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Situation critique: mise à pied du DG de Paraloeil Simon Croz en raison d’un refus de permis de travail

Situation critique: mise à pied du DG de Paraloeil Simon Croz en raison d’un refus de permis de travail

L’honorable Sean Fraser, Ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté
Chambre des communes
Ottawa (Ontario)
Canada
K1A 0A6

Monsieur le Ministre,

Aujourd’hui, à 12h, Simon Croz, directeur général de Paraloeil, organisme agissant pour la diffusion et la production du cinéma depuis Rimouski, a informé le conseil d’administration du refus de sa demande de permis de travail par les services de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté du Canada, alors même qu’ en parallèle une demande de résidence permanente par parrainage est en cours depuis l’été 2022.

Aujourd’hui, contraints et forcés par cette situation, nous, membres du conseil d’administration, avons procédé à la mise à pied conservatoire de Monsieur Simon Croz. C’est une catastrophe pour l’organisme, pour le milieu culturel du Bas-Saint-Laurent et plus largement, pour le milieu du cinéma, régional comme provincial. Mais c’est surtout un drame humain et un stress intense que vivent Simon et sa famille.

 

L’équipe permanente de Paraloeil, Simon Croz est au premier plan.

Monsieur Croz dirige Paraloeil depuis deux ans. À son arrivée, l’organisme ne comptait plus qu’un employé. Maintenant, ce sont cinq employés à temps plein et 2 stagiaires qui s’épanouissent dans un climat de travail sain et stimulant… Il a non seulement redressé une situation délétère, mais il a également initié des projets porteurs dans la région, que ce soit auprès des professionnels du cinéma ou auprès du public, adulte ou jeune. De plus, avec le soutien d’employés dont il a assuré la formation, il a permis de faire sa marque comme distributeur, faisant voyager les films québécois dans la province, dans le pays et à l’étranger.

Très actif dans le milieu culturel régional depuis son arrivée au Québec en 2016, Simon Croz a mis en place et développé des partenariats au niveau national et international. Il oeuvre à rendre incontournable notre organisme pour les professionnels du Bas-Saint-Laurent et de l’Est-du-Québec, en plus de faire connaître le cinéma d’ici.

Il représente Paraloeil dans des regroupements professionnels ou conseils d’administration, notamment la Table de concertation interrégionale de cinéma (TaCIC), plusieurs festivals de cinéma et participe de manière collégiale à la facilitation de la création cinématographique en région. Son dynamisme et sa rigueur sont reconnus par tous et toutes, et ce, à l’échelle provinciale. Son absence fragiliserait non seulement notre organisme mais également ceux dans lesquels Simon Croz s’implique au nom de Paraloeil.

Grâce à Monsieur Simon Croz, Paraloeil retrouve un nouveau souffle et se positionne plus que jamais comme une ressource incontournable pour le milieu. Ses projets à court et moyen termes sont ambitieux et stimulants. Ils font croître et rayonner l’organisme en même temps que le milieu qu’il soutient et représente.

Dans un contexte de manque criant de main d’œuvre qualifiée, de dévitalisation des régions, nous avions trouvé la bonne personne pour Paraloeil. Nous voulons la garder. Convaincus, comme Monsieur Maxime Blanchette-Joncas, C.P., député et Madame la Députée Amélie Dionne, que Monsieur Croz s’est plié à toutes les demandes de l’IRCC dans les temps, nous demandons le rétablissement de son statut afin qu’il puisse entamer le dialogue avec vos services.

Convaincus que vous saurez répondre avec humanité et justice, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de notre considération respectueuse.

Au nom du conseil d’administration composé de Serge Abiaad, Geneviève Bélanger Genest, secrétaire, Baptiste Grison, vice-président, Guillaume Levesque, trésorier, Pierre Lesage,

Priscilla Winling, présidente

 

 

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Les 21es Sommets du cinéma d’animation : Programmation 2023 !

Les 21es Sommets du cinéma d’animation :  Du 9 au 14 mai à la Cinémathèque québécoise

Programmation 2023 !

Les Sommets du cinéma d’animation sont de retour ce printemps, du 9 au 14 mai à la Cinémathèque québécoise avec une programmation comprenant projections, expositions et activités inédites, incluant 152 films (dont 45 premières), 4 expositions, 6 rencontres professionnelles et une grande variété d’activités gratuites — pour jeunes et moins jeunes.

Une édition à ne surtout pas manquer !

UNE ÉDITION RICHE PAR SA DIVERSITÉ

Cette 21e édition s’annonce mémorable, avec une programmation riche et éclatée. Les Sommets du cinéma d’animation présenteront un total de 57 films en compétition.

Parmi ces œuvres, mentionnons ces premières mondiales : LA FILLE AU BÉRET ROUGE de Janet Perlman, RETOUR À HAIRY HILL de Daniel Gies, TWO ONE TWO de Shira Avni et TRASIEGO d’Amanda Woolrich. Autres incontournables à souligner : le dernier projet de Janice Nadeau, HARVEY, adapté du roman graphique du même titre, MARIE . EDUARDO . SOPHIE, plus récent film du cinéaste Thomas Corriveau, ainsi que CORVINE de Sean McCarron.

De plus, 6 longs métrages seront projetés lors de présentations spéciales : AURORA, L’ÉTOILE ARMÉNIENNE d’Inna Sahakyan, présenté en ouverture du festival, MY LOVE AFFAIR WITH MARRIAGE de Signe Baumane qui s’est valu une mention du jury au Festival international du film d’animation d’Annecy, le film d’animation chinois NO 7 CHERRY LANE de Yonfan, le documentaire THEODORE USHEV : UNSEEN CONNECTIONS de Borislav Kolev, TITINA de Kajsa Næss basé sur l’expédition d’Umberto Nobile et de Roald Amundsen pour conquérir le pôle Nord et en séance spéciale extérieure canine et gratuite, TOUS LES CHIENS VONT AU PARADIS de Don Bluth.

Le fameux programme Best-of Annecy sera évidemment de retour cette année, avec pas moins de 3 séances prévues les 10, 13 et 14 mai. Le programme Grand angle — volet non compétitif consacré aux découvertes, à l’exploration et à l’audace — est aussi au menu cette année et présentera deux séances qui mettront en valeur 18 œuvres : du vidéoclip de Dumas, LEITMOTIV, réalisé par Louis-Philippe Eno, jusqu’à OCCHIOLINO, de l’inimitable Michaela Grill.

DU CINÉMA, MAIS PAS QUE …

Les Sommets sont un événement pour toutes et tous : passionné.e.s d’animation, nouveaux publics, jeunes et vieux. Les festivaliers ont toujours le plaisir de la découverte dans une atmosphère bon enfant.

Jeudi 11 mai – Les Sommets sont très heureux d’accueillir à nouveau le festival Dérapage, événement mettant en valeur des productions audiovisuelles non narratives sonorisées et d’une durée de moins de 3 minutes, le jeudi 11 mai.

Le même soir, le public pourra visionner deux épisodes de RED KETCHUP de Martin Villeneuve, en compagnie des artistes et artisans de la série, sur la terrasse de la Cinémathèque. L’événement est présenté en collaboration avec Corus et le Festival BD de Montréal.

Vendredi 12 mai – Rendez-vous sur l’esplanade Tranquille, dans le Quartier des spectacles, pour la présentation d’une sélection de 10 courts métrages des Sommets : incluant, la crème de la crème de cette édition 2023.

13 et 14 mai – Autres événements à ne pas manquer lors du week-end du 13 et du 14 mai, mentionnons, entre autres, la GRANDE LEÇON DE CINÉMA ONF X SOMMETS DE JANET PERLMAN, l’expérience de réalité virtuelle proposant de faire ressentir les émotions d’un enfant autiste LES PIEDS EN HAUT : LOU présenté par Annick Daigneault et Martine Asselin, ainsi qu’un atelier Stop-Motion pour les plus jeunes. Présentée en collaboration avec le Festival Stop Motion Montréal, l’activité permettra aux enfants de 8 à 12 ans de s’initier à des techniques de découpage et d’assemblage afin de créer des personnages en papier de construction facilement animables.

