Skip to main content

ONF – Sept courts métrages pour rendre hommage aux lauréats et lauréates des Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (PGGAS) 2021

Sept courts métrages pour rendre hommage aux lauréats et lauréates des Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (PGGAS) 2021

Pour une 12e année, l’ONF réunit des cinéastes réputés d’ici pour créer de courts hommages cinématographiques aux légendes canadiennes des arts du spectacle, alors que les PGGAS s’apprêtent à honorer leurs lauréats et lauréates lors de deux émissions spéciales de télévision d’une heure diffusées, l’une sur CBC, l’autre sur Radio-Canada, le 26 novembre à 19 h (HNE). Les courts métrages seront accessibles tout de suite après sur ONF.ca.

Voici les titres :

  • Zab Maboungou de Carmine Pierre-Dufour ;
  • Florent Vollant : je rêve en innu de Nicolas Renaud ;
  • Lumière d’étoiles et autres sons : la musique d’Alexina Louie de Josephine Anderson ;
  • Catherine O’Hara : nous brillons toutes et tous de Hart Snider ;
  • Tantoo Cardinal de Darlene Naponse ;
  • Lynda Hamilton : l’art d’écouter de Claude Guilmain ;
  • Ryan Reynolds : je suis un lauréat ? de Christopher Auchter.

Pour en savoir plus sur les cinéastes et la collection de l’ONF

***

Tënk propose une rétrospective de l’oeuvre du documentariste Martin Duckworth

Tënk propose une rétrospective de l’oeuvre du documentariste Martin Duckworth à l’occasion de la première mondiale de « Chère Audrey » aux RIDM

Tënk propose une rétrospective de l’oeuvre du documentariste Martin Duckworth, à l’occasion de la première mondiale de Chère Audrey aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), un film qui suit le cinéaste alors qu’il accompagne sa femme dans la dernière phase de la maladie d’Alzheimer. Réalisé par Jeremiah Hayes, le documentaire a été couronné du Prix du public de cette édition des RIDM. Six films marquants de la filmographie de Martin Duckworth seront proposés en accès libre jusqu’au 3 décembre prochain.

Cher père Noël de Martin Duckworth (Québec, 1999, 50 min)

Les requêtes d’enfants acadiens au père Noël. À travers leurs lettres se dévoile la crise sociale qui les affecte.

Les yeux du coeur de Martin Duckworth et Glen Salzman (Québec, 1994, 50 min)

Le portrait évocateur et percutant d’une artiste de talent qui tente de combattre la maladie mentale par l’art.

La bombe en bonus de Audrey Schirmer et Claire Nadon / Caméra de Martin Duckworth (Québec, 1986, 28 min)

De jeunes Québécois s’expriment sur la catastrophe nucléaire et discutent de leurs craintes et de leur impuissance avec le physicien Hubert Reeves.

Plus jamais d’Hiroshima de Martin Duckworth (Québec, 1984, 26 min)

Les hibakusha sont les survivants d’Hiroshima et de Nagasaki. Quelques-uns ont accepté de braver leur douleur pour avertir l’humanité.

Une histoire de femmes de Sophie Bissonnette, Martin Duckworth et Joyce Rock (Québec, 1980, 83 min)

La grève des travailleurs des mines de nickel à Sudbury en 1978-79, du point de vue des femmes des grévistes.

Témiscamingue, Québec de Martin Duckworth (Québec, 1977, 64 min)

Le récit inspirant de travailleurs canadiens qui ont su mener à bien la première expérience de copropriété des moyens de production.

RÉTROSPECTIVE MARTIN DUCKWORTH

À l’occasion de la première mondiale de Chère Audrey de Jeremiah Hayes aux RIDM, un film-hommage au grand cinéaste québécois Martin Duckworth qui accompagne sa femme, la photographe et militante Audrey Schirmer, alors qu’elle entre dans la dernière phase de la maladie d’Alzheimer, Tënk proposera dès le 19 novembre une rétrospective en accès libre incluant six de ses oeuvres. Une belle façon de revenir sur la carrière de cet inspirant défenseur de la justice et de la paix, des années 1970 aux années 2000.

Voici les films de Martin Duckworth qui seront proposés en ligne, gratuitement jusqu’au 3 décembre 2021 : Les yeux du coeur (A Brush with Life)Témiscamingue, QuébecNo More HiroshimaCher père NoëlUne histoire de femmes (co-réalisé avec Sophie Bissonnette et Joyce Rock) et, en bonus, La bombe de Audrey Schirmer et Claire Nadon.

À PROPOS DE TËNK

Tënk.ca est une plateforme indépendante de diffusion de documentaire d’auteur sur abonnement accessible en ligne partout au Canada. Elle a été lancée au Québec en février 2020 avec la complicité d’une quinzaine de professionnel.le.s du milieu documentaire. Tënk, c’est un festival de films à l’année qui se donne pour mission de renouveler les regards que l’on porte sur le monde par la diffusion d’œuvres fortes et singulières. Tënk a d’abord été créée à Lussas, en France, dans ce que l’on surnomme affectueusement Le Village documentaire. Avec l’arrivée de Tënk au Québec, c’est un véritable réseau de diffusion solidaire qui se crée, pour assurer la diffusion des films documentaires, et les faire voyager !

Pour découvrir Tënk : www.tenk.ca

Page Facebook : facebook.com/tenk.ca

***

Le Petit Septième, nouvelle image, nouvelle vision, nouvelle plateforme, dévoilement en trois étapes

Le Petit Septième évolue et lancera une nouvelle plateforme de diffusion numérique 

Le dévoilement de la nouvelle personnalité du média se fera en 3 étapes, du 25 au 27 novembre 2021

Nouvelle image, nouvelle vision, nouvelle plateforme

Après 9 ans d’existence, Le Petit Septième change d’image. Le 25 novembre, seront dévoilés le nouveau logo et les nouvelles couleurs du média de cinéma. Le 26 ce sera le lancement de la nouvelle plateforme. 

Pour fêter sa nouvelle identité, Le Petit Septième s’associe au festival FICMAN, et diffusera le 27 novembre 2021 une sélection des films de la 4e édition. 

 

 

« C’est en discutant avec Alessandro Cassa, cofondateur du FICMAN, que m’est venue l’idée de diffuser la cérémonie de l’édition 2020-21. En effet, les projections de cette 4e édition étaient sur le point d’être remise à cause de la Covid et, en tant que membre du jury, je trouvais dommage que le public ne puisse voir ces films. J’ai donc lancé l’invitation. » explique François Grondin, rédacteur en chef pour Le Petit Septième.

 

À cette nouvelle identité visuelle s’ajoutera une refonte de son site web afin d’offrir deux nouvelles sections à ses lecteurs. Une première qui offrira des textes sur les différentes séries qu’on peut voir en streaming, et une seconde où les lecteurs pourront suivre l’actualité du milieu cinématographique canadien. S’ajoutera aussi une page qui servira de lieu de diffusion d’exclusivités.

Présentation de la soirée FICMAN 4 en direct

Une première exclusivité sera offerte le 27 novembre 2021, alors que Le Petit Septième diffusera, en direct, la soirée FICMAN. Il s’agit de la première version numérique du festival montérégien, et de la première diffusion exclusive offerte par LPS. 

Au programme de cette soirée, une partie des courts métrages finalistes de l’édition 2020-2021 du FICMAN, ainsi que la remise des 5 prix, dont le coup de cœur du Petit Septième. François Grondin recevra, d’ailleurs, le réalisateur du film coup de cœur en entrevue après la projection des films. 

Le public aura aussi la chance d’interagir avec les participants lors de la soirée de diffusion, directement sur le site. 

En attendant la soirée du 27, il est possible de découvrir les 9 films finalistes sur la page Facebook des Productions du 3 Juin, entreprise derrière le FICMAN. 

 

Qui est Le Petit Septième

Le Petit Septième a pour mission de mettre en valeur et de rendre accessible le cinéma qui se distingue de celui produit à Hollywood : le cinéma d’auteur, le cinéma indépendant et les cinémas nationaux de plusieurs pays. Il présente ainsi des critiques cinématographiques bilingues de fictions ou de documentaires, québécois et internationaux. Il consacre aussi une attention particulière au court métrage, un type de production méconnu du grand public. Le Petit Septième couvre ainsi de nombreux festivals de films au Québec et au Canada, les sorties en salles, de même que des nouveautés disponibles en ligne.
Twitter | Facebook

 

Qu’est-ce que le FICMAN

FICMAN est un événement de cinéma d’auteurs phare pour Sainte-Barbe où il est bien implanté. À la fois plateforme de découverte et Festival, il vise tant les curieux que les amateurs de courts-métrages d’auteurs. C’est une occasion unique pour les courts-métrages, d’être vus à travers le monde entier, via l’auditoire international de cette grande tribune barberivaine.

