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Les RVCQ ont remis 9 prix cet après-midi à la Cinémathèque

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, animation, Cinéma, court métrage, documentaire, Festival, Prix.

Québec Cinéma est très heureux de dévoiler les récipiendaires des 9 PRIX RVCQ qui ont été remis cet après-midi à la Cinémathèque québécoise

 

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Les prix RVCQ, synonymes de reconnaissance du talent des cinéastes d’ici, sont un encouragement à la poursuite de leur démarche artistique, et ont un réel impact sur leur carrière. Cette année, la totalité des prix remis lors des RVCQ, dépasse la barre des 58 000 $, faisant de 2017 l’édition la plus généreuse de l’histoire du festival (50 000 $ en 2016).

Les neuf prix RVCQ soulignent la qualité de films de toutes catégories, ainsi que la pertinence du regard posé sur une œuvre par un(e) jeune critique.

 

Le jury du Prix Gilles-Carle, qui récompense un premierou deuxième long métrage de fiction, a souligné cette année le travail de Vincent Biron, pour Prank. Le jury a été charmé par l’originalité de la proposition, l’efficacité de son humour et la maitrise de sa réalisation. Le réalisateur s’est méritéune bourse de 5 000 $ remise par Bell.

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Le Prix Pierre et Yolande Perrault présenté par Hydro-Québec et assorti d’une bourse de 5 000 $ en argent, souligne quant à lui la qualité d’un premier ou deuxième long métrage documentaire. Le jury a choisi cette année le film de Félix Lamarche, Les terres lointaines, pour l’acuité de ses cadres et son rythme juste et maîtrisé.

 

Photo page couverture remise de prix RVCQ 2017

De gauche à droite à partir d’en haut : Louis-Emmanuel Gagné-Brochu, Félix Lamarche, Chloé Leriche, Vincent Biron, Théodore Ushev, Dominique Dugars, Gabrielle Demers, François Jaros et Fanny-Laure Malo
De gauche à droite à partir d’en bas : Fanie Pelletier, Caroline Monnet, Diane Obomsawin, Mylène Corbeil, Ara Ball et Estelle Champoux

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Le festival et ses partenaires ont également récompensé des courts et moyens métrages réalisés par des professionnels et des étudiants :

Mobiliser de Caroline Monnet a récolté les hommages pour la Meilleure œuvre d’art et expérimentation, comprenant une bourse de 20 000 $ en services présentée par Productions Réalisations Indépendantes de Montréal (PRIM).

ICI Tou.tv a remis à Vie d’ruelles, de Ara Ball, le prix du Meilleur court métrage de fiction, assorti d’une bourse de 3 000 $ en argent.

Le prix du Meilleur court métrage documentaire présenté par SPIRA, incluant une bourse de 1 000 $ en argent et de 20 000 $ en services techniques, a été remporté par la réalisatrice Fanie Pelletier pour son film Photo jaunie.

J’aime les filles de Diane Obomsawin et Vaysha l’aveugle de Théodore Ushev ont pour leur part reçu ex æquo le prix du Meilleur court métrage d’animation. La Caisse de la culture, qui remettait une bourse de 1 500 $ en argent, a généreusement bonifié ce montant de 1 000 $ à l’annonce des résultats des délibérations donnant deux gagnants.

Le prix du Meilleur film étudiant et sa bourse de 1 000 $ présentée par La Fabrique culturelle de Télé-Québec est quant à lui allé à La ronde de minuit de Gabrielle Demers.

La doctorante en cinéma et critique Helen Faradji a choisi de récompenser Louis-Emmanuel Gagné-Brochu pour sa critique du film Avant les rues de Chloé Leriche. Il s’envolera pour le Festival international du film de La Rochelle grâce à une bourse de mobilité remise par Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ).

Rappelons que le prix du Meilleur film franco-canadien, présenté par Unis TV, qui souligne le travail d’un réalisateur ou d’une réalisatrice de la francophonie canadienne avec une bourse de 1 500 $ en argent, a été remis à Claudia Hébert pour son film Le déni, lors du Grand rendez-vous franco-canadien le 1er mars.

Outre ces neuf prix, deux autres récompenses ont aussi été remises dans le cadre des Rendez-vous du cinéma québécois 2017 :

Le Prix Luc-Perreault/AQCC du meilleur film québécois de l’année 2016, est assorti d’une bourse de 2 000 $, offerte à parts égales par madame Lucille Beauchemin, veuve de Luc Perreault, et par l’AQCC. Le prix a été remis à Avant les rues de Chloé Leriche.

Le court métrage Oh What a Wonderful Feeling de François Jaros s’est par ailleurs valu le Prix Coup de cœur présenté par Le Conseil des arts de Montréal et la Coop Vidéo, incluant une bourse de 3 000 $ en argent et une invitation au développement d’un projet à la Coop Vidéo.

 

 

LISTE DES GAGNANTS PAR CATÉGORIE

Prix RVCQ

MEILLEUR PREMIER OU DEUXIÈME LONG MÉTRAGE DE FICTION
Prix Gilles-Carle présenté par Bell
Bourse : 5 000 $
GAGNANT : Prank de Vincent Biron

MEILLEUR PREMIER OU DEUXIÈME LONG MÉTRAGE DOCUMENTAIRE
Prix Pierre et Yolande Perrault présenté par Hydro-Québec
Bourse : 5 000 $
GAGNANT : Les terres lointaines de Félix Lamarche

MEILLEUR COURT MÉTRAGE DE FICTION
Prix présenté par ICI Tou.tv
Bourse : 3 000 $
GAGNANT : Vie d’ruelles de Ara Ball

MEILLEUR COURT MÉTRAGE DOCUMENTAIRE
Prix présenté par SPIRA
Bourse de 1 000$ en argent et 20 000$ en services techniques
GAGNANT : Photo jaunie de Fanie Pelletier

MEILLEUR COURT MÉTRAGE D’ANIMATION
Prix présenté par la Caisse de la culture
Bourse de2 500$ en argent
GAGNANTS EX ÆQUO : J’aime les filles de Diane Obomsawin et Vaysha l’aveugle de Théodore Ushev

MEILLEURE ŒUVRE D’ART ET EXPÉRIMENTATION
Prix présenté par PRIM
Bourse de 20 000$ en services
GAGNANT : Mobiliser de Caroline Monnet

MEILLEUR FILM FRANCO-CANADIEN
Prix présenté par Unis TV
Bourse de 1 500$ en argent
GAGNANT : Le déni de Claudia Hébert

MEILLEUR FILM ÉTUDIANT
Prix présenté par La Fabrique culturelle de Télé-Québec
Bourse de 1 000$ en argent
GAGNANT : La ronde de minuit de Gabrielle Demers.