Enfin, l’incontournable KARAOKÉ DES SOMMETS du samedi soir, sera l’occasion de prouver que vous avez de la voix (ou non) lors d’une soirée décontractée et amicale, au Café-bar de la Cinémathèque et un excellent moment pour déguster la bière officielle des Sommets 2023, conçue par MaBrasserie !

LE PRIX RENÉ-JODOIN 2023

En 2015, les Sommets du cinéma d’animation et la Cinémathèque québécoise créent le Prix René-Jodoin. Cette distinction remise annuellement souligne le travail exemplaire accompli par une personnalité de l’animation canadienne. Le prix sera décerné cette année au compositeur Normand Roger.

Normand Roger a travaillé principalement dans le domaine du cinéma d’animation pour lequel il a créé plus de deux cents trames sonores et bruitages au cours des cinquante dernières années, collaborant notamment aux films de Frédéric Back, Regina Pessoa et Co Hoedeman. Il a également composé des musiques originales pour des documentaires, long métrages, séries publicités, installations multimédia, réalités virtuelles puis réalisé plusieurs thèmes pour la télévision au Canada et aux États-Unis.

Le Prix René-Jodoin 2023 sera remis le dimanche 14 mai, à la Cinémathèque québécoise, lors de la cérémonie de remise de prix des Sommets.

Les billets sont disponibles dès aujourd’hui !

Billeterie, horaire et détails

Les 21es Sommets du cinéma d’animation auront lieu du 9 au 14 mai 2023.
Le festival est produit par la Cinémathèque québécoise.

 

Pour ne rien manquer des Sommets du cinéma d’animation : #Sommets2023
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REMERCIEMENTS

Les Sommets du cinéma d’animation tiennent à remercier le Conseil des arts du Canada, Téléfilm Canada, le Conseil des arts de Montréal, le Bureau des festivals de la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec, Le Devoir, l’Office national du film du Canada, MaBrasserie, le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), agissant par l’intermédiaire du Consulat général de Suisse à Montréal, SWISS FILMS, la Caisse Desjardins de la Culture, l’École NAD/UQAC, la Fondation Raoul-Barré, CTVM, H264, Corus, le Partenariat du Quartier des spectacles, le Festival international du film d’animation d’Annecy, le Festival Stop Motion Montréal, Dérapage, le Festival BD de Montréal, Goethe-Institut Montréal, MediaFilm, Zone Festival, l’Hôtel Zéro 1 et Madame Nancy Coté pour leur soutien.

À PROPOS DES SOMMETS DU CINÉMA D’ANIMATION

Les Sommets du cinéma d’animation sont un festival consacré à l’animation sous toutes ses formes, du patrimoine aux nouveaux médias en passant par la production actuelle. Pendant six jours, Montréal vibre au rythme de l’animation ! Uniques au Québec, les Sommets célèbrent un art qui a historiquement fait connaître le Québec et le Canada dans le monde entier.

À PROPOS DE LA CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE

La Cinémathèque a 60 ans !
La Cinémathèque québécoise est le musée de l’image en mouvement à Montréal. Sa mission est d’acquérir, documenter et sauvegarder le patrimoine cinématographique, télévisuel et audiovisuel québécois ainsi que le cinéma d’animation international, collectionner des œuvres significatives du cinéma canadien et mondial, pour en assurer la mise en valeur à des fins culturelles et éducatives.

La Cinémathèque québécoise remercie de leur soutien le ministère de la Culture et des Communications du Québec, le Conseil des arts du Canada ainsi que le Conseil des arts de Montréal.

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CINEMANIA fait rayonner le cinéma québécois en Andorre

CINEMANIA initie le rayonnement du cinéma québécois en Andorre

Le Festival Ull Nu met le Québec à l’honneur pour sa 10e édition du 9 au 14 mai 2023

Du 9 au 14 mai 2023 prochain, la Principauté d’Andorre accueillera un programme inédit entièrement consacré au cinéma québécois !

Après plusieurs mois de travail, CINEMANIA est fier d’annoncer cette nouvelle initiative d’exportation et de rayonnement international du Québec. L’événement se tiendra dans le cadre de la 10e édition du Festival Ull Nu (“l’œil nu” en catalan) qui a ainsi désigné le Québec comme “Convidat d’honor” (“invité d’honneur”).

L’initiative est pilotée par CINEMANIA, avec le soutien d’Air Canada (transporteur officiel de la délégation), en collaboration avec le Bureau du Québec à Barcelone.

C’est la toute première fois qu’une programmation de cinéma québécois sera proposée aux habitants de ce territoire. Au total sept œuvres soigneusement sélectionnées par CINEMANIA seront présentées, en présence d’invité.e.s qui feront le déplacement en Andorre dans les prochains jours.

Longs métrages

Seront présent.e.s sur place, la cinéaste Lawrence Côté-Collins qui aura l’honneur de faire l’ouverture du festival avec son premier long-métrage, BUNGALOW (Coop Vidéo de Montréal – Panache Films, Les Films Opale), projeté le mardi 9 mai en présence des représentant.e.s officiel.le.s du pays, dont son Chef du gouvernement, Son Excellence M. Xavier Espot Zamora.

Pour sa part, le réalisateur Guillaume Lambert accompagnera la projection de NIAGARA (Entract Studios – Chasseurs Films, Entract Films) et la cinéaste Zoé Pelchat-Ouellet présentera son court-métrage GABY LES COLLINES (Papillon Films, h264), récemment sélectionné dans la section Generation de la 73e Berlinale.

L’artiste Louis-Philippe Rondeau, professeur à l’École des arts numériques, de l’animation et du design de l’Université du Québec à Chicoutimi, présentera LIMINAL, une installation interactive créée à Montréal et qui a déjà voyagé dans une dizaine de pays.

Courts-métrages

Quatre courts-métrages directement issus de la sélection de la plus récente édition de CINEMANIA agrémenteront cette riche sélection :

LA MAIN GAUCHE de Maxime Robin (Prix du Meilleur Court-Métrage AQCC-Nespresso de CINEMANIA 2022),

NOTES SUR LA MÉMOIRE ET L’OUBLI d’Amélie Hardy,

PISCINE PRO d’Alec Pronovost et

YANNI de Rachid Allaoua.

Délégation et Jury 

Guilhem Caillard, le directeur général de CINEMANIA conduira sur place la délégation québécoise et siègera également sur le jury du Festival Ull Nu aux côtés de la costumière andorrane Désirée Guirao et de Frank Loiret, directeur de la Cinémathèque de Toulouse. Pour souligner l’occasion, M. Maël Solen Picard, directeur du Bureau du Québec à Barcelone, consacrera son premier déplacement officiel en tant que représentant du Gouvernement du Québec en Principauté d’Andorre.

 

L’ANDORE

Parfois méconnu de ce côté de l’Atlantique, l’Andorre est l’un des plus anciens et petits États souverains d’Europe situé en plein cœur des Pyrénées, entre la France et l’Espagne, dont la fondation remonte à 788. Ses quelques 80 000 habitants sont en grande partie francophones et francophiles, tandis que le pays est membre de l’Organisation Internationale de la Francophonie depuis 2004. CINEMANIA tient à tout spécialement remercier l’Ambassadrice de la Principauté au Canada, S.E. Mme Elisenda Vives Balmaña, avec qui le Festival a ouvert une collaboration dynamique depuis 2021.

Consacré à la création audiovisuelle et cinématographique, avec un focus sur la jeunesse, Ull Nu a été fondé en 2013 par Héctor Mas qui comptait d’ailleurs parmi les invités du nouveau volet CINEMANIA Pro en 2022 à Montréal. Ull Nu est le plus important événement de ce genre en Andorre.