***

LONGUE VUE SUR LE COURT dévoile sa programmation !

Longue vue sur le court dévoile sa programmation ! 

Du 24 au 28 novembre 2021 en salle à Montréal et en ligne du 28 novembre au 12 décembre 2021

Longue vue sur le court, le festival international de courts métrages du Sud-Ouest de Montréal, est fier de dévoiler la programmation de sa 7e édition ! Du 24 au 28 novembre, 86 films en provenance de 16 pays dont 44 films québécois et 42 films internationaux seront présentés au Théâtre Paradoxe, à la maison de la culture Marie-Uguay ainsi qu’aux serres municipales de Verdun. Les films pourront ensuite être vus en ligne du 28 novembre au 12 décembre sur le site du festival, longuevuesurlecourt.com. Le premier festival montréalais entièrement destiné aux courts métrages est ainsi de retour avec ses projections de films en compétition, ses programmes jeunesse, et sa section dédiée aux 12 ans et plus !

La soirée d’ouverture de Longue vue sur le court aura lieu le mercredi 24 novembre dès 17 h 30 au Théâtre Paradoxe (5959 boulevard Monk). Pour l’occasion seront présentés douze films répartis en deux programmes. On y retrouvera notamment The Game de Roman Hodel, documentaire vu à la Mostra de Venise et au TIFF, qui s’intéresse au rôle d’un arbitre devant un stade en colère, mais aussi Bleach de Mattias Graham, en première québécoise, qui met en scène Jacob Whiteduck-Lavoie (Une colonie, Bootlegger) et Les monstres de Frank Tremblay, dans lequel on retrouvera la porte-parole de cette édition, Caroline Dhavernas, présente à la soirée d’ouverture. 

Une programmation diversifiée

La programmation de cette 7e édition, soigneusement concoctée par le critique de cinéma Daniel Racine, propose aux cinéphiles un juste équilibre entre drames, comédies, films d’animation et documentaires. 

Du côté des films québécois à ne pas manquer, les documentaires Ka tatishtipatakanit (Ethereal) de Isabelle Kanapé, une leçon poétique au sujet du respect, et Fruits of Labour de Ophelia Spinosa, un film sur la relation père-fille puisant dans une métaphore sur les raisins. En fiction, Danyk Grenier propose Clara est partie, dans laquelle un garçon part à la recherche de sa meilleure amie disparue, perdant lentement sa naïveté enfantine. Prométhée au féminin de Marie Farsi est une adaptation visuelle radicale du mythe grec, en stop-motion, sur la résilience et le pouvoir féminin.

Du côté des films internationaux, le film chinois Hair Tie, Egg, Homework Books du jeune et prometteur Runxiao Luo fait ses débuts canadiens après une première mondiale à la Mostra de Venise. Il met en scène une élève modèle d’une école primaire qui découvre qu’elle partage le même secret qu’un camarade de classe espiègle. Présenté en première québécoise, Your Street de Güzin Kar est un documentaire vu à la Berlinale qui s’intéresse à un monument commémoratif instauré dans un coin reculé, se demandant si les mémoriaux publics sont une mémoire collective ou une répression collective. Présenté en première à Locarno, Retour à Toyama de Atsushi Hirai s’intéresse à un homme qui rentre à la maison après avoir quitté le Japon malgré la désapprobation de son père. 

Le documentaire You Can’t Automate Me de Katarina Jazbec fait un portrait poétique de travailleurs portuaires qui, entourés de véhicules autonomes et de grues télécommandées, effectuent leur travail au péril de leur propre vie. Prix d’interprétation féminine et mention spéciale au festival Off-Courts de Trouville, Shakira de Noémie Merlant met en scène un jeune Rom qui cherche à sauver sa famille de la rue. 

Des films pour enfants et ados

Les plus jeunes ne seront pas en reste puisque le festival propose cette année quatre programmes adaptés aux moins de 18 ans : un programme pour les 4 à 7 ans, un autre pour les 8 à 12 ans, un programme pour les 12 ans et plus et un programme pour toute la famille. Ces films sont à voir le vendredi soir aux serres municipales de Verdun, et les samedi et dimanche à la maison de la culture Marie-Uguay. Une belle façon d’initier toute la famille au court métrage !

COMPÉTITION OFFICIELLE

Programme 1 | Soirée d’ouverture | mercredi 24 novembre, 19 h 10 et vendredi 26 novembre, 19 h 30

Beast (Benjamin Nicolas, Québec) | La vie heureuse (Amélie Hardy, Québec) | Wichita (Sergine Dumais, États-Unis) | Débâcle (Catherine Arsenault, Québec) | The Game (Roman Hodel, Suisse) | Les monstres (Frank Tremblay, Québec) | Le censeur des rêves (Léo Berne et Raphaël Rodriguez, France)

Programme 2 | Soirée d’ouverture | mercredi 24 novembre, 20 h 45

Montagne (Louise Caillez, France) | Nos empreintes (Julien Hardy-Cardinal, Québec) | Particules fines (Grégory Robin, France) | Bleach (Mattias Graham, Québec) | Grand frère (Rémi St-Michel, Québec) 

Programme 3 | jeudi 25 novembre, 18 h 30

Hair Tie, Egg, Homework Books (Runxiao Luo, Chine) | Peete (Simon Madore, Québec) | Fruits of Labor (Ophelia Spinosa, Canada) | Pas de titre (Alexandra Myotte, Québec) | Charmante (Justine Prince, Québec) | Louise de 9 à 5 (Julien G. Marcotte, Québec)

Programme 4 | jeudi 25 novembre, 20 h 30

Gibier (Antony Boudreau Savoie, Québec) | Ka tatishtipatakanit (Ethereal) (Isabelle Kanapé, Canada) | Free Fall (Emmanuel Tenenbaum, France) | Prométhée au féminin (Marie Farsi, Québec) | Le danger en face (Alexis Chartrand, Québec) | Shakira (Noémie Merlant, France/Roumanie)

Programme 5 | vendredi 26 novembre, 18 h 30

Clara est partie (Danyk Grenier, Québec) | Scars (Alex Anna, Québec) | Parle-moi (Jules de Niverville, Québec) | Point d’orgue (Benoît Ouellet, Québec) | Otava (Lana Bregar, Slovénie) | Postpartum (Henriette Rietz, Allemand) | Les grandes claques (Annie St-Pierre, Québec)

Programme 6 | vendredi 26 novembre, 20 h 30

L’inspection (Caroline Brami et Frédéric Bas, France) | Statu quo (Lamia Chraibi et Marion Chuniaud Lacau, Québec) | Soir de semaine (Rachel Samson, Québec) | On n’est pas des animaux (Noé Debré, France) | Au-delà du vide (Rafaël Beauchamp, Québec) | Cercueil, tabarnak ! (Loïc Darses, Québec) 

Programme 7 | samedi 27 novembre, 15 h 45

Le mal du siècle (Catherine Lepage, Québec) | You Can’t Automate Me (Katarina Jazbec, Pays-Bas) | dieu@mail.com (Roger Gariépy, Québec) | Donc, Socrate est mortel (Alexandre Isabelle, Québec) | Branka (Ákos K. Kovács, Hongrie) | S.O.S (Sarah Hafner, France)

Programme 8 | samedi 27 novembre, 19 h

Joutel (Alexa-Jeanne Dubé, Québec) | Lolos (Marie Valade, Québec) | Retour à Toyama (Atsushi Hirai, France) | Photo Op (Dava Whisenant, États-Unis) | De fil en aiguille (Samuel St-Pierre, Québec) | Sprötch (Xavier Seron, Belgique)

PROGRAMMES JEUNESSE

Programme jeunesse (8 à 12 ans) | vendredi 26 novembre, 18 h et dimanche 28 novembre, 11 h 15

Trésor (Alexandre Manzanares, France) | L’Odyssée de Choum (Julien Bisaro, France) | Soir de semaine (Rachel Samson, Québec) | The Weather is Lovely (Chun-Chien Lien, Chine) | Itchy the Camel : Tennis (Anders Beer et PH Dallaire, Québec)

