

L’ONF aux Sommets du cinéma d’animation 2025 : six courts métrages sélectionnés en compétition canadienne

La vitalité de la création à l’ ONF sera mise en valeur lors des 23esSommets du cinéma d’animation , du 26au 31 mai à Montréal, avec six courts métrages sélectionnés. Tous présentés en compétition canadienne , ces films sont signés par des cinéastes de talent aux origines diverses , établis d’ un bout à l’autre du Canada . Cette diversité se reflète également dans les thèmes abordés, allant de quêtes personnelles originales à l’exploration d’ enjeux de société .

Ces films font partie des 56 œuvres choisies cette année dans les différentes compétitions.

Compétition canadienne officielle, catégorie professionnelle

Dans ce récit sur la résilience , tracé au fusain, une femme revit quotidiennement les horreurs d’une guerre qui l’habite. Le pianiste primé Jean-Michel Blais a composé et interprété la musique originale et Sylvain Bellemare (gagnant d’un Oscar pour Arrival de Denis Villeneuve) a signé la conception sonore .

Hypersensible est le parcours accidenté et surréaliste d’une jeune femme qui cherche à se reconstruire , à contre-courant d’une société prompte à refouler ses émotions. Le film est un doux plaidoyer pour une humanité plus attentive à ses émotions , même les plus difficiles. Le montage est assuré par la cinéaste et monteuse Oana Suteu Khintirian ( Au-delà du papier ).

Adaptation animée du récit « Wheetago War » du conteur tlicho déné primé Richard Van Camp , Inkwo est unappel à l’action qui nous invite à lutter et à nous protéger contre les forces de la cupidité . Comptant notamment sur la voix de Tantoo Cardinal ( Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese), le film a fait une vaste tournée des festivals canadiens, dont le Festival international du film de Toronto (TIFF), et a été sélectionné à Sundance .

  • Encrage de Duncan Major (ONF, 5 min)

À 13 ans, Duncan Major croise sur sa route l’artiste Tara Bryan, avec laquelle il partagera une passion pour l’ impression typographique déterminante pour son avenir . Des années plus tard, à la mémoire de Tara, il crée cette œuvre d’animation poétique, portée par un magnifique paysage sonore et empreinte d’une profonde gratitude .

À l’âge de 13 ans , lorsqu’elle a choisi de ne pas se raser les jambes, la jeune Andrea Dorfman est amenée à se questionner sur les attentes de la société , pour finalement les défier. Le film capte avec charme,humour et tendresse la dimension universelle de l’ exploration identitaire et de la curiosité des jeunes adolescents .

  • Samaa d’Ehsan Gharib (ONF, 2 min 27 s)

Un oiseau en cage voltige et s’agite en tous sens dans une quête effrénée de liberté . Dans ce film saisissant, Ehsan Gharib célèbre la magie et les mécanismes du cinéma . Dans la culture iranienne, samaa est une pratique méditative qui consiste à atteindre un éveil spirituel par le rythme et le mouvement.

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Le Festival du film de l’Outaouais lance son édition 2025 avec une soirée compétitive de courts métrages au Collège La Cité

Le Festival du film de l’Outaouais lance son édition 2025 avec une soirée compétitive de courts métrages au Collège La Cité d’Ottawa

Le Festival du film de l’Outaouais (FFO) a lancé samedi 22 mars le début des projections de son édition 2025 avec le Gala du Collège La Cité dans la magnifique salle L’Excentricité.

Dans une salle pleine à craquer, le Gala était animé par Philippe Boily , sous une création de Jeanne Ferland , dans le cadre d’une compétition de courts métrages qui s’est déroulée devant les juges : Nicolas Breton (chef opérateur), Maxime Lefebvre (comédien), Nancy Béliveau (réalisatrice) et Didier Farré (directeur général du Festival du film de l’Outaouais).

Trois courts-métrages de Vital Distribution ont été présentés lors du gala : Le temps des orages , Time Space Love et Les courses . Alors que quatre courts métrages se retrouvaient en compétition : Amis, Fragments, Faux pas et Di Serano.

Le prix du jury a été remis à Amis alors que Fragments recevait le Prix du Public.    

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La SODEC dévoile les lauréates et lauréats du concours Cours écrire ton court – Édition jeunesse

La SODEC dévoile les lauréates et lauréats du concours Cours écrire ton court – Édition jeunesse

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) est heureuse d’annoncer le nom du grand gagnant du concours annuel Cours écrire ton court – Édition jeunesse .

Après des délibérations qui se déroulent le 22 mars lors du Festival Regard , le jury a rendu son verdict. Sous la présidence de René Livernoche, chargé de projet au contenu à la SODEC, le comité était composé de Martin Doyon (scénariste et représentant de la SARTEC), Vincent René-Lortie (réalisateur), Marie-Élaine Riou (coordonnatrice au Bureau du cinéma et tourisme culturel, Promotion Saguenay), Jocelyn Robert (coordonnateur de Télé-Québec au Saguenay–Lac-Saint-Jean) et Alain Rondeau (délégué à l’accueil des projets à la SODEC).

Le grand prix Cours écrire ton court – édition jeunesse , d’une valeur de plus de 155 000 $, récompense le meilleur parmi les sept projets finalistes. Ce prix comprend une bourse pour le scénariste gagnant ainsi qu’un passage accéléré en production au sein du programme d’aide à la création émergente de la SODEC, incluant une subvention de 115 000 $. À cela s’ajoutent divers équipements de tournage, des services de postproduction, de diffusion et de consultation généreusement offerts par les partenaires du concours. Pour cette édition, le grand prix a été attribué à Louis Bodart pour son scénario Roche qui ricoche . « Cette histoire originale se distingue par la clarté de son propos et par sa capacité à nous faire vivre toutes sortes d’émotions. L’humour y est savamment dosé, tout en laissant place à des moments d’une profonde intensité. Il s’agit d’une œuvre artistique audacieuse, évoluant dans un univers imaginaire d’une grande richesse. Sur le plan sonore, l’accompagnement est tout aussi remarquable, venant renforcer l’immersion dans cet univers unique. De plus, le film répond avec brio à son mandat : captiver un jeune public, mais également les spectateurs plus âgés. Enfin, ce scénario a su séduire unanimement les membres du jury, qui l’ont qualifiés de véritable petit bijou. On imagine déjà ce film parcourir les festivals à travers le monde ! », a dit Schelby Jean-Baptiste, porte-parole du concours lors de la remise du prix.

Le prix SARTEC , d’une valeur de 2 000 $, récompense un scénario de langue française qui se démarque par sa qualité, son inventivité et son état d’achèvement. Le prix a été remis à Pénélope Bourque pour son projet Capharnaüm .

Le jury a sélectionné ce projet pour sa capacité à nous transporter dans l’univers éprouvant de la maltraitance infantile, un sujet social délicat que le scénariste aborde avec une audace et une imagination remarquables. Le personnage de la jeune héroïne, profondément émouvant, trouvera sans doute un écho puissant auprès des auditoires.

Le prix Bureau du cinéma de Saguenay , d’une valeur de 2 000 $, récompense le scénario le mieux ancré dans des lieux qui mettent en valeur la richesse du territoire via des personnages marqués par une réalité régionale québécoise distincte. Le prix a été remis à Anna Claringbould pour son projet Does Anybody Care?

Lors de la remise du prix, le jury a souligné la force du scénario, magnifiquement écrit, qui dépeint des personnages avec une grande précision et met brillamment en valeur le territoire. Il offre également une opportunité unique pour les jeunes des régions de s’identifier aux protagonistes de l’histoire.

Le prix WGC , d’une valeur de 2 000 $, récompensant le scénario de langue anglaise le plus achevé et a été remis à Anna Claringbould pour son projet Does Anybody Care? Ce scénario a été sélectionné pour sa qualité exceptionnelle. On y croit du début à la fin : les personnages sont admirablement bien décrits, les dialogues sont percutants, les ambiances sont riches, et la finale est un véritable coup de poing. De plus, ce scénario, parfaitement maîtrisé, s’adresse avec brio à son public cible.

