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GAÏALAND, les dessous d’une secte environnementaliste menée par un Québécois se dévoilent sur Planète+

La série documentaire GAÏALAND, les dessous d’une secte environnementaliste menée par un Québécois, se dévoilent sur Planète+ le 3 mai 2023

La chaîne PLANÈTE+ présente la série documentaire GAÏALAND. À travers 4 épisodes de 52 minutes,GAÏALAND dévoile l’envers du décor de la secte environnementaliste Ecoovie, dirigée par Pierre Doris Maltais, un Québécois aux multiples identités et travers, connu aussi sous les noms de Norman William et de Piel « Petjo » Maltest, entre autres. Grâce à des témoignages rares et poignants d’anciens adeptes, la série révèle l’histoire effarante de cette communauté et de ses démons. Récipiendaire du Prix de la Meilleure série documentaire – format long – au Festival TV de Luchon 2023, GAÏALAND sera diffusée en primeur tous les mercredis à 21 h dès le 3 mai sur PLANÈTE+.

Écrit et réalisé par la française Yvonne Debeaumarche (co-scénariste et co-réalisatrice de la série documentaire Grégory) et Hannu Kontturi, GAÏALAND nous ramène dans les années 80 à Paris, alors que de jeunes idéalistes, pressentant une catastrophe écologique éminente, veulent montrer qu’un autre monde est possible. Guidés par un mystérieux chaman québécois, ils pratiquent le véganisme, fondent des magasins bio et vivent sous des tipis au milieu des immeubles. Très vite accusés par leurs familles et la presse d’être manipulés, ils entament une longue Marche écologiste à travers l’Europe. Une course-poursuite commence alors entre les membres de cette communauté et ceux qui les accusent d’être sous emprise. Au bout de 10 années d’errance, la « Tribu » finit par s’installer en Finlande, dans les conditions extrêmes du Grand Nord, pour y vivre son Utopie d’une vie tribale en harmonie avec la nature : jusqu’où ses adeptes sont-ils prêts à aller pour sauverGAÏALAND ?

L’intégralité de la programmation du mois d’avril est à retrouver sur le site de Planète+.

À propos de PLANÈTE+

Planète+ est une chaîne du groupe Canal+ distribuée par THEMA Canada. Éditée au Canada depuis 2002, Planète+ propose une offre unique, riche et diversifiée qui en fait une des chaînes documentaires les plus appréciées au Québec. Planète+ se distingue notamment par ses écritures audacieuses et singulières et ses lignes éditoriales claires qui posent sur le monde un regard neuf et curieux. Résolument différente, Planète+ est diffusée sans publicité.

Positions de la chaîne chez les distributeurs :

Videotron (646) Hélix (57), Bell Fibe (1128), Cogeco (551), Telus (540), CCAP (501),
Derytelecom (522), Axion(532), Sogetel (560), Ebox (133), Cablevision (646), Cooptel
(614), Maskatel (575), Upton (75), TSE (75), CTSV (75), IHR (223), RiverTV (102), Cronomagic (298), Henri (286).

https://www.planetepluscanada.com/

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PASSER LE MESSAGE, un nouveau magazine à découvrir sur Savoir média dès le 15 mai 2023

PASSER LE MESSAGE, à l’occasion du mois de l’ouïe et de la communication, un nouveau magazine à découvrir sur Savoir média dès le 15 mai 2023

À l’occasion du mois de l’ouïe et de la communication, Savoir média est heureuse de présenter Passer le message qui met en lumière l’importance de la communication humaine et expose les différents troubles qui peuvent l’affecter. Animée par Agathe Tupula Kabola, la série sera diffusée sur les ondes de Savoir média les lundis à 20 h, dès le 15 mai, et également offerte gratuitement sur ses plateformes numériques.

Passer le message est un magazine scientifique, pratique et divertissant qui se décline en sept épisodes de 30 minutes. Cette nouvelle production à mission éducative suit le parcours de Québécois·es vivant avec un trouble de la communication, de la parole, du langage, de la déglutition ou des apprentissages. Grâce à un contenu scientifique vulgarisé et accessible, chaque épisode aborde leurs défis quotidiens, tout en offrant des conseils et des ressources.

Pour découvrir la bande-annonce

L’animatrice Agathe Tupula Kabola détient une maîtrise en orthophonie de l’Université de Montréal. Elle collabore régulièrement avec les médias comme chroniqueuse à la télévision et à la radio. On peut notamment entendre ses chroniques à l’émission Moteur de recherche (ICI Première) et voir ses interventions aux émissions On va se le dire (ICI Télé) et Des familles comme les autres (AMI-Télé). Elle est aussi conférencière, autrice de deux livres publiés aux Éditions du CHU Sainte-Justine, chargée de cours et chargée de clinique à l’École d’orthophonie et d’audiologie de l’Université de Montréal.

PASSER LE MESSAGE – 7 épisodes x 30 minutes

Animation : Agathe Tupula Kabola

Réalisation : Eve Caroline Pomerleau

Production : Pamplemousse Média V inc.

Avec la participation financière de l’Ordre des orthophonistes et audiologistes du Québec

ÉPISODE 1 – Les troubles d’apprentissage

Malgré la croyance populaire, la dyslexie ne se résume pas à confondre les b avec les d ou les p avec les q, et les troubles d’apprentissage ne se résument pas à la dyslexie non plus. Au Québec, c’est un élève sur cinq qui vit avec un trouble d’apprentissage… et la dyslexie n’en est qu’un parmi tant d’autres.