Programme jeunesse (4 à 7 ans) | samedi 27 novembre, 10 h

Listek (Aliona Baranova, République Tchèque) | The Little Hedgehog (Wenju Chow, États-Unis/Taïwan) | Sur la dune (Noémie Da Cruz et Solenne Boisseau, France) | Kiko et les animaux (Yawen Zheng, France) | L’inverno (Guril Bachmann, Allemagne) | Jour de pluie (Claire Marchal, France) | Cat and Bird (Franka Sachse, Allemagne) | Itchy the Camel : Râteaux (Anders Beer et PH Dallaire, Québec)

Programme jeunesse (Famille) | samedi 27 novembre, 11 h | dimanche 28 novembre, 10 h

Miriami Värvid (Les couleurs de Miriam) (Jelena Girlin, Estonie) | House of Memory (Sofia Rosales Arreola, Mexique) | Ink (Joost Van Den Bosch et Erik Verkerk, Pays-Bas) | La Grogne (Alisi Telengut, Québec) | Dans la nature (Marcel Barelli, Suisse) | Souvenir (Christina Vilches Estella et Paloma Canonica, Espagne/Suisse) | Pompier (Yulia Aronova, France) | Itchy the Camel : Basketball (Anders Beer et PH Dallaire, Québec)

Programme jeunesse (12 ans et plus) | samedi 27 novembre, 14 h

La chamade (Emma Séméria, France) | Vague (Émy Langlois, Mathilde Théorêt et Sarah-Maude Pilon, Québec) | Migrants (Hugo Caby, Antoine Dupriez, Aubin Kubiak, Lucas Lermytte et Zoé Devise, France) | Débâcle (Catherine Arsenault, Québec) | Différent (Cyprien Clément Delmas, France) | Strike (Olivier Côté, Canada) | Métamorphose du chaos (Alejandra Galan Obeso, Québec) | Parle-moi (Jules De Niverville, Québec) | Hé, Oh! Mademoiselle (Noémie Célestin et Daniel Torres, Québec) | Insomnie (Maude Leduc et Zoya Afzal, Québec)

BANDE-ANNONCE – VOLET JEUNESSE

TARIFS

Les billets individuels pour assister à l’un des deux programmes de la soirée d’ouverture sont vendus au coût de 15$ chaque programme ou 25$ pour les deux. L’accès aux projections des autres programmes compétitifs est au coût de 10$ par programme. Les festivalier·ère·s sont invité·e·s à se procurer un passeport pour l’ensemble du festival au prix de 50$. L’entrée est libre pour les projections jeunesse.

L’achat des billets se fait en ligne à partir du site web du festival : www.longuevuesurlecourt.com

En raison des mesures sanitaires, les festivalier·ère·s doivent réserver leur place et ont des sièges assignés. Le passeport vaccinal et une pièce d’identité seront demandés à l’entrée de la salle. 

L’accès à l’édition en ligne sera gratuit, avec invitation à faire un don qui se décline en plusieurs possibilités. Ces dons serviront à soutenir le festival.

Longue vue sur le court remercie ses précieux partenaires : la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), le Conseil des arts de Montréal, l’arrondissement du Sud-Ouest, la maison de la culture Marie-Uguay, le Carrefour jeunesse-emploi du Sud-Ouest de Montréal, Téléfilm Canada, la Ville de Montréal, SPIRA, l’Office national du film du Canada (Programme ACIC), MELS, le Mouvement Desjardins – Caisse du Sud-Ouest de Montréal, le Cégep André-Laurendeau, Les voies parallèles, L’inis, SLA Location, la Société des auteurs de radio, télévision et cinéma (SARTEC), Bande à Part audio et post production – coop, Hallé Location, Multiservices Luna, Théâtre Paradoxe, Benoit Gauthier inc. cabinet comptable, Ciné-Verdun, Café Central, Agent Illustrateur et la SDC Monk.

La 7e édition de LONGUE VUE SUR LE COURT

En salle du 24 au 28 novembre 

En ligne du 28 novembre au 12 décembre

Pour plus d’information : longuevuesurlecourt.com

Suivez-nous aussi sur Facebook et Instagram

***

RIDM 2021 : la grande fête du documentaire se poursuit pour une 2e semaine !

Les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) se poursuivent pour une deuxième semaine avec de nouveaux films à découvrir

Le festival se déroule en salle jusqu’au 21 novembre 2021 et en ligne jusqu’au 25 novembre 2021 sur la plateforme enligne.ridm.ca, accessible partout au Canada

Classe de maître et projections en présence de Vitaly Mansky

De passage à Montréal jusqu’au 19 novembre, Vitaly Mansky offrira une classe de maître gratuite, sur réservation, ce mercredi 17 novembre à 17 h à la Cinémathèque québécoise. Cette deuxième semaine du festival sera l’occasion de revisiter sa filmographie avec une présentation de sept de ses films, dont cinq seront projetés en présence du cinéaste. Toutes les informations sur la visite de Vitaly Mansky à Montréal se trouvent sur la page de la rétrospective qui lui est dédiée.

Œuvres locales à ne pas manquer

Aujourd’hui, lundi 15 novembre, les RIDM proposent Dropstones, premier film de la cinéaste torontoise Caitlin Durlak, qui s’intéresse à Sonya, une mère de famille qui retourne sur son île natale avec ses deux enfants et reprend les rênes de sa vie après une relation compliquée. La séance sera suivie d’une discussion avec la cinéaste et la protagoniste.

Le mardi 16 novembre, on pourra voir Canards Errants de Bruno Chouinard, suivant l’épopée surréaliste de 90 canards en caoutchouc lancés par la NASA sur les glaciers du Groenland dans le cadre d’une expérience sur le réchauffement climatique. Le même jour, zo reken de Emanuel Licha dresse un état des lieux d’Haïti, exposant le néocolonialisme et le paternalisme représentés par la figure du « sauveur » blanc.

Le mercredi 17 novembreLuke Glesson propose DƏNE YI’INJETL | The Scattering of Man, dans lequel il offre le point de vue de sa communauté, la nation Tsay Keh Dene, qui subit encore les répercussions de la construction d’un barrage par BC Hydro en 1968.

Le jeudi 18 novembre, le cinéaste Bogdan Stoica transporte le spectateur en Roumanie avec They Sleep Standing, présentant trois protagonistes à l’aube de la trentaine qui, entre fragilité et découvertes, se posent des questions sur les nombreuses incertitudes de la vie.

À voir le vendredi 19 novembre, Animal Macula, le plus récent projet de Sylvain L’espérance, est une expérience riche et profonde qui rend hommage autant au cinéma qu’à l’existence animale et La fin de Wonderland de Laurence Turcotte-Fraser, un premier long métrage mêlant agilement l’intime et le paraître en suivant Tara Emory, une artiste trans pionnière de la photo érotique sur Internet. Le même jour sera aussi présenté Chère Audrey de Jeremiah Hayes, un hommage au documentariste Martin Duckworth alors qu’il accompagne sa femme, la photographe et militante Audrey Schirmer, dans la dernière phase de la maladie d’Alzheimer.

Le samedi 20 novembreElle-Máijá Tailfeathers oriente sa caméra sur la Nation kainai, dans Kímmapiiyipitssini, la voie de l’empathie, pour mettre en lumière la lutte novatrice de sa communauté afin de combattre le ravage des opioïdes et les blessures causées par le colonialisme. À la même date, Jenny Cartwright fait découvrir le quartier montréalais de Parc-Extension dans Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier, qui capte l’ambiance d’une vie collective riche de sa diversité alors que sont coulées les fondations d’une gentrification menaçant le tissu social du quartier.

Documentaires internationaux : fenêtre sur le monde

Au sein de la programmation internationale, les RIDM proposent aujourd’hui, lundi 15 novembreAleph de Iva Radivojević, cinéaste remarquée par son raffiné travail de montage sur A Machine to Live In (RIDM 2020), qui propose une réalisation aussi insolite que réjouissante et librement inspirée de la littérature de Jorge Luis Borges.