Enfin, tous les finalistes ont reçu un certificat d’une valeur de 350 $ valide à l’achat d’un cours d’introduction ou de perfectionnement offert par L’institut national de l’image et du son (L’inis) . Ils ont également droit à l’opportunité de participer à une présentation sur la postproduction lors d’une visite des locaux de Post-Moderne, ainsi que de 250 $ pour les frais d’ouverture de dossier en vue d’une accréditation On tourne vert de niveau performance ou excellence, ainsi que la participation à un atelier de sensibilisation à l’écoresponsabilité dans le milieu audiovisuel.

Ce concours de scénarisation de courts métrages de fiction constitue une expérience exceptionnelle pour les scénaristes émergents. Il leur offre un encadrement personnalisé par des conseillers en scénarisation tout au long de la création de la version finale de leur projet. En outre, il ouvre des portes uniques dans l’industrie cinématographique pour les créateurs débutants qui y participent.

Remerciements

La SODEC remercie chaleureusement la porte-parole du concours Schelby Jean-Baptiste, actrice, scénariste et animatrice; le modérateur et animateur du concours, Daniel Racine, journaliste, critique et programmeur, de même que les membres du jury final.

Partenaires de l’édition

Cours écrire ton court 2025 – Édition jeunesse a été organisé par la Société de développement des entreprises culturelles ( SODEC ) en collaboration avec la Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma ( SARTEC ), le Festival REGARD , les Rendez-vous Québec Cinéma et L’institut national de l’image et du son ( L’inis ), partenaire de formation du concours, ainsi qu’avec la Fabrique culturelle de Télé-Québec , partenaire média. De plus, le concours compte sur le soutien de Post-Moderne et également de la Writers Guild of Canada ( WGC ), du Bureau du cinéma de Saguenay , de Bande à part , de Bande Sonimage , du cabinet d’avocats Lussier & Khouzam , d’ On tourne vert , de Paraloeil , de SLA Location et de Spira .

À propos de la SODEC

La SODEC a pour mandat de promouvoir et de soutenir le développement des entreprises culturelles au Québec et à l’étranger dans les secteurs de l’audiovisuel, du livre, de l’édition, des métiers d’art, du marché de l’art, de la musique, du spectacle et du numérique. La SODEC a également le mandat de protéger et de mettre en valeur un parc immobilier patrimonial de 32 immeubles, reflet de l’identité québécoise.

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Lauréats 2025 du Festival REGARD

Remise de prix – Festival REGARD au Saguenay : DÉVOILEMENT DES 15 COURTS MÉTRAGES PRIMÉS DE LA 29E ÉDITION DE REGARD !

Photo : Productionsnovak

Après avoir diffusé plus de 200 courts métrages sur grand écran et accueilli plus de 450 invités.es en ville dans les derniers jours, REGARD – Festival international du court métrage au Saguenay et ses cinq jurys ont récompensé 15 cinéastes pour cette édition lors de la remise de prix officiel, en plus de décerner quatre mentions spéciales .

Près de 130 000$ en argent et en services ont donc été remis à plusieurs réalisateur.trice.s provenant des quatre pièces du monde. Des films qui pourront être vus ou revus lors des séances Palmarès ce dimanche après-midi au Studio Desjardins du CEM dès 13h.

Concours Officiel

Le jury de la Compétition Officielle était composé cette année de la comédienne Juliette Gariépy (Québec), du réalisateur Rafaël Ouellet (Québec), du concepteur sonore Olivier Calvert (Québec), de la réalisatrice, productrice et directrice photo Miryam Charles (Québec), ainsi que de la programmatrice Madison Egan (États-Unis). Ce jury avait comme mission de remettre cinq prix parmi les 55 courts métrages en Compétition Officielle.

D’abord, le Grand Prix , offert par MUBI, le Festival REGARD et CineGround, a été remis au film Ombres de Rand Beiruty (France/Jordanie).

« Ce film essentiel raconte l’histoire vraie et troublante d’une adolescente victime d’un mariage forcé et de violence conjugale. Il a su toucher le jury par son approche sensible et le point de vue qu’il adopte. En sélectionnant l’animation pour ce récit tragique, la réalisatrice protège non seulement l’identité de la jeune femme, mais trouve aussi une façon puissante de mettre en image son témoignage poignant, d’illustrer sa résilience et d’insuffler un peu de douceur à ses souvenirs. L’équilibre entre la réalité de cette violence et la candeur de cette jeune femme qui ne baisse jamais les bras, en fait un film nécessaire, qui éveille les consciences et touche le cœur. » – Le Jury de la Compétition Officielle

Le Grand Prix Canadien , présenté par l’Université du Québec à Chicoutimi et Grandé Studios, a quant à lui été attribué à Sarah Seené (Québec/Canada) pour son film Orbites .

« Ce film explore de manière sensible, nuancée et poétique une réalité inconnue de la majorité d’entre nous en nous plongeant dans un riche univers visuel. Cette œuvre pose une réflexion intime, quasi tactile, sur le regard, le rapport à ce que l’on voit, ce que l’on ne voit pas et surtout dans l’espérance de ce qu’on ne peut plus voir, mais qu’on peut encore s’imaginer. L’espoir émane du film et nous rappelle que tout est encore possible. » – Le Jury de la Compétition Officielle

Par ailleurs, le Prix du Jury, offert par le Festival REGARD et Post-Moderne et remis au coup de coeur du jury parmi tous les films de la Compétition Officielle, a été attribué au court métrage Et s’ils bombardaient ici ce soir ? de Samir Syriani (Liban).

Dans la catégorie du Prix du meilleur film d’animation , présenté par Rodeo FX et TvPaint, c’est le court métrage Sans voix de Samuel Patthey (Suisse) qui remporte la course.

Enfin, les cinq membres du jury de la Compétition Officielle ont choisi de récompenser Arshia Shakiba (Québec/Canada), pour son film Qui aime le soleil , qui gagne le Prix du meilleur film documentaire offert par DOC Québec.

Jury FIPRESCI et Jury AQCC

Le Prix de la critique internationale FIPRESCI , présenté par le Bureau du cinéma de Saguenay et SLA location et qui récompense un.e cinéaste canadien.ne de la Compétition Officielle, est attribué à Orbites de Sarah Seené (Québec/Canada).

Le jury était composé de trois critiques de cinéma, soit Rachel West (Canada), Pélagie Ng’onana (Cameroun) et Laura Pertuy (France).

Le jury de la critique québécoise (AQCC), composé des journalistes spécialisés.es et basés.es au Québec Olivier Du Ruisseau, Martin Bilodeau et Alain P. Jacques, a quant à lui choisi de décerner le Prix de la critique québécoise AQCC , en collaboration avec Lussier & Khouzam, à O réalisé par Rúnar Rúnarsson (Islande/Suède).

Une mention spéciale pour ce prix à été attribuée à Percebes de Laura Gonçalves et Alexandra Ramires (Portugal/France).

Enfin, le Prix du public de la Compétition Officielle , remis par Outpost MTL, a été attribué à Nicolas Lachapelle pour son film Le punk de Natashquan (Québec/Canada) grâce au vote du public qui a eu lieu du 19 au 22 mars à la sortie des salles et sur le site web du Festival.

Focus sur la concurrence

Le Prix Alanis-Obomsawin , offert par le Fonds des médias du Canada et remis à un.e cinéaste du programme Regards Autochtones, est accordé à Marungka tjalatjunu (trempé dans du noir) des réalisateurs Derik Lynch et Matthew Thorne (Australie).

Récompensant un film québécois indépendant, le Prix Tourner à Tout Prix , offert par l’École supérieure en Art et technologie des médias, le Festival REGARD, Spira et PRIM, est cette année accordée au court métrage Ma soeur de la réalisatrice Rosalie Pelletier .