ÉPISODE 2 – Le bégaiement

Qu’ont en commun Aristote, Albert Einstein, Marilyn Monroe et Luc de la Rochellière? Le bégaiement, ce trouble de la parole qui touche environ quatre fois plus de garçons que de filles. Transitoire dans certains cas, persistant dans d’autres, le bégaiement demeure un trouble mystérieux malgré les avancées scientifiques.

ÉPISODE 3 – Apprendre à communiquer

« Maman? », « Papa? », « Non! ». Source d’anxiété quand il tarde à arriver, le premier mot chez l’enfant suscite l’émerveillement de son entourage et une mystérieuse progression dans l’acquisition de connaissances et de structures cérébrales.

ÉPISODE 4 – Réapprendre à communiquer

Chez l’adulte qui maîtrise le langage, se retrouver étranger dans sa propre langue à la suite d’un accident vasculaire cérébral peut s’avérer traumatisant. Qu’on l’apprenne pour la première fois ou qu’on soit forcé de le ré-apprendre, le langage est au cœur de notre relation avec les autres.

ÉPISODE 5 – Articulation, respiration et déglutition

Un enfant qui zozote est considéré comme doux ou attachant… alors qu’un adulte qui parle sur le bout de la langue peut faire face aux taquineries et voir sa crédibilité remise en question. Mais qu’est-ce qui cause ce trouble d’articulation? Comment peut-on le régler ou l’atténuer?

ÉPISODE 6 – La voix

Qui n’a pas ressenti de l’émotion à l’écoute d’une chanson? Qui n’a pas crié de joie à l’annonce d’une grande nouvelle? Quel enfant n’a pas tressailli en entendant s’élever la voix d’un parent en colère? La voix nous permet de transmettre et de percevoir les émotions les plus profondes.

ÉPISODE 7 – Apprendre une langue

S’il est difficile de devenir bilingue, il l’est encore plus de le rester. Dans cet épisode, on aborde l’apprentissage des langues secondes à tous les âges, mais aussi la survie d’une langue minoritaire.

À propos de Savoir média

Entièrement gratuit et sans publicités, Savoir média est un organisme sans but lucratif dont la mission est de propulser le savoir et de nourrir les réflexions des citoyen·ne·s sur des enjeux de société. Producteur, diffuseur et agrégateur de contenu, sa plateforme web et sa chaîne télé offrent un accès unique à des productions originales qui donnent la parole à des expert·e·s québécois·es reconnu·e·s, en plus de proposer de grandes séries étrangères. Sa plateforme web accueille également des articles et différentes séries en balado qui viennent compléter son offre vidéo.

Sur le web : www.savoir.media | youtube.com/savoirmedia | et sur les principales plateformes de balado

À la télé : Vidéotron 622 – Bell Télé 152 – Bell Fibe 1147 ou 147 – Shaw 738 – Telus 712 – Cogeco 47

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Une jeunesse épanouie et audacieuse dans On est rendu là

Le nouveau magazine d’Unis TV, On est rendu là, diffusé sur Unis TV les vendredis à 19 h dès le 19 mai 2023

Le nouveau magazine d’Unis TV, On est rendu là, met en lumière trente jeunes Canadiens de 14 à 25 ans se démarquant par leur engagement, leur authenticité et leur passion. Les animatrices Anne-Lovely Étienne et Vanessa Duchel ainsi que l’animateur Jordan Dupuis vont à la rencontre de ces jeunes s’assumant pleinement. Produits par ROMEO et réalisés par Gabriel Lajournade et Xavier Havitov, les 10 épisodes de 24 minutes seront diffusés sur Unis TV les vendredis à 19 h dès le 19 mai. La série sera également disponible dans son intégralité à la même date sur TV5Unis.

Une génération avant-gardiste

« On est trois fiers représentants de la diversité. Toute notre jeunesse, on a manqué de modèles inspirants. Aujourd’hui, la nouvelle génération brise les normes. C’est pourquoi on tourne les projecteurs vers ces jeunes qui nous font réaliser qu’on est rendu là ! » affirme le trio en ouverture d’émission.

La série, une idée originale de Jordan Dupuis et Anne-Lovely Étienne, trace le portrait de cette jeunesse canadienne inspirante et flamboyante. Au cours des différents épisodes, ils abordent diverses thématiques telles l’image corporelle, l’identité de genre, l’entrepreneuriat, la religion, le sport et l’environnement.

Anne-Lovely Étienne a revêtu un habit de drag king, s’est initiée au pow wow autochtone, a rencontré une mannequin assumant pleinement son alopécie ainsi qu’un militant écoresponsable de 14 ans déterminé à faire prendre conscience de l’impact des choix sur l’environnement.

De son côté, Jordan Dupuis a été chamboulé par le chant d’une chrétienne évangélique, a visité un jeune malentendant se réalisant comme entrepreneur maraîcher, s’est initié au basketball en fauteuil roulant avec un jeune homme atteint de paralysie cérébrale et a rencontré un jeune trans fier de sa mastectomie.

Finalement, Vanessa Duchel a chaussé des patins à roulettes pour découvrir le roller derby, a accompagné une fille de grande taille dans des boutiques de vêtements, et a rencontré un jeune homme trans qui réussit à introduire des livres LGBTQ+ dans des bibliothèques, ainsi qu’un créateur de contenu musulman et gai.