 

 

 

 

 

La 29e édition de CINEMANIA se tiendra à Montréal du 1er au 12 novembre 2023.

www.festivalcinemania.com

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Trois courts métrages distribués par h264 seront à la prochaine édition des Sommets du cinéma d’animation

Trois courts métrages distribués par h264 seront à la prochaine édition des Sommets du cinéma d’animation

Trois courts métrages québécois de la compagnie de distribution montréalaise h264 seront aux Sommets du cinéma d’animation cette année, soit D’où viennent les lapins de Colin Racicot, produit par Bertrand Paquette, Simon Allard et Colin Racicot (Studio Niloc), Une nuit de chien de Max Woodward, produit par Camille Lequenne et Guillaume Dubois (Confettis Production), et Oskar de Max Vannienschoot, produit par Elodie Pollet et Camille Lequenne (Films Extérieur Jour Inc.). 

h264 sera également partenaire du festival pour une quatrième édition consécutive. La compagnie de distribution fera partie du jury du concours de pitches, permettant à plusieurs projets d’animation de voir le jour.

Première mondiale du court métrage D’où viennent les lapins

 

Il s’agira de la première mondiale du court métrage D’où viennent les lapins, pour ensuite se diriger à sa première internationale au 63e Festival de Film de Zlín en Tchéquie en juin prochain, l’un des plus importants festivals de film jeunesse. Le film raconte l’histoire d’un lapin veuf qui découvre un monde de magie, lui donnant espoir d’un meilleur avenir pour lui et sa fille.

Une vie de chien 

Une nuit de chien continue son parcours festivalier après avoir été projeté à quelques festivals tels que le Festival international de Aesthetica au Royaume-Uni et le Festival du film canadien de Dieppe en France. Le film a également été présenté à Montréal en février dernier au Tapis bleu des courts métrages dans le cadre des Rendez-vous Québec Cinéma. Le film a remporté le concours de pitches aux Sommets du cinéma d’animation en 2020. Narré par Patrick Hivon, on y raconte le rassemblement de voisins en colère à la suite d’un incendie dans une cuisine lors d’une nuit froide. Montrant les dents et lançant des accusations, les voisins se liguent pour accabler le responsable alors que le feu fait rage autour d’eux.

 

Oskar y vivra sa première montréalaise après avoir voyagé à l’international dans plusieurs festivals tels que le prestigieux Festival international du film d’Ottawa, CINANIMA au Portugal, Anima Bruxelles et le Festival international de Santa Barbara aux États-Unis. Tout comme Une nuit de chien, le film a remporté le concours de pitches aux Sommets du cinéma d’animation en 2019. Le court métrage expose le personnage de Oskar, aux commandes de sa moto, qui se retrouve confronté à un dilemme cornélien : affronter son tumulte intérieur ou le fuir et continuer sa route. Une sensibilisation à la santé mentale.

La prochaine édition des Sommets du cinéma d’animation se tiendra du 9 au 14 mai 2023 à Montréal.

À propos de h264

Fondée à Montréal en 2015, h264 a distribué plusieurs films à succès dont Fauve de Jeremy Comte et Marguerite de Marianne Farley, tous deux nommés aux Oscars® en 2019. h264 propose désormais des services d’agrégation pour livrer du contenu sur les grandes plateformes numériques ainsi que des services de découvrabilité afin de mettre de l’avant la visibilité des œuvres. (www.h264distribution.com)

À propos de Studio Niloc

Dans un petit studio du Mile-End, nous travaillons à imaginer et produire des œuvres d’animation originales. Nous avons comme mission première de raconter des histoires qui font vibrer le cœur de nos spectateurs. Fondé en 2021, Studio Niloc est né du désir de voir plus d’œuvres d’animation québécoises sur les grands et petits écrans. Nous œuvrons au développement de courts-métrages avec des collaborateurs et artistes locaux. (https://studioniloc.ca

À propos de Confettis Production

Confettis Production a vocation à produire des œuvres cinématique d’animation en collaborant avec des auteurs québécois. Nous sommes très attachés au court-métrage d’animation qui propose un mode d’écriture extrêmement libre. Le court-métrage offre déjà énormément de possibilités aux auteurs pour essayer, proposer, tenter… Ajouté à cela l’animation : tout est possible. En termes de technique il y a une diversité incroyable et la mise en scène n’a aucune limite sinon celle de l’imagination du créateur. Cette liberté nous la défendons et nous voulons la diffuser, la répandre, la faire voir. (https://www.confettis-prod.ca

À propos de Extérieur Jour

Notre maison de production tente de se distinguer au mieux du marché cinématographique québécois par la production de documentaires singuliers et par sa constante recherche de nouvelles créations filmiques d’auteurs, tant sur son territoire qu’à l’échelle internationale. Que ce soit sur des films d’auteurs documentaire ou des fictions, notre réelle ambition est d’édifier une filmographie qui nous est propre. Nous accordons une importance particulière à l’approche cinématographique et avons une volonté de raconter des histoires distinctes. (https://www.extjour.com

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« NUIT BLONDE » de Gabrielle Demers en compétition au Festival du film de Tribeca

« NUIT BLONDE », un court métrage de la cinéaste québécoise Gabrielle Demers, en compétition au Festival du film de Tribeca

Travelling est fier d’annoncer que Nuit blonde, un court métrage de la cinéaste québécoise Gabrielle Demers produit par Nellie Carrier (Cinquième maison), sera présenté en première étatsunienne au prestigieux Festival du film de Tribeca qui se déroulera du 7 au 18 juin 2023 à New York. Mettant en vedette pour la première fois à l’écran Patrick Dorneval, ainsi que Dany Boudreault, le film sera présenté en compétition officielle les 10, 11 et 17 juin, en présence de la réalisatrice.

Nuit blonde est un projet unique né de la rencontre de la cinéaste Gabrielle Demers et Patrick Dorneval, un homme haïtien de 40 ans vivant sur le spectre de l’autisme. Alors que Gabrielle travaillait avec lui dans un organisme de réinsertion sociale, les deux ont tissé une amitié. Le scénario a été écrit autour de cette rencontre avec Patrick, qui tient également le rôle principal du film. Se démarquant avec une réalisation juste et mature, Nuit blonde s’attaque à un sujet peu abordé à l’écran : l’expérience de l’intimité, la sexualité et le consentement chez les personnes vivant sur le spectre de l’autisme.

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Synopsis

Victor ne se plaît pas dans sa résidence pour adultes autistes. Pour éviter la disco du vendredi, il sort faire une marche dans le quartier puis il tombe sur un jeune prostitué.[/box]

Parcours en festivals

Nuit Blonde connaît un impressionnant parcours en festivals. Il a remporté plusieurs prix au récent Gala Prends ça court!, dont la mention Denis Villeneuve, et le prix Short & Queer à la récente édition du Festival REGARD. Le film a également reçu le Prix de la critique AQCC à Cinemania, en plus d’être récompensé au Festival de Cinéma en Abitibi-Témiscamingue, à Longue vue sur le court et à Image + Nation.

À propos de la cinéaste

Gabrielle Demers est une réalisatrice basée à Montréal. Son film de fin d’études Paupière mauve s’est démarqué dans plusieurs festivals internationaux dont Slamdance. Elle a ensuite réalisé La Pornographe, sélectionné au Festival international du film de Rhode Island. Elle travaille actuellement sur l’adaptation cinématographique du roman Querelle de Roberval de Kevin Lambert.

Horaire des projections en salle – programme Shorts : Inner Peace

Samedi 10 juin à 15h30 au AMC Theatre (Tapis rouge)

Dimanche 11 juin à 12h30 au Village East by Angelika

Samedi 17 juin à 21h00 au AMC Theatre

Festival du film de Tribeca : tribecafilm.com/films/blond-night-2023

Nuit Blonde sera également présenté sur la plateforme en ligne du festival géobloqué aux États-Unis, du 19 juin au 2 juillet 2023.