Le mardi 16 novembreAndrea Arnold (Fish TankAmerican Honey) présente Cow, un premier documentaire qui observe le cycle de vie de bovins dans une ferme laitière industrielle en centrant son regard sur une vache et sa progéniture. Pour sa part, Eastwood de Alireza Rasoulinejad est une œuvre singulière explorant la domination culturelle américaine à travers la figure mythique de Clint Eastwood jusque dans la ruralité iranienne, en révélant une société contemporaine moderne et contrastée.

Le mercredi 17 novembre, les cinéphiles pourront apprécier Taming the Garden de Salomé Jashi, s’intéressant à une migration forcée d’arbres énormes vers le jardin personnel d’un riche géorgien et mettant en lumière des enjeux environnementaux, économiques et sociaux. À la même date, A Night of Knowing Nothing de Payal Kapadia, lauréat de l’Oeil d’or à Cannes, suit les luttes étudiantes indiennes à travers la correspondance de deux universitaires amoureux, éloignés par l’archaïsme du système de castes.

Dans Le dernier refuge du malien Ousmane Zoromé Samassékou, deux adolescentes du Burkina Faso en route pour le nord développent une amitié avec Natacha, une migrante de plusieurs années leur aînée en perte d’espoir de retrouver son foyer. The Invisible Mountain de Ben Russell propose une quête philosophique envoûtante qui explore les possibles du langage cinématographique. Ces deux films sont à voir le jeudi 18 novembre.

Le vendredi 19 novembreA River Runs, Turns, Erases, Replaces de Shengze Zhu se déroule dans la ville de la cinéaste natale, Wuhan, et propose une symphonie urbaine dans un film puissant où l’immuable changement fait écho à la pandémie. De son côté, Apenas el sol de la cinéaste paraguayenne Arami Ullón s’intéresse aux aînés d’une communauté autochtone chassée des forêts où ils vivaient, désormais établis dans un milieu incompatible avec leur mode de vie.

À voir le samedi 20 novembreBrotherhood de Francesco Montagner (Léopard d’or, Cinéastes du présent, Locarno 2021) est tourné sur une période de quatre ans et explore la vie de trois frères bosniaques qui entrent dans l’âge adulte, alors que les choses se compliquent quand leur père, un ancien militaire autoritaire, est condamné à deux ans de prison pour terrorisme, tandis que The First 54 Years – An Abbreviated Manual for Military Occupation de Avi Mograbi décortique sous forme de manuel les mécanismes à l’œuvre derrière l’occupation des territoires palestiniens. 

Courts et moyens métrages en compétition

Au sein de la compétition nationale courts et moyens métrages, on pourra voir cette semaine Love-Moi de Romane Garant Chartrand, qui filme une étudiante évoluant dans un monde de séduction et d’image. Dans Babushka, la cinéaste Kristina Wagenbauer creuse dans son passé et tente de rétablir un lien perdu avec sa grand-mère lors d’un retour dans son pays natal, la Russie. Charles Duquet, gagnant du prix de la relève en 2019, est de retour aux RIDM avec Sous la montagne endormie, une œuvre intime d’une grande maturité artistique sur la relation entre ces parents qui s’érodent avec le temps. Également à ne pas manquer, Wash Day de Kourtney Jackson est un pas vers une guérison qui permet de libérer le présent des siècles de patriarcat, de domination blanche et d’oblitération des peuples noirs.

Des films de la compétition internationale courts et moyens métrages sont aussi à voir cette semaine, notamment Toutes tes étoiles ne sont que poussière sur mes chaussures de Haig Aivazian, qui décortique et déconstruit l’évolution de l’éclairage depuis l’utilisation de l’huile de baleine jusqu’à son utilisation comme moyen de répression ou de contrôle des populations. Nikita Yefimov pose sa caméra sur un centre de détention à haute sécurité, en Russie, dans Strict Regime, et s’intéresse particulièrement à l’un des responsables du centre. Pour sa part, La fin des rois de Rémi Brachet est une œuvre cinématographique fougueuse qui brosse un portrait kaléidoscopique de Clichy-sous-Bois, une ville de banlieue parisienne, tout en restant loin des stéréotypes.

Les 50 ans de Vidéographe

Pour souligner le 50e anniversaire de Vidéographe, l’artiste et cinéaste Luc Bourdon a puisé dans les quelque 2300 titres de leur collection pour créer Le devoir de mémoire, un programme de cinq œuvres qui explorent des épisodes tragiques et controversés de l’histoire contemporaine. Fidèles aux débuts militants de la vidéo indépendante, les artistes visent à approfondir notre conscience du monde et à offrir une alternative personnelle, poétique et puissante aux récits standardisés des médias de masse. Cette projection sera suivie d’une discussion animée par Luc Bourdon avec Pierre Hébert, Félix Lamarche, Eduardo Menz et Nayla Dabaji.

Soirée de clôture

La remise des prix des sections compétitives des RIDM se tiendra le samedi 20 novembre dès 17 h à la Cinémathèque québécoise. À l’occasion de la clôture du festival sera projeté Gabor, premier long métrage de Joannie Lafrenièredès 20 h au Cinéma du Musée (sur invitation seulement). Ce documentaire intime et décalé revisite la carrière et l’histoire personnelle de Gabor Szilasi, photographe au bagage créatif d’une grande richesse, ainsi qu’à son histoire de vie fascinante.

Billetterie

Afin de permettre un accès abordable et simple à toute la programmation, plusieurs options d’achat s’offrent aux festivalier·ère·s. Le prix pour une séance en salle est de 13 $, avec un rabais de 2 $ par billet pour l’achat de 5 billets et plus. Ces achats peuvent se faire via la billetterie en ligne ou à la billetterie physique du festival, installée à la Cinémathèque québécoise.

Pour le visionnement en ligne uniquement, le passeport RIDM, offert à 85 $, permet de visionner la grande majorité des films du festival sur la plateforme enligne.ridm.ca du 14 au 25 novembre. L’abonnement à un bloc, donnant accès au tiers de la programmation en ligne, est également disponible pour 30 $. Tous les détails sont disponibles sur le site web du festival.

MERCI AUX PARTENAIRES DES RIDM

Les RIDM tiennent à remercier ses précieux partenaires : le Gouvernement du Québec, le ministère de la Culture et des Communications, la SODEC, le Secrétariat à la région métropolitaine, le Conseil des arts du Canada, la Ville de Montréal, Téléfilm Canada, le Conseil des arts de Montréal, Tourisme Montréal, le Centre des Services aux Entreprises – Intégration en emploi (Emploi-Québec), le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, le Centre des Services aux Entreprises – Intégration en emploi (Emploi-Québec), Crave, Canal D, le Fonds des médias du Canada, Télé-Québec, la Confédération des syndicats nationaux (CSN), TV5, Radio-Canada, Post-Moderne, la Société civile des auteurs multimédia (SCAM), PRIM, BDO, la Cinémathèque québécoise, le studio Chop Chop ainsi que Benoît Parent et Arthur Gaumont-Marchant.

La 24e édition des RIDM se déroule en salle à Montréal jusqu’au 21 novembre

à la Cinémathèque québécoise, au Cinéma du Parc, au Cinéma du Musée,

au Centre Pierre-Péladeau et au Cinéma Cineplex Odeon Quartier Latin

Et en ligne partout au Canada jusqu’au 25 novembre 2021

 

àInformations : ridm.ca / info@ridm.ca

Facebook – Twitter – Instagram

***

Nouveautés sur TËNK du 12 novembre 2021 au 1er janvier 2022, le cinéma documentaire en ligne

TËNK, le cinéma documentaire en ligne, vous propose des nouveautés du 12 novembre 2021 au 1er janvier 2022 à l’occasion des RIDM !

À l’occasion des RIDM, Tënk propose une programmation célébrant 5 œuvres documentaires ayant marqué les éditions passées du festival, une sélection des membres du nouveau collectif de programmation des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) et un coup de cœur de l’équipe éditoriale de Tënk. En ligne jusqu’au 8 janvier 2022.

Aswang de Alyx Ayn Arumpac (France/Philippines, 2019, 84 min)

Le président des Philippines Rodrigo Duterte, fidèle à sa promesse électorale, a mis en branle une machine d’exécution massive des toxicomanes, trafiquants et autres petits malfrats de Manille. La cinéaste documente la réalité de ces nuits assassines.

*Grand prix de la compétition internationale de longs métrages RIDM 2020

Un choix de Nadine Gomez

Les femmes du soleil : une chronologie du regard de Hamed Zolfaghari (France/Iran, 2020, 87 min)

Shafie Abad est un village du désert iranien figé dans le temps et soumis depuis des siècles à des lois traditionnelles. Mais, un jour, un groupe de femmes s’empare de caméras et se constitue en un collectif.