Une mention spéciale pour ce prix a été attribuée au film Cher Zoscar de Sarah Toussaint-Léveillé (Québec/Canada).

Le Prix Americana , qui récompense une ou un cinéaste émergent issu d’Amérique Latine et qui est offert par le Festival REGARD, a été remis au court métrage Servicio necrológico para usted (Service nécrologique pour vous) de María Salafranca (Cuba).

Le réalisateur Marc-Olivier Huard (Québec/Canada) s’est vu recevoir le Prix Philippe-Belley pour son œuvre Interurbain présenté dans le cadre du programme 100% Régions. Un prix offert par Hydro-Québec et La Bande Sonimage.

Finalement, le Prix Short & Queer , gracieuseté du Festival REGARD et de Mainfilm, a été donné au court métrage Manger une orange réalisé par May Kindred-Boothby (Royaume-Uni).

Une mention spéciale a été attribuée à Muses de Simon Vermeulen (Québec/Canada) pour ce prix.

C’est le jury de la Compétition Focus, composé de l’acteur Robin L’Houmeau (Québec), du réalisateur et réalisateur Alexandre Dostie (Québec), du producteur Pierre-Mathieu Fortin (Québec), de la directrice de la programmation au Dreamspeakers International Indigenous Film Festival (Alberta) Aretha Greatrix et de la codirectrice artistique des Rencontres internationales du documentaire de Montréal Ana Alice de Morais (Québec), qui devait remettre ces cinq prix.

Le Prix du public de la Compétition Focus , présenté par Romeo & Fils et Royal Photo, a quant à lui été remis à Maude Petel-Légaré pour son film Le breveteux (Québec/Canada).

Quant au Prix du meilleur film jeunesse , offert par les Cégeps de Chicoutimi, de Jonquière, d’Alma et de Saint-Félicien ainsi que par l’Alliance Média Jeunesse, c’est Christian Zetterberg qui a été récompensé pour son film Spelregler (Règles du jeu) (Suède).

Une mention spéciale a été attribuée au film Les Carpinchos de Soderguit Alfredo (France/Chili/Uruguay).

Trois personnes spécialistes des œuvres jeunesse ont été choisies pour décerner le Prix du meilleur film Jeunesse cette année : Janice Nadeau (Québec), illustratrice et réalisatrice de films jeunesse, Christian Gautellier (France), directeur du Festival international du film d’éducation d’Évreux et Barbada de Barbades (Québec), artiste drag.

Prix hommage

Finalement, le Festival REGARD tient à faire mention de la remise d’un prix hommage au fondateur de KinomadaYannick Nolin , qui a eu lieu le jeudi 20 mars dernier à l’occasion d’un événement pour célébrer les 15 ans de Kinomada. Bougie d’allumage et lieu de perfectionnement pour des centaines de cinéastes à travers le monde, cet organisme cumule à ce jour plus de 700 films créés dans plus d’une dizaine de pays. Du Pérou au Mexique, du Chili au Panama, de Cuba au Salvador, en passant par Haïti, la Martinique et la Louisiane, les tentacules de Kinomada se sont déployées à 29 reprises, avec toujours le même objectif : penser, produire et réaliser des films en peu de temps, en s’inspirant des rencontres et des lieux de chacune des escales.

Les tribunaux québécois voyagent

Afin de prolonger cette 29e édition, REGARD, en collaboration avec deux partenaires, offre l’opportunité de revoir plusieurs courts métrages québécois dès lundi. D’abord, une programmation 100% québécoise sera présentée ce lundi 24 mars à 19h30 au Ciné-Club de Jonquière. Également, la plateforme de visionnement gratuite de Télé-Québec/La Fabrique Culturelle diffusera 15 courts québécois pendant 15 jours à travers REGARD en prolongation du 24 mars au 7 avril prochain.

Découvrez les photos des films lauréats :

TOUS LES DÉTAILS SUR LES PRIX ICI

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ONF @ ANNECY 2025 – Trois courts métrages sélectionnés → retour des cinéastes Chris Lavis et Maciek Szczerbowski

L’ONF au Festival international du film d’animation d’Annecy 2025 : Trois courts métrages sélectionnés dans la compétition L’officielle

L’Office national du film du Canada sera présent au Festival international du film d’animation d’Annecy, du 8 au 14 juin 2025, avec une sélection des plus diversifiées, marquée par le retour attendu des cinéastes Chris Lavis et Maciek Szczerbowski. Cette année, trois films se retrouvent dans la prestigieuse compétition L’officielle :

Les faits en bref

Courts métrages – compétition L’officielle

La jeune fille qui pleurait des perles (The Girl Who Cried Pearls) de Chris Lavis et Maciek Szczerbowski (16 min) Une production de l’ONF (Julie Roy, Marc Bertrand et Christine Noël)

  • La jeune fille qui pleurait des perles est réalisé à la main en animation de volume par le duo nommé aux Oscars Chris Lavis et Maciek Szczerbowski. Le film a été présenté en Work in Progress à Annecy en 2023.
  • Fable moderne saisissante explorant la cupidité, l’émerveillement et le pouvoir de la fiction, le film réunit une équipe créative d’exception : Patrick Watson (musique), Olivier Calvert (conception sonore), Colm Feore (voix dans la version anglaise) et James Hyndman (voix dans la version française).

Bread Will Walk d’Alex Boya (11 min 17 s) Une production de l’ONF (Jelena Popović)

  • Une sœur dévouée prend la fuite avec son frère métamorphosé en étrange créature de pain. Une foule affamée les pourchasse. L’amour peut-il l’emporter sur la faim ? Bread Will Walk est une animation 2D et papier dessinée à la main, avec collage numérique.
  • L’acteur Jay Baruchel interprète avec brio tous les personnages (version originale anglaise) de cette satire sociale et comédie contemporaine absurde. Olivier Calvert signe la conception sonore et Martin Floyd Cesar, la musique.

Hairy Legs (Poil aux jambes) d’Andrea Dorfman (17 min) Une production de l’ONF (Liz Cowie et Rohan Fernando)

  • À l’âge de 13 ans, lorsqu’elle choisit de ne pas se raser les jambes, la jeune Andrea Dorfman est amenée à se questionner sur les attentes de la société, pour finalement les défier.
  • Mêlant l’animation 2D (encre, gouache et aquarelle sur papier) et image par image, Poil aux jambes capte avec charme, humour et tendresse la dimensionuniverselle de l’exploration identitaire et de la curiosité des jeunes adolescentes.

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Le PCCQ et Plein(s) Écran(s) présentent « PCCQ court : complètement Bingo! » au Festival REGARD

Le Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ) et Plein(s) Écran(s) présentent « PCCQ court : complètement Bingo! » au Festival REGARD

Une rencontre avec les artisan·e·s des courts métrages finalistes au PCCQ 2025

Pour une deuxième année consécutive, le Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ) et Plein(s) Écran(s) sont heureux de présenter une table ronde qui réunit les artisan·e·s des courts métrages finalistes de cette édition. Cette activité gratuite et ouverte à toutes et à tous se tiendra dans le cadre de REGARD, en collaboration avec De l’âme à l’écran, le vendredi 21 mars à 14 h à la Salle Polyvalente du Cégep de Jonquière.

Intitulé PCCQ court : complètement Bingo!, cet événement original animé par Ariane Roy-Poirier, directrice générale de Plein(s) Écran(s) et membre du jury court métrage du PCCQ, se présente sous la forme d’une session de bingo-questions pour en apprendre davantage sur les courts métrages en lice. Pour l’occasion, les cinéastes Clara Milo (Himalia), Samer Najari (Rituels sous un ciel écarlate) et Amélie Hardy (Hello Stranger), ainsi que la comédienne Isabelle Giroux (Extras) seront présent·e·s pour échanger avec le public.