PRIX DE LA JEUNE CRITIQUE
Bourse de mobilité pour participer au Festival International du Film de La Rochelle en juillet 2017
Présenté par Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ)
GAGNANT : Louis-Emmanuel Gagné-Brochu pour sa critique d’Avant les rues de Chloé Leriche

Autres prix remis dans le cadre des RVCQ

PRIX COUP DE CŒUR – COURT MÉTRAGE DE FICTION
Prix remis par le Conseil des arts de Montréal et la Coop Vidéo
Bourse de 3 000 $ en argent et une invitation au développement d’un projet à la Coop Vidéo.
GAGNANT : Oh What a Wonderful Feeling de François Jaros

PRIX LUC PERREAULT/AQCC
Remis par l’Association québécoise des critiques de cinéma
Bourse de 2 000 $ en argent
GAGNANT : Avant les rues de Chloé Leriche

Pour tout savoir sur la 35e édition des Rendez-vous du cinéma québécois : #RVCQ2017
https://www.facebook.com/QcCinema

Prends ça court! annonce les gagnants de la 14e édition du Gala du court métrage

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Gala.

PRENDS ÇA COURT! DÉVOILE LES LAURÉATS DU 14e GALA DU COURT MÉTRAGE QUÉBÉCOIS

 

Le Gala du court métrage québécois Prends ça court! est heureux d’annoncer les gagnants de sa 14e édition. Animée par Pier-Luc Funk et Léane Labrèche-Dor, l’incontournable remise de prix s’est déroulée ce soir à la Cinémathèque québécoise, dans le cadre des 35e Rendez-vous du cinéma québécois. C’est plus de 163 500 $ en prix et services qui ont été remis aux différents gagnants.

Pleins feux sur les lauréats

Prix MEL’S – COUPE DU COURT : 15 000$ en services techniques
· OH WHAT A WONDERFUL FEELING de François Jaros

Prix SPIRA : 30 000$ en location d’équipements
· VÉTÉRANE de Pier-Philippe Chévigny

Prix STUDIO ÉLÉMENT : 15 000$ en services techniques
· AMEN de Marie-Hélène Viens et Philippe Lupien

Prix POST-MODERNE : 10 000$ en services technniques et location d’équipements
· LES JOURS SANS FIN de Philippe Grenier

Prix L’INIS : 10 000$ en argent et services
· LA PEAU SAUVAGE de Ariane Louis-Seize

Mention L’INIS : 500$ en services
· PHOTOS JAUNIES de Fanie Pelletier

Prix CANAL+ : Achat du film
· GRIMACES de Gabrielle Tougas-Fréchette et Ian Lagarde

Prix AIR CANADA EnRoute : achat du film et diffusion à bord des vols d’Air Canada
· OH WHAT A WONDERFUL FEELING de François Jaros
· APNÉE de Alexis Chartrand
· VÉTÉRANE de Pier-Philippe Chévigny
· LA PEAU SAUVAGE de Ariane Louis-Seize
· THE SALESMAN de Ben Steiger Levine
· RUBY PLEINE DE MARDE de Jean-Guillaume Bastien
· GRIMACES de Gabrielle Tougas-Fréchette

Prix P.R.I.M : 6000$ en services techniques
· SIGISMOND SANS IMAGES de Albéric Aurtenèche

ONF / ACIC : 5000$ en services techniques
· RUBY PLEINE DE MARDE de Jean-Guillaume Bastien

Prix CINEGROUND : 5000$ en services techniques et location
· DIALOGUE(S) de Philippe David Gagné

Prix OTTOBLIX : 5000$ en services techniques
· GRIMACES de Gabrielle Tougas-Fréchette et Ian Lagarde

Prix SODEC : 3500$ en argent
· LA PEAU SAUVAGE de Ariane Louis-Seize

Prix SLA LOCATION :2500$ en location d’équipements
· LA PEAU SAUVAGE de Ariane Louis-Seize

Prix TELEFILM CANADA : Ex aequo 2500$ en argent
· VAYSHA L’AVEUGLE de Théodore Ushev
· LA VOCE de David Uloth

Prix ENTREPRISES VIDÉO SERVICE : 2500$ en location d’équipements
· MUTANTS de Alexandre Dostie

Prix COUP DE COEUR DU JURY en collaboration avec la VILLE DE MONTRÉAL :2000$ en argent
· VAYSHA L’AVEUGLE de Théodore Ushev

Prix UNION DES ARTISTES – Interprétation feminine : 1000$ en argent
· SANDRINE BISSON pour VÉTÉRANE de Pier-Philippe Chévigny

Prix UNION DES ARTISTES – Interprétation masculine : 1000$ en argent
· THÉODORE PELLERIN pour SIGISMOND SANS IMAGES de Albéric Aurtenèche

Prix RODEO FX : 1000$ en argent et quelques surprises..
· OH WHAT A WONDERFUL FEELING de François Jaros

Prix ROMEO & FILS : 1000$ en argent
· MUTANTS de Alexandre Dostie

Prix VANS OFF THE WALL : 1000$ en argent + 1000$ en produit
· VIE D’RUELLES de Ara Ball

Mentions spéciales : 1000$ en produits
· THE SALESMAN de Ben Levine
· CE QU’IL RESTE de Jeremy Comte

Prix LES FILMS SÉVILLE : 1000$ en argent
· MUTANTS de Alexandre Dostie

Prix L’ATELIER – DISTRIBUTION DE FILMS : 1000$ en argent
· GRIMACES de Gabrielle Tougas-Fréchette et Ian Lagarde

Prix ARRQ – Meilleure réalisation : 1000$ en argent
· DRAME DE FIN DE SOIRÉE de Patrice Laliberté

Prix LES FILMS 53/12 : 1000$ en argent
· THE CRYING CONCH de Vincent Toi

Prix CULT NATION – Meilleure composition musicale : 1000$ en argent
· CHRISTOPHE «Cobra » LAMARCHE pour le film MUTANTS de Alexandre Dostie

Prix Manon Loiselle et Claude Girard (Agence Claude Girard) : 1000$ en argent
· SIGISMOND SANS IMAGES de Albéric Aurtenèche

Prix AQCC : “Gloire Éternelle”
· SIGISMOND SANS IMAGES de Albéric Aurtenèche

Prix TROU DU DIABLE : Bière à l’année
· WE DRINK TOO MUCH de Maciek Szczerbowski et Chris Lavis

Prix PARCE QUE FILMS : 1000$ en argent et plus si affinités…
· VIE D’RUELLES de Ara Ball

Prix HOMME BROCCOLI : 1000$ en argent
· APNÉE de Alexis Chartrand

 

À propos de Prends ça court!
Prends ça court! est non seulement un joueur incontournable dans la diffusion et la promotion des courts métrages, mais est aussi une référence à travers le monde pour son implication auprès des jeunes talents. Depuis 17 ans, il s’est imposé comme l’organisme qui remet les prix les plus importants dans le domaine du court métrage. Chaque année, Prends ça court! contribue à la présentation de courts métrages dans nombreux festivals au Canada et dans plus de 60 pays à travers la planète.