Un choix de Hubert Sabino-Brunette

Baronesa de Juliana Antunes (Brésil, 2017, 71 min)

Andreia et Leidiani vivent dans une favela de Belo Horizonte : tandis que l’une attend son mari emprisonné et s’occupe des enfants, l’autre rêve de partir.

Un choix de Ana Alice de Morais

Room For A Man de Anthony Chidiac (Liban/États-Unis, 2017, 77 min)

Nous sommes au Liban, dans une famille fière de son nom et de ses ancêtres. Une famille conservatrice, où tout n’est pas permis. Surtout pas l’homosexualité…

*Grand Prix de la compétition internationale de longs métrages RIDM 2017

Un choix de Marlene Edoyan

Argentinian Lesson de Wojciech Staroń (Pologne, 2011, 59 min)

Janek, 9 ans, quitte la Pologne avec sa mère et son petit frère pour s’installer en Argentine, au cœur de la région reculée de Misiones dont la population est en grande partie d’origine polonaise.

*Prix du meilleur moyen métrage international RIDM 2012

Un choix de l’équipe de Tënk

 

RÉTROSPECTIVE MARTIN DUCKWORTH

À l’occasion de la première mondiale de Chère Audrey de Jeremiah Hayes aux RIDM, un film-hommage au grand cinéaste québécois Martin Duckworth qui accompagne sa femme, la photographe et militante Audrey Schirmer, alors qu’elle entre dans la dernière phase de la maladie d’Alzheimer, Tënk proposera dès le 19 novembre une rétrospective en accès libre incluant six de ses oeuvres. Une belle façon de revenir sur la carrière de cet inspirant défenseur de la justice et de la paix, des années 1970 aux années 2000.

 

Voici les films de Martin Duckworth qui seront proposés en ligne, gratuitement jusqu’au 3 décembre 2021 : Les yeux du coeur (A Brush with Life)Témiscamingue, QuébecNo More HiroshimaCher père NoëlUne histoire de femmes (co-réalisé avec Sophie Bissonnette et Joyce Rock) et, en bonus, La bombe de Audrey Schirmer et Claire Nadon.

À PROPOS DE TËNK

Tënk.ca est une plateforme indépendante de diffusion de documentaire d’auteur sur abonnement accessible en ligne partout au Canada. Elle a été lancée au Québec en février 2020 avec la complicité d’une quinzaine de professionnel.le.s du milieu documentaire. Tënk, c’est un festival de films à l’année qui se donne pour mission de renouveler les regards que l’on porte sur le monde par la diffusion d’œuvres fortes et singulières. Tënk a d’abord été créée à Lussas, en France, dans ce que l’on surnomme affectueusement Le Village documentaire. Avec l’arrivée de Tënk au Québec, c’est un véritable réseau de diffusion solidaire qui se crée, pour assurer la diffusion des films documentaires, et les faire voyager !

Pour découvrir Tënk : www.tenk.ca

Page Facebook : facebook.com/tenk.ca

***

« L’un l’autre » de Clara Prévost au Théâtre Outremont le 9 novembre 2021 dans le cadre du Festival du film CINEMANIA

« L’un l’autre » de Clara Prévost sélectionné au Festival Cinémania 

Le court-métrage L’un l’autre de Clara Prévost, coproduit par Productions Fil d’or et Chasseurs films sera présenté le 9 novembre au Théâtre Outremont dans le cadre du Festival Cinémania.

 

Synopsis

L’un l’autre raconte la rencontre de deux voisins, interprétés par Jade Charbonneau et Sasha Samar, à des moments charnières de leurs vies qui s’accompagneront dans les défis qu’ils traversent. Le film a déjà remporté quatre prix lors de la 17e édition du Gala Prends ça court, dont une diffusion sur les ondes d’Unis.tv. « On crée des films pour qu’ils soient vus, pour aller toucher les gens et les festivals représentent une chance en or d’atteindre un plus grand public », affirme Clara Prévost.

L’artiste Clara Prévost

Diplômée de l’École nationale de théâtre du Canada en 2015, Clara Prévost a joué au théâtre dans plusieurs pièces, dont Nos cœurs remplis d’uréthane présenté par le Théâtre du Double Signe de Sherbrooke à l’hiver 2020. Elle a fait également quelques apparitions à la télévision (Lac noir, 30 vies, etc.). L’un l’autre est son premier court-métrage qu’elle coproduit avec sa compagnie de production Fil d’or et Laurent Allaire de Chasseurs Films, compagnie de production sherbrookoise. La sélection de L’un l’autre à Cinémania, c’est une belle nouvelle pour le développement d’une industrie cinématographique estrienne ». Clara Prévost a justement tourné son deuxième court-métrage Entre-deux cet été, en Estrie une fois de plus. Le film est produit par Chasseurs films et sa sortie est prévue au printemps 2022.

 

 

***

CAROLINE DHAVERNAS sera porte-parole de la 7e édition de Longue vue sur le court du 24 au 28 novembre 2021

Longue vue sur le court, le festival international de courts métrages du Sud-Ouest de Montréal, annonce que Caroline Dhavernas sera la porte-parole de sa 7e édition qui se déroule du 24 au 28 novembre 2021

Premier festival montréalais entièrement dédié aux courts, Longue vue sur le court est de retour en salle cette année et se déroulera du 24 au 28 novembre au Théâtre Paradoxe et à la Maison de la culture Marie-Uguay.

Tous les films de la programmation 2021 pourront ensuite être vus en ligne, partout au Canada, du 28 novembre au 12 décembre sur le site du festival.

Caroline Dhavernas, porte-parole

Actrice depuis ses 11 ans, Caroline Dhavernas est révélée au public québécois dans l’émission Tag, diffusée au début des années 2000. Depuis, elle s’est démarquée pour ses rôles au petit et grand écran, au Québec, aux États-Unis et en Europe. On a pu la voir entre autres dans Mars et Avril (Martin Villeneuve), The Forbidden Room (Guy Maddin) et Hochelaga, Terre des Âmes (François Girard).

À l’international, elle a joué aux côtés d’Adrian Brody dans Hollywoodland et Jennifer Aniston dans The Switch. Plus récemment, on a pu la voir dans la série américaine Hannibal et ici au Québec, dans Les beaux malaises 2.0. Les festivalier·ère·s la retrouveront dans le court métrage Les monstres de Frank Tremblay, présenté pour la première fois à Montréal lors de la soirée d’ouverture. Elle y tient le rôle d’une mère surprotectrice qui tient son fils de 8 ans barricadé dans un logis pour le protéger du monde extérieur où rôdent des monstres.

 

Soirée d’ouverture

Le coup d’envoi de cette 7e édition aura lieu le mercredi 24 novembre dès 18 h 30 au Théâtre Paradoxe (5959 boulevard Monk), en présence de la porte-parole Caroline Dhavernas et des cinéastes des films sélectionnés cette année. Cette soirée d’ouverture sera composée de deux programmes soigneusement concoctés par Daniel Racine, programmateur du festival, pour une grande célébration du court métrage.

Un premier programme débutera à 19 h 10, incluant sept films : Beast de Benjamin Nicolas où un chauffeur de taxi découvre que son corps se met à produire des mouvements incontrôlés; La vie heureuse de Amélie Hardy, un essai documentaire à la forme éclatée qui dresse le portrait d’une société en quête de sens et de réconfort; Wichita de Sergine Dumais, un thriller comique qui met en vedette Maxim Roy et l’acteur américain Jeremy Sisto; Débâcle de Catherine Arsenault, qui puise dans les mouvances du fleuve St-Laurent en hiver pour témoigner de la fragilité du territoire dans un film inspiré de son coin de pays, la Côte-Nord; L’homme silencieux de Nyima Cartier, dans lequel un homme qui se demande s’il doit intervenir auprès d’un collègue qui vient de se faire licencier; The Game de Roman Hodel (Mostra de Venise, IDFA, TIFF), qui se déroule dans un stade où les tribunes deviennent bruyantes, les joueurs protestants avec colère et l’arbitre devant prendre une décision et diriger l’énergie de tout un stade; et Les Monstres de Frank Tremblay.