À moins d’un mois du dévoilement des lauréats, le PCCQ invite les cinéphiles à voir ou revoir les œuvres finalistes sur grand écran. Des projections publiques sont organisées du 24 mars au 3 avril à la Cinémathèque québécoise (Montréal) qui présentera les cinq longs métrages et les cinq courts métrages dans la course cette année. Le Cinéma Beaumont (Québec), quant à lui, projettera un programme rassemblant les cinq courts métrages le jeudi 27 mars à 19 h.

La réalisatrice Amélie Hardy (Hello Stranger), la coréalisatrice Dominique Chila (Rituels sous un ciel écarlate), la marraine du PCCQ Micheline Lanctôt, l’actrice Sophie Faucher (Extras) et la coréalisatrice Clara Milo (Himalia) – Crédit photo © Cindy Boyce

HORAIRE DES ÉVÉNEMENTS – COURTS MÉTRAGES

PCCQ court : complètement Bingo! au Festival REGARD

Vendredi 21 mars à 14 h | Salle Polyvalente du Cégep de Jonquière (Jonquière)

*En présence des cinéastes Clara Milo (Himalia), Samer Najari (Rituels sous un ciel écarlate) et Amélie Hardy (Hello Stranger), ainsi que de la comédienne Isabelle Giroux (Extras)

Information (entrée libre)

Projection des cinq courts métrages finalistes : Hello Stranger de Amélie Hardy, Un trou dans la poitrine de Jean-Sébastien Hamel et Alexandra Myotte, Rituels sous un ciel écarlate de Dominique Chila et Samer Najari, Himalia de Clara Milo et Juliette Lossky et Extras de Marc-Antoine LemireJeudi 27 mars à 19 h | Cinéma Beaumont (Québec)

Information et billetterie

Mardi 1er avril à 20 h 15 | Cinémathèque québécoise (Montréal)

Information et billetterie

HORAIRE DES PROJECTIONS – LONGS MÉTRAGES

Adam change lentement de Joël Vaudreuil

Lundi 24 mars à 20 h | Cinémathèque québécoise (Montréal)

*En présence du cinéaste Joël Vaudreuil

Information et billetterie

L’Ouragan F.Y.T. de Ara Ball

Jeudi 27 mars à 20 h 15 | Cinémathèque québécoise

*En présence de la scénariste et directrice du casting Tania Duguay Castilloux

Information et billetterie

Soleils Atikamekw de Chloé Leriche

Dimanche 30 mars à 18 h | Cinémathèque québécoise (Montréal)

Information et billetterie

Festin boréal de Robert Morin

Mardi 1er avril à 18 h | Cinémathèque québécoise (Montréal)

Information et billetterie

Simon & Marianne de Pier-Luc Latulippe et Martin Fournier

Jeudi 3 avril à 20 h 15 | Cinémathèque québécoise (Montréal)

*En présence des cinéastes Pier-Luc Latulippe et Martin Fournier

Information et billetterie

Rappelons que les délibérations nationales se tiendront le vendredi 4 avril, et l’annonce des lauréat·e·s se fera le samedi 5 avril à 11 h. Les deux films gagnants du PCCQ 2025 (court et long métrages) seront projetés le mercredi 9 avril à 20 h à la Cinémathèque québécoise.

Pour ne rien manquer de la 14e édition du Prix collégial du cinéma québécois : 

prixcollegialducinema.ca | Vimeo | Facebook | Instagram | Bluesky

#PCCQ2025

Le Prix collégial du cinéma québécois est rendu possible grâce aux partenaires suivants : la SODEC, Téléfilm Canada, le ministère de l’Enseignement supérieur, Plein(s) Écran(s), Québec Cinéma, les Rendez-vous Québec Cinéma, l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ), l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM) et la Cinémathèque québécoise. Le PCCQ remercie également les distributeurs des films sélectionnés : Funfilm Distribution, Maison 4:3, Cheval Films, La Distributrice de films et Travelling Distribution.

Le Prix collégial du cinéma québécois est une fête du cinéma québécois vécue à travers toute la province, dans chacun des cégeps participants, avec pour point culminant la désignation des rois de la fête, deux films (un long et un court) élus comme étant les coups de coeur des cégépien·ne·s. Une belle façon pour les jeunes de s’intéresser au cinéma d’ici, d’aiguiser leur sens critique et de faire des rencontres intéressantes. Le PCCQ est né en 2012 de l’initiative de professeur·e·s de cégep désirant partager leur passion du cinéma québécois.

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REGARD dévoile la programmation de sa 29e édition

REGARD, Festival international du court métrage au Saguenay, dévoile la programmation de sa 29e édition

Présenté par Hydro-Québec, REGARD – Festival international du court métrage au Saguenay, dévoile la programmation de sa 29e édition. Faisant partie de 38 programmes, les 200 courts métrages sélectionnés représentent 65 pays et seront diffusés du 19 au 23 mars prochain.

Parmi les films sélectionnés, 100 œuvres sont canadiennes et 90 proviennent du Québec. De grands noms du cinéma québécois se retrouvent dans la sélection, tels que Francis Leclerc, Caroline Monnet, Vincent René-Lortie, Pierre-Luc Latulipe, Pier-Philippe Chevigny et Theodore Ushev, mais on y découvre aussi plusieurs jeunes talents forts prometteurs.

« C’est une année record pour les courts québécois, si bien que près de la moitié des films présentés sont issus du Québec. 200 films, c’est ni plus ni moins que le reflet d’une société. Cette programmation fait écho à l’actualité, aborde des sujets et des enjeux humains et sociaux, mais on se permet aussi de s’éclater, de décrocher, d’avoir du fun. De se rassembler et de célébrer les humains et les talents de ce monde. »

– Mélissa Bouchard, directrice de la programmation

De plus, l’organisation du Festival inaugure deux nouveaux lieux au centre-ville de Chicoutimi pour cette 29e édition. D’abord, le Quartier général (350 rue du Hâvre) où l’équipe accueillera les invité.e.s et où les festivalier.ière.s pourront profiter d’un espace de rencontres et de fête du mercredi au samedi entre 16h et 2h (REBAR). Également, Le Pigeonnier (416 rue Racine Est), situé en haut du Café Cambio, où la majorité des activités du Marché du court auront lieu.

« Cette année, on veut que toute la ville soit en mode REGARD. Ce sera plus d’une dizaine de lieux, de Jonquière jusqu’à La Baie (scolaire), qui vibreront au rythme de nos activités et de nos projections. Les deux nouveaux lieux, au cœur du centre-ville de Chicoutimi, nous permettront de créer un vrai pôle pour la communauté du Festival. »

– Marie-Michèle Plante, directrice générale du Festival

Compétition Officielle

Le Festival sera officiellement lancé le mercredi 19 mars prochain avec la Compétition Officielle au Théâtre C. Cette dernière est toujours composée de 10 programmes qui regorgent de surprises cinématographiques. Accueillant plus d’une cinquantaine de nouveautés et d’incontournables de l’année, on y parle d’amour, d’amitié, de famille, d’enjeux moraux et sociaux. Ces programmes sont toujours présentés en grande salle, soit du côté du Théâtre C à Chicoutimi, ou de la salle François-Brassard au Cégep de Jonquière. Parmi les nouveautés québécoises à surveiller; soulignons A Dying Tree de Vincent René-Lortie et Le Punk de Natashquan de Nicolas Lachapelle, deux courts présentés en première mondiale. Mentionnons aussi Platanero de Juan Frank Hernandez qui revient tout juste de sa première à Sundance, et Pidikwe de Caroline Monnet qui a fait sa première à Berlin en février et qui ouvrira cette 29e édition.

Compétition Focus

Déployée en cinq volets, la Compétition Focus est la vitrine pensée pour les talents émergents, les diversités et les voix souvent marginalisées. Tourner à Tout Prix soutient l’émergence et l’autoproduction, 100% Régions est une ode aux cinéastes excentré.e.s, Short & Queer met à l’honneur les diversités sexuelles et de genre, Americana nous plonge dans la production latino-américaine et Regards Autochtones offre une tribune aux cinéastes des Premières Nations pour que leurs récits puissent résonner encore plus fort.