 Prends ça court: https://www.facebook.com/groups/prendscacourt

Une première entente lie la SODEC et le CNC

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, animation, Cinéma, court métrage, documentaire, Événements.

Le Centre national du cinéma et de l’image animée de France (CNC) et la Société de développement des entreprises culturelles du Québec (SODEC) viennent de signer une entente de jumelage, d’une durée de trois ans renouvelable.

 

 

« Je suis très fière que nous ayons signé cet accord. Cette entente est plus qu’une signature, elle comprend des gestes concrets à poser dès demain sur des programmes et projets très précis dans lesquels on aura de vrais échanges le plus rapidement possible », a indiqué en France avec beaucoup d’enthousiasme la présidente et chef de la direction de la SODEC, Monique Simard, « le fait de vivre dans un monde anglo-saxon avec un voisin géant aux plans économique et culturel a eu comme conséquence que les Québécois décuplent leur créativité et se distinguent. Cela a provoqué une créativité mondialement reconnue…»

 

L’entente signée prévoit deux rencontres par an, ainsi que l’échange systématique d’informations (publications, statistiques, études et programmes), d’idées et de ressources pour mieux soutenir le cinéma et l’audiovisuel au Québec et en France. Le jumelage CNC / SODEC comprend aussi la création d’un label France Québec, décerné à des festivals mettant en valeur la francophonie et l’amitié franco-québécoise.

 

Les deux institutions s’engagent également à réfléchir à la création d’événements culturels franco-québécois dans les domaines du cinéma et de l’audiovisuel, ainsi qu’à la coproduction et à la promotion conjointe des films français et québécois.

 

Selon le directeur général délégué du CNC, Christophe Tardieu : « C’est un immense plaisir de pouvoir travailler avec une institution québécoise, avec laquelle nous possédons une histoire commune, une culture commune et une langue commune. Même si un océan nous sépare, nous avons beaucoup à apprendre de la résistance positive du Québec et de l’expression de son identité. »

 

Rappelons que la France est un partenaire majeur pour la coproduction et la diffusion du cinéma québécois : cette année, 10 films québécois sortiront en France. 72 films français sont sortis au Québec en 2015, réalisant au total près de 900 000 entrées.

 

ABISMO de Pablo Diconca aux RVCQ 2017

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Festival.

ABISMO (L’abîme),un film de danse de PABLO DICONCA aux Rendez-vous du cinéma québécois le samedi 4 mars 2017, 13 h 30 à la Cinémathèque québécoise

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Un an après sa première en Espagne, poursuivant une incroyable trajectoire faite de visibilité, de distinctions et de prix obtenus, Productions Meakulpa a l’honneur de présenter Abismo aux Rendez-vous du cinéma québécois, le samedi 4 mars, dans le cadre du programme Rythme, art et expérimentation. La projection aura lieu à la Cinémathèque québécoise.

Abismo, un court film de danse que Pablo Diconca a réalisé en adaptant Je suis un autre, une chorégraphie de Catherine Gaudet, a été acclamé internationalement. Ils sont tous les deux ravis que le film soit finalement projeté dans leur ville de résidence, lors de la 35e édition des Rendez-vous.

Dans ce dernier film de Pablo Diconca, les danseurs Caroline Gravel et Dany Desjardins interprètent la chorégraphie sur un radeau à moitié submergé. Ils semblent se tenir à la surface de l’eau, tout en dansant à la dérive. À travers leur danse se manifeste une attraction quasi inévitable, qui contraste avec leur mutuel besoin d’un espace personnel. Dans ce film, Diconca présente une danse très intime, dans la nature infinie. Les personnages exécutent un mouvement cyclique, de l’union à la perte, pour revenir à l’union; de l’eau à l’air, pour revenir à l’eau…
Abismo est une évocation de l’éternelle bataille entre Eros et Thanatos, entre l’instinct de survie et celui de la reproduction.

Lien pour visionner la bande-annonce : Abismo

https://https://vimeo.com/146176192

 

Adapter « Je suis un autre » sur un radeau dans un lac pour créer Abismo est une réponse à mon besoin de me prononcer sur le couple comme une entité qui partage un espace commun.

Dans ce film, les personnages cherchent l’équilibre dans leur lutte entre l’amour et l’ego; ils touchent le caractère éphémère, fragile and subtile des relations humaines. – Pablo Diconca

« Je suis un autre » cherche à mettre au jour la multiplicité et l’ambiguïté de l’être, qui se cachent sous le vernis des conventions. – Catherine Gaudet

Diconca et le directeur de la photographie Glauco Bermudez ont décidé de travailler en noir et blanc. Ils ont ajouté des filtres aux lentilles afin de brouiller les contours et d’autres parties du cadre et isoler davantage les danseurs du reste du monde, et pour rapprocher le spectateur de la danse.

 

Distinctions et prix reçus par Abismo

PRIX DU MEILLEUR FILM – Bestias Danzantes, Festival de Cine de Danza, Santiago du Chili
PRIX DE LA MEILLEURE CHORÉGRAPHIE – Festival InShadow, Lisbonne, Portugal
PRIX DU PUBLIC – MiTS | Festival de Videodanza, Barcelone, Espagne
MEILLEUR FILM – Festival internacional de videodanza del Uruguay
PRIX DU PUBLIC – Festival internacional de videodanza del Uruguay
PRIX DU PUBLIC – 10e Festival internacional de videodanza VIDEOMOVIMIENTO, Colombie
PRIX DU MEILLEUR FILM DE DANSE, Manhattan Independent Film Festival, New York
PRIX DU MEILLEUR FILM DE DANSE, Festival international du film de Vérone, Italie
MIS EN NOMINATION POUR LE PRIX DU MEILLEUR FILM – San Francisco Dance Film Festival
FINALISTE DU MEILLEUR FILM – ROLLOUT Dance Film Festival, Macao
MEILLEUR FILM DU FESTIVAL DU FILM DE VÉRONE, Venezia Film Week, Italie
PRIX DU MEILLEUR FILM, MEDIAWAVE “ON THE ROAD” Film Festival, Hongrie.
MEILLEUR FILM EXPÉRIMENTAL – Festival de Cine y Arte Digital Tlanchana Metepec, Mexique
PRIX DE LA CRÉATION, FIVER International Dance Screen Festival, Espagne