Le deuxième programme commencera à 20 h 45, incluant cinq films : Montagne de Louise Caillez, qui illustre la fin de semaine de trois adolescents en pleine nature alors que leur amitié est mise à l’épreuve; Nos empreintes de Julien Hardy-Cardinal, qui dépeint une femme confrontée par son passé alors que son mari réapparait soudainement; Particules fines de Grégory Robin où deux hommes discutent sur le sens de la vie sur un pont, au-dessus du périphérique parisien; Bleach de Mattias Graham, en première québécoise, qui met en scène Jacob Whiteduck-Lavoie (Une colonieBootlegger) dans un film qui explore les moments de confusion qui suivent un traumatisme et l’importance de chaque petit pas; et finalement, la comédie Grand frère de Rémi St-Michel, suite de Petit frère, qui met en vedette Eric K. Boulianne et Étienne Galloy.

Quelques incontournables

Encore cette année, Longue vue sur le court présentera des courts métrages québécois qui se sont démarqués à l’international de par leurs sélections au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand, au Off-courts Trouville, au Palm Springs Shortfest ou aux festivals Sundance et Slamdance à Los Angeles.

De cette liste, les cinéphiles pourront retrouver Louise de 9 à 5 de Julie G. Marcotte avec Fanny Mallette et Hubert Proulx, Le danger en face de Alexis Chartrand avec Guillaume Cyr, Guillaume Lambert et Bruno Marcil, On n’est pas des animaux de Noé Débré avec Vincent Macaigne, Donc, Socrate est mortel de Alexandre Isabelle avec Ève Landry et Pierre-Luc Brillant ou Les grandes claques de Annie St-Pierre avec Lilou Roy-Lanouette, Larissa Corriveau et Steve Laplante, film lauréat d’une quinzaine de prix prestigieux.

Cercueil, tabarnak! de Loïc Darses avec Emmanuel Bilodeau, Marcel Sabourin, Louise Portal, Martin Dubreuil, dieu@mail.com de Roger Gariépy avec Robert Lalonde, Sandrine Bisson et Paul Savoie et Joutel de Alexa-Jeanne Dubé avec Pierre Curzi et Marie Tifo, seront également à découvrir à l’occasion de cette nouvelle édition du festival.

La programmation de la 7e édition comprend huit programmes compétitifs et quatre programmes jeunesse qui seront présentés en salle. Cette année, le jury professionnel est composé de Louise Bourtourault (chargée de la programmation Jeunes Publics du Festival international du film d’éducation d’Évreux en France), Maxime-Claude L’Écuyer (réalisateur et monteur), Justine Peres Smith (présidente de l’Association québécoise des critiques de cinéma – AQCC), Camille Poirier (lauréate du prix de la cinéaste émergente LVSC 2020) et Martin Villeneuve (cinéaste).

Dévoilement de l’affiche 2021

L’équipe profite de ces premières annonces pour dévoiler l’affiche officielle du festival conçue par l’Agent Illustrateur.

Tarif et billetterie

Les billets individuels pour assister à l’un des deux programmes de la soirée d’ouverture sont vendus au coût de 15$ chaque programme ou 25$ pour les deux. L’accès aux projections des autres programmes compétitifs est au coût de 10$ par programme. Les festivalier·ère·s sont invité·e·s à se procurer un passeport pour l’ensemble du festival au prix de 50$. L’entrée est libre pour les projections jeunesse.

L’achat des billets se fait en ligne à partir du site web du festival : www.longuevuesurlecourt.com

En raison des mesures sanitaires, les festivalier·ère·s doivent réserver leur place et ont des sièges assignés. Le passeport vaccinal et pièce d’identité seront demandés à l’entrée de la salle.

L’accès à l’édition en ligne sera gratuit, avec invitation à faire un don qui se décline en plusieurs possibilités. Ces dons serviront à soutenir le festival.

Longue vue sur le court remercie ses précieux partenaires : la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), le Conseil des arts de Montréal, l’arrondissement du Sud-Ouest, la Maison de la culture Marie-Uguay, le Carrefour jeunesse-emploi du Sud-Ouest de Montréal, Téléfilm Canada, la Ville de Montréal, SPIRA, l’Office national du film du Canada (Programme ACIC), MELS, le Mouvement Desjardins – Caisse du Sud-Ouest de Montréal, le Cégep André-Laurendeau, Les voies parallèles, L’inis, SLA Location, la Société des auteurs de radio, télévision et cinéma (SARTEC), Bande à Part audio et post production – coop, Hallé Location, Multiservices Luna, Théâtre Paradoxe, Benoit Gauthier inc, cabinet comptable, Ciné-Verdun, Café Central, Agent Illustrateur et la SDC Monk.

La 7e édition de LONGUE VUE SUR LE COURT

En salle du 24 au 28 novembre
En ligne du 28 novembre au 12 décembre

Pour plus d’information : longuevuesurlecourt.com

Suivez-nous aussi sur Facebook et Instagram

***

CANAL+: Le court métrage « Wichita » termine sa tournée avec une vente à Canal Plus

Le court métrage effronté « WICHITA » termine une tournée des festivals phénoménale à Montréal avec une vente importante à Canal+

WICHITA, le premier court métrage de la réalisatrice québécoise Sergine Dumais, écrit et produit par Bo Price, termine sa tournée de festivals d’un an en beauté après avoir participé à plus de 50 festivals et remporté 25 prix.

Ce court métrage inusité, tourné à Los Angeles, met en vedette l’actrice québécoise Maxim Roy que l’on a pu voir, entre autres, dans O’, Adam’s Wall, 19-2 (CTV), Lance et Compte, Les Boys 1 et Lucidité Passagère, et l’acteur américain Jeremy Sisto (FBI, Six Feet Under).

Le festival LONGUE VUE SUR LE COURT accueillera la projection montréalaise de WICHITA dans le cadre de sa sélection officielle. La réalisatrice Sergine Dumais y sera présente, accompagnée de l’actrice Maxim Roy.

Le court métrage qui a fasciné le public à Aspen ShortsfestHollyshortsAustin Film FestivalCinequestLA Shorts pour n’en nommer que quelques-uns et qui a figuré dans le top 20 des courts métrages à ne pas manquer au Short Shorts Film Festival à Tokyo, sera désormais disponible au public français sur Canal+. Les droits pour le reste du monde sont actuellement disponibles.

Parmi les vingt-cinq prix que WICHITA a récolté dans le circuit des festivals, quatre étaient pour le «Meilleur court métrage», quatre pour la «Meilleure réalisation» et six pour la «Meilleure actrice» (Maxim Roy). Et quoi que certains festivals l’ont programmé dans la section «drame», WICHITA a également remporté trois prix pour la «Meilleure comédie».

[box bg= »# » color= »# » border= »# » radius= »0″]

Synopsis

WICHITA raconte l’histoire d’une femme moderne, Sara, qui reçoit une demande inattendue de son mari alors qu’elle est dans les bras de son amant. Sara n’a que quelques minutes pour rentrer chez elle et éviter de se faire prendre en plein adultère. Pour gagner du temps, Sara pose des questions sans fin à son mari qui se trouve Wichita, KS. C’est comment Cowtown et la maison de Kirstie Alley? Et Pizza Hut? Cela n’a-t-il pas commencé à Wichita aussi? Dans cette course contre la montre folle et humoristique, on voit à quelle vitesse une femme va courir pour sauver son mariage.[/box]

À propos de l’équipe créative:

Sergine Dumais est une réalisatrice et actrice de Montréal, Québec. Bo Price est un scénariste, producteur, monteur et réalisateur de Wichita, Kansas. Tous deux sont basés à Los Angeles. Ils développent actuellement WICHITA en version long métrage. 

Un trio professionnel à saveur québécoise 

Sergine Dumais à la réalisation, Bo Price à l’écriture et Serge Desrosiers à la direction photo, forment un trio des plus créatifs. La prémisse du film a été inspirée par les souvenirs d’enfance de Bo Price, scénariste, qui souhaitait rendre hommage à son coin de pays. Il est aussi réalisateur, producteur et monteur sur plusieurs autres projets tels que NBC’s Last Comic Standing et The Bachelor. Sergine Dumais est venue ajouter une touche québécoise. Originaire de Montréal, elle y a débuté une carrière de comédienne en jouant et en dirigeant dans le domaine du théâtre musical. Elle poursuit son parcours à Los Angeles depuis de nombreuses années, où elle dirige des plateaux de doublage. Pour WICHITA, son premier court métrage, elle aura réussi à composer sa distribution de rêve en plus de recruter Serge Desrosiers à la direction photo. La production est magnifiquement complétée par la chanson L’amour est sans pitié, un des plus grands classiques de Jean Leloup.