Un volet numérique en prime

En plus des épisodes télé, la série On est rendu là se déploie également en volet numérique avec un balado de six épisodes. En compagnie d’invités et d’experts, les animatrices et l’animateur y discutent d’argent, de religion et de spiritualité, de diversité sexuelle et de genre, d’environnement, de sexualité et d’image corporelle, des thèmes marquants pour les nouvelles générations. Ils reçoivent entre autres la youtubeuse trans Gabrielle Marion, la comédienne Ludivine Reding, le chanteur Émile Bilodeau, Joanie Grenier alias Dre PointG, le rappeur Samian et l’animateur et auteur Karl Hardy. La version audio du balado sera diffusée sur Radio-Canada OHdio. De plus, plusieurs capsules vidéo seront offertes en complément à la série télé. L’ensemble du volet numérique sera disponible dès le 19 mai sur TV5Unis.

Des animateurs de la diversité

Anne-Lovely Etienne est journaliste et chroniqueuse depuis 2012 pour divers journaux et plateformes numériques. Elle s’exprime sur l’actualité ainsi que sur des questions de société qui concernent la diversité culturelle, les femmes et autres sujets polarisants.

Animateur, chroniqueur, journaliste culturel, auteur et conférencier, Jordan Dupuis collabore à la télé, la radio de même qu’à divers médias écrits. Jordan s’est démarqué pour sa prise de parole publique à propos de la diversité LGBTQ+, des troubles alimentaires et de l’image corporelle.

Chanteuse et actrice, Vanessa Duchel s’est fait connaître à Star Académie en 2009 et par son interprétation de Tracy Turnblad dans la comédie musicale Hairspray en 2013. Elle a ensuite participé à différentes séries sur les chaînes TFO et Vrak TV en plus de participer à l’émission L’été, c’est fantastique sur les ondes de Rouge FM. En 2020, Vanessa a lancé son premier livre intitulé Franchement grosse.

Diffusion

Dès le vendredi 19 mai à 19 h, la série magazine On est rendu là sera diffusée sur la chaîne Unis TV incluse dans le forfait télé de base partout au Canada. La série sera également disponible sur TV5Unis (sur le Web et via les applications mobile et télé). La chaîne Unis TV crée un pont entre les différentes communautés francophones du Canada et met en valeur la richesse et la diversité de la francophonie canadienne.

Idée originale : Jordan Dupuis et Anne-Lovely Étienne
Réalisation : Gabriel Lajournade et Xavier Havitov
Production au contenu : Jordan Dupuis et Amélia Blondin
Production exécutive : Martin Henri

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Entente entre Attraction et Banijay pour la distribution internationale de Coeur de trucker

Entente entre Attraction et Banijay pour la distribution internationale de Coeur de trucker

Attraction est fière d’annoncer une entente importante avec le géant de la télévision Banijay pour la distribution internationale de son tout nouveau format original de télé-réalité Cœur de trucker, suite à sa sélection au Fresh TV du MIPTV à Cannes.

Cœur de trucker (Love is a highway) est un format de télé-réalité qui suit des camionneurs célibataires lors d’un roadtrip unique à travers le Canada. L’émission, diffusée depuis quelques semaines sur TV5-UNIS, combine romance, voyage et aventure alors que les candidats se lancent dans un périple aux destinations époustouflantes pour rencontrer l’âme sœur, malgré leur rythme de vie atypique.

« Nous sommes ravis de mettre ce grand format sur le marché », a déclaré Helen Greatorex , responsable des acquisitions de formats chez Banijay . « C’est une approche nouvelle et authentique du genre, avec son concept unique qui résonnera certainement auprès d’un public mondial à la recherche d’amour et d’aventure. »

« Attraction est fière de s’associer à Banijay pour la première fois. Son enthousiasme pour Cœur de trucker est palpable et nous donne beaucoup d’espoir pour le succès international du format », ajoute Richard Speer, président d’Attraction. « La portée mondiale de Banijay et sa vaste expérience dans la distribution de contenu en font le partenaire idéal pour nous aider à porter ce format vers de nouveaux sommets. »

Banijay est connu pour son immense catalogue de formats à succès tels que Survivor, Big Brother, MasterChef, Love Triangle, Hunted, Blow Up! , et Starstruck. Attraction est un important joueur du paysage télévisuel canadien derrière des succès comme Les Chefs, Dans l’oeil du dragon, Les Parent et plusieurs autres.

À propos de Banijay :

Le géant du contenu Banijay abrite plus de 130 sociétés de production réparties sur 21 territoires et un catalogue multi-genres offrant plus de 160 000 heures de programmation originale exceptionnelle.

Collectif d’entrepreneurs créatifs, le groupe représente certaines des plus grandes marques mondiales du marché, notamment Survivor, Big Brother, Peaky Blinders, MasterChef, SAS : Rogue Heroes, Love Triangle, Mr Bean, Hunted, Black Mirror, Blow Up ! , et Starstruck entre autres. En imaginant et en livrant une propriété intellectuelle multi-genre de haute qualité qui est née localement et voyage dans le monde entier, l’entreprise offre les meilleures histoires racontées de la meilleure façon.

Fondée sur l’indépendance, la liberté de création, l’esprit d’entreprise collaboratif et le sens commercial, la société, lancée en 2008, opère sous la direction du PDG, Marco Bassetti.