Abismo, 2016/Canada/8min, Productions Meakulpa
Presenté aux Rendez-vous du cinéma québécois
Programme Rythme, art et expérimentation
Samedi 4 mars, 13 h 30
Cinémathèque québécoise, salle de projection principale, 335, boul. de Maisonneuve Est

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Billets :https://rvcq.quebeccinema.ca/billetterie
Le site Web : https://www.meakulpaprod.com

Page Facebook : https://www.facebook.com/abismodancefilm

RVCQ 2017 : https://rvcq.quebeccinema.ca

 

Un mot sur le réalisateur : Pablo Diconca

Pablo Diconca habite Montréal, où il a dirigé son premier court métrage en 1997. Depuis, il a produit et réalisé dix-huit films d’auteur. Deux jours et demi (2012), son premier long métrage, a remporté le Prix de la meilleure fiction aux 25e Rencontres Cinéma Nature en France et reçu des mentions honorables au Mexique et au Chili. Le film a été aussi en lice dans les catégories Meilleur film, Meilleure réalisation et Meilleure photo en Espagne. En 2016, Diconca a créé Abismo (L’abîme), son film le plus récent. La première d’Abismo a eu lieu en Espagne, où il a remporté le Prix de la création au festival FIVER. Dans la dernière année, le film a mérité une douzaine de prix et distinctions. Diconca est aussi un comédien accompli et a eu une vie très active dans le milieu de la danse, tant au Mexique, en Suisse qu’au Québec.
Biographie complète : https://meakulpaprod.com/wordpress/biographie/

 

Un mot sur la chorégraphe : Catherine Gaudet

Le travail de Catherine Gaudet plonge dans les méandres de la psyché humaine et cherche à relever les traces subtiles que laissent les humeurs du monde dans l’inconscient individuel et collectif. Son œuvre met en exergue l’enchevêtrement des sensations et des contradictions qui composent l’être et révèle les distorsions qui font vaciller la façade. Avec une physicalité à la fois brute et précise, elle combine subtilement tensions dramatiques, sens de l’absurde et humour noir.
Biographie complète :https://lorganisme.com/en/artists-en/catherine-gaudet-eng/

Muriel Dutil en vedette dans « Sous la neige de la Floride »

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage.

Le réalisateur Sylvio Jacques vient de terminer le tournage  du court métrage « Sous la neige de la Floride » au début du mois de février 

 

Sous la neige de Floride est un drame mettant en scène une femme atteinte de la maladie d’Alzheimer et son petit-fils.

Dès l’ébauche du scénario, le réalisateur songeait à Muriel Dutil pour tenir le rôle de la grand-mère. Charmée par cette histoire qui relate le lien profond unissant une grand-mère à son petit-fils, l’actrice a rapidement accepté de participer au projet. Réalisé sans financement public, le film porte à réfléchir sur la place des aînés dans notre société.

 

Synopsis

Samuel est un garçon de 7 ans qui vit avec ses parents et sa grand-mère, Muriel, avec qui il a développé une grande complicité. La famille se prépare à aller vivre en Floride : un grand bouleversement pour tous, mais surtout pour Muriel qui perd peu à peu ses facultés. Samuel se sent impuissant face à la maladie de sa grand-mère mais est persuadé que le déménagement sera bénéfique pour elle. De sérieux ennuis incitent les parents de Samuel à quitter précipitamment. Tous vivront un grand départ.

 

Elliott Weisthoff, Estelle Bouchard, Martin Boily, Fanny Rainville et Arnaud Blondin-Taschereau complètent la distribution de ce court-métrage qui sera lancé dès ce printemps.

Crédit photo : Rachel Henrie

GALA DU COURT MÉTRAGE QUÉBÉCOIS PRENDS ÇA COURT!

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Festival, Prix.

PIERRE-LUC FUNK et LÉANE LABRÈCHE-DOR accompagnés par la formation DEAR CRIMINELS animeront la 14e édition du GALA DU COURT MÉTRAGE QUÉBÉCOIS PRENDS ÇA COURT!

 

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LE 28 FÉVRIER PROCHAIN DÈS 19H À LA CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE
L’AVANT-GALA DU COURT MÉTRAGE QUÉBÉCOIS DÈS 17H

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Prends ça court! est heureux d’annoncer que Pierre-Luc Funk et Léane Labrèche-Dor animeront la 14e édition du Gala du court métrage québécois Prends ça court!, qui renouvelle sa formule cette année avec une cérémonie en mode cabaret, inspirée par la soirée des Golden Globes. Les artisans du cinéma québécois seront conviés à une soirée festive qui récompensera le talent des artistes et artisans du court métrage québécois le 28 février dès 19h à la Cinémathèque québécoise, dans le cadre des 35e Rendez-vous du cinéma québécois. Se joindront aux animateurs plus d’une quarantaine de présentateurs de renom, notament Philippe Falardeau, Sarah-Jeanne Labrosse, Robert Morin, Anne-Élisabeth-Bossé, Simon-Olivier Fecteau et Rémi-Pierre Paquin. La formation musicale Dear Criminals électrisera l’ambiance sonore de la soirée.

Une captation en direct de la soirée sera diffusée simultanément dans le Café-bar de la Cinémathèque, ainsi que sur le web au https://quebeccinema.ca/webdiffusions.

 

Le gala sera précédé par L’AVANT-GALA DU COURT MÉTRAGE QUÉBÉCOIS dès 17h, lors duquel les artisans des films en compétition pourront échanger avec les présentateurs, les animateurs et les membres de l’industrie. Rendez-vous festif et vibrant lieu de rencontre pour les créateurs, le Gala du court métrage québécois Prends ça court! est un incontournable catalyseur dans le milieu du cinéma québécois.

 

PRÉSENTATEURS DE LA 14e ÉDITION

  • Sophie Goyette, réalisatrice
  • Éliane Préfontaine, comédienne
  • Mathieu Denis, réalisateur
  • Emmanuelle Lussier-Martinez, comédienne
  • Stéphane Lafleur, réalisateur et musicien
  • Joel Vaudreuil, réalisateur et dessinateur
  • Rachel Graton, comédienne « Les Simones »
  • Marie-Ève Perron, comédienne « Les Simones »
  • Anne-Élisabeth-Bossé , comédienne « Les Simones »
  • Vincent Biron, réalisateur
  • Erik K. Boulianne, comédien et scénariste
  • Hany Ouichou, producteur
  • Robert Morin, réalisateur
  • Robin Aubert, réalisateur et comédien
  • Édouard Tremblay, réalisateur
  • Steve Landry, réalisateur
  • Thierry Bouffard, réalisateur
  • Mariloup Wolfe, réalisatrice et comédienne
  • Émile Proulx-Cloutier, comédien
  • Lawrence Côté-Collins, réalisatrice
  • Chloé Robichaud, réalisatrice
  • Sébastien Pilote, réalisateur
  • Philippe Falardeau, réalisateur
  • Sophie Nélisse, comédienne
  • Sophie Deraspe, réalisatrice
  • Magalie Lépine-Blondeau, réalisatrice
  • Mila Aung-Thwin, producteur
  • Jozef Siroka, journaliste
  • Julianne Côté, comédienne
  • Benoit Gouin, comédien
  • Sarah-Jeanne Labrosse, comédienne
  • Simon-Olivier Fecteau, réalisateur et comédien
  • Rémi-Pierre Paquin, comédien
  • Émile Schneider, comédien
  • Martin Dubreuil, comédien
  • Daniel Pilon, comédien
  • Chloé Leriche, réalisatrice
  • Aliocha Schneider, comédien
  • Xavier Dolan, réalisateur et comédien (apparition spéciale)
  • Nancy Grant, productrice (apparition spéciale)
  • Kim Nguyen, réalisateur (apparition spéciale)
  • Koriass, musicien (apparition spéciale)
  • Et quelques surprises…