Parmi le programme 100% Régions, présenté par Hydro-Québec et Culture Saguenay-Lac-Saint-Jean, on retrouve des œuvres de cinéastes du Saguenay-Lac-Saint-Jean (The Magician, L’oncle de Yougoslavie), des Îles-de-la-Madeleine (Le patenteux), de la Capitale-Nationale (Interurbain), de l’Estrie (A dance for pandore), de Matane (Toujours les mêmes), et de Sept-îles (L’avant-dernière fois que j’ai fait caca dans mes culottes).

Notons également que le partenaire professionnel du Festival la Coop Vidéo offrira une résidence de création de six mois d’une valeur de 16 000 $ à un.e cinéaste autochtone québécois.e qui a soumis son film à REGARD dans le cadre de cette édition.

Programmes thématiques

Treize programmes thématiques sont à l’horaire pour cette édition de REGARD. D’abord, plusieurs classiques du Festival font leur retour : Arts & Essai, Films de genre (présenté cette année à deux reprises) et Coups de cœur du public.

Du côté des nouveautés, Récits de guerres plongera les cinéphiles dans le quotidien de ces personnes envahies par une menace constante, marquées par les souvenirs ou même contraintes à se battre. Le mal dominant, présenté par Radio-Canada, aborde les enjeux de santé mentale par le biais des « bouées de sauvetage » qui permettent aux protagonistes de garder un certain équilibre. Sorcelleries invite le public à une incursion envoûtante au cœur des mondes visibles et invisibles.

À mi-chemin entre la rétrospective et la classe de maître, Dialogues avec Phillip Barker et Vincent René-Lortie, présenté par Le Quotidien, promet des découvertes et des échanges fascinants entre les deux réalisateurs déjà primés au Festival dans les dernières années.

Dans un mode plus festif, REGARD célèbre les 15 ans de Kinomada, le plus grand laboratoire de création nomade dédié au court métrage, en y présentant quelques films marquants des 15 dernières années et en soulignant l’apport colossal du projet dans le paysage du cinéma québécois. Présentée par le Cégep d’Alma, la séance Playlist, où une variation de vidéoclips et de films musicaux fera briller la scène musicale québécoise, saura plaire aux nostalgiques de l’époque mythique de MusiquePlus. La Carte Blanche au Post P_orn Arts Fest (Pologne) pose un regard politique et féministe sur les sexualités contemporaines, la représentation des corps, la culture queer et le travail du sexe.

Sans oublier les Dernières Mondiales, présenté par la Micro du Lac, le seul programme où l’équipe de programmation refuse des films parce qu’ils sont trop bons. Avec humour et autodérision, les cinéastes viendront commenter en direct le « pire court métrage » de leur carrière.

Finalement, les deux nouvelles séances Palmarès, présentées par Mode Choc, permettront au public de voir ou revoir en rafale les films primés par les jurys.

Compétition Jeunesse

L’équipe Jeunesse du Festival propose aux parents et aux grands-parents de (re)découvrir REGARD à travers les yeux de leurs enfants. Pour les sourires et les émotions pures, deux différents programmes P’tites vues (3 à 7 ans), l’un à Jonquière le samedi et l’autre à Chicoutimi le dimanche, sont de nouveau proposés. Pour les plus grand.e.s qui ont soif de découvertes cinématographiques et de rencontres mémorables : les Grandes vues sont le rendez-vous des 8-12 ans du côté de Chicoutimi. Ces trois programmes sont présentés par Hydro-Québec. Finalement, le programme pour les ados, fait par les ados, est de retour. Un comité de sept jeunes signe la programmation, présentée par le Cégep de Chicoutimi, qu’ils ont choisi d’intituler Vision⁷. Accompagné.e.s par Noémie Bouchard, directrice du volet Jeunesse, ainsi que des intervenantes de l’organisme Adolescents et Vie de Quartier de Chicoutimi, les jeunes cinéphiles ont visionné plus d’une trentaine de courts avant d’arriver à cette sélection finale.

Plusieurs films jeunesse québécois sont à surveiller cette année : Sirène de Marilou Caravecchia-Pelletier et Rang du lièvre de Tim Bouvette, qui auront leur première mondiale au Festival. Également, Le Pouillaouin de Carolyne et Katia Kurtness, un film de Mashteuiatsh présenté dans un des programmes P’tites vues. Boîte à Savon, du cinéaste de Québec Jimmy Pettigrew, est aussi un incontournable de l’année qui a déjà un grand parcours en festival. Finalement, le court métrage saguenéen La petite ancêtre d’Alexa Tremblay-Francoeur sera sans aucun doute un coup de cœur de l’année.

L’heure du conte avec Barbada

Barbada de Barbades, célèbre artiste drag et membre du jury de la Compétition Jeunesse, offrira sa fameuse Heure du conte aux familles de la région le samedi 22 mars à 13h à la librairie Les Bouquinistes. Elle y lira, entre autres, un classique de la littérature jeunesse de Julia Donaldson et Axel Scheffler, qui a aussi inspiré un court métrage ayant déjà rayonné aux P’tites vues : Le Gruffalo. L’activité est gratuite, sur inscription au festivalregard.com.

Au cours du printemps, l’équipe Jeunesse, en plus de recevoir les familles en salle de projection dès le 20 mars, accueillera également plus de 16 000 élèves de la région dans le cadre du volet scolaire. Une tournée pour rejoindre les écoles du Lac-Saint-Jean est également planifiée en avril.

Événements

Le Festival REGARD offre une expérience immersive avec une variété d’événements qui gravitent autour des projections de courts métrages. Les festivalier.ière.s sont à nouveau invité.e.s à plonger dans l’univers du légendaire Cabaret les 21 et 22 mars dès 23h à l’Hôtel Le Montagnais, présenté en collaboration avec La Noce, pour des performances musicales et des surprises. Des 5 à 7 sont également organisés tous les soirs avant certaines projections, en plus de la Ruelle du court qui propose aux résident.e.s de Saguenay un tournoi de pétanque et une Fête de quartier en collaboration avec Ubisoft Saguenay.

Finalement, la remise de prix, pendant laquelle les cinq jurys décerneront 15 prix, aura lieu le dimanche 23 mars à 10h au Pigeonnier. L’événement est ouvert à tout le monde.

Billetterie

En plus des passeports qui sont en vente depuis quelques semaines, la vente des billets unitaires pour certaines séances commence dès le 26 février à midi sur le site web du Festival. À noter que l’entrée au Cabaret est gratuite pour les détenteur.trice.s de passeport.

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Hommage aux lauréates des Prix du Gouverneur général : Tara Johns et Monique LeBlanc assureront la réalisation 7 courts métrages produits par l’ONF !

Sept courts métrages de l’Office national du film du Canada, réalisés par Tara Johns et Monique LeBlanc, rendent hommage aux lauréates et lauréats des Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle.

La collection des films de l’ONF pour les PGGAS atteindra 126 films

Pour une 17e année, alors que les Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (PGGAS) s’apprêtent à célébrer sept nouveaux lauréats et lauréatesl’Office national du film du Canada réunit des cinéastes, des productrices et producteurs de l’ONF, ainsi que des équipes de création de partout au pays autour d’une mission commune : réaliser de brefs hommages cinématographiques aux légendes canadiennes des arts du spectacle.

Les réalisatrices canadiennes de renom Tara Johns et Monique LeBlanc assureront la réalisation des œuvres, produites pour l’ONF par Christine Aubé et Robert Vroom.

Ces courts opus seront présentés en première lors du gala annuel des PGGAS, qui se tiendra le 14 juin 2025 au Centre national des Arts, à Ottawa. Le public canadien pourra les voir simultanément en ligne sur onf.ca et CBC Gem, et ainsi prendre part à cette célébration unique de l’excellence dans les arts du spectacle.