À propos d’Attraction :

Chef de file en production, en création et en distribution de contenu depuis 2002, Attraction est un acteur québécois incontournable du monde du divertissement. Avec plus de 7500 heures de contenu et de prestigieuses récompenses à son actif, Attraction vise à émouvoir et divertir, autant sur le petit que le grand écran et les plateformes numériques. Parmi ses productions phares des dernières années, on compte En direct de l’univers, LOL: Qui rira le dernier?, Les Chefs!, Dans l’oeil du dragon, Passe-Partout et L’amour est dans le pré. Grâce au talent et à la passion de ses employés, l’entreprise cherche continuellement à se réinventer tout en restant fidèle à sa mission: créer un monde d’idées.

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Entrevue de ALEXIA ROC, lauréate de la section TOURNER À TOUT PRIX à Regard 2023, par Marc Lamothe

Une entrevue de Marc Lamothe avec Alexia Roc, lauréate du Prix du Meilleur Film de la section TOURNER À TOUT PRIX du festival REGARD pour BERGEN, NORVÈGE

Entrevue de ALEXIA ROC par Marc Lamothe

 

Depuis quelques années déjà, le festival Regard programme la section Tourner à Tout prix. Dédiée aux cinéastes qui ont en commun une pulsion créatrice, la section célèbre la production indépendante au Québec. Le jury a dû trancher parmi 13 films forts et idiosyncrasiques et choisir le film qui se mérite le PRIX DU MEILLEUR FILM TOURNER À TOUT PRIX. Ainsi, le court-métrage BERGEN, NORVÈGE d’Alexia Roc s’est vu remettre 5 000 $ en argent pour la production d’un prochain court-métrage offerts par Unis Tv, 15 000 $ en location d’équipement offerts par Spira, ainsi qu’une participation offerte au Festival Off-Courts de Trouville en partenariat avec le Consulat général de France. 

Alexia Roc est une scénariste, réalisatrice et directrice artistique québécoise-haïtienne de 27 ans basée à Montréal. Elle a réalisé quelques courts, collaboré à d’autres et elle est la créatrice d’une attachante série diffusée sur les ondes de MAtv, Entre Parenthèses.

Nous avons voulu la rencontrer et parler avec elle de son parcours et de ce film coup de poing qu’est BERGEN, NORVÈGE.

 

Qu’est-ce que le format court-métrage représente pour vous personnellement ?

C’est ce que nous apprenons à faire à l’école, c’est ce que nous apprenons à faire quand on commence ; c’est le parfait outil pour commencer à utiliser notre voix artistique et politique, sans encore savoir exactement comment l’articuler plus longtemps qu’en court-métrage.

Réalisatrice, scénariste, monteuse et directrice artistique, votre C.V. est déjà garni de courts-métrages et du projet ENTRE PARENTHÈSES, une websérie sociale distribuée par MAtv depuis 2021. Parlez-nous un peu de cette expérience sociale ?

Ce projet social qui me tient à cœur vise à regrouper des duos de gens pour créer des discussions filmées. Mon but est d’ouvrir des dialogues entre des personnes qui se connaissent, pour s’enrichir sur divers sujets et tabous actuels et se comprendre mieux les un.e.s des autres, avec douceur et sincérité. Le tout dans le but de déceler des questionnements relationnels tout en favorisant l’acceptation, l’intégrité et l’ouverture d’esprit… une denrée plutôt rare de nos jours. Cette émission nous permettra d’entendre, d’apprendre, de comprendre et de s’informer sur nombreux sujets interpersonnels et de portraiturer des citoyens différents et magnifiques. 

 

Parlez-nous brièvement du duo qui vous a le plus touché dans cette série ? 

Mes grands-parents sont décédés pas longtemps après cette discussion. C’est un miracle d’avoir pu les réunir à cet endroit et d’avoir un souvenir indestructible de leur amour. Ma famille est très reconnaissante pour cet épisode. Je retourne souvent écouter leur discussion, c’est un rêve et on se sent toutes.tous choyé.e.s de pouvoir les voir en vie aussi souvent qu’on le souhaite.

À titre de jeune réalisatrice émergente, comment avez-vous financé la production de BERGEN, NORVÈGE ? 

Avec aucun financement (hé, hé, hé). C’est un film d’archives et d’utilisation d’une caméra de voyage. Le reste est dans le montage soigné et dans de nouvelles techniques audio. 

Qu’avez-vous voulu exprimer avec votre court ?

Le travail de BERGEN, NORVÈGE commence alors que je retrouve, dans mon téléphone, la conversation WhatsApp avec mon abuseur. Relire cette conversation fait remonter à la surface toutes sortes d’émotions, d’abord un trauma réel, puis quelque chose de différent s’installe chez moi, mon approche est moins fragile qu’auparavant, j’ai un soudain besoin d’exposer cette histoire, de la rendre visible et surtout d’enfin prendre position avec ma propre voix et mon propre corps. Avec le mélange de la voix robotique et de ma propre voix, je pense que je me sens encore plus puissante. Il y a, depuis longtemps, une association traditionnelle de la voix avec la féminité, surtout avec le ton plus aigu/plus doux qui est idéal pour une femme. 