NUIT BLONDE

Fiction. Québec/Canada. 2022. 16 minutes. En version originale française avec sous-titres anglais.

Réalisation : Gabrielle Demers | Scénario : Gabrielle Demers | Direction photo : Chloé Ellegé | Direction artistique : Valérie-Jeanne Mathieu | Montage : Mathieu Bouchard Malo, Charlie Boisvert | Son : Nataq Huault | Musique : Alexis Elina | Interprétation : Patrick Dorneval, Dany Boudreault | Production : Nellie Carrier (Cinquième maison) | Distribution : Travelling

Site web : travellingdistribution.com/film/nuit-blonde-511

À propos

Depuis 2007, Travelling, les films qui voyagent est un pionnier dans la distribution et la mise en marché de courts métrages, tant au Québec qu’à l’international. Représentant un catalogue de plus de 200 titres dont Brotherhood (nommé aux Oscars), No Crying At The Dinner TableMutants et Au crépuscule, en plus de récolter chaque année des centaines de sélections et de prix dans les festivals à travers le monde, Travelling s’est fait un nom dans l’industrie comme un acteur incontournable. Travelling se veut un creuset pour le talent et les nouvelles voix cinématographiques, un allié qui permet aux cinéastes de se consacrer à ce qu’ils font de mieux : des films.

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Annecy 2023 célèbre les fiertés et la diversité

La thématique Animation, fiertés et diversité sera à l’honneur à Annecy en 2023, avec quatre programmes de courts métrages proposés aux festivaliers

« Ce thème s’est imposé par son actualité auprès notamment des jeunes cinéastes, qui sont nombreuses et nombreux chaque année à aborder les questions liées au genre et à la diversité », explique Marcel Jean, le délégué artistique du Festival.

Une programmation coordonnée par Benoit Berthe Siward – fondateur de The Animation Showcase et cofondateur de LGBTQ+ in Animation – pour offrir une diversité de regards sur la production récente.

Retrouvez Marcel Jean, délégué artistique du Festival d’Annecy, qui évoque la thématique Animation, fiertés et diversité.

APERÇU DE LA PROGRAMMATION

DE VRAIES HISTOIRES QUEER par Holly Murtha
Qu’est-ce que cela fait d’être queer dans ce monde ? Ce programme présente une série d’histoires vécues par la communauté LGBTQ+. Entre nouvelles perspectives sur l’amour, les relations et le désir, et ode à la famille et à la communauté ; entre voyages à la découverte de soi et existence compliquée, dans le placard, cette sélection nous rappelle la diversité des expériences vécues au sein de la communauté queer et l’importance de sa représentation.
Parmi les films :
All Those Sensations in My Belly de Marko Djeska (Croatie, Portugal)
Récit de soi de Géraldine Charpentier (Belgique)

DÉSIRS CACHÉS par Patricio Plaza
Pendant si longtemps, le désir homosexuel a été vécu dans la culpabilité, en marge de la société, caché ou inexprimé. Les temps ont changé, mais les marques de cette persécution historique sont encore un combat pour de nombreuses identités queer.

Parmi les films :

  • Nous étions une bombe stérile de Dotan Moreno (Israël)
  • Adorable de Cheng-Hsu Chung (Taïwan, Royaume-Uni)
  • Les Liaisons foireuses de Chloé Alliez et Violette Delvoye (Belgique, France)

ON EST BIEN OÙ LE CŒUR NOUS MÈNE par Jakub Spevák
Ce programme est consacré au sentiment d’appartenance – ce qui, pour les personnes homosexuelles, signifie souvent la création d’un lieu sûr, d’un refuge. Les films explorent le besoin de partager, d’être soi-même, d’aimer, de pardonner… En tant que personnes homosexuelles, devons-nous continuer à faire semblant pour nous intégrer ?

Parmi les films :

  • Chado de Dominica Harrison (Royaume-Uni)
  • Purpleboy d’Alexandre Siqueira (Portugal, France, Belgique)
  • Dans la nature de Marcel Barelli (Suisse)

MONSTRUEUSEMENT FIÈR·ES par Jakub Spevák
Les personnes homosexuelles ont souvent été cataloguées comme des bêtes curieuses, des monstres, des mutants, voire des fantômes qui hantent la société. Ce programme reprend ces étiquettes souvent péjoratives et les déconstruit. Les films montrent le « queer » dans toute sa diversité et ouvrent les bras à la bizarrerie et à l’étrangeté.

Parmi les films :

  • Slug Life de Sophie Koko Gate (Royaume-Uni)
  • La Fée des roberts de Léahn Vivier-Chapas (France)
  • Superbia de Luca Tóth (Hongrie, République tchèque, Slovaquie)

 

Le Festival remettra également un Cristal d’honneur au cinéaste britannique Barry J.C. Purves, auteur d’une œuvre majeure en stop motion et pionnier des thèmes homosexuels en animation. Un programme de ses plus célèbres courts métrages sera présenté et l’auteur de Screen Play donnera une Leçon de cinéma. Pour Marcel Jean, Achilles, que Purves a réalisé en 1995, a marqué l’histoire de la représentation de l’homosexualité en animation. « L’audace du réalisateur est remarquable tant sur le plan thématique que sur ceux de l’esthétique et de la mise en scène. Cela sans parler de sa maîtrise technique qui est tout simplement exceptionnelle ! C’est l’une des très grandes figures de l’animation contemporaine que nous honorons cette année. »

Par ailleurs, comme tout au long de l’histoire du Festival, les fiertés et la diversité seront présentes dans les différents volets de sa programmation. Notamment au sein des WIP où sera par exemple présenté le long métrage Eugène, le mystère Falleni, écrit par Joëlle Oosterlinck et réalisé par Anaïs Caura. Le film retrace la vie d’Eugene Falleni, un homme trans accusé du meurtre de son épouse dans l’Australie des années 20.

Ou encore parmi les films en sélection Courts métrages L’officielle, avec Christopher at Sea de Tom CJ Brown, prix Arte France et prix Ciclic des sessions de Pitchs Mifa en 2018.
Le Mifa renouvelle également sa programmation parité – diversité et l’étoffe en écho aux programmes Animation, fiertés et diversité du Festival : le Women In Animation World Summit abordera plus largement les questions d’inclusion et de diversité ; les associations de femmes dans l’animation à travers le monde présenteront des sessions de pitchs de projets et les Conférences Mifa, ainsi qu’une table ronde côté Mifa Campus permettront de poser certaines questions et tenteront d’y apporter des réponses.­

Des œuvres venues du monde entier en pleine lumière

Entre comédies débridées, chroniques familiales douloureuses et récits doux amers, le Festival d’Annecy a toujours accueilli les œuvres abordant les sujets LGBTQIA+. Espace de liberté pour les réalisateurs et réalisatrices du monde entier, de la France à la Russie, de l’Inde à l’Afrique du Sud en passant par le Japon, le Danemark ou l’Égypte, il présente en compétition séries, courts métrages, clips, films de fin d’études ou longs métrages.

Plusieurs d’entre eux ont été récompensés ces dernières années, notamment : Dans les eaux profondes, court métrage de Sarah Van Den Boom (France, Canada), prix Festivals Connexion – Région Rhône-Alpes en partenariat avec Lumières Numériques (2015) ; Moms on Fire, court métrage de Joanna Rytel (Suède), mention du jury (2016) et mention du jury Festivals Connexion – Région Auvergne-Rhône-Alpes/En partenariat avec Lumières Numériques & Pilon Cinéma (2016) ; Le Curry de poisson (Maacher Jhol), court métrage d’Abhishek Verma (Inde), prix de la Ville d’Annecy (2017) ; ou le multiprimé Flee, long métrage de Jonas Poher Rasmussen (Danemark, France, Norvège, Suède), Cristal du long métrage (2021), prix Fondation Gan à la Diffusion (2021) et prix de la meilleure musique originale, avec le soutien de la SACEM, dans la catégorie longs métrages (2021).

