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Le 8e Festival de Films Au Contraire passe au numérique du 5 au 19 octobre 2020, durant la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales

Dans la plus pure tradition du Festival de Films Au Contraire : « Et maintenant, place à quelque chose de complètement différent ». Lumières! Caméra! Visionnement virtuel!

8e édition du FFAC, du 5 au 19 octobre 2020 prochain

Pour sa 8e édition annuelle, le Festival de Films Au Contraire (FFAC) est ravi de lancer une passionnante version en ligne et sur demande, qui se tiendra du 5 au 19 octobre 2020.

Cette année, l’édition spéciale numérique du FFAC, qui aura lieu durant la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, rejoindra le public de Montréal et des quatre coins du globe avec sa sélection de films unique offrant des points de vue singuliers sur les enjeux liés aux maladies mentales.

Grâce à la générosité de son commanditaire « Diamant », Lundbeck Canada, le FFAC 2020 sera accessible gratuitement au public, et proposera une programmation regroupant plus de 20 films provenant de 9 pays et sélectionnés par un jury parmi les 250 films soumis à l’échelle internationale.

« Cette année, la 8e édition du FFAC se tiendra entièrement en ligne, offrant ainsi au public de tous azimuts l’occasion de profiter de la magnifique programmation de films soigneusement sélectionnée par le jury. Le FFAC 2020, qui propose des œuvres du monde entier, est un rendez-vous international célébrant la crème du cinéma portant sur la santé mentale, explique Philip Silverbergfondateur du FFACLe devancement de la date d’ouverture du festival coïncide avec la Journée mondiale de la santé mentale et le début de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, ce qui nous ravit. »

Le FFAC 2020 se tiendra en ligne et sur demande : il suffit de créer un compte gratuit sur le site web du festival, puis d’ouvrir une session pour avoir accès au festival du bout des doigts!

PORTE-PAROLE

Animatrice à CBC et musicienne dotée d’un disque platine, de deux disques d’or, de deux prix Félix et de plusieurs nominations aux prix Junos, Florence K est enchantée de reprendre son rôle de porte-parole pour la 8e édition du FFAC.

« C’est avec grand plaisir que je serai porte-parole de l’édition 2020 du Festival de Films Au Contraire, car j’estime qu’il est crucial d’enrayer les tabous qui, malheureusement, pèsent encore sur la maladie mentale, explique Florence Kporte-parole du FFAC 2020Je me sens particulièrement interpelée par la mission du festival, puisque cet événement reconnaît le pouvoir de l’expression créative en tant qu’élément catalyseur de déstigmatisation et de mobilisation. Je vous invite donc chaleureusement à participer à la 8e édition annuelle du FFAC. »

Étudiante en psychologie et santé mentale et ambassadrice de Bell Cause pour la causeFlorence K a été reconnue en novembre 2017 par le CAMH (Center for Addiction and Mental Health de Toronto) comme étant l’une des 150 leaders canadiens en santé mentale. Après avoir lancé son livre à succès Buena Vida, dans lequel elle raconte sans détour un épisode dépressif majeur et son internement psychiatrique, Florence K donne aujourd’hui des conférences partout dans le pays où elle raconte à cœur ouvert sa propre histoire et offre sa perspective de la place de la santé mentale dans notre société actuelle.

PROGRAMMATION

La 8e édition du FFAC diffusera en continu sa programmation de films taillée sur mesure à travers les différents volets du festival :

LONGS MÉTRAGES

  • ALEXANDRE LE FOU, film canadien du réalisateur Pedro Pires, dépeint l’histoire d’un homme sensible et raffiné, souffrant de schizophrénie, à la croisée des chemins. Lauréat du Grand prix du jury – Meilleur long métrage documentaire au Festival international du documentaire de Moscou, et des prix Meilleur documentaireCinématographie d’exception et Meilleure réalisation d’un long métrage aux Istanbul Film Awards (IFA).
  • Les États-Unis sont représentés par PATIENT’S RITES, d’Issa Ibrahim, interné dans un asile pendant 18 ans. En puisant dans l’univers de la chanson populaire et dans les codes propres aux clips de musique, il a élaboré un documentaire musical autobiographique qui explore les clichés et les stéréotypes associés au milieu de la santé mentale tout en ouvrant le dialogue sur les idées préconçues qui alimentent les préjudices.
  • La Belgique nous offre PETIT SAMEDI, un film de Paloma Sermon-Daï qui plonge le spectateur au cœur de la relation complexe et déchirante entre une mère et son fils de 43 ans aux prises avec la dépendance.

COURTS MÉTRAGES

La programmation de courts métrages présente des perspectives très variées, tant réelles qu’imaginaires, y compris :

  • ABOLIR LES CALÈCHES… ET L’HUMAIN DANS TOUT ÇA?, film local de Vincent Laliberté, dresse un portrait de l’impact humain de la récente abolition des calèches tirées par des chevaux dans la ville de Montréal au sein de la communauté de cochers.
  • SOMETIMES I THINK ABOUT DYING, de Stefanie Abel Horowitz, examine avec une honnêteté rafraîchissante les thèmes de la dépression et de l’isolement social. Le film était en nomination pour le prix du Meilleur court métrage de fiction à la 92e cérémonie des Oscars.
  • La France est représentée par le court métrage musical de Lucie PlumetLA JEUNE FILLE ET SES TOCS, lauréat du Prix TV5 Monde.

ANIMATION

Entre autres courts métrages présentés dans le cadre de la série de films d’animation du FFACLE MAL DU SIÈCLE, fiction canadienne signée Catherine Lepage, met en scène les pensées et les inquiétudes d’une personne souffrant d’anxiété liée à l’hyperperformance et à la course au bonheur, tandis que ELI, du réalisateur new-yorkais Nate Milton, propose une autobiographie basée sur ses expériences dans les sphères de l’étrangeté absolue, de la pensée magique et de la folie des grandeurs.

ONCLE THOMAS – LA COMPTABILITÉ DES JOURS, produit par l’ONF et réalisé par Regina Pessoa, est un cri d’amour puissant envers son oncle, un homme marginal qui aura été déterminant dans la vie de la cinéaste, en plus d’avoir été son étincelle artistique. Son œuvre a été en lice pour l’oscar du Meilleur court métrage d’animation et est lauréate du Prix du jury du Festival international du film d’animation d’Annecy.

MINI-FESTIVAL – VARIATIONS SUR UN MÊME THÈME

Cinéma en classe redirige son programme de sensibilisation destiné aux jeunes et passe des écrans de cinéma aux projections scolaires dans les écoles et en ligne. Œuvre phare de la programmation 2020, UNSTUCK: AN OCD KID’S MOVIE, en anglais avec sous-titres français, plaira à toute la famille. Il met en vedette des enfants et des ados qui parlent en toute honnêteté de leur trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et explique comment ils ont appris à affronter leurs peurs et à reprendre le contrôle de leur vie.

Cinéma Clubhouse poursuit sa tradition et présente des films qui touchent ses adeptes. En 2020, sa portée s’étend et rayonne désormais dans plus de 300 groupes Clubhouse dans 29 pays.

Cinéma communautaire rejoint cette année encore le milieu de la santé mentale à Montréal, notamment par le biais du RACOR (Réseau Alternatif et Communautaire des Organismes) et de projections virtuelles interactives et thématiques, comme CE QUI NOUS LIE, un projet d’investissement en matière de démence dans les communautés, et propose des films divertissants qui mettent en lumière des thématiques dans le but d’éduquer les gens.

Cinéma corporatif offre à ses commanditaires et à ses donateurs des séances « Lunch and Learn » (midis découvertes) qui donnent un aperçu de l’univers de la maladie mentale et invitent à discuter des impacts des films.

L’ensemble de la programmation du 8e FFAC est disponible ici.
Les films sont présentés en français ou dans leurs versions originales avec sous-titres français.

PARTENAIRES

Paradis Urbain

Organisme de bienfaisance canadien enregistré, Paradis Urbain a pour mission de venir en aide aux personnes qui, en raison de leur maladie mentale, ont du mal à aller de l’avant et à reprendre leur vie. Reconnaissant le pouvoir de l’expression créative comme catalyseur qui inspire les citoyens montréalais à prendre de l’action, Paradis Urbain, à travers le FFAC, s’efforce d’appuyer des programmes de réhabilitation pour les personnes souffrant de maladie mentale, et de dissiper les stéréotypes en faisant la promotion de la justice sociale, de la diversité et des droits humains pour donner une voix à une communauté marginalisée.