 

 

Avec l’utilisation de cette voix robotique, tout à coup, cela devient ambigu. Cette voix devient la voix de n’importe qui, tout en comprenant qu’elle est ma subjectivité féministe. Dans BERGEN, NORVÈGE, la voix robotique donne une ironie et une impersonnalité au texte qui est très émotionnel, et se heurte au parcours émotionnel du récit. La collision de ces deux sentiments distincts, l’ironie et l’obscurité, rend hommage à l’un et à l’autre tout au long de la pièce. Bergen, Norvège devient mon premier court-métrage complété aux thématiques de l’abus sexuel. Distribuer ce film au Festival Regard est une étape cruciale pour la suite de ma guérison. Ce film, ainsi que ma voix et mon corps performatif, deviennent une conversation, spectatrice d’un sujet qui m’est cher et qui touche tant de gens autour de moi et en parler n’est plus aussi douloureux qu’avant. On devient une communauté quand on guérit à plusieurs.

Vous vous mettez en scène et devenez ainsi le visage de la voix qu’on entend. Documentaire, fiction, documenteur, autofiction ou expérimentation ?

J’ai vraiment voulu travailler un parcours de recherche-création, au travers des expérimentations autobiographiques de vidéo-confessions. Cela m’a permis de me centrer pour la première fois sur la grande colère qui m’habite en tant que femme, militante et victime. Le fait d’utiliser mon corps ainsi que cette voix robotique a entamé la première étape d’un besoin de guérison dont j’ignorais l’existence: Utiliser ma voix et mon corps comme canevas actif dans mon propre récit est révélateur. Cela m’ouvre vers de nouvelles avenues, d’autres façons d’explorer ce qu’est la féminité et d’explorer de nouvelles techniques cinématographiques pour évoquer ces valeurs. Je devais me centrer sur moi-même, me redécouvrir et poursuivre un chemin vers des techniques cinématographiques qui me ramène à l’écriture de moi et à la mise en action de mon corps dans l’enjeu que je décris.

 

Quel aspect du métier vous fascine le plus à moyen ou à long terme ? Où vous projetez-vous dans 10 ans ?

Je ne suis pas fascinée par le métier, car c’est un métier très dur. Je suis plutôt fascinée par la légèreté que je trouve de plus en plus dans mon milieu grâce aux choix que je fais. Maintenant, dire non, et m’entourer des bonnes personnes changent tout sur ma vision de mon futur, qui est beaucoup plus rassurant qu’avant.

Vous êtes actuellement en développement de projets de courts-métrages et de web-série. Quel projet avez-vous le plus hâte de partager au public ?

Je développe mon court-métrage grâce au soutien de la SODEC dans le volet émergent. Je suis aussi en écriture de ma web-série, et en post-production du pilote de celle-ci. Grâce au prix du meilleur film Tourner à tout prix du Festival Regard, j’ai la possibilité et les ressources pour préparer un projet hybride documentaire/fiction que je tournerai cet été.

 

 

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Offre d’emploi – KOTV recherche un(e) Chef(fe), communication pour un remplacement d’un congé de maternité

KOTV est présentement à la recherche d’un(e) Chef(fe), communication pour un remplacement d’un congé de maternité

Fondé en 2011, KOTV est devenu un acteur incontournable de la production télévisuelle au Québec.

En collaboration avec des talents locaux passionnés et inspirés, l’entreprise développe et produit des émissions novatrices et divertissantes de différents genres ; dramatiques, comédies, jeunesse, variétés, jeux, magazines et documentaires. En plus de ses créations originales, KOTV adapte des formats étrangers pour le Québec, produit des émissions en anglais pour le Canada et développe la coproduction internationale.

Raison d’être du poste 

Le chef ou la cheffe communications supervise la promotion des émissions de télévision produites par KOTV chaque année, en collaboration avec les diffuseurs.

Responsabilités principales 

  • Collaborer avec les différents intervenants pour définir les stratégies de communication ayant pour but de positionner KOTV et ses productions comme chef de file dans son domaine
  • Mettre en place une structure pour favoriser et appuyer le développement de ces stratégies et piloter la création des différents outils de communication
  • Évaluer les performances de chacune des campagnes 
  • Assurer les communications internes et externes de l’organisation 
  • Assurer le rayonnement de l’organisation au niveau national et international
  • Superviser les relations de presse
  • Développer de nouvelles idées et être à l’affût des tendances
  • Élaborer et gérer les budgets du département et s’assurer de leur alignement avec les objectifs 

Profil recherché

  • Baccalauréat en communications, marketing ou autre discipline connexe 
  • Minimum de dix (10) ans d’expérience en communications, relations publiques et / ou marketing dont cinq (5) à titre de gestionnaire
  • Excellente maîtrise du français et de l’anglais tant à l’oral qu’à l’écrit 
  • Connaissance approfondie des réseaux sociaux 
  • Esprit d’équipe et d’initiative 
  • Capacité de mener plusieurs projets simultanément
  • Être familier avec la production télévisuelle (un atout) 
  • Démontrer un leadership assumé

Type de poste :  Remplacement de congé de maternité

Entrée en poste : À discuter 

Avantages : 

  • Télétravail permis 
  • Horaire flexible 
  • Régime d’assurances collectives
  • Environnement de travail stimulant 

Les candidats qui postulent pour le poste peuvent envoyer leur CV directement à l’adresse courriel: acstgelais@kotv.ca et mracetteperras@kotv.ca .