 

 

À propos de Prends ça court!

Prends ça court ! est non seulement un joueur incontournable dans la diffusion et la promotion des courts métrages, mais est aussi une référence à travers le monde pour son implication auprès des jeunes talents. Depuis 17 ans, il s’est imposé comme l’organisme qui remet les prix les plus importants dans le domaine du court métrage. Chaque année, Prends ça court ! contribue à la présentation de courts métrages dans nombreux festivals au Canada et dans plus de 60 pays à travers la planète. Lennon est la bougie d’allumage et programmateur de l’initative TALENT TOUT COURT de Téléfilm Canada depuis 2012, avec Phi Group depuis 2007, Commissaire Cinéma du Centre Phi depuis 2012 et programmateur invité du CANNES COURT MÉTRAGE / FESTIVAL DE CANNES / SHORT FILM CORNER depuis 2005. En plus d’être un ambassadeur du court métrage au Québec, en prenant part activement à la promotion, à la distribution, à la diffusion et à la production du court métrage indépendant et professionnel d’ici et d’ailleurs.

 

LES RENDEZ-VOUS DU CINÉMA QUÉBÉCOIS

En proposant la plus grande diversité possible de genres et d’approches cinématographiques, les Rendez-vous du cinéma québécois s’avèrent depuis 35 ans une véritable pépinière de talents et un lieu de retrouvailles unique. Pendant 11 jours, quelque 400 artistes, artisans et professionnels de l’industrie se joindront aux cinéphiles et au grand public pour célébrer le cinéma d’ici. Avec une sélection de près de 340 films, dont 111 premières, et 33 activités gratuites invitant à la réflexion et à la fête, les RVCQ sont un incontournable dans le panorama cinématographique et festivalier québécois.

Les lauréats de la 14e édition du Gala du court métrage québécois Prends ça court! seront dévoilés lors de la cérémonie de remise de prix animée par Pierre-Luc Funk et Léane Labrèche-Dor, le mardi 28 février à 19h à la Cinémathèque québécoise.

https://www.facebook.com/groups/prendscacourt

 

Gala Prends ça court!

 

SODEC – Cinq films représentent le Québec à la Berlinale

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, documentaire, Événements, Festival.

Cinq films représentent le Québec à la Berlinale
La SODEC souligne leur grande diversité culturelle

 

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Cinq films d’une grande diversité culturelle, dont trois productions tournées en Grèce, en France et à Haïti, représentent le Québec à la Berlinale. Ce festival de cinéma, l’un des plus prestigieux au monde, se déroule en Allemagne du 9 au 19 février 2017.

 

« Ce sont tous des films qui, par leur auteur, leur lieu de tournage ou leur problématique, contribuent à présenter l’image d’une cinématographie québécoise à la fois très originale, de plus en plus internationalisée et résolument interculturelle », déclare la présidente et chef de la direction de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), Monique Simard.

Trois films participent aux volets compétitifs du festival. Le court métrage Le cri du lambi (The Crying Conch), de Vincent Toi et produit par Arpent Films, a été filmé en créole à Haïti. Cette œuvre de fiction présente une vision critique de la post-colonisation. Elle représente le Québec dans la section Berlinale Shorts qui regroupe 23 films de 19 nations. Sa projection à Berlin sera une première mondiale.

Un deuxième court métrage, The catch de Holly Brace-Lavoie, produit par Colonelle Films, est projeté dans la section compétitive Generation Kplus. Ce film présente le portrait d’une jeune fille qui aimerait bien concilier ses deux passions : pêcher le saumon et sortir avec les garçons.

Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau de Mathieu Denis et Simon Lavoie, produit par Art & Essai, est également en compétition dans la section Generation 14plus. Ce long métrage avait déjà causé la sensation au festival de Toronto l’automne dernier, en remportant le prix du meilleur film canadien. Il est projeté au Québec depuis le 3 février.

Le documentaire Combat au bout de la nuit a été tourné en Grèce pendant deux ans par Sylvain L’Espérance et produit par Les Films du tricycle dans les langues grecque, française, kurde, farsi et arabe. Ce film est présenté dans la section Panorama.

Finalement, le documentaire Le théâtre de la vie de Peter Svatek a été tourné dans une soupe populaire de Milan, en Italie, avec la participation du fameux chef cuisinier Massimo Bottura. Ce film est produit par Films Triplex, l’ONF et Phi Films et figure dans la section Cinéma culinaire.

Par ailleurs, les nombreux professionnels québécois (producteurs, distributeurs et réalisateurs) présents à la Berlinale participeront à une rencontre de réseautage organisée par la SODEC en collaboration avec la Délégation générale du Québec à Munich et son antenne à Berlin. Monique Simard conclut : « La Berlinale et l’important marché de films, l’EFM (European Film Market) sont deux événements qui se déroulent en parallèle et qui permettent aux producteurs, distributeurs et professionnels de l’industrie du Québec de mieux se positionner sur l’échiquier international du cinéma. »

D’autres informations sur la participation québécoise à Berlin sont publiées sur le site Internet de la SODEC: https://www.sodec.gouv.qc.ca/evenements/berlinale/

Le bédéiste Guy Delisle à l’ONF

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, animation, Cinéma, court métrage, en production.

À l’ONF, le bédéiste Guy Delisle travaille à un court métrage d’animation adapté de son Guide du mauvais père

Cette coproduction avec la France (Sacrebleu Productions) fait partie d’une série de quatre films réalisés par des bédéistes de renom

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Guide du mauvais père

Le grand bédéiste Guy Delisle travaille en ce moment à un court métrage d’animation adapté de son Guide du mauvais père, une coproduction de l’Office national du film du Canada (ONF) et de la maison de production française Sacrebleu Productions. Le film fait partie des Chroniques du neuvième art, une série de quatre courts métrages signés par des bédéistes canadiens et français renommés, soit Zviane, Lewis Trondheim et Aude Picault, en plus de Guy Delisle. Les voix du film Guide du mauvais père sont assurées par François Létourneau (le père) et Frédéric Larose (le fils).