Maison UP Donald Berman

Fondée en 2010, la Maison UP a pour mission de promouvoir une communauté d’entraide et de soutien entre pairs afin de mettre un terme à l’isolement social, de rebâtir la confiance, de donner un nouvel élan et un sens d’appartenance à des adultes vivant avec une maladie mentale sévère. La Maison UP a adopté le modèle Clubhouse de réhabilitation psychosociale et rétablissement, un programme complet et dynamique offrant soutien et opportunités aux personnes vivant avec une maladie mentale importante.

À PROPOS

À travers la caméra, le Festival de Films Au Contraire s’efforce d’irradier le stigmate et de dissiper les mythes qui entourent la santé mentale. Il vise à présenter des films dans le but de divertir et d’éduquer le public, et de redéfinir les perspectives entourant la santé mentale.

Le FFAC a ceci d’unique qu’il privilégie les films d’avant-garde, suscitant la réflexion, de partout dans le monde et qui explorent des enjeux pluridimensionnels en faisant appel à de multiples points de vue. Le FFAC va encore plus loin pour encourager le public à prendre conscience des perceptions entourant la maladie mentale en favorisant la participation et la discussion, et en organisant des tables rondes réunissant des participants à des films, des réalisateurs, des producteurs, des personnes recevant des soins en santé mentale et des professionnels de la santé mentale.

 

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Dévoilement des 88 courts métrages du FNC 2020

Le Festival du nouveau cinéma (FNC) dévoile les 88 courts métrages issus d’une trentaine de pays et des présentations en salle

Le Festival du nouveau cinéma (FNC) est heureux de dévoiler les courts métrages qui composeront la programmation de sa 49e édition évolutive qui se tiendra en salle du 7 au 18 octobre 2020 à Montréal et en ligne du 7 au 31 octobre 2020 partout au Canada. Avec plus de 88 courts métrages issus d’une trentaine de pays, la sélection fera la part belle aux cinéastes autant établi·e·s que émergent·e·s dont le travail s’est démarqué au cours des derniers mois dans le circuit festivalier. Le public pourra également découvrir en salle la programmation nationale au Cinéma Impérial en présence des équipes!

UNE SÉLECTION AUDACIEUSE

Feront partie de la programmation: de nombreux titres et cinéastes établi·e·s dont le travail s’est distingué cette année que ce soit lors de leurs passages au TIFF, Berlin, Venise, Sundance, Locarno ou encore en recevant le label Cannes 2020 et Semaine de la Critique.

Sun Dog de Dorian Jespers

Au programme, entre autres, FILIPIÑANA de Rafael Manuel Mendoza, récipiendaire de l’Ours d’argent à la Berlinale cette année; PLACES du lituanien Vytautas Katlus présenté à la Mostra de Venise; le Prix du meilleur court métrage à Locarno cette année RED ANINSRI; OR, TIPTOEING ON THE STILL TREMBLING BERLIN WALL du thaïlandais Ratchapoom Boonbunchachoke ou, encore, SUN DOG de Dorian Jespers, Prix du meilleur court métrage au Festival de Rotterdam.

Which is Witch de Marie Losier

Mentionnons aussi le retour de cinéastes habitués du Festival tels que Marie Losier avec WHICH IS WITCH? ; Bertrand Mandico avec THE RETURN OF TRAGEDY ; Rainer Kohlberger et THERE MUST BE SOME KIND OF WAY OUT OF HERE, ou encore THE END OF SUFFERING (A PROPOSAL) de Jacqueline Lentzou à laquelle le FNC a consacré une rétrospective en 2018 ; sans oublier THE UNSEEN RIVER du réalisateur vietnamien Phạm Ngọc Lân qui revient au Festival après avoir remporté le Loup argenté pour le meilleur court métrage de la compétition internationale au FNC en 2019.
PRÉSENTATIONS EN SALLES

Dans le cadre de cette édition toute particulière soulignons que les programmes de courts métrages nationaux de la Compétition nationale et de la Compétition Les nouveaux alchimistes, en plus d’être disponibles en ligne, seront également présentés au Cinéma Impérial, en présence des cinéastes et des équipes, dans le respect des consignes sanitaires en vigueur.

LES JURYS

Trois personnalités différentes composeront le jury de chacune des compétition. Les prix décernés seront remis en ligne via Facebook Live et Youtube Live le mercredi 14 octobre à 20h sur les réseaux sociaux du Festival.


Le jury de la Compétition internationale, qui remettra le Loup argenté (présenté par TFO), sera composé de Carmine Pierre-Dufour, scénariste et réalisatrice ; Deragh Campbell, cinéaste et actrice ; et Odile Joannette, directrice générale du Wapikoni mobile.


Le jury de la Compétition nationale, qui remettra le Grand Prix (présenté par CineGround), sera composé de Mathieu Janssen, programmateur au Festival international Go Short de Nijmegen et collaborateur pour la préselection de Vienna Shorts; Sarah Schlüssel, coordinatrice de la Short Form Station de Berlinale Talent et membre du comité de sélection de la Berlinale Shorts; et la réalisatrice et productrice, Mathilde Delaunay.

Toujours pour la Compétition nationale, ce sera aux festivaliers de décerner le Prix du public (présenté par SLA Location).


Enfin, le jury de l’Association québécoise des critiques de cinéma (AQCC) remettra trois prix pour la compétition Les nouveaux alchimistes : le Prix Dada national (présenté par Main Film et l’AQCC), le Prix Dada international et le prix de la meilleure animation (présenté par TVPaint). Ce dernier jury sera composé de trois journalistes et critiques de cinéma, tous membres de l’AQCC à savoir, Justine Smith (critique pour Hyperallergic, Roger Ebert et Little White Lies et programmatrice pour Fantasia) ; Claire Valade (critique pour Panorama-cinéma) et Julie Vaillancourt (journaliste pour Fugues et critique pour Séquences).

Comme une comète de Ariane Louis-Seize

La programmation offre une vitrine de choix aux talents nationaux s’étant démarqué·e·s au cours de la dernière année. ANISHKA de Vincent Toi, COMME UNE COMÈTE de Ariane Louis-Seize et POINT AND LINE TO PLANE de Sofia Bohdanowicz reviennent tout juste du TIFF tandis que BENJAMIN, BENNY, BEN de Paul Shkordoff a été labellisé Cannes 2020 et AUGUST 22, THIS YEAR de Graham Foy sélectionné à la Semaine de la Critique et au NYFF. Autres habitué·e·s du FNC, Marie-Ève Juste présentera COMME LA NEIGE AU PRINTEMPS et le prolifique Mike Hoolboom offrira deux courts, ZEN BASKETBALL et INSTRUCTIONS FOR ROBOTS en plus de son long métrage JUDY VERSUS CAPITALISM.

La 49e édition du Festival du nouveau cinéma aura lieu en salle, à Montréal du 7 au 18 octobre et en ligne partout à travers le pays. La programmation en ligne sera proposée dans une formule souple de vidéo à la demande et sera exceptionnellement disponible jusqu’au 31 octobre.