Le génie créatif de Florence Longpré dans une nouvelle série originale Crave

Le génie créatif de Florence Longpré dans une nouvelle série originale Crave

Crave annonce sa collaboration avec Florence Longpré dans un nouveau projet de série originale. Oscillant entre le drame psychologique, la série d’enquête et la comédie, les 10 épisodes donnent un accès privilégié à l’univers singulier de l’artiste qui signe les scénarios en plus d’interpréter le rôle principal.

« Florence Longpré est une artiste d’exception avec qui nous souhaitions collaborer. Dans cette nouvelle série qui nous projette dans un univers méconnu, elle utilise la plume unique qu’on lui connait pour naviguer à travers les émotions et mélanger les genres tout en conservant son approche sensible et bienveillante à des situations délicates. Nous sommes ravis d’aller de l’avant avec ce projet et d’allier les forces de nos équipes à cet indéniable talent qu’est le sien dans le but d’offrir une série lumineuse à la frontière entre le drame et la comédie », a commenté Suzane Landry, vice-présidente, Développement de contenu, programmation et information chez Bell Média.

La fiction est une incursion dans un monde carcéral bien à part ; un institut psychiatrique. Cette nouvelle série n’échappe pas au ton signature dramatico-comique qui fait la marque de l’autrice. Elle y aborde un sujet costaud avec l’humour lumineux qu’on lui connaît. Elle raconte l’histoire de Suzanne, psychiatre et criminologue, qui, après deux ans d’absence à la suite d’un mystérieux incident, revient sur le marché du travail, à l’Institut Psychiatrique Mont‑Royal, où elle devra traiter avec les plus grands cas psychiatriques du pays.

« Avec cette nouvelle série, j’ai envie de décomplexer le trouble mental, de plonger dans les méandres du délire psychique et de rendre tout cela plus humain, accessible; sans être plombant… S’il reste qu’il est extrêmement difficile de s’expliquer le sordide, on peut du moins essayer de le comprendre, y être empathique pour le guérir et peut-être, qui sait, le prévenir », a ajouté Florence Longpré.

Produite par Trio Orange en collaboration avec Bell Média, la série sera présentée sur Crave prochainement.

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SODEC – Trois séries québécoises en sélection officielle à CANNESERIES  et une trentaine de professionnels au MIPTV

SODEC – Trois séries québécoises en sélection officielle à CANNESERIES  et une trentaine de professionnels au MIPTV

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) félicite les trois séries québécoises en compétition officielle à CANNESERIES cette année : L’air d’aller (Urbania), Bon matin Chuck (ou l’art de réduire les méfaits) (St Laurent TV) et Lac-Mégantic – ceci n’est pas un accident (Trio Orange). L’année 2023 marque d’ailleurs une première pour le Québec à CANNESERIES : une série d’ici se retrouve dans chaque catégorie de la compétition officielle de l’événement, qui aura lieu du 14 au 19 avril, à Cannes.

Par ailleurs, une trentaine de professionnels de l’industrie audiovisuelle québécoise feront le déplacement au MIPTV, qui se déroulera en parallèle du 17 au 19 avril, également à Cannes. Rappelons que l’événement est l’un des principaux marchés internationaux pour la vente, l’achat et le financement du divertissement de tous genres destinés à toutes plateformes.

D’autre part, Nicola Merola, président de PIXCOM, animera le 18 avril un panel sur la coproduction avec le Canada dans le cadre de l’International Drama Co-Production Breakfast. L’événement réunira trois autres panélistes experts de l’industrie : Ijeoma Onah, présidente-directrice générale de SuperTV, Amanda Groom, directrice générale de The Bridge, Victoria Yarmoshcuk, présidente-directrice générale et cheffe de l’Ukrainian Motion Picture Association, FILM.UA Group. Il vise à présenter des façons innovantes de travailler en collaboration dans un contexte de coproduction avec le Canada.

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DE LA SCIE AU BISTOURI, une nouvelle série à découvrir sur Savoir média dès le 25 avril 2023

DE LA SCIE AU BISTOURI, une incursion dans l’univers étonnant de l’histoire de la médecine, à découvrir sur Savoir média dès le 25 avril 2023

Savoir média est heureuse de présenter De la scie au bistouri, une nouvelle série documentaire qui nous plonge dans l’univers étonnant de l’histoire de la médecine. Réalisée par Karine Marceau et Geneviève Tremblay, et narrée par Catherine Éthier, la série se décline en six épisodes de 30 minutes dans une formule accessible qui entremêle vulgarisation scientifique et humour.

Lobotomies, électrochocs à froid, bains d’eau glacée, amputations à la scie à main, accouchements cauchemardesques, outils dignes de films d’horreur pour redresser la posture : rien n’a été épargné aux générations précédentes, cobayes d’une médecine en pleine évolution. Qu’on redoute ou non son prochain rendez-vous chez le médecin, il faut bien admettre que la médecine a parcouru un immense chemin jusqu’à aujourd’hui!

De la scie au bistouri sera diffusée sur les ondes de Savoir média les mardis à 21 h, dès le 25 avril, et également offerte gratuitement sur ses plateformes numériques.

Pour découvrir la bande-annonce

DE LA SCIE AU BISTOURI – 6 épisodes x 30 minutes

Narration : Catherine Éthier

Réalisation : Karina Marceau et Geneviève Tremblay

Production : PVP MEDIA

ÉPISODE 1 – Neurologie

À une époque où croyances farfelues et méconnaissance du corps humain pouvaient former un mélange explosif, souffrir de toute maladie neurologique aux symptômes plus difficiles à dissimuler pouvait inquiéter, voire effrayer. Cet épisode nous entraîne dans l’histoire de la neurologie pour découvrir le lien qui était fait entre possession démoniaque et épilepsie, mais aussi les traitements contemporains d’un patient atteint de la maladie de Parkinson et les promesses de la neurologie du futur.