Pour de plus amples informations sur WICHITA, veuillez consulter les liens suivants:

Site officiel (film): www.WichitaFilm.com

Site officiel (réalisatrice): www.SergineDumais.com

Site officiel (scénariste, producteur): www.BoPrice.com

Hashtag: #WichitaFilm #CanalPlus

***

Nouveautés sur TËNK du 5 novembre 2021 au 1er janvier 2022, le cinéma documentaire en ligne

TËNK, le cinéma documentaire en ligne, vous propose des nouveautés du 5 novembre 2021 au 1er janvier 2022 !

Novembre est traditionnellement le mois du souvenir des défunts. Pour cette occasion, Tënk propose une escale de programmation en partenariat avec Frontières, la revue québécoise de recherche et de mobilisation des connaissances interdisciplinaires en études sur la mort. À partir d’expériences singulières, sensibles et intimes, les cinq documentaires qui composent cette escale abordent sans tabou la mort et le deuil entre gravité, pudeur et humour. À découvrir sur la plateforme du 5 novembre 2021 au 1er janvier 2022.

CHSLD de François Delisle (Québec, 2020, 20 min)

Une plongée dans la vie quotidienne et médicale d’une femme au terme de sa vie, où persistent le respect, l’amour et la dignité.

Nous la mangerons, c’est la moindre des choses de Elsa Maury (France/Belgique, 2020, 68 min)

Nathalie est bergère dans le Piémont Cévenol. Elle aime et mange ses moutons avec attention. Comment « bien mourir » pour ces êtres qui nous font vivre ?

Mizuko de Kira Dane et Katelyn Rebelo (États-Unis, 2019, 15 min)

Inspirée par un rituel bouddhiste pour pleurer les vies qui ne voient pas le jour, une cinéaste nippo-américaine réévalue ce que signifie mettre fin à sa propre grossesse.

Filme-moi ! de Lera Latypova (France/Russie, 2015, 62 min)

Novossibirsk, Sibérie profonde. Dans un crématorium où l’absurde côtoie le tragique, la mort réunit des gens que rien ne destinait à se croiser.

Exercices de disparition de Claudio Pazienza (France/Belgique, 2011, 48 min)

Est-ce que le deuil a une date de péremption, comme les yogourts ? Avec gravité, douceur et une bonne dose de burlesque, ce film-essai aborde la problématique du deuil de façon singulière et décalée.

À PROPOS DE TËNK

Tënk.ca est une plateforme indépendante de diffusion de documentaire d’auteur sur abonnement accessible en ligne partout au Canada. Elle a été lancée au Québec en février 2020 avec la complicité d’une quinzaine de professionnel.le.s du milieu documentaire. Tënk, c’est un festival de films à l’année qui se donne pour mission de renouveler les regards que l’on porte sur le monde par la diffusion d’œuvres fortes et singulières. Tënk a d’abord été créée à Lussas, en France, dans ce que l’on surnomme affectueusement Le Village documentaire. Avec l’arrivée de Tënk au Québec, c’est un véritable réseau de diffusion solidaire qui se crée, pour assurer la diffusion des films documentaires, et les faire voyager !

À PROPOS DE TËNK

Tënk.ca est une plateforme indépendante de diffusion de documentaire d’auteur sur abonnement accessible en ligne partout au Canada. Elle a été lancée au Québec en février 2020 avec la complicité d’une quinzaine de professionnel.le.s du milieu documentaire. Tënk, c’est un festival de films à l’année qui se donne pour mission de renouveler les regards que l’on porte sur le monde par la diffusion d’œuvres fortes et singulières. Tënk a d’abord été créée à Lussas, en France, dans ce que l’on surnomme affectueusement Le Village documentaire. Avec l’arrivée de Tënk au Québec, c’est un véritable réseau de diffusion solidaire qui se crée, pour assurer la diffusion des films documentaires, et les faire voyager !

Pour découvrir Tënk : www.tenk.ca

Page Facebook : facebook.com/tenk.ca

***

ONF – Restez bien au chaud et laissez-vous captiver par les œuvres phares de novembre 2021 sur ONF.ca

Restez bien au chaud et laissez-vous captiver par les œuvres phares de novembre 2021 sur ONF.ca

Voyez le film d’animation interactif « SÉROTONINE ANONYME » de Caroline Robert en première mondiale et le puissant documentaire Le silence de Renée Blanchar

ONF.ca continue de s’enrichir de nouveaux titres en ce mois de novembre. Cette sélection à voir gratuitement, issue de différents studios de l’ONF au pays, compte notamment le film d’animation interactif Sérotonine Anonyme de Caroline Robert, du studio AATOAA, une première mondiale ; le long métrage documentaire Le silence de Renée Blanchar, d’une grande humanité ; les courts métrages documentaires Mieux vaut prévenir de Carol Kunnuk et Vers la lumière de Sheona McDonald, ce dernier lancé pour souligner la Semaine de sensibilisation aux réalités transgenres ; une chaîne thématique pour le jour du Souvenir ; et les films en hommage aux lauréats et lauréates des Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle. Ces nouveautés à ne pas manquer viennent encore bonifier l’offre de plus de 5500 titres déjà proposés sur ONF.ca, sans oublier la collection d’une centaine d’œuvres interactives, dont la presque totalité est offerte gratuitement en ligne.

Dès maintenant

L’École de l’Océan, une plateforme d’apprentissage gratuite sur l’océan pour les jeunes de 11 à 15 ans, lance son nouveau module : « La récolte ». Celui-ci est composé de contenus interdisciplinaires et d’activités qui explorent comment le hareng, le saumon et le peuple haíɫzaqv sont interconnectés dans le riche écosystème de la côte centrale de ce qu’on appelle maintenant la Colombie-Britannique. Rejoignez l’École de l’Océan et explorez le module « La récolte » aujourd’hui !

Pour souligner la Semaine de sensibilisation aux réalités transgenres

  • Dès le 8 novembre : Vers la lumière de Sheona McDonald (2021, Studio de la Colombie-Britannique et du Yukon)

Court métrage documentaire (19 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/epk/vers-la-lumiere

Lorsqu’un ou une enfant révèle la personnalité profonde qui l’habite, comment parvient-on, en tant que parent, à mettre de côté nos propres attentes pour l’aider à devenir la personne la plus authentique possible ? Campé dans le paysage nordique de Yellowknife, le film capte les fluctuations du temps alors qu’une mère et son enfant cherchent à s’y retrouver dans les méandres de l’identité de genre. Ce documentaire primé a été présenté dans de nombreux festivals au Canada et à l’étranger.

Cette sélection de 30 courts et longs métrages documentaires et d’animation continue de s’enrichir d’ajouts récents, comme Appelez-moi Skylar de Rachel Bower et Beautés de Christina Willings, qui traitent notamment des réalités vécues par les personnes transgenres.

Pour souligner le jour du Souvenir, le 11 novembre 2021

Cette nouvelle chaîne regroupe dix films documentaires et d’animation pour rendre hommage aux hommes et aux femmes qui ont servi notre pays dans différents conflits, dont La tranchée de Claude Cloutier et Le 22e Régiment en Afghanistan de Claude Guilmain.

Dès le 15 novembre 2021

Mieux vaut prévenir de Carol Kunnuk (2021, Studio du Nord-Ouest)

Court métrage documentaire (9 min 55 s)

Lorsque la pandémie mondiale atteint l’archipel Arctique, la cinéaste inuite Carol Kunnuk se penche sur la façon dont sa famille et sa communauté composent avec l’imposition de protocoles inhabituels. Vivante et ciblée, la bande sonore du film juxtapose aux extraits d’émissions de radio locales diffusant des consignes sanitaires en inuktitut et en anglais les douces sonorités d’enfants absorbés par leurs jeux. Ce documentaire présente un compte rendu riche, détaillé et empreint de tendresse d’une période de perturbation et d’adaptation. Le film sera également télédiffusé sur les ondes d’Uvagut TV le 15 novembre à 19 h (HNE).