Tarifs et mise en vente de billets – Les billets pour les projections des programmes de courts métrages nationaux de la Compétition nationale et de la Compétition Les nouveaux alchimistes au Cinéma Impérial sont désormais en vente. Cette vente se fait uniquement en ligne sur le site du Festival à l’adresse suivante : https://nouveaucinema.ca/fr/billetterie-2020

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Un début d’automne généreux en nouveautés accessibles gratuitement sur ONF.ca

Un début d’automne généreux en nouveautés accessibles gratuitement sur ONF.ca

Voyez les plus récentes œuvres de la collection de projets La courbe, abordant la pandémie, des documentaires attendus comme Les Rose de Félix Rose et des courts métrages d’une grande sensibilité, en documentaire comme en animation

En cette fin de septembre et tout le mois d’octobre, de nombreuses nouveautés continueront d’être lancées sur ONF.ca. Cette sélection à voir gratuitement, issue des studios de l’ONF d’un bout à l’autre du pays, compte notamment les plus récentes œuvres de La courbe, une collection de projets des plus actuels abordant la pandémie ; des longs métrages documentaires suscitant l’engouement, comme Les Rose de Félix Rose ; ainsi que des courts métrages documentaires et d’animation tout en finesse, comme À ciel ouvert, portrait d’un pavillon à Venise de Katerine Giguère, Shannon Amen de Chris Dainty ou L’instant d’une vie de Samuel-A. Caron et France Gallant, lancés en lien avec des journées mondiales consacrées à leurs thèmes respectifs. Ces nouveautés toujours pertinentes, d’une grande humanité, viennent encore bonifier l’offre de plus de 4000 titres déjà accessibles sur ONF.ca, sans oublier la collection d’une centaine d’œuvres interactives, dont la presque totalité est offerte gratuitement en ligne.

 

Dès le 21 septembre 2020

La courbe, c’est le pouls d’un pays, qui bat au rythme de ses variations. Ce sont des créateurs et des créatrices d’ici qui, avec leur talent et leur sensibilité, amplifient la voix de Canadiens et de Canadiennes de partout au pays, touchés de près ou de loin par la COVID-19. La collection La courbe propose des récits, réunis par thématiques, sous forme de documentaires, d’animations et d’œuvres numériques qui seront accessibles graduellement au cours des prochains mois, suivant de près les développements actuels de la pandémie.

Seront lancés le 21 septembre :

Histoires de chevet animées pour rebelles en herbe dans le monde de l’après-COVID-19, qui présentent la vision de quatre éminents penseurs (Armine Yalnizyan, Munira Abukar, David Suzuki et Bruce Mau). Les films, d’une durée d’environ trois minutes chacun, sont produits par le Studio d’animation du Programme anglais.

Économie (Economics) de Philip Eddolls

Gouvernance (Governance) de Ho Che Anderson

Perceptions (Worldviews) de Malcolm Sutherland

Espace de vie (Cities) de Lillian Chan

 

Inspirants, révélateurs et follement imaginatifs, ces projets explorent les aspects physiques et affectifs de l’isolement en temps de pandémie.

Amour en quarantaine (Love in Quarantinede Millefiore Clarkes (Studio du Québec et de l’Atlantique)

À la maison (How to Be at Home) d’Andrea Dorfman (Studio du Québec et de l’Atlantique)

On se calme (Come to Your Senses) d’Alicia Eisen et Sophie Jarvis (Studio de la Colombie-Britannique et du Yukon)

Hier, aujourd’hui, demain (Yesterday, Today, Tomorrow) de Laura Cortes, Alexandra Hook, Mel Eshaghbeigi et Jam3 (Studio interactif du Programme anglais et Jam3) (En ligne dès le 23 septembre)

Suivez #TheCurveNFB #LaCourbeONF pour vous renseigner sur les créateurs et créatrices de La courbe et obtenir des nouvelles et des aperçus des œuvres à venir.

Dès le 27 septembre 2020

 

  • Les Rose de Félix Rose (2020, Babel Films/Studio documentaire du Programme français)

Long métrage documentaire (127 min 58 s)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/les-rose

En octobre 1970, des membres du Front de libération du Québec enlèvent le ministre Pierre Laporte, déclenchant une crise sans précédent au Québec. Cinquante ans plus tard, Félix Rose tente de comprendre ce qui a pu mener son père Paul et son oncle Jacques à commettre un tel acte, qui a abouti à la mort tragique de leur otage. Le film est toujours à l’affiche dans plus de 25 salles au Québec : evenements.onf.ca/en-salle

 

Dès le 28 septembre 2020

 

Long métrage documentaire (107 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/quest-ce-que-la-democratie/

À une époque de profonde crise politique et sociale, Qu’est-ce que la démocratie ? s’intéresse à un mot qu’on tient trop souvent pour acquis. Donnant la parole à diverses personnalités — éminents théoriciens, chirurgiens traumatologues, militants, ouvriers d’usine, demandeurs d’asile, anciens premiers ministres et autres —, le film fait le lien entre passé et présent, entre ce qui est d’ordre émotif, intellectuel, personnel et politique pour susciter la réflexion et inspirer.

Dès le 5 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale de l’architecture

Court métrage documentaire (25 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/a-ciel-ouvert

Depuis 1958, le pavillon du Canada à la prestigieuse Biennale de Venise accueille des artistes et des architectes contemporains canadiens ainsi que leurs œuvres. Le film est un portrait intimiste de ce bijou architectural, conçu par le célèbre Studio BBPR de Milan et récemment restauré, tout comme ses jardins, par le Musée des beaux-arts du Canada.

Dès le 10 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale de la santé mentale

  • Shannon Amen de Chris Dainty (2019, Studio d’animation du Programme anglais)

Court métrage d’animation (15 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/shannon-amen

S’appuyant sur les œuvres, les mots et la musique de Shannon Jamieson et réalisé par son ami Chris Dainty, Shannon Amen révèle les sentiments passionnés et parfois empreints de souffrance d’une jeune femme submergée par la culpabilité et l’anxiété, qui lutte pour concilier son identité sexuelle et sa foi religieuse. Le film est un véritable hommage qui reconstitue le mal de vivre de Shannon, qu’éprouvent certains jeunes LGBTQIA+ comme elle qui font face à la discrimination.

 

Dès le 15 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal

  • L’instant d’une vie de Samuel-A. Caron et France Gallant (2020, Productions Appalaches/Studio de la francophonie canadienne à Moncton)

Court métrage documentaire (20 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/linstant-dune-vie

Posant un regard éclairant sur le deuil périnatal, le film suit la démarche d’un groupe de parents endeuillés. Animés par leur désir d’apporter du réconfort aux mères et aux pères qui vivent cette expérience douloureuse, ils contribuent à briser l’isolement et l’incompréhension sociale.

Dès la semaine du 26 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale du cinéma d’animation (28 octobre)

  • L’ONF propose la Semaine de l’animation, une programmation spéciale composée de nouvelles œuvres vibrantes et audacieuses d’animateurs et d’animatrices de partout au Canada.

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Entrevue de Laura Rohard, directrice de la programmation du FCVQ réalisée par Marc Lamothe

« L’obligation d’aller en ligne a été un enjeu majeur pour nous… De là est née notre volonté de recréer l’esprit d’un festival, de provoquer un sentiment de rassemblement et cette idée de rendez-vous… » 

Laura Rohard, nouvelle directrice de la programmation du FCVQ

Une entrevue réalisée par Marc Lamothe

Le Festival de cinéma de la ville de Québec accueille le Canada tout entier à sa dixième édition qui a commencé mercredi 15 et se poursuit jusqu’au 20 septembre.

 

Les festivaliers ont accès à une plateforme de quatre « salles » virtuelles, trois payantes et une gratuite. Outre les dix longs métrages de la compétition officielle, les participants auront droit à trois classes de maître, une nouveauté, des sections riches en découvertes et le partage de plusieurs contenus exclusifs.

En ce début de festival, on a eu envie de s’entretenir une trentaine de minutes avec Laura Rohard, la nouvelle directrice de la programmation qui a eu un baptême de feu tout à fait singulier, en réalisant son premier mandant en contexte de COVID-19 qui a fait migrer la manifestation cinématographique vers un festival de salles en ligne.

 

Le festival fête ses 10 ans dans des circonstances bien particulières. Que signifie pour vous ce passage et comment soulignerez-vous cette décennie ?

Laura Rohard — C’est un bien drôle de moment pour fêter son anniversaire. Dix ans, normalement, ça se prépare et ça se fête, mais on a choisi de ne pas trop insister sur l’anniversaire vu le contexte et le virage en ligne qu’il impose. C’est tout de même l’âge de raison pour un festival qui n’a cessé de grandir depuis 2011. Une décennie d’efforts pour remettre le cinéma à l’honneur dans la région de la Capitale-Nationale. Je pense à tous ces gens au fil des dix ans qui ont contribué à faire ce que nous sommes aujourd’hui. Particulièrement à Marie-Christine Laflamme, Olivier Bilodeau et Christopher Lemonnier qui ont fondé le FCVQ en 2011 et dont la vision nous guide encore.