ÉPISODE 2 – Orthopédie

Des bras robotisés qui réagissent aux moindres frémissements musculaires? Des jambes en titane qui permettent de courir des marathons? Le monde moderne de l’orthopédie ne cesse de surprendre par ses prouesses. Cet épisode nous ramène dans le passé, alors que tissus, cuir, os d’animaux faisaient l’affaire pour remplacer un ligament, soutenir un dos meurtri ou remplacer un membre, avant de nous présenter les traitements d’aujourd’hui et ce qui attend l’orthopédie de demain.

ÉPISODE 3 – Gynécologie

Qu’y a-t-il de plus naturel que l’accouchement, cet acte essentiel à toute forme de vie, qui, pourtant, est la cause de nombreux décès et complications depuis que le monde est monde. Philtres d’accouchement, chaises obstétricales rustiques ou outils qui ressemblent plutôt à des armes de torture, c’est une science qui a connu de grandes évolutions. Cet épisode nous entraîne dans le monde de l’obstétrique, des traitements de la préhistoire, d’aujourd’hui et de demain.

ÉPISODE 4 – Ophtalmologie

La perte de la vue arrive deuxième au rang des pires craintes des gens de partout sur la planète, juste après la mort. Pourtant, 50 % de la population sera touchée par des troubles oculaires de gravité variée à un moment ou un autre de sa vie. Dans cet épisode, on explore l’histoire de l’ophtalmologie, cette branche de la médecine qui se consacre aux maladies de l’œil, des techniques égyptiennes les plus précoces jusqu’aux puces électroniques du futur.

ÉPISODE 5 – Médecine dentaire

Qu’elles soient propres, blanches, en santé ou plutôt négligées, cariées et même arrachées, nos dents nous préoccupent depuis toujours. Au fil des siècles, il s’est développé une médecine parfois douloureuse autour de notre dentition, mais toujours en quête de progrès. Dentiers, prothèses, plombages, appareils dentaires et implants, cet épisode nous amène à la découverte de l’histoire de la médecine dentaire dans tout ce qu’elle a de fascinant.

ÉPISODE 6 – Oncologie

Cet épisode nous fait entrer dans l’univers de l’oncologie grâce à des faits historiques surprenants, qui nous font découvrir des traitements moyenâgeux à base de langue de loup, le destin tragique de Marie Curie et le dévouement des premiers médecins faisant usage de radiothérapie. On explore aussi les traitements actuels et les solutions d’avenir concernant cette maladie sans pitié.

À propos de Savoir média

Entièrement gratuit et sans publicités, Savoir média est un organisme sans but lucratif dont la mission est de propulser le savoir et de nourrir les réflexions des citoyen·ne·s sur des enjeux de société. Producteur, diffuseur et agrégateur de contenu, sa plateforme web et sa chaîne télé offrent un accès unique à des productions originales qui donnent la parole à des expert·e·s québécois·e·s reconnu·e·s, en plus de proposer de grandes séries étrangères. Sa plateforme web accueille également des articles et différentes séries en balado qui viennent compléter son offre vidéo.

Sur le web : www.savoir.media | youtube.com/savoirmedia | et sur les principales plateformes de balado

À la télé : Vidéotron 622 – Bell Télé 152 – Bell Fibe 1147 ou 147 – Shaw 738 – Telus 712 – Cogeco 47

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À la demande générale : Un gars, une fille officiellement de retour!

À la demande générale : Un gars, une fille officiellement de retour sur ICI TÉLÉ du lundi 24 au jeudi 27 avril 2023

Un gars, une fille, Guy A. Lepage et Sylvie Léonard ont annoncé à Jean-Philippe Wauthier la création de 10 nouveaux épisodes pour la saison 2023-2024.

Les fans d’Un gars, une fille auront le plaisir de retrouver également les personnages qui gravitent autour du couple de Guy et Sylvie, dont leurs enfants, leur famille et leurs amis. Produits par Mélanie Campeau et Guy A. Lepage, les nouveaux épisodes seront écrits par ce dernier, qui sera appuyé par un collectif d’auteurs.

Par ailleurs, la minisérie Un gars, une fille sera diffusée sur ICI TÉLÉ du lundi 24 au jeudi 27 avril 2023 prochains à 19 h, et est présentement en ligne sur ICI TOU.TV EXTRA.

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SODEC – Trois séries québécoises en sélection officielle à CANNESERIES

SODEC – Trois séries québécoises en sélection officielle à CANNESERIES 

La Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) félicite les trois séries québécoises en compétition officielle à CANNESERIES cette année : L’air d’aller (Urbania), Bon matin Chuck (ou l’art de réduire les méfaits) (St Laurent TV) et Lac-Mégantic – ceci n’est pas un accident (Trio Orange). L’année 2023 marque d’ailleurs une première pour le Québec à CANNESERIES : une série d’ici se retrouve dans chaque catégorie de la compétition officielle de l’événement, qui aura lieu du 14 au 19 avril, à Cannes.