, une série de quatre courts métrages d’animation des bédéistes Guy Delisle, Zviane, Lewis Trondheim et Aude Picault

 Synopsis : Dans des récits de trois à quatre minutes, les bédéistes devenus cinéastes explorent la fantaisie et la simplicité du quotidien. Une approche ludique et des univers graphiques singuliers sont les fils qui tissent cette microsérie. Accompagnés d’animateurs d’expérience, les auteurs graphiques élaborent des scénarios originaux, certains tirés d’un album existant (comme Guide du mauvais père de Guy Delisle), d’autres imaginés à partir d’une trame narrative inédite.

Coproduction du Canada (Julie Roy et Marc Bertrand pour l’ONF) et de la France (Ron Dyens pour Sacrebleu Productions). Les télédiffuseurs sont Canal+ en France et ICI ARTV au Canada.

Lancement prévu : juin 2017

Crédit photo : La Presse

Plus de 40 films québécois et canadiens aux RIDM

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, documentaire, Événements, Réalité virtuelle.

Plus de 40 films québécois et canadiens sélectionnés cette année aux RIDM

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Les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) commenceront le 10 novembre prochain. Fidèles à leur mission de soutenir et de faire rayonner l’industrie du documentaire d’ici, tout en encourageant la relève, les RIDM sont fières de compter parmi leur sélection plus de 40 films québécois et canadiens.

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PREMIÈRES MONDIALES

24.24.24 de Daniel Dietzel, Andrew Keegan déménage de Justine Harbonnier, Combat au bout de la nuit de Sylvain L’Espérance, Hier à Nyassan de Catherine Hébert, La résurrection d’Hassan de Carlo Guillermo Proto, Le goût d’un pays de Francis Legault, Un journaliste au front de Santiago Bertolino et Vol de nuit de Clara L’Heureux-Garcia.

 

PREMIÈRES CANADIENNES

Tales of the Two Who Dreamt d’Andrea Bussmann et Nicolás Pereda et The Botanist de Maxime Lacoste-Lebuis et Maude Plante-Husaruk.

 

PREMIÈRE NORD-AMÉRICAINE

Animal Anesthesia : Speculations on the Dreamlife of Beasts de Brian M. Cassidy et Melanie Shatzky.

 

PREMIÈRES QUÉBÉCOISES

Aim for the Roses de John Bolton, Angry Inuk d’Alethea Arnaquq-Baril, Chez les géants d’Aude Leroux-Lévesque et Sébastien Rist, Gatekeeper de Yung Chang, Gulîstan, terre de roses de Zaynê Akyol, INAATE/SE/ [it shines a certain way, to a certain place/it flies. falls./] d’Adam Khalil et Zack Khalil, Michael Shannon Michael Shannon John de Chelsea McMullan, Quebec My Country Mon Pays de John Walker, The Prison in Twelve Landscapes, de Brett Story, The Stairs de Hugh Gibson et We Can’t Make the Same Mistake Twice d’Alanis Obomsawin.

 

PREMIÈRE MONTRÉALAISE

Dialogue(s) de Philippe David Gagné

 

Rétrospective « Le réel animé »

Le festival sera aussi l’occasion de voir ou revoir Passages de Marie-Josée Saint-Pierre, Herqueville de Pierre Hébert, I Met The Walrus de Josh Raskin, Mynarski chute mortelle de Matthew Rankin, Ryan de Chris Landreth et Les journaux de Lipsett de Theodore Ushev à l’occasion de la rétrospective « Le réel animé : quand le génie créatif de l’animation s’empare du documentaire ».

Section UXdoc

La section UXdoc, dédiée aux projets interactifs et de réalité virtuelle, inclura notamment Jerusalem, We are Here de Dorit Naaman, une coproduction Canada-Israël-Palestine et Projet Archipel de Guillaume Côté et Guillaume Campion. Futur pas sûr, webdocumentaire produit par les RIDM et réalisé par Marie-Claude Fournier et conçu par les élèves de l’école Eurêka à Montréal, sera également accessible dans la salle UXdoc. Ces derniers ont opté pour un sujet qui les touche : la pression sociale vécue lors de leur choix de carrière.

Section Beat Dox

La section Beat Dox, dédiée aux documentaires qui vibrent au rythme de la musique, inclura Aim for the Roses de John Bolton.

 

La soirée de la relève ICI RDI

Animée par Patrick Masbourian, La soirée de la relève ICI RDI mettra de l’avant huit courts métrages documentaires de cinéastes émergents. Cette soirée aura lieu le dimanche 13 novembre à 19h au Quartier général des RIDM. Seront ainsi présentés : André Levesque Missionnaire d’Oksana Karpovych, C’est tombé dans l’oreille d’une sourde de Véro Leduc, Kupanishkueu de Mélodie Jourdain-Michel, La maison de Yara d’Emilie Baillargeon, Pantalons supérieurs de Féroë Pontay, Photo jaunie de Fanie Pelletier, Le cri de la marmotte de Colin Nixon et Les beiges d’Étienne Lacelle.

Séances famille

Dans le cadre de leurs séances famille, les RIDM diffuseront Le chandail de Sheldon Cohen, Imparfaite d’Andrea Dorfman, Ma Moulton et moi de Torill Kove, Mamie de Janice Nadeau, Si j’étais le bon Dieu de Cordell Barker. Quant à eux, GEAR d’Alexandre Rufin, La Prochaine de Nils Caneele, Tony d’Andrew Lima et Ranger de Sandra Ignagni seront présentés dans le cadre du concours en ligne avec La Fabrique culturelle.

Clôture du festival

Le samedi 19 novembre, les RIDM clôtureront cette 19e édition avec la projection du documentaire Un journaliste au front de Santiago Bertolino, en présence du protagoniste Jesse Rosenfeld.

Seul festival au Québec entièrement dédié au documentaire, les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) offrent au public le meilleur du cinéma du réel en rassemblant les grands auteurs et les nouveaux talents à découvrir.

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La 19e édition des RIDM se tiendra à Montréal du 10 au 20 novembre 2016

au Cinéma du Parc, à la Cinémathèque québécoise, au Pavillon Judith-Jasmin, à l’Université Concordia ainsi qu’au Quartier général des RIDM, installé dans l’Ancienne École des beaux-arts de Montréal, située au 3450 rue Saint-Urbain.

Informations : https://www.ridm.ca

Télé-Québec et RIDM, un partenariat renouvelé

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, documentaire, Festival, Télévision, Web.