« Depuis 2008, l’ONF est fier de s’associer aux Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle et de rendre hommage aux lauréats et lauréates des PGGAS au moyen de portraits. Œuvres à part entière, ces courts métrages attestent de la force de la collaboration : conçus conjointement par les lauréats et lauréates, les cinéastes et les productrices et producteurs de l’ONF, ils captent l’essence de ces talents extraordinaires, de leur passion, de leur vision et de leur dévouement. Ces hommages cinématographiques à l’excellence canadienne dans les arts du spectacle constituent un legs précieux que nous nous engageons à transmettre à l’ensemble de la population du pays, aujourd’hui et dans les années à venir », a déclaré Suzanne Guèvremont, commissaire du gouvernement à la cinématographie et présidente de l’ONF.

Le public peut visionner les films pour les PGGAS de l’ONF gratuitement à : onf.ca/chaines/prix-du-gouverneur-general.

Les films

Albertaine de naissance et Montréalaise d’adoption, la cinéaste Tara Johns réalise cinq courts films produits pour l’ONF par Robert Vroom.

  • Lauréats du Prix de la réalisation artistique :
    • Le producteur de musique et de spectacles, défenseur de l’éducation musicale et fervent militant Bob Ezrin, O.C. ;
    • Le comédien Graham Greene, C.M. ;
    • Le compositeur Denis Gougeon ;
    • L’humoriste, acteur de cinéma et de télévision, scénariste et producteur Patrick Huard.
  • Lauréat du Prix du Centre national des Arts :
    • Le compositeur, interprète, ambassadeur linguistique, ethnomusicologue et militant Jeremy Dutcher.

Figure de proue du cinéma de l’Est du Canada, Monique LeBlanc rend hommage à deux lauréates dans des œuvres produites pour l’ONF par Christine Aubé.

  • Lauréate du Prix de la réalisation artistique :
    • l’artiste multidisciplinaire, directrice artistique, chorégraphe, productrice et autrice Sandra Laronde.
  • Lauréate du prix Ramon-John-Hnatyshyn pour le bénévolat dans les arts du spectacle :
    • April Hubbard.

Les réalisatrices

Tara Johns

Albertaine d’origine, la scénariste et réalisatrice Tara Johns mène sa carrière cinématographique à Montréal. En 2001, son premier court métrage, Killing Time, remporte le prix du meilleur court métrage canadien au Worldwide Short Film Festival de Toronto et figure parmi les 10 meilleurs courts métrages québécois de la décennie sélectionnés aux Rendez-vous du cinéma québécois. Son premier long métrage est le film primé The Year Dolly Parton Was My Mom. Après avoir assuré la réalisation de deux courtes fictions documentaires à l’ONF pour des PGGAS d’années précédentes, Tara Johns est sollicitée par MarVista Entertainment afin d’assurer la réalisation du film Our Christmas Mural (2023) pour Hallmark. Elle travaille actuellement à son nouveau projet de long métrage, Good Bones, avec Palomar Films.

Monique LeBlanc

Figure de proue de l’industrie cinématographique de l’Est du Canada, la réalisatrice, comédienne, scénariste, autrice et productrice Monique LeBlanc s’intéresse aussi bien au documentaire qu’à la fiction. Elle explore dans ses films non seulement l’univers des artistes — en peinture, en musique, en écriture —, mais aussi celui de gens ordinaires qui affrontent la pauvreté, le racisme, l’exil. Entrecroisant diverses histoires nées de la complexité des rapports humains, les œuvres de Monique LeBlanc brossent un portrait vivant de sociétés actuelles. Au nombre de ses créations applaudies, citons l’adaptation cinématographique, en 2020, du recueil de poésie de Louise Dupré Plus haut que les flammes (2010), et son quatrième long métrage, Les géographies de DAR (2023), lequel marque une cinquième collaboration avec l’ONF.

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Nuit blanche à l’ONF : une soirée POP pour toute la famille au cœur du Quartier des spectacles !

Dans le cadre de MONTRÉAL EN LUMIÈRE : Nuit blanche à l’ONF : une soirée POP pour toute la famille au cœur du Quartier des spectacles !…venez voir des courts, participez à la création et prenez la pose avec un Oscar®* !

Pour la 22e édition de la Nuit blanche à Montréal, le samedi 1er mars prochain, joignez-vous à nous pour une soirée d’activités gratuites des plus mémorables dans les espaces publics de l’ONF ! Assistez à la projection en continu de nos courts métrages les plus POPulaires, adaptés à tous les âges, à la salle Alanis-Obomsawin. Lors d’une activité présentée avec la participation de la STM, plongez dans les coulisses de La fille au béret rouge, une animation joyeuse et chaleureuse qui se déroule dans le métro de Montréal, et prenez part à la création d’une scène animée aux côtés de la cinéaste Janet Perlman, qui dessinera vos idées en direct à l’Espace ONF. Pour couronner le tout, prenez la pose sur le tapis rouge avec un véritable Oscar®, puis créez et partagez votre GIF. Venez célébrer les 85 ans de créativité et d’innovation de l’ONF, dans une atmosphère festive et colorée, parfaite pour les familles et les cinéphiles !

Tous les détails sur onf.ca/nuitblanche2025

Nuit blanche à l’ONF, le samedi 1er mars de 18 h à 1 h – programmation gratuite et sans réservation

  • Quand ça fait POP à l’Espace ONF

Activité La fille au béret rouge,en présence de la cinéaste

  • Plongez dans les coulisses de la création ! La cinéaste d’animation Janet Perlman vous montrera l’envers du décor de son court métrage d’animation La fille au béret rouge, dans lequel une jeune voyageuse emprunte le métro de Montréal. Un film plein d’humour et de bonne humeur, qui défile sur l’air de Complainte pour Ste-Catherine de Kate et Anna McGarrigle.
  • Vivez la création en direct : donnez vos idées de personnages à la cinéaste, qui les intégrera sous vos yeux dans un wagon de métro, comme dans le film.
  • Testez votre sens de l’observation : réussirez-vous à trouver Maurice Richard, Céline Dion ou Leonard Cohen ? Grâce à un jeu-questionnaire, repérez les personnages cachés dans le film, où apparaissent plusieurs personnalités montréalaises marquantes.

Prenez la pose avec un Oscar®*

  • Le tapis rouge est à vous ! Deux stations vous permettront de prendre la pose avec un véritable Oscar® : lOscar® honorifique remis à l’ONF en 1988 pour récompenser son excellence dans toutes les sphères de la cinématographie et l’Oscar® remis au film Voisins** de Norman McLaren en 1953.
  • Partagez ensuite votre GIF : brillez auprès de votre entourage et devenez la vedette sur vos réseaux sociaux !

*Saviez-vous que… les productions et coproductions de l’ONF ont jusqu’à présent récolté 78 nominations aux Oscars®, plus que toute autre organisation à l’extérieur de Hollywood, ainsi que 11 statuettes et un Oscar® honorifique ?

**Voisins a été inscrit en 2009 au Registre de la Mémoire du monde de l’UNESCO.

  • Quand ça fait POP à la salle Alanis-Obomsawin
  • Impossible d’arriver en retard ! Venez voir des courts métrages POPulaires, projetés sur grand écran en continu toute la soirée.

Des surprises seront offertes au cours de la soirée pour célébrer l’ONF : 85 ans et toujours POP !

Pour se rendre à l’Espace ONF

1500, rue Balmoral
Montréal
Métro Place-des-Arts

Accessible aux personnes à mobilité réduite

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Dévoilement des jurys de la 29e édition du Festival REGARD

Festival international du court métrage au Saguenay : UN MÉLANGE D’EXPÉRIENCE ET D’ÉMERGENCE POUR LE JURY DE LA COMPÉTITION OFFICIELLE

Après avoir dévoilé l’identité de sa porte-parole pour sa prochaine édition la semaine dernière, REGARD – Festival international du court métrage au Saguenay, présente cette fois-ci au public et aux professionnel.le.s de l’industrie les 20 membres qui composent ses cinq différents jurys. Également, leurs choix seront mis en lumière dans les nouveaux programmes Palmarès qui seront présentés le dimanche 23 mars prochain après la remise de prix officielle.