 

 

 

Vous prenez la place d’Olivier Bilodeau, co-fondateur et directeur de la programmation jusqu’en 2019. Qu’avez-vous appris au contact d’Olivier et que reste-t-il de lui ou de son lègue dans la programmation de cette année ?

Laura Rohard — Le départ d’Olivier, c’est en effet une page qui se tourne. Dès mes premiers échanges avec Ian Gailer, on était tous deux d’accord pour continuer son œuvre et garder la même approche, un travail d’orfèvre sur la grille horaire, le maintien des sections, des regards sur les cinémas nationaux, des hommages, des rétrospectives, des cartes blanches et des sections bien définies. Nous poursuivons donc ce qu’il a admirablement réalisé et implanté. On a tous nos mentors, j’ai eu la chance de le côtoyer toutes ces années et il m’a beaucoup appris. Je suis arrivée en 2014. J’ai eu six belles années à ses côtés. J’espère porter son flambeau avec panache et enthousiasme.

 

À titre de directrice de la programmation, quels étaient vos objectifs en 2020, considérant entre autres la crise de la COVID-19 ?

Laura Rohard — À titre de directrice de la programmation, je suis à même de décider de certaines couleurs du moment ou du festival. J’ai à cœur de poursuivre le travail d’Olivier, mais je souhaite aussi insuffler un peu de moi-même et de mes goûts distincts dans cette continuation. Ça se fera en partageant un socle de principes et de valeurs que nous avons en commun, tout en espérant orienter certaines sections et changer certaines choses, tout en restant fidèle à l’esprit de curiosité et de cette volonté d’être un peu décapant parfois dans nos choix. On est pas mal dans la continuité de l’an dernier.

Un de mes grands objectifs était d’avoir plus de jeunes au festival. Je crois à l’éducation par l’image. Il faut aller vers les jeunes et inspirer leur appétit de films et d’images, de cultures et d’arts. La COVID nous empêche de créer les rencontres que je souhaitais cette année. Je voulais aussi laisser le plus d’espace possible au travail des femmes ; et cela tombait bien puisque les talents féminins étaient nombreux cette année. En fait, je désirais surtout continuer à programmer un festival généraliste, qui reflète bien l’équipe, mais surtout les goûts de notre ville.

L’obligation d’aller en ligne a été un enjeu majeur pour nous. Il a fallu convaincre les ayants droit et les distributeurs de notre solution. Certains ont choisi une approche « vidéo sur demande » alors que nous avons privilégié un mode de diffusion en direct, à des heures précises, dans des salles virtuelles avec une seule diffusion. Notre volonté était de recréer l’esprit d’un festival, provoquer un sentiment de rassemblement et cette idée de rendez-vous. Convaincre les distributeurs du bien-fondé de notre approche pour qu’ils acceptent de nous livrer les films que l’on voulait et pouvoir ainsi proposer une programmation cohérente, voilà qui résume bien mon mandat cette année.

 

La politique des premières dicte une partie des choix des festivals de films. Est-ce que la proximité des festivals comme le TIFF, le FNC ou Cinémania complexifie réellement votre travail au FCVQ ?

Laura Rohard — Non, pas trop. On deal avec, certes, ça vient avec l’industrie. On comprend qu’on est encore le petit dernier sur le plan canadien des festivals de films. La proximité augmente en effet la compétition pour certains titres, mais on a toujours su bien tirer notre épingle du jeu. C’est un nos défis en fait, d’aller chercher d’autres titres que ceux qui inspirent des festivals comme le FNC ou Cinémania. On a fait nos preuves avec sérieux et audace auprès de nombreux partenaires qui nous font maintenant confiance.

 

Festival en ligne versus en salle, est-ce qu’il a été plus difficile de boucler une programmation puisque certains grands distributeurs sont frileux à partager de grandes premières en ligne ?

Laura Rohard — Oui, effectivement, ça été sportif, car non seulement ça été ma première année à titre de directrice, mais elle devait se faire en ligne… Devenant ainsi pancanadien, cela a provoqué des questions de territoires avec certains ayants droit. Certains distributeurs nous ont carrément dit non en expliquant clairement pourquoi et nous respectons ces décisions d’affaires. Pour les vieux films, cela a été évidemment difficile. Finalement, je suis fière de notre programmation, même si elle a été un peu plus difficile à assembler tous les morceaux puisqu’il a fallu convaincre des gens pour chaque film et chaque choix.

Vous avez programmé de nombreux documentaires cette année, dont certains sont des portraits intimes. Votre coup de cœur documentaire va vers quelle personnalité ?

Laura Rohard — J’ai déjà beaucoup parlé de Joséphine Bacon dans d’autres entrevues ces derniers jours, c’est un de mes grands coups de cœur et j’ai si hâte de la rencontrer. C’est une dame d’une grande sagesse, d’une si belle luminosité et d’un tel appétit de la vie. Elle est inspirante. Je vais plutôt te parler de ce documentaire en compétition qui se veut un projet un peu fou fou, Africa Mia. Ça raconte la quête de Richard Minier qui est un compositeur, producteur, auteur et réalisateur de documentaire, qui décide un jour de partir à la recherche de musiciens Maliens qui ont eu un certain succès à La Havane et à Cuba en général dans les années 60. C’est en partie l’histoire de ces musiciens qui sont partis étudier la musique à Cuba et qui sont revenus éventuellement dans leur pays d’origine, mais le groupe s’y est rapidement désagrégé. Il est question de socialisme. Question de musique. Pendant 18 ans, ce producteur a cherché ces musiciens. Un seul est encore vivant. Quelqu’un de très connu et respecté en Afrique du Sud, Boncana Maiga. Mon coup de cœur documentaire va à ce personnage formidable.

J’aurai aussi aimé te parler de Petit Samedi, documentaire belge de Paloma Sermon-Daï sur un héroïnomane dans la trentaine qui vit encore chez sa maman. C’est un portrait mère-fils réalisé avec tendresse et humour et c’est sa demi-sœur qui filme, il me semble. C’est un peu dur, oui, mais c’est très beau. C’est fait avec tant de sobriété. Ce duo mère-fils m’a beaucoup touché.

 

Vous avez programmé de nombreux films de fiction cette année. Quel personnage de fiction t’as le plus marquée ou habitée ces derniers mois ? Et pourquoi ?

Laura Rohard — Personnage de fiction ? J’ai ici le goût de te nommer Jay, le personnage principal de Residue, le premier film de Merawi Gerima. Son film a été à SlamDance et la section alternative du Festival de Venise. J’ai eu un franc coup de cœur pour ce film coup de poing qui s’articule autour de ce Jay qui revient à Washington après des années. Il réalise que son quartier a beaucoup changé, qu’il s’est gentrifié alors qu’il tente de retrouver un ami d’enfance. Un film politique engagé. Mon coup de cœur personnage de fiction va à ce Jay.

 

Le FCVQ a entamé l’an dernier l’exploration d’images de la féminité. Parlez-nous de cette section et de ce qu’elle nous réserve cette année ?

Laura Rohard — La section Transform’her !  Il m’est difficile d’en parler, car celle-ci est programmée par Laurence Reymond, notre programmatrice à Paris. Elle traite du genre féminin à l’image à l’écran. Une programmation qui tourne autour de la transformation du genre féminin. C’est une section très importante et Laurence a écrit un texte magnifique que je t’invite à lire sur notre site pour mieux saisir le propos et la thématique.

« TRANSFORM’HER Comment le cinéma peut-il participer à la transformation et la réinvention du genre féminin ? »  https://www.fcvq.ca/transform-her

 

Howard Shore est un compositeur de musique de film, chef d’orchestre, orchestrateur et saxophoniste canadien. Parlez-nous un peu de ce choix et de ce qu’il faut attendre de ce grand entretien.