Télé-Québec et les Rencontres internationales du documentaire de Montréal renouvellent leur partenariat

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Cette année encore, Télé-Québec est très fière de s’associer aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), qui se dérouleront du 10 au 20 novembre 2016. De plus, depuis maintenant deux ans, Télé-Québec offre la contribution de sa plateforme Web, La Fabrique culturelle, pour faire rayonner quatre documentaires sélectionnés par le festival.

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Un concours attendu sur La Fabrique culturelle

Du 26 octobre au 19 novembre prochains, les internautes seront invités à voter pour leur documentaire préféré puisque le concours La Fabrique culturelle et les RIDM craquent pour les courts est de retour! L’équipe de la programmation des RIDM propose quatre courts et moyens métrages, tous plus intéressants les uns que les autres : La prochaine, de Nils Caneele; Engrenage, d’Alexandre Rufin; Ranger, de Sandra Ignagni; et Tony, d’Andrew Lima.

Le public est invité à voter à https://lafabriqueculturelle.tv.

Le choix peut paraître déchirant, mais heureusement, les participants peuvent voter une fois par jour.

 

Espace La Fabrique culturelle 

Pendant toute la durée des Rencontres, les festivaliers sont invités à venir visiter l’Espace La Fabrique culturelle, aménagée au quartier général des RIDM. Un endroit idéal pour se reposer et visionner les courts métrages en compétition pour le Prix La Fabrique, soit une bourse de 500 $ à la réalisatrice ou au réalisateur gagnant.

 

Présentation de trois films par Télé-Québec

 

Pour la programmation en salle des RIDM, Télé-Québec présentera une série de trois films québécois soit La résurrection d’Hassan, de Carlo Guillermo Proto; Quebec My Country Mon pays, de John Walker; et We Can’t Make the Same Mistake Twice, d’Alanis Obomsawin.

De plus, Télé-Québec demeure associée aux projections mensuelles des RIDM +. Dès février et jusqu’en juin 2017, au cinéma du Parc, RIDM + présentent les meilleurs documentaires de l’année en première montréalaise.

Un automne riche en documentaires à l’antenne de Télé-Québec

À son antenne, Télé-Québec continue de miser sur la réflexion en offrant des documentaires percutants et pertinents au travers desquels on se permet de bousculer les conventions et de se questionner sur des phénomènes de société. Le 24 octobre 21 h, La musique à tout prix essaie d’expliquer les mutations en cours dans l’industrie de la musique. En novembre, La dictature du bonheur fouille l’univers du développement personnel et du mieux-être, le culte de la pensée positive. En décembre, dans la série Faut en parler, Ma foi va à la rencontre de personnes croyantes qui sont de véritables ambassadeurs de tolérance et de libéralisme.

 

Description des films de la sélection La Fabrique culturelle et les RIDM craquent pour les courts
La prochaine, 2016, 19 min
Réalisateur : Nils Caneele
Résumé : D’une dose à une autre. Le portrait sans fard et humaniste d’un homme soumis à sa dépendance.

Engrenage, 2016, 14 min
Réalisateur : Alexandre Rufin
Résumé : Le lock-out ou la grève patronale est une fermeture provisoire d’une entreprise, décidée par l’employeur pour répondre à un conflit collectif.

Ranger, 2016, 12 min
Réalisatrice : Sandra Ignagni
Résumé : Depuis 1986, le navire canadien M.V. Northern Ranger a parcouru sans relâche et sous toutes les conditions la côte du Labrador. Ce documentaire sensoriel explore les rythmes internes et les espaces du vaisseau.

Tony, 2016, 12 min
Réalisateur : Andrew Lima
Résumé : À travers des témoignages et de nombreuses expérimentations formelles, Tony est un documentaire impressionniste qui propose une méditation sur l’identité, la créativité et la perte au sein d’une histoire familiale.

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À propos de La Fabrique culturelle

La Fabrique culturelle est une production de Télé-Québec. Elle est la seule plateforme Web culturelle multidisciplinaire entièrement consacrée à la diffusion vidéo de la culture vivante au Québec, toutes régions confondues. Cet extraordinaire outil de rayonnement du talent québécois est alimenté par les dix bureaux régionaux de Télé-Québec ainsi que par une centaine de partenaires du milieu culturel et des milliers de membres de la communauté. À ce jour, La Fabrique culturelle a diffusé plus de 6 000 capsules vidéo, elle compte 3,7 millions de pages vues et elle a reçu 2 millions de visites d’internautes provenant de partout au Québec. La Fabrique culturelle est sur Facebook, Twitter, Instagram, Google et YouTube.
https://www.lafabriqueculturelle.tv

Wapikoni au Cinéma Impérial, lancement 2016

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Événements, Festival, Prix.

LANCEMENT 2016 DES COURTS MÉTRAGE DU WAPIKONI AU CINÉMA IMPÉRIAL

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Le Wapikoni organise son lancement 2016 qui se tiendra pour la première fois au Cinéma Impérial, vendredi le 14 octobre, à 17 heures, dans le cadre du Festival du nouveau cinéma.

14 œuvres originales réalisées dans les communautés autochtones, au Canada et à l’étranger, y seront projetées en présence des cinéastes.

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« L’Impérial est une salle à la mesure de leurs rêves et de leur talent. C’est un grand moment de fierté pour le Wapikoni et les jeunes cinéastes des Premières Nations » a souligné Manon Barbeau, fondatrice et directrice générale du Wapikoni.

 

Les prix remis

Le public sera invité à voter pour son coup de cœur et le gagnant recevra le Prix du Public Bell Média. Le Prix de l’implication Télé-Québec – La Fabrique culturelle, sera également remis au participant du Wapikoni qui se sera démarqué par son engagement durant les ateliers.

Billetterie

Les billets, au coût de 10$, sont disponibles à la billetterie en ligne du FNC. Les profits serviront à financer les prochains ateliers de formation et de création pour les jeunes du Wapikoni dans les communautés du Québec:

https://nouveaucinema.ticketpro.ca/?lang=en&aff=fnc#achat_IMP14JA16

 

 

 

La tournée du cinéma québécois reprend la route

Écrit par Liliane Tremblay le . Publié dans Actualités, Cinéma, court métrage, Événements.

LA TOURNÉE DU CINÉMA QUÉBÉCOIS REPREND LA ROUTE DE LA FRANCOPHONIE CANADIENNE

Une quinzaine de villes visitées de septembre 2016 à mai 2017

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Pour la 13e année, La Tournée du cinéma québécois, en collaboration avec Radio-Canada présentera des films d’ici d’un océan à l’autre, faisant d’elle la plus importante activité de rayonnement du cinéma québécois au Canada !