Dès le 19 novembre 2021

Sérotonine Anonyme de Caroline Robert – PREMIÈRE MONDIALE

Une création du studio AATOAA et une production du Studio interactif de l’ONF (2021)

Film d’animation interactif (version longue de 19 min et version courte de 5 min)

Sérotonine Anonyme est un film d’animation interactif où une jeune fille diffuse ses pensées lors d’une séance de traitement nouveau genre. L’œuvre explore avec sensibilité et humour le fonctionnement fascinant de notre cerveau. Elle sera présentée en première mondiale au prestigieux Festival international du film documentaire d’Amsterdam (IDFA), sous forme d’installation et en compétition dans la section DocLab, et lancée simultanément en ligne partout dans le monde à onf.ca/serotonine, un site accessible sur ordinateurs et appareils mobiles.

Dès le 24 novembre 2021

Le silence de Renée Blanchar (2020, Ça Tourne Productions/Studio de la francophonie canadienne de l’ONF à Moncton, en collaboration avec Radio-Canada)

Long métrage documentaire (106 min)

Enfin accessible en ligne après une présence dans les festivals couronnée de succès, avec trois prix remportés, le film a connu un accueil très favorable dans les médias partout au Canada ainsi qu’une sortie en salle au Nouveau-Brunswick et au Québec. S’attaquant aux scandales d’abus sexuels perpétrés par des prêtres sur de jeunes garçons au Nouveau-Brunswick, la cinéaste acadienne Renée Blanchar propose dans Le silence un point de vue éclairant sur un drame humain qui se joue pratiquement à l’échelle planétaire, comme en témoigne la profusion de nouvelles à ce propos au pays et ailleurs dans le monde.

Dès le 26 novembre 2021 à 20 h (HNE)

Sept courts métrages pour rendre hommage aux lauréats et lauréates des Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (PGGAS) 2021

Pour une 12e année, l’ONF réunit des cinéastes réputés d’ici pour créer de brefs hommages cinématographiques aux légendes canadiennes des arts du spectacle, alors que les PGGAS s’apprêtent à honorer leurs lauréats et lauréates lors de deux émissions spéciales de télévision d’une heure diffusées, l’une sur CBC, l’autre sur Radio-Canada, le 26 novembre à 19 h (HNE). Les courts métrages seront accessibles tout de suite après sur ONF.ca. Voici les titres :

  • Zab Maboungou de Carmine Pierre-Dufour ;
  • Florent Vollant : je rêve en innu de Nicolas Renaud ;
  • Lumière d’étoiles et autres sons : la musique d’Alexina Louie de Josephine Anderson ;
  • Catherine O’Hara : nous brillons toutes et tous de Hart Snider ;
  • Tantoo Cardinal de Darlene Naponse ;
  • Lynda Hamilton : l’art d’écouter de Claude Guilmain ;
  • Ryan Reynolds : je suis un lauréat ? de Christopher Auchter.

Pour en savoir plus sur les cinéastes et la collection de l’ONF

***

Ceci est une espèce aimée au FCIAT et en ligne le 8 novembre 2021

Le court métrage « CECI EST UNE ESPÈCE AIMÉE », réalisé et scénarisé par Nadine Gomez, présenté aujourd’hui au 40e Festival du Cinéma International en Abitibi Témiscaminque (FCIAT)

Disponible pour visionnement dès le 8 novembre 2021 sur le site du film

Ambiances Ambigües est fière d’annoncer que le court métrage documentaire de Nadine Gomez, CECI EST UNE ESPÈCE AIMÉE, sera présenté aujourd’hui au 40e Festival du Cinéma International en Abitibi Témiscamingue, et sera à partir du 8 novembre disponible pour visionnement sur le site du film https://ceciestuneespeceaimee.com/. Le film sera également en lice pour le Prix du jury Bell.

Produit par Eric Harvey, réalisé et scénarisé par Nadine Gomez, CECI EST UNE ESPÈCE AIMÉE met en scène le duo musical Saratoga, Chantal Archambault et Michel-Olivier Gasse, ainsi que leur fille Olive Gasse. Le court métrage a également été présenté l’été passé au Festival REGARD, dans la catégorie 100% région.

[box bg= »# » color= »# » border= »# » radius= »0″]

Synopsis

Au cours d’une tournée estivale en famille, le duo Saratoga longe le fleuve et s’applique à trouver la poésie dans tout et dans rien, pour peu qu’on s’y arrête. Une pause en beauté bien méritée.[/box]

« Tous les projets qui me rattachent à mes racines et me rapproche de mon monde me tiennent à cœur. Ce fut notamment le cas avec le clip de Fleur, qui avait été tourné dans ma famille à Val-d’Or, par mon ami et réalisateur Serge Bordeleau. Nous avons eu deux tournées durant la pandémie avec Saratoga. Une en Gaspésie et l’autre en Abitibi. Nos terres natales à chacun. On a décidé d’immortaliser celui de la Gaspésie. Pour ce qui est de nos préoccupations environnementales, elles ont toujours été au cœur de la raison d’être de Saratoga, en partant par le désir de minimalisme, tant musicalement qu’envers notre empreinte écologique sur la route. Certaines compositions et trame narratives du spectacle abordent aussi, plus ou moins subtilement, nos préoccupations envers l’interaction de l’espèce humaine et son environnement. Ceci est une espèce aimée était une façon pour nous de voir le beau et de le cultiver par la suite. Nous avons toujours fait la promotion de l’Action boréale, notamment à titre de membre et en y contribuant financièrement, mais de s’impliquer plus activement en reprenant la tournée allait de soi. Henri Jacob (mon oncle) et Richard Desjardins ont toujours été mes deux principales inspirations, dans la vie comme en musique, et ça s’adonnent qu’ils luttent ensemble pour une cause qui nous fait aussi beaucoup réagir. »

Nadine Gomez, réalisatrice

Saratoga présente l’événement spécial L’Embellie, Le grand spectacle le 18 novembre à la Salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec. Ce concert sera offert deux soirs seulement à Québec et à Montréal.

Dates de tournée 2021-2022 Ceci est une espèce aimée

  • 6 novembre – Église Emmanuel, Cowansville
  • 12 novembre – Quai 5160, Verdun
  • 13 novembre – Maison de la culture Ahuntsic-Cartierville, Montréal
  • 18 novembre – Grand Théâtre de Québec – L’Embellie, Le grand spectacle
  • 19 novembre – Théâtre Outremont, Montréal – L’Embellie, Le grand spectacle
  • 2 décembre – Salle Jean-Despréz, Gatineau
  • 4 décembre – Le Zaricot, Saint-Hyacinthe
  • 16 décembre – Salle Anaïs-Allard-Rousseau, Trois-Rivières
  • 10 février – Salle Albert-Dumouchel, Salaberry-de-Valleyfield

À propos de Saratoga

Saratoga veille le feu de la musique intimiste et dépouille la chanson de ses artifices

C’est avec cet élan que le couple a pris la route en 2015. De chansons douces en histoires contées, leur spectacle a rapidement conquis le cœur du public aux quatre coins de la province et en Europe. Petit manifeste de bonheur et du temps qui passe, le duo sort un premier EP homonyme et le présente sur plus d’une centaine de scènes. Le recueil de cinq chansons se mérite l’honneur du EP folk de l’année au gala des GAMIQ.

De scènes majeures en concerts intimes, Saratoga plonge dans l’écriture d’un premier long-jeu, Fleur, qui paraît en octobre 2016. Collection d’une dizaine de chansons aux arrangements délicats mais néanmoins somptueux, l’album est applaudi par la critique et leur vaut deux nominations à l’ADISQ, dont celle de « révélation de l’année ». Puisque c’est sur scène que l’univers sensible de Saratoga se déploie dans toute sa générosité, le couple part ensuite dans une tournée de plus de cent-cinquante dates au Québec et en Europe, à peine un mois après la fin de la tournée du EP.

Ils s’offrent un premier vrai temps d’arrêt au début 2018, histoire d’accueillir un enfant et de voir à mettre au monde, tranquillement, une nouvelle pierre à leur édifice. Ceci est une espèce aimée, un album gracieux et bienveillant, sobre dans toute sa splendeur, voit le jour à la fin 2019. Le spectacle nommé script de l’année 2020 à l’ADISQ confirme la raison d’être de Saratoga: faire le bien à petite échelle et à voix basse.

Parce qu’on sait bien que crier n’est pas la meilleure façon d’être entendu.

https://www.saratogamusique.ca/

https://www.facebook.com/saratogamusique 

***