 

Laura Rohard — On commence une tradition qui se perpétuera, je l’espère, avec de grandes personnalités qui ne peuvent pas toujours se déplacer, mais qui peuvent apporter un rayonnement à notre festival et notre ville. Aller chercher des invités de prestiges de manière virtuelle et avoir une belle discussion avec eux, partager leur parcours et nous parler de qui ils sont. Jaser 60 minutes avec quelqu’un qui a un talent fou. C’est intéressant de parler de cinéma avec des gens qui ne sont pas nécessairement à l’avant ou à l’arrière. Des gens qui ont contribué au succès d’un film, mais dont le travail est en parallèle au tournage. Howard Shore était l’un de mes premiers choix. Ses collaborations parlent d’elles même. On parle de Cronenberg, Scorsese et Jackson pour ne nommer que ceux-là. C’est quelqu’un qui nous a dit oui tout de suite. Il avait ce double bagage cinéma et musique qui me plaisait. C’est Catherine Pogonat qui animera l’entretien. C’est un des bons coups du festival cette année.

 

L’édition 2020 du FCVQ porte notamment son attention sur le cinéma du Brésil. Après l’hécatombe de la COVID-19, il était important de revenir sur ce cinéma, notamment sous le thème central qui est la résistance. Que pouvez-vous dire de cette section ou de ce cinéma national ?

Laura Rohard — C’est quelque chose qui me tenait vraiment à cœur. L’an dernier, on avait un focus sur le court métrage polonais. Cette année, je me suis intéressé au Brésil qui me semblait tout indiqué étant donné le contexte des derniers mois. Quand la COVID a finalement frappé, mon idée était en fait déjà prise. L’idée de la résistance me semblait découler de soi. Ça fait des années que je suis la carrière de Kleber Mendonça Filho. Mon idée était faite et un bassin de films m’inspirait. Je voulais élargir le sens du terme « résistance à l’écran » en parlant de résistance sociale, politique, artistique, mais aussi de celles des genres et des sexes. La résistance des communautés qui résistent aux injustices, certes, mais aussi la résistance au-delà, dans la vie de tous les jours, dans tous ces aspects.

On a rassemblé des films issus d’un milieu réellement complexe, mais il y a tellement d’enjeux. Que l’on pense aux Premières Nations, aux problèmes environnementaux, au racisme et aux enjeux politiques. Évidemment, la place de la femme à travers le temps et les images m’interpellent. Dans cet esprit, j’espère que vous aimerez notamment le personnage de Linn Da Quebrada dans le documentaire Bixa Travesty qui attaque le machisme brésilien et qui risque encore de secouer les stéréotypes et tabous de quelques conservateurs, brésiliens ou d’ailleurs.

 

À titre de programmatrice, à quel film ou événement spécial êtes-vous particulièrement fière d’être associée ou d’avoir même initiée ?

Laura Rohard — J’ai beaucoup travaillé au développement de la section Le Campus, un talent lab dont je suis très fier. Notre but est de créer une démarche pour outiller, former et faire réseauter les jeunes réalisatrices. Rencontrer des collègues francophones provenant de partout au Canada et voir des conférences sur plein de sujets, de la production à la photographie, de la scénarisation à la réalisation, en passant par les outils de développement et de financement d’un projet. C’est un projet qui accueille du beau monde et a bien su migrer en ligne cette année.

Lien vers LE CAMPUS 2020 : https://www.fcvq.ca/campus

 

 

Photo : Photobox Studio

 

FCVQ 2020 – Votre programme du 18 septembre 2020!

Programmation du 18 septembre 2020 du FCVQ 2020

SALLE QUÉBECOR 

COMPÉTITION INTERNATIONALE
DES COURTS MÉTRAGES 2
18 SEPTEMBRE DÈS 13h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

PETIT SAMEDI DE PALOMA SERMON-DAÏ
18 SEPTEMBRE DÈS 16h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son village wallon en bord de Meuse, on l’appelait le « Petit Samedi ». Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu’elle n’a jamais abandonné lorsqu’il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout, cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions et qui fait face à son histoire pour s’en sortir.

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LA BUVETTE – JE M’APPELLE HUMAIN
18 SEPTEMBRE DÈS 18h30 •
SALLE QUÉBECOR ET RESTOS PLAISIRS  | BILLETTERIE

Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission La Buvette du FCVQ, enregistrée depuis le Diamant, et sera diffusée tous les soirs dès 18h30 sur plusieurs chaînes en simultané ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont dans la programmation du Festival !

Ce vendredi, Marième s’entretient avec Kim O’Bomsawin, réalisatrice de Je m’appelle humain, et sa productrice Andrée-Anne Frenette : retour sur l’origine de ce projet, portrait lumineux de la grande Joséphine Bacon, présenté en première mondiale à 19h.

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JE M’APPELLE HUMAIN
DE KAREN BEN RAFAEL ET ÉLISE BEN ROUBI
18 SEPTEMBRE DÈS 19h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Julie et Yuval, deux amoureux, vivent ensemble à Paris. Du jour au lendemain, le couple fusionnel se voit contraint de se séparer. Lui à Tel Aviv, sa ville natale, elle à Paris, avec leur bébé, ils continuent de partager leur quotidien, mais à travers leurs écrans. Cette vie par procuration va vite connaître ses limites. La distance mettra leur amour à rude épreuve…

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AFRICA MIA DE RICHARD MINIER & ÉDOUARD SALIER
18 SEPTEMBRE DÈS 21h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Africa Mia est un voyage dans l’espace et le temps, à la recherche de l’âme de la musique afro- cubaine. Du début des années 60 sur fond de Guerre Froide et jusqu’à aujourd’hui, de La Havane à Bamako, les deux villes qui forment le berceau de la « Sono Mondiale », nous partons à la découverte du premier groupe de « World Music », les légendaires « Maravillas de Mali ».

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SALLE RESTOS PLAISIRS

NASIR DE ARUN KARTHICK
18 SEPTEMBRE DÈS 13H30 • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Nasir est un homme bon à la vie difficile. Malgré tout, il demeure optimiste. Écrivant des lettres d’amour à sa femme et partageant sa poésie sans retenue, il fait ainsi taire la plus stupide des grandes gueules. Musulman en Inde, il va à l’encontre du nationalisme hindou, qui y a pris une place de la plus haute importance dans les dernières décennies. Un exposé sincère sur la vie d’un citoyen pauvre qui fait face à l’intolérance d’une société toxique sur le point d’exploser.

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BAAMUM NAFI DE MAMADOU DIA
18 SEPTEMBRE 16H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Tokara veut épouser sa cousine, la belle Nafi, ce qui met leurs pères en conflit l’un avec l’autre. Le plus jeune frère est un religieux de haut rang, l’autre un candidat à la mairie de la petite ville du nord-est du Sénégal où se déroule le film. Au début, leur lutte fraternelle semble porter uniquement sur le bonheur de leurs enfants, mais peu à peu, ces derniers deviennent les pions d’une dispute amère sur la tradition, le progrès et la vraie nature de l’islam. Leurs liens familiaux peuvent-ils les aider à surmonter ces différences idéologiques?

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LA BUVETTE – JE M’APPELLE HUMAIN
18 SEPTEMBRE DÈS 18h30 • SALLE RESTOS PLAISIRS ET QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission La Buvette du FCVQ, enregistrée depuis le Diamant, et sera diffusée tous les soirs dès 18h30 sur plusieurs chaînes en simultané ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont dans la programmation du Festival !

Ce vendredi, Marième s’entretient avec Kim O’Bomsawin, réalisatrice de Je m’appelle humain, et sa productrice Andrée-Anne Frenette : retour sur l’origine de ce projet, portrait lumineux de la grande Joséphine Bacon, présenté en première mondiale à 19h.

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MEU NOME É BADGA DE CARU ALVES DE SOUZA
18 SEPTEMBRE 19H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Bagdad est une skateuse de 17 ans habitant Freguesia do Ó, un quartier de la classe ouvrière de São Paulo, au Brésil. Bagdad fait du skate avec des garçons et passe beaucoup de temps avec sa famille et avec les amis de sa mère. Ensemble, les femmes de son entourage forment un réseau de personnes extraordinaires. Lorsque Bagdad fait connaissance avec un groupe de skateuses, sa vie n’est plus la même.

Adapté librement à partir de la nouvelle Bagdá, o Skatista de Toni Brandão.