C’est donc tout naturellement que le Festival propose cette année une programmation spéciale autour de la thématique Animation, fiertés et diversité.

Rendez-vous du 11 au 17 juin 2023 !
Pensez à vous accréditer 

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« Une vie en couleurs » de Lionel Nishimwe à Vues d’Afrique 2023

« Une vie en couleurs » de Lionel Nishimwe à Vues d’Afrique 2023, lundi le 24 avril à 20h.

Une vie en couleurs est un court métrage réalisé par Lionel Nishimwe, un jeune réalisateur Burundais. Inspiré par l’expérience d’un de ses proches, il nous raconte l’histoire de deux personnage Sarah et Phil qui voient leur vie de couple basculer lorsqu’ils découvrent que Sarah est atteinte d’un cancer. En plein confinement dû à une pandémie, le jeune couple doit faire face à la plus grande peur, mourir et disparaître dans le néant. Ils feront l’expérience de la dépression.

 

 

Avec Laura Sheila Inangoma une actrice burundaise dans le rôle de Sarah et Jean Rige Nkurunziza jeune acteur Burundais dans le rôle de Phil, Lionel Nishimwe nous parle de la dépression à travers ce film d’une voix Africaine. Il s’agit d’un sujet souvent occulté dans plusieurs pays d’Afrique qui voient la dépression comme une faiblesse. La dépression est souvent un sujet tabou pour les victimes qui ne peuvent pas s’exprimer, de peur d’être incompris et ostracisé. Lionel Nishimwe tente de briser ce mur entre les cris silencieux et les oreilles volontairement bouchées concernant la dépression !

Une vie en couleur a récemment concouru aux côtés d’autres pays d’Afrique dans Mashariki African Film Festival où il a remporté le « SIGNIS East Africa Talent award » qui primait le meilleur film court métrage des pays de l’Afrique de l’Est et s’est retrouvé dans la sélection officielle du Luxor African Film Festival . Le film est aussi dans la sélection officielle de la 39e édition du Festival international du cinéma vues d’Afrique qui aura lieu du 21 avril au 30 avril à Montréal.

 

Le film une vie en couleurs sera présenté le lundi 24 avril à 20 h.

Festival Vues d’Afrique  : https://vuesdafrique.org/

Billetterie : https://vuesdafrique.org/a-vos-cartes-prets-partez/

 

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ONF – Staff Pick sur Vimeo | Le court métrage d’animation CACHÉ (HIDE), de Daniel Gray

Le court métrage d’animation de Daniel Gray « CACHÉ », coproduit par La Cellule Productions, CUB Animation et l’ONF, est maintenant proposé en ligne sur Vimeo

Présenté sous la rubrique Staff Picks à compter du 17 avril 2023

Le court métrage d’animation multiprimé CACHÉ (HIDE) de Daniel Gray, coproduit par La Cellule ProductionsCUB Animation et l’Office national du film du Canada, sera présenté sous la rubrique Staff Picks de Vimeo à compter du 17 avril. Les cinéphiles de la planète trouveront le film non seulement sur cette plateforme, mais aussi sur onf.ca,YouTubeFacebook et Vimeo.

Récompensé jusqu’à présent à 14 reprises, CACHÉ a été sélectionné par plus de 60 festivals partout au monde.

Citations

« Depuis que j’ai découvert CACHÉ et toute l’imagination qu’il recèle, j’insiste auprès du cinéaste Daniel Gray pour que son film figure en ligne parmi les Staff Picks de Vimeo. Il a fallu plus d’un an pour y arriver, mais l’équipe de Vimeo chargée de choisir les œuvres aide finalement ce captivant court métrage à faire ses débuts sur la chaîne Vimeo Staff Picks. CACHÉ agence des éléments du film de David Lowery A Ghost Story et du roman illustré Herede Richard McGuire pour créer un récit sur le temps, la famille, les liens que nous tissons, la solitude et la vie. Je ne me lasse pas de voir des gens explorer un espace temporel qui dépasse la durée de la vie humaine. » — Meghan Oretsky, conservatrice principale, Vimeo

« Vimeo a dès le départ fait partie de mon parcours cinématographique, puisqu’il a hébergé t.o.m. et teeth. C’est donc un grand plaisir pour moi de pouvoir présenter CACHÉ à leurs côtés. Comme j’ai l’impression qu’il y a des lustres que CACHÉ a amorcé la tournée des festivals, je suis absolument ravi qu’il soit offert à l’échelle de la planète et que les gens puissent découvrir ce que nous avons fait. » — Daniel Gray, réalisateur

Quelques prix et mentions

  • Prix du jury – meilleur film européen, Festival du film de Cracovie, Pologne (2021)
  • Prix spécial du jury – court métrage, New Chitose Airport International Animation Festival, Hokkaido, Japon (2021)
  • Prix Argent – conception de mouvement, Festival d’animation de Los Angeles, États-Unis (2021)
  • Premier Prix – compétition principale, Piccolo Festival dell’Animazione, Italie (2021)
  • Mention spéciale du jury – Compétition canadienne, Sommets du cinéma d’animation, Montréal, Canada (2020)
  • Mention spéciale – grande compétition Courts métrages, Festival mondial du film d’animation – Animafest Zagreb, Croatie (2021)
  • Mention spéciale – catégorie Courts métrages de la compétition internationale officielle, Festival international du cinéma indépendant de Buenos Aires (BAFICI), Argentine (2021)
  • Favori du public (parmi 10 films étrangers), Festival international du court métrage de São Paulo, Brésil (2021)

Plus de renseignements sur CACHÉ

CACHÉ (HIDE), Daniel Gray (11 min)

Coproduit par La Cellule Productions (France), CUB Animation Studio (Hongrie) et l’Office national du film du Canada

  • Scénarisé et réalisé par le cinéaste primé Daniel Gray (t.o.m., 2006 ; teeth, 2015), originaire du Royaume-Uni et établi en Hongrie, CACHÉ s’accompagne d’une bande sonore minimaliste et d’une conception visuelle associant une simplicité lumineuse et spacieuse à des fragments opaques. Le calme permet d’introduire des moments de stress et de chaos.
  • Deux frères jouent gaiement à cache-cache. L’un compte et l’autre s’empresse de se cacher dans une petite armoire. Les secondes passent… puis les minutes… les années… et les décennies. Un film déchirant et prophétique sur les liens familiaux et la déconnexion, dans un monde devenu incohérent et méconnaissable.

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Entrevue avec Jeanne Carrière, lauréate du grand prix de Cours écrire ton court pour le scénario de BIGFOOT

« Le cinéma, c’est ma vie et ce projet m’a permis de voir au-delà de la tétraplégie. » – Jeanne Carrière, lauréate du grand prix Cours écrire ton court pour son scénario BIGFOOT 

C’était dans le cadre de la 27e édition du festival Regard qui s’est déroulé du 22 au 26 mars. Le programme Cours écrire ton court de la SODEC dévoilait le grand prix de son concours destiné aux scénaristes émergents. C’est le scénario BIGFOOT de Jeanne Carrière qui allait remporter les honneurs. Ce prix prestigieux propulse son scénario directement en production en assurant son financement, ce qui permettra à cette histoire d’être portée à l’écran. On retrouvera les détaits en cliquant ICI  https://ctvm.info/sodec-gagnants-cours-ecrire-ton-court-edition-100-region/ ]

Derrière ce prix se cache un conte de fées à la fois épouvantable et beau. En effet, Jeanne avait fait les manchettes un peu plus tôt dans le mois. Devenue tétraplégique à la suite d’un accident survenu au cœur de l’hiver 2021, elle venait de bénéficier d’une nouvelle pratique chirurgicale de transferts nerveux. Dix personnes s’étaient qualifiées à travers le Canada pour une telle intervention chirurgicale. Elle était la première à témoigner publiquement des résultats de cette opération.