Présent.e.s du 19 au 23 mars prochain à Saguenay, les membres des jurys vont décerner près de 130 000 $ en argent et en services aux lauréat.e.s de la 29e édition.

 

 

Jury de la Compétition Officielle

Le jury de la Compétition Officielle accueille cette année la comédienne Juliette Gariépy (Québec), nommée découverte de l’année au Gala IRIS 2023 pour son rôle dans Les Chambres rouges. Elle sera entourée du réalisateur Rafaël Ouellet (Québec), connu entre autres pour les films Camions, Arseneault et Fils, et la série Veille sur moi, puis du concepteur sonore Olivier Calvert (Québec), dont la feuille de route compte un nombre impressionnant de courts métrages. Se joignent à eux la réalisatrice, productrice et directrice photo Miryam Charles (Québec), ainsi que Madison Egan, la plus jeune programmatrice à rejoindre l’équipe du Tribeca Film Festival (États-Unis).

Alliant les regards aiguisés de l’expérience et la fraîcheur de l’émergence, ces cinq professionnel.le.s devront unir leur voix pour nommer les lauréat.e.s du Grand Prix, du Grand Prix Canadien, du Prix du Jury, du Prix de la meilleure animation et celui du meilleur documentaire.

« Je n’arrive pas à croire que j’ai l’immense honneur de siéger sur le jury du Festival REGARD. Ce dernier occupe une place précieuse dans mon parcours : je me souviens encore de la première fois où j’y ai assisté en tant qu’étudiante en cinéma à Concordia, et de l’impact profond que ces rencontres ont eu sur la manière dont je perçois aujourd’hui notre industrie. REGARD est bien plus qu’un événement, c’est un véritable incubateur pour la relève cinématographique. Aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin de ces espaces de dialogue et de solidarité, alors que la culture traverse une période de profondes inquiétudes. »

– Juliette Gariépy, actrice

Photo : Thomas Bélanger

« Si le court métrage a encore besoin de nous, nous avons plus que jamais besoin de lui. L’état du monde influencera inévitablement nos expériences au cours des prochains mois, mais le fait de nous retrouver dans la salle obscure, plongé.e.s au cœur des sensibilités des cinéastes de la relève comme des habitué.e.s du court, nous permettra de nourrir nos rêves et nos espoirs. Les programmes de courts métrages ont cette force unique : ils nous offrent une pluralité de voix et de thèmes, des regards frais et distincts qui nous gardent en mouvement. »

– Rafaël Ouellet, réalisateur

Photo : Fabrice Gaëtan

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Les JURYS

Jury de la Compétition Focus

La Compétition Focus est une véritable vitrine pensée pour les nouveaux talents, les diversités et les voix souvent marginalisées. Il est important pour l’organisation du Festival que le jury représente l’ensemble de ses cinq volets: Tourner à Tout Prix, 100 % Régions, Americana, Short & Queer et Regards Autochtones.

De la nouvelle génération d’acteurs, Robin L’Houmeau (Québec) est celui qui cumule le plus de rôles, au cinéma comme à la télé. L’expérience d’Alexandre Dostie (Québec) comme distributeur, additionnée à son bagage de réalisateur et son amour des régions, se conjugue bien aux trois férus de documentaires Pierre-Mathieu Fortin (Québec), producteur à l’Unité documentaire francophone de l’ONF, Aretha Greatrix, directrice de la programmation au Dreamspeakers International Indigenous Film Festival (Alberta) et Ana Alice de Morais (Québec), codirectrice artistique des Rencontres internationales du documentaire de Montréal.

Ces cinq personnes auront pour tâche de récompenser un.e cinéaste pour chacun des volets de cette compétition.

Jury FIPRESCI

Toujours grâce au soutien du Bureau du cinéma de Saguenay, REGARD est l’hôte d’un jury de la Fédération internationale de la presse cinématographique (FIPRESCI). Celui-ci est composé de trois critiques de cinéma, soit Rachel West (Canada), Pélagie Ng’onana (Cameroun) et Laura Pertuy (France).

Ce jury remettra le Prix de la critique internationale FIPRESCI parmi l’ensemble des films canadiens en Compétition Officielle.

Jury AQCC

Ce sont trois autres journalistes spécialisé.e.s en cinéma et basé.e.s au Québec qui vont décerner le Prix de la critique québécoise AQCC au nom de l’Association québécoise des critiques de cinéma.

Olivier Du Ruisseau (Le Devoir), Martin Bilodeau (Mediafilm) et Alain P. Jacques (Voir, OCS) se prêteront donc au jeu pour décerner le prix parmi les films internationaux de la Compétition Officielle.

Jury de la Compétition Jeunesse

Trois personnes spécialistes des oeuvres jeunesse ont été choisies pour décerner le Prix du meilleur film Jeunesse cette année : Janice Nadeau (Québec), illustratrice et réalisatrice de films jeunesse, Christian Gautellier (France), directeur du Festival international du film d’éducation d’Évreux depuis sa création il y a 20 ans et Barbada de Barbades (Québec), artiste drag qui performe au Québec depuis 2005.

Exercer son esprit critique

Les cinéphiles pourront également donner leur opinion pendant le Festival en votant pour leur film préféré à la sortie des salles, ou en ligne via le site web et l’application mobile du Festival. Le Prix du public de la Compétition Officielle et le Prix du public de la Compétition Focus seront remis aux deux courts métrages ayant récolté le plus grand nombre de votes.

Peau neuve pour les trophées de REGARD

Nouveauté pour 2025 : l’artiste québécoise de renom Marie-Claude Marquis confectionnera les quinze trophées remis aux lauréat.e.s lors de la remise de prix. Celle qui puise son inspiration dans les objets vintage prépare 15 pièces uniques avec des objets réutilisés.

Les passeports pour l’événement sont toujours en vente sur le site web du Festival.

La dévoilement de la programmation aura lieu devant journalistes, collaborateur.trice.s et ami.e.s du Festival le mercredi 26 février à 10h au Studio Desjardins du CEM.

 

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#CINEMANIA2025 : Appel de courts-métrages moyens et longs et Rencontre avec le jury de la 30 e édition

CINEMANIA annonce l’ouverture de l’appel à soumission de courts et moyens métrages pour l’édition de 2025

Après le succès rencontré l’an passé pour la 30e édition, CINEMANIA est heureux d’annoncer l’ouverture de l’appel à soumission de courts et moyens métrages pour l’édition de 2025. Nous sommes à la recherche d’œuvres de qualité, représentatives de la diversité et de la richesse de la francophonie à travers le monde. Cette année encore, CINEMANIA s’associe avec le Festival Regard pour la sélection des courts métrages internationaux.
Les cinéastes émergent.e.s et établi.e.s d’ici et d’ailleurs sont ainsi invité.e.s à soumettre leurs films pour avoir la chance de présenter leur travail devant un public passionné lors de trois soirées : la Grande Soirée du court international, la Grande Soirée du court québécois et la Soirée du moyen métrage pendant le festival.

Tous les courts métrages sélectionnés feront parti de notre compétition des courts et seront éligibles à trois prix, remis par un jury de professionnel.le.s de l’industrie dédié : le Prix du Meilleur court-métrage québécois, le Prix du Meilleur court-métrage international et le Prix Coup de cœur du Jury.

SOUMETTRE MON COURT OU MOYEN MÉTRAGE

Grande nouveauté 2025 ! Cette année, en plus des courts et moyens métrages, vous aurez la possibilité de proposer vos longs métrages qui seront éligibles pour rejoindre la programmation de la 31e édition du festival…

SOUMETTRE MON LONG MÉTRAGE

Fruit d’un partenariat naissant entre CINEMANIA et l’INIS (l’Institut National de l’Image et du Son), découvrez l’ensemble de nos capsules vidéos qui donnent l’opportunité aux jurys de nos quatre compétitions (Visages de la Francophonie, Films du Québec, Documentaires et Courts-métrages) de prendre la parole sur leur venue à CINEMANIA, leur passion commune pour le cinéma, leurs visions sur le rôle de jury… Des rencontres toutes enrichissantes et un résultat inspirant, témoignant de la qualité de cette 30e édition sur tous ses aspects.