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BIXA TRAVESTI DE KIKO GOIFMAN ET CLAUDIA PRISCILLA
18 SEPTEMBRE 21H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Bixa Travesty dresse un portrait électrisant de Linn Da Quebrada, artiste à la présence scénique extraordinaire qui réfléchit sur le genre et ose affronter avec un rare panache le machisme brésilien. Le corps féminin trans est utilisé comme moyen d’expression politique.

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SALLE HYDRO-QUÉBEC 

COURTS D’ANIMATION 1
18 SEPTEMBRE 16H30 • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

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LA FORTALEZA DE JORGE THIELEN ARMAND
18 SEPTEMBRE 19H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

Renvoyé de la maison familiale, Roque, dans la quarantaine, se retrouve dans les rues de Caracas, alors en plein chaos politique et économique. Dans un effort pour reprendre sa vie en main, il décide de retourner dans la jungle amazonienne où, à une époque plus heureuse de sa vie, il a bâti une cabane. Alors qu’il combat les vignes luxuriantes, les délires causés par la fièvre et l’eau empoisonnée, de vieux amis aux activités douteuses lui font miroiter un avenir rempli d’or. Vulnérable, Roque se joint à eux dans l’exploitation illégale d’une mine d’or, convoitée par des guérilleros colombiens. Confronté aux côtés sombres d’un monde sans merci, il devra puiser au plus profond de lui-même pour s’en sortir.

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EL FATHER COMO SÍ MISMO DE MO SCARPELLI
18 SEPTEMBRE 21H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

Un jeune réalisateur revient au Venezuela pour faire un film basé sur la vie de son père. Le fils réalise aujourd’hui un film de fiction (La Fortaleza, Jorge Thielen Armand) sur le passé trouble de ce géniteur dans les mines d’or illégales de la jungle amazonienne. El Father Plays Himself brosse le portrait d’une relation filiale complexe et de rapports de force mouvants.

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SALLE DESJARDINS – GRATUITE

ACCESSIBLE SEULEMENT LE 19 ET 20 SEPTEMBRE PROCHAIN

POUR ACCÉDER AUX SALLES VIRTUELLES, CONNECTEZ-VOUS ICI

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Un survol de l’automne REGARD

L’automne 2020 s’annonce chaud à REGARD

Nos projections en plein air tirent à leur fin, notre bilan de la 24e édition est maintenant en ligne… signe que la belle saison se termine et que nous passons officiellement à la préparation de notre 25e anniversaire

Voici donc un survol de ce qui attend l’équipe de REGARD dans les prochaines semaines

DATES DES PROJECTIONS EN SEPTEMBRE 2020

17, 18, 19 septembre dès 19h 
Municipalité de Larouche (Lac-Saint-Jean) ➤ Courts métrages pour toute la famille en formule Ciné-Parc suivis du documentaire du cinéaste régional Jimmy Larouche, intitulé Si Larouche m’étais contée

18 septembre à 19h30
À la Maison des jeunes de Chicoutimi (Saguenay) ➤ Programmation jeunesse en formule Ciné-Parc

18 septembre dès 19h30 
Théâtre Banque Nationale de Chicoutimi (Saguenay) ➤ Avant-première du film La déesse des mouches à feu (COMPLET!)

19 septembre à 14h 
Dans le cadre du Salon du livre de Bonaventure (Gaspésie) ➤ REGARD en famille, courts métrages pour petits et grands

24 et 25 septembre à 19h30 
Dans le Vieux-Hull à Gatineau (Outaouais) ➤ Coups de coeur du Festival au #sentierculturel

27 septembre dès 10h
Au Centre-culturel Pauline-Julien de Trois-Rivières (Mauricie) ➤ REGARD en famille, courts métrages pour petits et grands

Photo; le court métrage Coeur fondant de Benoît Chieux (France), à voir dans le programme REGARD en famille

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UNE ÉDITION LOIN D’ÊTRE COMME LES AUTRES !

L’équipe REGARD a travaillé fort pour concevoir le bilan de la toute dernière édition du Festival malgré sa fin abrupte.

Dans ce document, partez à la découverte de tous nos projets, que ce soit avant, pendant et après l’édition 2020 de REGARD. Apprenez comment on s’est réinventé cet été pour offrir du cinéma et des événements culturels de qualité au grand public et revoyez les moments forts de l’année grâce à une série d’images qui vous rendront nostalgiques.

Comme quoi ce n’est pas une pandémie qui va éteindre notre passion du cinéma

PLONGEZ DANS LA 24E ÉDITION JUSTE ICI !

REGARD S’IMPLIQUE DANS 2 FESTIVALS DE CINÉMA

D’abord, parlons du festival Courts d’un soir qui aura lieu du 23 au 27 septembre ! La lauréate ou le lauréat du Grand Prix Fiction se méritera une invitation à la 25e édition du Festival REGARD en plus d’une bourse de 1 000$ offerte par Desjardins et 10 000$ de location d’équipements offerts par Spira.

Et voyageons (dans nos têtes) jusqu’en Amérique du Sud, plus particulièrement en Colombie au Festival Equinoxio, auquel notre directrice générale, Marie-Élaine Riou, participera en tant que membre du jury de la compétition nationale catégorie Fiction. La ou le récipiendaire du prix se méritera d’ailleurs un accès à toute la programmation de notre prochaine édition.

Des collaborations très précieuses avec ces événements qui, on espère, perdureront dans le temps !

BON CINÉMA !

L’APPEL DE FILMS EST TOUJOURS EN VIGUEUR ️

Réalisatrices et réalisateurs, il vous reste encore quelques semaines pour nous soumettre vos films pour notre 25e édition qui aura lieu en 2021. Jusqu’au 1er novembre prochain, remplissez le formulaire ci-dessous et faites nous découvrir vos nouveaux chefs-d’oeuvre.

Pssssst. Notre directrice de la programmation est revenue au bureau cette semaine et est déjà impatiente de visionner ce que vous nous avez préparé cette année !

CLIQUEZ ICI POUR SOUMETTRE VOTRE FILM !

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FCVQ 2020 – Votre programme du 17 septembre 2020!

Programmation du 17 septembre 2020 du FCVQ 2020

SALLE QUÉBECOR

COMPÉTITION INTERNATIONALE
DES COURTS MÉTRAGES 1
17 SEPTEMBRE DÈS 13h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

AINSI SOIENT-ELLES DE MAXIME FAURE
17 SEPTEMBRE DÈS 16h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Les premières neiges tombent sur le Québec. À l’aube de la disparition de leur petite communauté de religieuses, les Sœurs Auxiliatrices commencent ce qui deviendra le tri d’une vie — une vie de luttes. Ces vaillantes militantes tout-terrain, qui ont foi en Dieu, mais pas en une Église dominée par des hommes, ont derrière elles des années d’engagement pour les droits des femmes, la justice sociale et la solidarité internationale. Un précieux matrimoine, en somme, que se préparent à léguer Gisèle, Marie-Paule, Nicole, Suzanne et leurs sœurs. Entre appréhension de la mort, francs éclats de rires et repas arrosés, ces femmes, dignes et libres, vivent profondément le sens de la sororité. Jusqu’au bout.

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LA BUVETTE – HOWARD SHORE
17 SEPTEMBRE DÈS 18h30 • SALLE QUÉBECOR ET RESTOS PLAISIRS  | BILLETTERIE

Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission La Buvette du FCVQ est présentée au Diamant de Québec et sera diffusée tous les soirs dès 18h30 ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont à la programmation du Festival !

Ce soir, Marième reçoit l’animatrice du Grand Entretien avec Howard Shore, Catherine Pogonat, qui vient parler de la carrière de ce grand nom de la composition de musique de film.

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À COEUR BATTANT DE KAREN BEN RAFAEL ET ÉLISE BEN ROUBI
17 SEPTEMBRE DÈS 19h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Julie et Yuval, deux amoureux, vivent ensemble à Paris. Du jour au lendemain, le couple fusionnel se voit contraint de se séparer. Lui à Tel Aviv, sa ville natale, elle à Paris, avec leur bébé, ils continuent de partager leur quotidien, mais à travers leurs écrans. Cette vie par procuration va vite connaître ses limites. La distance mettra leur amour à rude épreuve…

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BLOODY NOSE, EMPTY POCKETS DE BILL & TURNER ROSS
17 SEPTEMBRE DÈS 21h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Dans l’ombre des lumières vives de Las Vegas, sonne le dernier appel d’un bar de quartier affectueusement connu sous le nom de Roaring 20s. Prémices d’une histoire où la réalité semble aussi irréelle que le monde extérieur duquel les habitués du bar s’échappent. Bloody Nose, Empty Pockets est une mosaïque de vies disparates, où chacun vacille entre dignité et débauche, se remémore son passé face à un avenir incertain, et continue de chanter tandis que sombre le navire.