Par ailleurs, une trentaine de professionnels de l’industrie audiovisuelle québécoise feront le déplacement au MIPTV, qui se déroulera en parallèle du 17 au 19 avril, également à Cannes. Rappelons que l’événement est l’un des principaux marchés internationaux pour la vente, l’achat et le financement du divertissement de tous genres destinés à toutes plateformes.

En compétition officielle à CANNESERIES

Bon matin Chuck (ou l’art de réduire les méfaits)
Section : Compétition
Création : Jean Francois Rivard, Nicolas Pinson, Mathieu Cyr, Émilie Lemay-Perreault
Scénario : Jean-Francois Rivard, Sarianne Cormier, Patrick Dupuis
Réalisation : Jean-François Rivard et Mathieu Cyr
Production : St Laurent TV

L’air d’aller
Section : Compétition Séries Courtes
Création et scénario : Jean-Christophe Réhel
Réalisation : Sarah Pellerin
Production : Urbania

Lac-Mégantic – ceci n’est pas un accident
Section : Compétition Séries Documentaires
Création : Philippe Falardeau, Nancy Guerin, Elric Robichon
Scénario : Philippe Falardeau, Nancy Guerin
Réalisation : Philippe Falardeau
Production : Trio Orange

La sélection officielle est composée de trois sections : Compétition (10 séries), Compétition Séries Courtes (10 séries) et, pour la première année, la Compétition Séries Documentaires (5 séries). 

Autre présence québécoise au MIPTV

Nicola Merola, président de PIXCOM, animera le 18 avril un panel sur la coproduction avec le Canada dans le cadre de l’International Drama Co-Production Breakfast. L’événement réunira trois autres panélistes experts de l’industrie : Ijeoma Onah, présidente-directrice générale de SuperTV, Amanda Groom, directrice générale de The Bridge, Victoria Yarmoshcuk, présidente-directrice générale et cheffe de l’Ukrainian Motion Picture Association, FILM.UA Group. Il vise à présenter des façons innovantes de travailler en collaboration dans un contexte de coproduction avec le Canada.

À propos de la SODEC

La SODEC a pour mandat de promouvoir et de soutenir le développement des entreprises culturelles au Québec et à l’étranger dans les secteurs de l’audiovisuel, du livre, de l’édition, des métiers d’art, du marché de l’art, de la musique et du spectacle. La SODEC a également le mandat de protéger et de mettre en valeur un parc immobilier patrimonial de 32 immeubles, reflet de l’identité québécoise.

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La CDEC sur l’adoption du projet de loi C-11 : un pas de plus vers la sanction royale !

Un pas de plus vers la sanction royale : la CDEC applaudit l’adoption du projet de loi C-11 par la Chambre des communes

La Coalition pour la diversité des expressions culturelles (CDEC), qui représente 360 000 créateurs et créatrices et 2900 entreprises culturelles partout au Canada, applaudit l’adoption du projet de loi C-11 par la Chambre des communes à la suite de son étude par le Sénat. La Coalition est satisfaite de constater que les demandes qu’elle portait à cette étape ont toutes été retenues. Dès le 18 avril, les sénateurs et sénatrices seront en mesure d’approuver le travail effectué par les élu(e)s et de permettre au projet de loi de recevoir, enfin, la sanction royale. La CDEC les invite à agir en ce sens dans les meilleurs délais.

« Nous y sommes presque ! Après deux ans et plus de cent heures d’études et de débats, le Canada est sur le point de se doter d’une Loi sur la radiodiffusion moderne, qui intégrera les géants du web dans sa portée. Dans un climat acrimonieux et marqué par la désinformation, nous saluons le travail et le courage des élu(e)s qui, depuis deux ans, appuient sans relâche le secteur culturel et veillent à la pérennité de notre souveraineté culturelle. », a déclaré Bill Skolnik, coprésident de la CDEC.

« Au cours des derniers mois, les sénateurs et sénatrices se sont livrés à une analyse rigoureuse du projet de loi, lui apportant certaines améliorations. Nous saluons leur travail, mais les invitons aujourd’hui à prendre acte des décisions des élu(e)s et à faire cheminer, le plus rapidement possible, le projet de loi dans son état actuel vers la sanction royale. », a déclaré Hélène Messier, coprésidente de la CDEC.

Rappelons que la modernisation de la Loi sur la radiodiffusion a pour objectif de faire en sorte que les entreprises en ligne, au même titre que les entreprises traditionnelles, soient tenues de contribuer au financement et à la mise en valeur des émissions, des musiques et des films canadiens. La CDEC, bien que déçue de certains aspects du projet de loi, notamment l’inscription dans un article clé d’un double standard en faveur des entreprises étrangères en ligne et la quasi-disparition d’un mécanisme d’appel au gouverneur en conseil, soutient cette modernisation essentielle pour pérenniser la souveraineté culturelle canadienne.

Lire le communiqué

À propos de la CDEC

La Coalition pour la diversité des expressions culturelles (CDEC) regroupe les principales organisations professionnelles francophones et anglophones du secteur culturel au Canada. Elle est composée de plus de 50 organisations qui représentent collectivement les intérêts de plus de 360 000 créateurs et professionnels et de 2 900 entreprises des secteurs du livre, du cinéma, de la télévision, des nouveaux médias, de la musique, des arts du spectacle et des arts visuels. La CDEC intervient principalement pour s’assurer que les biens et services culturels sont exclus des négociations commerciales et que la diversité des expressions culturelles est présente dans l’environnement numérique. 

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