VOIR LES ENTRETIENS

Infolettre : https://mailchi.mp/festivalcinemania/merci-tous-thank-you-so-much-6417845?e=ddc1b58700

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La SODEC soutiendra sept courts métrages et deux projets numériques narratifs de format court à l’étape de la production

La SODEC soutiendra sept courts métrages et deux projets numériques narratifs de format court à l’étape de la production

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) annonce son soutien à la production de sept courts métrages (fictions et documentaires) ainsi qu’à deux projets numériques narratifs de format court. Ces projets ont été sélectionnés dans le cadre du volet 2 (aide sélective à la production de courts métrages et de projets numériques narratifs de format court) du programme d’aide à la production, à l’issue du dépôt du 16 octobre dernier. Les neuf projets se sont démarqués parmi les 60 étudiés.

Mentionnons que les projets financés s’ajoutent aux six projets soutenus lors du premier dépôt pour ce programme.

Les projets qui recevront une aide financière de la SODEC sont les suivants :

Courts métrages de fiction 

Déjà
Scénarisation : Julianne Côté
Réalisation : Juliette Gosselin
Production : Productions Sons of Manual inc. (Productions Mifilifilms)

Marie a des amis, un demi-frère qu’elle adore, une chambre bien à elle dans une maison où elle ne manque de rien. Mais parfois, Marie ne sait plus où se mettre pour ne pas déranger. Déjà est un récit d’errance où l’on suit une adolescente solitaire qui trouve le temps long, qui fait des découvertes, qui rencontre, qui attend. C’est une vignette pleine de tendresse où le spectateur accompagne le personnage dans sa flânerie, comme un parent qui veille au grain. On la voit à la fois s’ennuyer et s’émerveiller, on ne s’apitoie pas sur son sort, bien qu’on en veuille au père de ne pas s’imposer davantage. C’est l’histoire d’une jeune fille qui trouve des repères ailleurs et surtout, en elle.

Devenir un super-héros
Scénarisation et réalisation : Etienne Galloy
Production : Blusaris Films inc.
Distribution : Radio-Canada

Charlot, 13 ans, a tout d’un ado super attachant, mais il est grassouillet. Dans la jungle insensible qu’est le secondaire, il est une cible facile pour Benjamin et David, deux fils de riches aussi parfaits que leurs skins Fortnite. Pour s’évader de leurs remarques violentes et harcelantes sur son apparence physique, Charlot développe une obsession pour les super-héros, particulièrement The Eclipse : un héros capable de courir à la vitesse de la lumière. Devenir un super-héros explore avec tendresse les thèmes de la grossophobie masculine et de l’intimidation au secondaire de manière frontale au cœur d’un univers fantaisiste où Charlot doit apprendre à s’assumer dans son corps tout en réalisant son plus grand rêve… devenir un super-héros.

La chaleur du dauphin (animation)
Scénarisation et réalisation : Lou Scamble
Production : Azimut Films inc.
Distribution : Travelling

Ophélie est une enfant atteinte d’une étrange maladie de la peau qui l’oblige à tremper éternellement dans un bain de médicaments. Sa mère, Madame, est une petite marionnette obsessive et fragile qui se réfugie dans l’odeur des lettres qu’elle reçoit. L’amour qui les lie semble plus fort que tout, bien que Madame, intoxiquée par sa correspondance, entretienne une curieuse fascination pour la maladie de la fillette. Un jour, l’arrivée d’une nouvelle lettre malodorante va faire basculer leur quotidien. La chaleur du dauphin est un court métrage en prise de vues réelles qui utilise différentes techniques de conception (des marionnettes, un personnage réel, des effets spéciaux et des outils numériques) pour raconter une histoire dramatique et fantastique, à mi-chemin entre le grotesque et l’horreur.

La folie du manchot (animation)
Scénarisation et réalisation : Alain Fournier
Production : Dock Films inc.
Distribution : Travelling

Dans une station scientifique isolée en Antarctique, Victor est témoin de phénomènes déconcertants. Tout d’abord, des manchots errants qui s’éloignent de l’océan vers une mort certaine, puis le comportement étrange de Boris, son seul voisin, qui a développé une résistance anormale au froid. Tandis que des records de température glaciale s’annoncent, Victor se trouve plongé dans une nuit de terreur aux portes de l’inconnaissable.

L’île aux trésors
Scénarisation et réalisation : Miryam Charles
Production : 9174-5018 Québec inc. (Coop vidéo de Montréal)
Distribution : La Distributrice de Films

Dans le but de s’émanciper de la culture d’origine de ses parents, la jeune Marthe met sur pied un plan entraînant ses frères et sœurs à fuir le foyer familial. En rébellion contre tout ce qui est haïtien, les enfants retrouvent leurs jeunes cousins, et réaliseront que tout ce qu’ils souhaitent rejeter est ce qui fait leur force.

Pour ceux qui restent
Scénarisation et réalisation : Christine Doyon
Production : La Fête Content & Concept inc.
Distribution : Les Films du 3 Mars

La réalité d’une famille ordinaire est bouleversée par la disparition de la mère. Alors que les jours passent dans l’attente qu’on la retrouve, Justine (11 ans) cherche des réponses à ce départ inattendu. Un enlèvement par des extra-terrestres semble être la seule explication plausible. Le huit clos de la maison fera pourtant ombrage à sa théorie. Pour ceux qui restent porte sur l’abandon et le suicide d’un être cher.

Court métrage documentaire

Jwad Amira
Scénarisation et réalisation : Yza Nouiga
Production : Les Films Extérieur Jour inc.
Distribution : La Distributrice de Films

Amira (55 ans), une chouafa (voyante) d’origine marocaine, soigne quotidiennement les malheurs des autres. Elle s’apprête à rejoindre son amant au Maroc pour vivre des jours heureux quand des évènements inattendus lui font craindre pour son bonheur.

Projets numériques narratifs

Gay Simulator
Scénarisation et réalisation : Van Der Meule, Iris
Production : Art et essai inc. (Québec) et Studio Biarritz* (Pays-Bas)

Gay Simulator est une expérience interactive de réalité virtuelle qui permet à l’utilisateur de se glisser dans la peau d’une jeune fille lesbienne. Cette œuvre artistique célèbre les préférences sexuelles, la sexualité et l’amour, tout en abordant un sujet sérieux : la discrimination que subissent encore les lesbiennes.

L’Écho des voix perdues
Scénarisation et réalisation : Francis Monty
Production : Couleur Point Tv inc.
Distribution : Hubblo

Dans un monde à cheval entre le réel et l’imaginaire, une jeune fille part à la recherche de son frère disparu. Elle le suivra dans un royaume, où tout semble se transformer et où les voix, comme les identités, sont malléables. En chemin, elle découvre que son frère, épuisé, a décidé d’abandonner sa voix, cherchant à se réinventer loin des pressions du monde extérieur. Comme dans un conte classique, la route est pleine d’épreuves et de mystères. Guidée par un géant de pierres, elle fera la rencontre du passeur qui lui fera traverser des épreuves pour ramener son frère à lui-même, tout en comprenant la véritable nature des voix qu’on choisit, et des voies qu’on emprunte.

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À propos de la SODEC

La SODEC a pour mandat de promouvoir et de soutenir le développement des entreprises culturelles au Québec et à l’étranger dans les secteurs de l’audiovisuel, du livre, de l’édition, des métiers d’art, du marché de l’art, de la musique, du spectacle et du numérique. La SODEC a également le mandat de protéger et de mettre en valeur un parc immobilier patrimonial de 32 immeubles, reflet de l’identité québécoise.

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