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SALLE RESTOS PLAISIRS

MORMAÇO DE MARINA MELIANDE ET FELIPE BRAGANÇA
17 SEPTEMBRE DÈS 13H30 • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Rio de Janeiro, 2016. L’été le plus chaud de l’histoire. La ville se prépare pour les Jeux Olympiques. Ana, une avocate de 32 ans, œuvre pour la défense d’une communauté menacée d’éloignement par les travaux du parc olympique. Pendant ce temps, elle a remarqué des taches violettes ressemblant à des champignons sur son corps. Des choses étranges commencent à se produire dans la ville ainsi que dans le corps d’Ana. La température monte, créant une atmosphère humide et suffocante. La sensualité s’accumule avant de laisser place à de fortes pluies.

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FOCUS BRÉSIL : COURTS MÉTRAGES 
17 SEPTEMBRE 16H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

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LA BUVETTE – HOWARD SHORE
17 SEPTEMBRE DÈS 18h30 • SALLE RESTOS PLAISIRS ET QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission La Buvette du FCVQ est présentée au Diamant de Québec et sera diffusée tous les soirs dès 18h30 ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont à la programmation du Festival !

Ce soir, Marième reçoit l’animatrice du Grand Entretien avec Howard Shore, Catherine Pogonat, qui vient parler de la carrière de ce grand nom de la composition de musique de film.

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THE SONG OF NAMES DE FRANÇOIS GIRARD
17 SEPTEMBRE 20H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Alors qu’ils sont encore des enfants, Martin et Dovidi se lient d’amitié à travers la musique. Dovidi est un violoniste de génie et décide de prendre Martin sous son aile pour qu’il l’accompagne au piano. Alors qu’une guerre mondiale fait rage, nos deux amis eux tentent d’apporter de la lumière grâce à la musique. Devenu de jeunes hommes, à la veille d’un grand spectacle où il sera le soliste, Dovidi disparaît. Martin passera alors sa vie à chercher son ami.

D’après le roman The Song Of Names de Norman Lebrecht.

Attention : Ce film est présenté en version originale anglaise et ne comprend pas de sous-titres français
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SALLE HYDRO-QUÉBEC

BOURSE À LA CRÉATION
DES CINÉASTES DE QUÉBEC

17 SEPTEMBRE 16H30 • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

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ÉNORME DE SOPHIE LETOURNEUR
17 SEPTEMBRE 19H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

Ça lui prend d’un coup à 40 ans : Frédéric veut un bébé, Claire elle n’en a jamais voulu et ils étaient bien d’accord là-dessus. Il commet l’impardonnable et lui fait un enfant dans le dos. Claire se transforme en baleine et Frédéric devient gnangnan.

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APPELEZ-MOI MADAME DE FRANÇOISE ROMAND
17 SEPTEMBRE 21H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

Dans un petit village normand, un militant communiste, marié et père d’un adolescent, devient trans à 55 ans, aidé par sa femme.

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SALLE DESJARDINS – GRATUITE

ACCESSIBLE SEULEMENT LE 19 ET 20 SEPTEMBRE PROCHAIN

POUR ACCÉDER AUX SALLES VIRTUELLES, CONNECTEZ-VOUS ICI

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Six œuvres de l’ONF à l’honneur au Festival international du film de l’Atlantique 2020

Six œuvres de l’Office national du film du Canada à l’honneur au Festival international du film de l’Atlantique du 17 au 24 septembre 2020

« Old Dog », le nouveau court métrage d’Ann Marie Fleming, sera présenté en première mondiale, aux côtés d’autres œuvres documentaires et d’animation chaudement accueillies 

Du 17 au 24 septembre, les cinéphiles de l’ensemble du Canada atlantique découvriront les longs métrages documentaires percutants et les œuvres d’animation profondément personnelles de créateurs et créatrices de l’ONF sur FIN AIFF Stream, alors que le Festival international du film de l’Atlantique 2020 sera entièrement présenté en ligne.

 

Le public y verra notamment trois longs métrages documentaires primés de l’ONF :

Au chapitre de l’animation, Old Dog, le film de la cinéaste primée de la Colombie-Britannique Ann Marie Fleming (Window Horses/La vie en Rosie), sera présenté en première mondiale. Il accompagnera 4 North A, fruit d’une première collaboration entre la réalisatrice originaire de Terre-Neuve Jordan Canning et le cinéaste natif de Saskatoon Howie Shia, ainsi que Le mal du siècle, de l’animatrice et illustratrice québécoise Catherine Lepage.

Longs métrages documentaires

Wintopia, de Mira Burt-Wintonick

  • Wintopia tient à la fois de l’odyssée utopique et du rituel de deuil : une jeune cinéaste y retrace le parcours énigmatique de son défunt père, le réputé documentariste Peter Wintonick.
  • Wintopia a remporté le prix Colin-Low du meilleur documentaire canadien au Festival du film documentaire DOXA 2020.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/wintopia

Stateless (Apatrides), de Michèle Stephenson

  • À travers la campagne citoyenne d’une candidate aux élections, Rosa Iris, ce nouveau documentaire de la réalisatrice Michèle Stephenson révèle la profondeur de la haine raciale et de l’oppression institutionnalisée qui divisent Haïti et la République dominicaine.
  • Le film a remporté le Prix spécial du jury dans la catégorie du meilleur long métrage documentaire canadien à Hot Docs 2020, ainsi que le Prix du meilleur long métrage documentaire au BlackStar Film Festival 2020, à Philadelphie.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/apatrides

The Forbidden Reel (L’histoire interdite), d’Ariel Nasr

  • The Forbidden Reel présente l’histoire des artisans intrépides et visionnaires du cinéma afghan — lesquels ont donné naissance à un extraordinaire cinéma national en dépit de la guerre et du chaos — et des films que nous avons bien failli ne jamais voir.
  • Le film a remporté le Prix du public Rogers à Hot Docs 2020.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/lhistoire-interdite

 

Courts métrages d’animation

PREMIÈRE MONDIALE Old Dog (Vieux chien), d’Ann Marie Fleming

  • Depuis la mort de sa meilleure copine, Henri le vieux carlin dépend de l’aide de son maître. L’expérience des aidants du monde entier a inspiré à la cinéaste Ann Marie Fleming cette ode au vieillissement remplie de tendresse.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/vieux-chien

4 North A (4 Nord A), de Jordan Canning et Howie Shia

  • Dans une chambre d’hôpital, une femme est assise au chevet de son père mourant. Alors que le vacarme de cet univers aseptisé la pousse à affronter sa perte inévitable, elle s’évade dans des souvenirs d’enfance.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/4-nord-a

 

Le mal du siècle, de Catherine Lepage

  • Une jeune femme tente de se décrire sous un jour idyllique, mais la narration visuelle raconte une tout autre histoire : elle illustre avec une force poignante la charge anxiogène que porte cette hyperperformante.
  • Le film a reçu le Prix du public et la Mention spéciale du jury – Compétition canadienne aux Sommets du cinéma d’animation à Montréal.

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Les RIDM sur La Fabrique culturelle – 5 courts métrages à visionner

Du 14 au 28 septembre 2020, redécouvrez cinq courts métrages documentaire à l’approche sensible et humaine de la 22e édition des RIDM sur La Fabrique culturelle

Vers des champs inconnus de Charles Duquet (Soirée de la relève Radio-Canada)
Liliane décide de déménager en résidence afin de prendre soin de son mari, dont l’esprit s’égare de plus en plus. Un voyage touchant dans les contrées imprévisibles de la vieillesse.
→ REGARDEZ LE FILM ICI

Terres fantômes de Félix Lamarche
Une approche expérimentale aux accents fantomatiques et atemporels donne corps aux témoignages d’un épisode déconcertant et méconnu de l’histoire territoriale gaspésienne.
→ REGARDEZ LE FILM ICI

Les petits trophées d’Isabelle Grignon-Francke (Soirée de la relève Radio-Canada)
Le portrait sensible de Marie et Gabriel, dans la vingtaine et trisomiques. Chaque jour a son lot de défis comme de victoires pour ces jeunes adultes qui ont des rêves bien à eux.
→ REGARDEZ LE FILM ICI

One sea, 10 seas de Nour Ouayda
Un récit original à trois voix qui réfléchit, rétrospectivement, à la captation d’un paysage de bord de mer à Beyrouth. Images, sons et textes dialoguent pour mieux saisir les fulgurances du cinéma.