 

Vitrine des artistes et artisans

Avec cette tournée, Québec Cinéma offre une extraordinaire vitrine aux artistes et artisans et permet ainsi un échange avec le public canadien. La Tournée du cinéma québécois, consciente que la plupart des communautés francophones du pays ne possèdent presque pas d’accès aux œuvres du cinéma québécois sur grand écran, s’est donc donnée comme mission d’aller à leur rencontre.

« À l’aube du 150e anniversaire du Canada, Québec Cinéma est fière d’avoir développé, en partenariat avec toutes les communautés visitées, un projet culturel incontournable pour la francophonie canadienne », affirme Ségolène Roederer, directrice générale de Québec Cinéma.

 

« La Tournée du cinéma québécois a connu un essor sans précédent grâce au travail acharné et à la passion du réseau composé de nombreuses associations et diffuseurs de la francophonie. Chapeau bas à eux à l’occasion du lancement de cette 13e édition ! », ajoute François Lemieux, directeur de la Tournée du cinéma québécois en rappelant que l’an dernier, La Tournée a rejoint plus de 10 000 francophones et francophiles.

Durant les neuf prochains mois, la Tournée partira encore une fois à la grandeur du pays afin de présenter aux cinéphiles canadiens les dernières productions de notre cinématographie. Cet événement leur permettra non seulement de visionner les films, mais surtout de rencontrer et échanger avec les artistes et artisans des œuvres choisies.

 

Dès le 17 septembre

C’est à compter du 17 septembre que la Tournée du cinéma québécois reprendra la route et rendra visite à une quinzaine de villes à travers le Canada, en débutant par Halifax et Dartmouth, dans le cadre du Atlantic Film Festival. Suite à cette première escale, la Tournée poursuivra son périple vers Yellowknife, Winnipeg, Toronto, Orléans, Ottawa, St John’s, Whitehorse, Dawson, Vancouver, Victoria, Sidney, St-Boniface, Kuujjuaq, Puvirnituq, Moncton, Dieppe et Iqaluit.

 

SUR LES ÉCRANS ET DANS LES ÉCOLES DU PAYS

En plus des projections offertes au public cinéphile, La Tournée propose une expérience cinématographique privilégiée à de nombreux jeunes par le biais de ses activités scolaires offertes dans les établissements d’enseignement francophones ou offrant des programmes d’immersion au niveau primaire, secondaire et collégial. Ateliers d’analyse de courts métrages, leçons de cinéma et projections de longs métrages suivies de discussions et d’ateliers pratiques sont au nombre des rencontres inspirantes offertes aux cinéphiles de demain partout au pays.

 

PREMIÈRE HALTE : HALIFAX DU 17 AU 19 SEPTEMBRE 2016

La Tournée du cinéma québécois en collaboration avec le Conseil communautaire du Grand-Havre est fière de présenter la programmation de films québécois du 36e Atlantic Film Festival. Pour l’occasion, les cinéphiles francophones et francophiles pourront voir trois excellents films d’ici :

  • King Dave de Podz (Meilleur film canadien décerné par le public de Fantasia) en présence du scénariste et acteur principal Alexandre Goyette;
  • Les mauvaises herbes de Louis Bélanger (Valois du meilleur scénario et Valois du public au Festival du film francophone d’Angoulême);
  • Boris sans Béatrice de Denis Côté (Compétition officielle au Festival international du film de Berlin et film d’ouverture des Rendez-vous du cinéma québécois) en présence du réalisateur.

 

De plus, une sélection des films finalistes de la catégorie Meilleur court et moyen métrage du Gala du cinéma québécois 2016 sera présentée, offrant ainsi aux cinéastes, une occasion de promotion unique de leur film.

– Bleu Tonnerre, Jean-Marc E. Roy et Philippe David Gagné
– Le cycle des moteurs, Patrice Laliberté
– Maurice, François Jaros (Lauréat 2016)
– Star, Emilie Mannering
– Dernier cri, Alexandra Lemay
– Autos Portraits, Claude Cloutier (Lauréat 2016)
– Ma crise cardiaque, Sheldon Cohen
– Sonámbulo, Theodore Ushev
– Squame, Nicolas Brault

 

BILAN : LA TOURNÉE DU CINÉMA QUÉBÉCOIS EN 2015-2016

Québec Cinéma dresse un bilan positif de cette importante activité de promotion de notre cinéma. Avec plus de 10 000 francophones et francophiles ayant participé aux activités de la 12e édition (une augmentation de fréquentation de 28% par rapport à l’édition 2014-2015), la Tournée du cinéma québécois occupe désormais une place de choix dans le cœur des communautés visitées.L’accessibilité aux œuvres et la sensibilisation des publics est saluée partout sur son passage et la très grande majorité (93%) des participants affirment même que la Tournée est essentielle à l’enrichissement de la vie culturelle des communautés francophones hors-Québec.

La 12e édition de la Tournée du cinéma québécois en 2015-2016 se résumait ainsi :

– 32 longs métrages et 42 courts métrages présentés
– 28 artistes et artisans venus à la rencontre du public
– 17 villes visitées
– 45 activités scolaires
– 34 960 KM parcourus

 

DE PRÉCIEUX PARTENARIATS
Québec Cinéma remercie pour leur accueil Wayne Carter et Jason Beaudry, directeur général et directeur de la programmation de l’Atlantic Film Festival, ainsi que leurs équipes, l’équipe du Conseil communautaire du Grand-Havre, l’Office des affaires acadiennes ainsi que le Lord Nelson Hotel.

 

Québec Cinéma tient à remercier chaleureusement ses principaux partenaires, soit Radio-Canada, coprésentateur de la Tournée, Bell, Mels et Akufen ainsi que les partenaires publics et gouvernementaux, Téléfilm Canada, le Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes (SAIC), la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), le Gouvernement de la Nouvelle-Écosse, le Gouvernement de la Colombie-Britannique, le Gouvernement du Manitoba, le Gouvernement de l’Ontario, le Gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard, le Gouvernement du Nouveau-Brunswick, l’Administration régionale Kativik et le Gouvernement du Nunavut.

 

À PROPOS DE QUEBEC CINEMA
Québec Cinéma a pour mission de promouvoir le cinéma québécois, ses artistes, artisans et professionnels et de contribuer au développement de notre cinématographie nationale. L’accès aux œuvres, l’éducation et la sensibilisation sont également au cœur des préoccupations de l’organisme qui offre une riche programmation scolaire. Québec Cinéma est le producteur des trois plus grandes vitrines pour le cinéma québécois, le Gala, la Tournée et les Rendez-vous du cinéma québécois, et rejoint annuellement plus d’un million et demi de personnes ici et ailleurs dans le monde.

Site de l’organisme : https://quebeccinema.ca