Mais Jeanne aime le cinéma québécois, elle adore le documentaire. Elle a fait ses études en travail social pour finalement avoir un moment d’épiphanie et réaliser que le cinéma était son premier appel. 

Une entrevue de Marc Lamothe 

[À la fin de cette entrevue, on pourra lire un témoignage de Philippe Falardeau]

 

 

 

CTVM.info – Quels  sont les premiers films qui vous ont donné la piqûre du cinéma?

Jeanne Carrière — J’ai plusieurs films phares. C.R.A.Z.Y. (2005) de Jean-Marc Vallée, UN ZOO LA NUIT (1987) de Jean-Claude Lauzon.  LITTLE MISS SUNSHINE (2006) de Jonathan Dayton et Valerie Faris, HAROLD AND MAUDE (1971) de Hal Ashby. J’aime beaucoup le documentaire. Dans mes premiers amours, il y a eu le cinéma direct de Pierre Perrault. POUR LA SUITE DU MONDE reste l’un des plus grands classiques de notre cinéma. Selon les jours, mon favori pourrait être LA BÊTE LUMINEUSE (1982) ou LE RÈGNE DU JOUR (1967). Aujourd’hui, c’est LE RÈGNE DU JOUR.

Travailleuse sociale de formation, vous avez décidé de vous rediriger vers le cinéma. Vous avez ainsi suivi une formation en scénarisation à l’INIS? Qu’est-ce qui a motivé cette décision et parlez-nous un peu de cette expérience? 

Jeanne Carrière – J’ai fait mes études en travail social, mais je n’ai jamais œuvré dans le domaine. Dès le moment où j’ai réalisé que ce qui m’intéressait le plus au cinéma, c’est la scénarisation, je me suis inscrite à un certificat à l’Université de Montréal. Durant mes études, j’ai eu un seul cours de scénarisation donné par Isabelle Raynaud, scénariste, réalisatrice et professeur en cinéma. Je ne pouvais pas accepter d’aller sur le marché du travail avec un seul cours. Je me suis donc inscrite à L’INIS pour me spécialiser en scénarisation. Ça été un merveilleuse expérience pour moi, mais je suis de la cohorte 2020, la première année COVID, donc je n’ai pas pu compléter le parcours scolaire, je n’ai pas eu de stage. 

 

Avant même d’être sélectionnée à l’INIS, vous aviez écrit et réalisé votre premier court-métrage, LAVÉE. Quel souvenir gardez-vous de ce tournage?

Jeanne Carrière – On peut vraiment parler d’un film tourné avec les moyens du bord. J’avais  200 $ tout mouillés en guise de budget. J’avais réussi à emprunter de l’équipement à la télévision communautaire de ma région et j’ai utilisé une jeune actrice du coin, très talentueuse d’ailleurs. C’était ma première réalisation. Je ne savais pas trop comment la machine fonctionne, mais je me suis lancée tête première. On parle ici d’un huis-clos dans une buanderie mettant en vedette une mère monoparentale qui cherche à tromper son isolement en téléphonant à des numéros de téléphone qu’elle voit épingler à un babillard de la buanderie.  

Non seulement le tournage a finalement été une belle expérience, mais le film a été sélectionné aux Rendez-Vous Québec-Cinéma et au marché du film à Cannes.  Malheureusement, COVID oblige, je n’ai jamais pu me rendre à Cannes pour la suite de cette aventure. 

 

Puis, vous avez scénarisé LE FROID, mettant en vedette Louise Portal et réalisé par Natalia Duguay. De quoi traite ce court exactement?

Jeanne Carrière – Le film raconte l’histoire d’une femme qui vient de perdre soudainement son mari durant la nuit, celui-ci étant mort dans son sommeil. Elle ne se sent pas prête à le laisser partir, alors elle ouvre toutes les fenêtres de sa demeure. Nous sommes en plein hiver et le froid s’installe partout dans l’appartement afin de maintenir son mari avec elle, encore un moment. 

 

Quelle a été votre réaction lorsque vous avez vu le film?

Jeanne Carrière – Cela a été une belle collaboration. L’exercice pour moi était d’écrire et celui de Natalia était de réaliser le film dans le cadre de notre formation à l’INIS. Lorsque j’écris, j’ai des scènes en tête, donc l’expérience de voir son scénario sur écran ressemble, pour moi, un peu à un jeu de cherche et trouve. Je me suis laissé surprendre, mais l’expérience m’a fait réaliser que je désirais vraiment réaliser mes scénarios. 

Pourriez-vous nous résumer brièvement l’histoire de BIGFOOT, scénario qui vous a valu le grand prix du concours « Cours écrire ton court » de la SODEC ?

Jeanne Carrière – Le film suit Rémi, un homme dans la cinquantaine qui élève des bisons dans la région des Laurentides.  Un matin, alors qu’il travaille, il croise sur son terrain un petit garçon de 6 ans en pyjama, Hugo, qui dit être à la recherche de son père parmi les bisons. Il déclare avoir de la difficulté à savoir lequel des bisons est son père, car il ne l’a jamais vu se transformer. En effet, quand son père et sa mère se chicanent, la mère enfermait le garçon dans sa chambre pour le protéger. Lui, avec la naïveté d’un enfant, il croit que son père se transforme en bête. Le thème est donc nos bêtes intérieures et les conséquences de la violence conjugale. 

Que souhaitez-vous exprimer avec votre court? 

Jeanne Carrière – Avec ce court, je retrouve ce qui m’attire dans le travail sociale et l’intervention. La violence conjugale est un thème qui me fascine depuis un bon moment. Particulièrement au cinéma, je trouve qu’on ne voit pas suffisamment l’Homme derrière les poings. L’Homme a la capacité de changer les choses et de s’améliorer. C’est un film d’intervention que j’ai écrit s’adressant à l’Homme derrière la violence. 

Je vous ai entendu dire que vous souhaitez que ce film soit lumineux malgré son sujet. Pourriez-vous élaborer sur ce point?

Jeanne Carrière – La lumière est essentielle selon moi. Le film met en valeur la rencontre entre un petit garçon avec son imaginaire et sa naïveté et un homme qui vit avec le poids d’une relation passée. Le personnage de Rémi va mieux se comprendre à la rencontre du garçon et va amorcer une démarche pour laisser aller une fois pour tout cette colère en lui. Rémi reconnaît une violence passée à l’écoute du dialogue d’Hugo. La rencontre avec Hugo est donc un vecteur de changement. 

Vous me dites voir vos scénarios en les écrivant. Imaginez-vous déjà un acteur pour jouer Rémi dans Bigfoot?

Jeanne Carrière – Oui, je vois Émile Proulx-Cloutier avec une petite barbe et un passé fragile. Je vois Rémi avec une certaine douceur, car la violence conjugale ne vient pas juste d’un homme au look rough and tough.

Parlez-nous de la genèse de ce projet ? Depuis combien de temps portez-vous ce scénario en vous ?

Jeanne Carrière – Je porte en fait ce projet depuis l’automne 2021. Je l’ai soumis en décembre 2021 au concours Cours écrire ton court en visant la compétition 2022. Puis, peu de temps après,  j’ai eu cet accident qui m’a rendue tétraplégique. C’est peu de temps après ma sortie du coma, alors que j’étais encore aux soins intensifs critiques, que j’ai appris que j’étais sélectionnée. Je ne pouvais évidemment pas participer, mais la SODEC m’a proposée de resoumettre en 2023 puisque j’étais encore admissible avec la thématique 100% région. Effectivement, je l’ai redéposé et j’ai été réacceptée cette année.  BIGFOOT est dès lors devenu ma carotte au bout du bâton. Ma convalescence, mon opération, mes exercices et mes soins, tout prenait un sens, je voulais ardemment participer au concours avec BIGFOOT. J’ai passé un an et un mois à l’hôpital et BIGFOOT est devenu le plus beau des cadeau que je pouvais recevoir. J’ai donc accepté de participer à nouveau au concours en 2023. Le cinéma, c’est ma vie et ce projet m’a permis de voir au-delà de la tétraplégie. 

Si vous pouviez écrire pour un ou une cinéaste québécois.e., de qui s’agirait-il?

Jeanne Carrière – J’aimerais réaliser mes scénarii, particulièrement BIGFOOT qui s’avère magique pour moi. C’est un peu comme le Super Ball, il y a souvent une équipe Cendrillon qui en a arraché durant la saison et on souhaite les voir gagner. Je me sens un peu comme cette équipe de football. Mais pour répondre à ta question, si je pouvais écrire pour un autre réalisateur, ça serait définitivement Philippe Falardeau. Je suis une grande fan de sa sensibilité. Mon film favori de lui reste Monsieur Lazhar. J’ai une anecdote d’ailleurs au sujet de ce film.

Lorsque j’étais aux soins intensifs critiques, j’étais paralysé dans un lit, ne pouvant bouger que les yeux. On nageait alors en pleine vague du variant Omicron du Coronavirus et donc, personne ne pouvait me rendre visite. Mes parents ou mon chum ne pouvait pas venir me voir. Ma mère m’avait fait envoyer un iPad avec un mot de passe Netflix. Une proposée est venue me le porter à la chambre et elle appuyer sur PLAY! C’était MONSIEUR LAZAR. Bien que j’ai dû déjà voir ce film une quinzaine de fois, ce visionnement à l’hôpital a été mon premier moment de normalité, un moment entre moi et un de mes films préférés. J’ai pu me reconnecter avec ma passion et ma vie, le temps d’un film.

Vous avez accepté de partager votre expérience médicale publiquement. On a pu lire sur vous, dans Le Devoir, et vous avez été le sujet d’un reportage à l’émission DÉCOUVERTES sur les ondes de Radio-Canada. Pourquoi avoir de partager votre histoire médicale ?

Jeanne Carrière – Ce sont mes docteurs, Dominique Tremblay et Élie Boghossian, chirurgiens plasticiens à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, qui me l’ont gentiment demandé. Comment leur dire non après qu’ils aient offert le plus beau des cadeaux à une jeune femme tétraplégique ? Chaque main demandait une intervention de 10 heures. C’est un travail énorme. Je me suis dit qu’un petit battage publicitaire les encouragerait. Je leur devais au moins ça et comme j’ai de la facilité à communiquer, je n’ai pas hésité. J’étais paralysé et maintenant je suis capable d’ouvrir et de fermer mes mains, de pincer et d’agripper. 

Revenons au concours Court écrire ton court. Comment as-tu vécu ce marathon des derniers mois ?

Jeanne Carrière – Je suis une ancienne marathonienne alors ce genre de course me stimule. Je savais que la scénariste passerait au travers du processus, mais j’avais des craintes pour la tétraplégique. J’étais anxieuse d’entrer dans ce processus de trois mois, car j’ai toute ma tête, mais le corps ne suit pas. Je n’ai pas mes fonctions motrices et je me demandais comment j’allais faire en moment de besoin. Ça commence dès l’entrée. Je dois enlever mon manteau. Toutes les choses de bases. Mais écoute, tout s’est bien passé et j’ai trouvé les autres participants au concours tellement sympathiques et avenants. En équipe, j’ai pu continuer mon parcours. C’est certain qu’on frappe quelques murs. On doit refaire des réécritures. Je tape au clavier plus lentement que les autres, car j’utilise mes jointures. Ce concours représente trois longs séjours hors de chez moi. Si une rencontre est à neuf heures, je dois me lever à 6 h, car j’ai besoin de nombreux soins le matin.  La médaille au bout de ce marathon est évidemment la plus belle des récompenses, mais j’aurais été aussi fière de moi si mon scénario n’avait pas gagné de prix.

Chaque scénariste sélectionné a été accompagné par des conseillers à la scénarisation. Parlez-nous un peu de cette expérience ? Avec qui avez-vous travaillé ?

Jeanne Carrière – Oui, chaque scénariste est associé à un mentor. Nous nous réunissons souvent et les autres mentors offrent aussi des commentaires sur les autres scénarios. J’ai eu la chance d’avoir Isabelle Pruneau-Brunet comme mentore. J’ai vraiment beaucoup aimé travailler avec elle. Ça me rappelait un peu la façon de faire à l’INIS avec un mentorat. J’ai adoré les plénières où tous lisaient leur scénario et où tous peuvent émettre des commentaires. Étant elle-même maman, elle a su m’aider avec le personnage d’Hugo. Un des moments clés du film est né de cette démarche. Je ne pourrais plus imaginer le scénario sans cette scène qui a su trouver toute son importance. Aucun spoiler ici!

Vous menez de front un autre projet d’écriture financé par la société d’État ? Parlez-nous un peu de celui-ci ?

Jeanne Carrière – Un peu avant mon accident, j’avais reçu la confirmation d’une bourse en développement de la SODEC pour un court-métrage intitulé DE L’AUTRE CÔTÉ DU BÉTON. Ce film traite de la réinsertion sociale après un long séjour dans un milieu carcéral. Je voulais parler de la prison économique après la prison-prison. Mon personnage principal est éboueur à la ville de Saint-Jérôme. Ça parle aussi des relations qui se développent en milieu carcéral. Comme tu peux voir, c’est encore la travailleuse sociale en moi qui désire tourner. 

J’ai aussi un projet d’écriture qui est né récemment. Un livre pour enfant : MATANTE ROULANTE. Je vise un livre avec illustrations. J’ai trouvé un éditeur et on est en début de processus. 

Où vous projetez-vous dans 10 ans ?

Jeanne Carrière – Aye-aye. Bonne question. Je me vois réalisatrice en fauteuil. Je me souhaite des projets cinémas. Je me vois impliquée dans des causes sociales. Je me vois défoncer des portes avec mon fauteuil roulant.  Après avoir survécu et passé au travers de tout ceci, je souhaite que ma parole puisse en aider d’autres. 

Quel serait un sujet qui vous serait important de tourner dans un prochain film ?

Jeanne Carrière – Si on me donne une carte blanche, je me vois écrire un film drôle et attachant sur la vie de quelqu’un en fauteuil ou de quelqu’un d’handicapé. HAROLD ET MAUDE reste un beau modèle. Je chercherais ce genre de vibe. Je veux trouver l’humour derrière ces aventures humaines et communiquer de l’espoir. 

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Philippe Falardeau au sujet de Jeanne Carrière

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J’étais au milieu de ma routine matinale, en route pour aller chercher mon café, à ressasser dans ma tête mes plus récents blocages créatifs. J’ai ouvert la radio et je suis tombé au milieu d’une entrevue avec un neurochirurgien qui expliquait le succès d’une opération de haute voltige. Puis j’ai entendu cette jeune femme, Jeanne, parler de ce que ça signifiait pour elle recouvrer la motricité dans sa main: elle pourrait continuer d’écrire. Continuer de faire ce qu’elle aime et gagner sa vie comme scénariste. Ses paroles m’ont jeté par terre autant qu’ils m’ont donné un élan. J’ai trouvé sa page Facebook et je lui ai écrit pour lui dire à quel point son histoire me touchait et comment sa force avait sans aucun doute rejailli sur tous ceux et celles qui l’avaient écouté. Deux heures plus tard, elle m’a répondu en me racontant son épisode au soin intensif à regarder MONSIEUR LAZHAR et comment ça l’avait aidé. J’étais très humblement subjugué. Avec son formidable prix à Cours écrire ton court, Jeanne prouve qu’elle a non seulement du courage, mais du talent.

Philippe Falardeau

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PLAYBALL ARCHIVES DONNE UNE NOUVELLE VIE AUX IMAGES

PLAYBALL ARCHIVES DONNE UNE NOUVELLE VIE AUX IMAGES

Un nouveau service de banque d’images pour réutiliser et commercialiser vos plus belles images

« Tous les producteurs que je connais ont des beauty shots inexploités sur des disques durs tablettés » – Martin Cadotte, Président et fondateur de Playball Archives

Ce constat a motivé Martin Cadotte, réalisateur de renom avec plus de 20 ans d’expérience dans le domaine, à créer Playball Archives, un nouveau service de banque d’images permettant aux producteurs de redonner vie et commercialiser leurs plus belles images. « Je crois au potentiel artistique, commercial et écoresponsable de réutilisation des images. Playball Archives veut mettre fin à la beauty shot à usage unique », mentionne Martin Cadotte.

Martin Cadotte  Photo: Patrick Woodbury

Playball Archives permet aux producteurs de réutiliser leurs images afin d’économiser temps et argent tout en réduisant leur empreinte carbone. La plateforme facilite l’accès et permet également de commercialiser des beauty shots en les vendant à d’autres producteurs via la banque d’images offerte exclusivement aux membres Playball Archives.

La banque d’images est accessible 24/7, partout dans le monde, via le Media Asset Management (MAM). « Le MAM de notre partenaire technique SETTE est accrédité Trusted Partner Network, le niveau de sécurité exigé par les studios d’Hollywood », assure Martin Cadotte. De plus, les archivistes audiovisuels de Playball Archives indexent les images pour optimiser et faciliter la recherche par les équipes de création.

« Au lieu d’acheter des plans sur des banques d’images américaines ou européennes, pourquoi ne pas encourager les producteurs d’ici ? » conclut-il.

Jour 27 – Toi et moi malgré tout – Photo: Patrick Woodbury

Pour en savoir plus sur le nouveau service de banque d’images Playball Archives :

https://www.playballarchives.com/

À propos de Playball Archives

Playball Archives est un service de banque d’images numérique écoresponsable, local et innovant permettant à ses membres d’indexer, réutiliser et commercialiser leurs plus belles images offert sous forme d’abonnement. Playball Archives est détenu et exploité à 100% par des Canadiens et fait partie du Répertoire des fournisseurs écoresponsables du Conseil québécois des évènements écoresponsables.

 

 

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UNTERVAL – Avril 2023 – Portrait des productrices : Keren Marciano et Anastasia Lobanova

UNTERVAL – Keren Marciano et Anastasia Lobanova de Options production participent au Rendez-vous d’Affaires et de coproduction France-Canada du 12 au 14 avril 2023

Portrait des productrices et prise de rendez-vous 

Psychotic Prod, jeune société française, créée en 2020, a fusionné avec Options Production, et s’engage dans des fictions et des documentaires avec la volonté de travailler en coproduction à l’international.

Nos projets sont axés sur des sujets sensibles – tels que le handicap et l’invisibilité des femmes – avec la conviction que l’on peut aborder des thématiques sociétales avec une certaine dose d’optimisme.

 

Photo : Keren Marciano

Keren Marciano est réalisatrice et productrice et Anastasia Lobanova, arrivée dans l’équipe cette année, apporte son expertise en distribution sur les marchés internationaux. (Chine, Allemagne, Japon, Autriche, Lettonie, Turquie)

CATALOGUE

Créée par Keren Marciano, Options Production a coproduit LE GRAND ORCHESTRE sur France 3, ICTUS ÉROTIQUE sur France 2, avec Vanessa Guide et Benjamin Lavernhe.

SENTIMENTS DISTINGUES, un court métrage interprété par Blanca Li, a participé à plus d’une trentaine de festivals dont les festivals internationaux de Leeds, Soria,

La Muestra Intergalactica (Mexique) et le 37e festival de Chicago.bIl a été acheté par Canal Plus hello. (My Canal) et a reçu des prix (musique, mise en scène, interprétation, aux festivals de Irvington,Vernon..)

Nous avons également produit le pilote d’une série d’anticipation (8×26′) ULTIMA DATE, soutenue par la BPI FRENCH TECH – actuellement en production.

Un documentaire (52′) PERDUES D’AMOUR Michaël Delmar, pour la Chaine LCN.

Un clip ARRACHÉS AUX ÉTOILES, duo entre la chanteuse Dani et Alex Beaupain.

 

POUR SOLLICITER UN RDV : ISABELLE DUCOURNAU
RESPONSABLE – RENDEZ-VOUS D’AFFAIRES & COPRODUCTION FRANCE – CANADA

 

 

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Unterval23 -Mélanie Bonneau et Antoine Bortolotti de WePlus participent au Rendez-vous d’affaires et de coproduction France-Canada

Mélanie Bonneau et Antoine Bortolotti de WEPLUS seront présents à Montréal du 12 au 14 avril 2023 pour la mission de coproduction pilotée par Unterval

Voici les informations de leur porte-folio qui vous seront utiles pour la prise de rendez-vous

Fondée en 2018 à Tours, la société WePlus produit des films documentaires et de fiction pour le cinéma et la télévision. Elle défend un cinéma aussi exigeant qu’indépendant et cherche à développer ses projets en coproduction internationale.

La société a produit plusieurs courts métrages de fiction pour le cinéma avant de se lancer plus récemment dans la production de longs métrages et de séries.

Convaincus que le cinéma sert à éveiller les consciences et à aiguiser l’esprit critique de ses spectateurs, nous mettons un point d’honneur à aborder des sujets politiquement incorrects voire tabous et à contribuer au débat public en portant la voix d’artistes ayant une vision alternative de la société et de l’histoire.

Proches des écoles de cinéma (Fémis, ENS Louis-Lumière, Kourtrajmé…) nous cherchons à mettre en lumière des jeunes talents et n’hésitons pas à nous engager dans des premiers films.

Ouverts à tous les thèmes et les genres côté fiction, nous nous intéressons principalement aux sujets historico-géopolitiques, artistiques et de société côté documentaire.

 

Mélanie Bonneau
Antoine Bortolotti

Filmographie (sélective) WePlus

QUELQUES GOUTTES SUFFISENT de Corentin CAMPLONG (2016)

Caractéristiques : Court métrage de fiction (10’)
Avec : Said BENCHNAFA, Jared BRADLEY, Baptiste CAMINADE, et Théo JOUANNEAU
Prix : De la ville du Festival Tournez Jeunesse de Monistrol sur Loire 2015
Sélection officielle : 29ème Festival du Court Métrage de Vélizy | Urban Film Festival 2016 | 7ème
Festival l’Ombre d’un Court de Jouy-en-Josas

THE Y PROJECT de Jérémie CIEPIELEWSKI et Antoine BORTOLOTTI (2018)

Caractéristiques : Unitaire documentaire (20’)

HOPE – SAISON 1 de Jérémie CIEPIELEWSKI et Antoine BORTOLOTTI (2019)

Caractéristiques : Série documentaire (3×13’)

ARTHUR de Mélanie BONNEAU (2022)

Caractéristiques : Court métrage de fiction (2’)
Avec : Jonas FLAMMANT-CHARVET
Sélection : International Très Court Film Festival

LES STUDIO : UN CINEMA SINGULIER-PLURIEL de Mélanie BONNEAU et Albin BOURGEOIS (2023)

Caractéristiques : Unitaire documentaire (52’)

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POUR SOLLICITER UN RDV : ISABELLE DUCOURNAU
RESPONSABLE – RENDEZ-VOUS D’AFFAIRES & COPRODUCTION FRANCE – CANADA

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