→ REGARDEZ LE FILM ICI

No Crying at the Dinner Table de Carol Nguyen (Soirée de la relève Radio-Canada)
La caméra sur la table de la cuisine, la cinéaste fait parler son père, sa mère et sa sœur. Les souvenirs, les regrets et les confidences émergent peu à peu avec pudeur et délicatesse.
→ REGARDEZ LE FILM ICI

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FCVQ 2020 – Votre programme du 16 septembre 2020!

Programmation du 16 septembre 2020 du FCVQ 2020

UN APERÇU DE LA JOURNÉE DANS TOUTES LES SALLES VIRTUELLES

LA BUVETTE
SUR LE FILM D’OUVERTURE NADIA, BUTTERFLY
16 SEPTEMBRE DÈS 18h30 • TOUTES LES SALLES, SAUF DESJARDINS |  BILLETERIE


Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission quotidienne La Buvette du FCVQ, enregistrée depuis le Diamant, sera diffusée tous les soirs dès 18h30 sur plusieurs chaînes en simultané ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont dans la programmation du Festival !

Ce soir, Marième reçoit le réalisateur de Nadia, Butterfly Pascal Plante et Katerine Savard, qui tient le rôle principal de Nadia Beaudry dans le film, également nageuse de haut niveau. Une Buvette à saveur locale, où il sera question des parcours respectifs de nos invités originaires de Québec, et de cette année folle, entre une sélection à Cannes 2020 pour le film et le report à 2021 des JO de Tokyo.

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SALLE QUÉBECOR

NADIA, BUTTERFLY DE PASCAL PLANTE
16 SEPTEMBRE DÈS 19h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETERIE

Nadia, 23 ans, prend la décision controversée de se retirer de la natation professionnelle après les Jeux olympiques; afin de fuir une vie de sacrifice. Après sa dernière course, Nadia dérape dans les nuits d’excès, mais cet étourdissement transitoire ne peut toutefois pas occulter sa réelle quête intérieure: définir son identité en dehors du monde du sport de haut niveau.

Précédé du court métrage Imelda 2 : Le notaire de Martin Villeneuve

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RESIDUE DE MERAWI GERIMA
16 SEPTEMBRE DÈS 21h30 • SALLE QUÉBECOR  | BILLETERIE

Quand Jay arrive chez lui, il trouve son quartier à peine reconnaissable à cause de l’embourgeoisement. Demetrius, son meilleur ami d’enfance, est porté disparu, mais aucun des noirs restants ne fait suffisamment confiance à Jay pour lui fournir des réponses. La frustration de Jay s’aggrave alors qu’il se retrouve également aliéné dans la ville, attaqué de tous les côtés. Jay rend visite à son dernier ami Dion en prison, mais se sent impuissant et furieux. Une dernière confrontation fortuite lui fait succomber aux mêmes forces que ses amis.

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SALLE RESTOS PLAISIRS

PERCY DE CLARK JOHNSON
16 SEPTEMBRE DÈS 19h • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETERIE

Peut-on breveter un organisme vivant ?
D’après une histoire vraie, Percy est le récit de la bataille, une décennie durant, d’un cultivateur indépendant de canola contre une multinationale monolithique, Monsanto. Accusé de cultiver sans autorisation les organismes génétiquement modifiés (OGM) de Monsanto et acculé au risque de perdre son exploitation, le septuagénaire Percy Schmeiser (Christopher Walken) décide de porter l’affaire devant les plus hauts tribunaux du pays, et défie le droit de propriété sur le vivant que s’est arrogé la firme.

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NO CORAÇÃO DO MUNDO 
DE GABRIEL MARTINS ALVES ET MAURÍLIO MARTINS
16 SEPTEMBRE 21H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETERIE

Dona Sônia a emprunté une arme à feu à son voisin Alcides, pour venger son fils Joca, qui a été tué par Beto, qui est le frère de Miro, qui est l’amant de Rose, qui est l’ami de Selma, qui travaille avec Marcos, qui est le petit ami d’Ana, qui veut quitter Contagem et avoir une vie meilleure dans le coeur du monde.

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SALLE HYDRO-QUÉBEC

MORRER COMO UM HOMEM DE JOÃO PEDRO RODRIGUES
16 SEPTEMBRE 19H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETERIE

Tonia, une trans vétérane des spectacles de travestis à Lisbonne, voit s’effondrer le monde qui l’entoure : son statut de star est menacé par la concurrence des jeunes artistes.
Pressée par son jeune copain Rosário d’assumer l’identité de femme et de se soumettre à l’opération qui la fera changer de sexe, Tonia lutte contre ses convictions religieuses les plus intimes.
Pour s’éloigner de tous ses problèmes, elle part à la campagne avec Rosário. Après s’être égarés, ils se retrouvent dans une forêt enchantée, un monde magique où ils rencontrent l’énigmatique Maria Bakker et sa copine Paula. Et cette rencontre va tout faire basculer…

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TRANSFORM’HER : COURTS MÉTRAGES,
FUCK THE CIS-TEM D’ALEXIS LANGLOIS
16 SEPTEMBRE 21H30 • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETERIE

  • Fanfreluches et idées noires
  • De la terreur, mes soeurs!
  • À ton âge le chagrin c’est vite passé

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SALLE DESJARDINS – GRATUITE

ACCESSIBLE SEULEMENT LE 19 ET 20 SEPTEMBRE PROCHAIN

POUR ACCÉDER AUX SALLES VIRTUELLES, CONNECTEZ-VOUS ICI

CINÉPASSES EN VENTE ICI

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« FOUND ME » de David Findlay au FCVQ

Visionnements au FCVQ du court métrage « FOUND ME » de David Findlay

17 septembre 2020 / 16h30 / Salle Hydro-Québec (virtuel) et,

19 septembre 2020 / 19h / Salle Desjardins (virtuel) 

Le dernier court métrage de David Findlay, FOUND ME a été présenté le 11 septembre dernier au prestigieux Festival international de films de Toronto (TIFF) dans le programme Short Cuts. Les cinéphiles de Québec pourront également le visionner lors des scéances virtuelles dans le cadre du Festival de Cinéma de la Ville de Québec (FCVQ) cette semaine, le 17 septembre à 16h30 (salle Hydro-Québec) et le 19 septembre à 19h (salle Desjardins).

https://www.fcvq.ca/programmation/film/found-me

FOUND ME a également été choisi en compétition officielle au Festival de films de Sitges en Espagne, qui se déroulera du 8 au 18 octobre 2020. Réalisé et scénarisé par David Findlay, FOUND ME met en vedette Michel Poudrier (musicien et artiste interdisciplinaire) et Nahéma Ricci (Antigone).

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Synopsis

Dans la pénombre arctique de l’hiver québécois, la vie de Mitch prend un tournant après avoir fait la découverte du monde underground de la lutte. [/box]

Visionnez la bande annonce ICI

« Dans un portrait intime d’un type tout à fait « normal », je voulais transmettre le besoin de chaque personne de se réaliser – aussi grand, petit, normal ou bizarre que puisse être son désir d’expression de soi. » de mentionner le réalisateur David Findlay

À propos du réalisateur David Findlay

Gagnant du prix d’argent du nouveau réalisateur de l’année aux Shots Awards 2020, David Findlay est un réalisateur diplômé en Arts de l’Université de la Colombie-Britannique, originaire de la ville de Québec. Après avoir grandi dans sa ville natale, David poursuit ses études universitaires à l’université de la Colombie-Britannique à Vancouver en cinéma. Pendant ses études, il produit plus de 10 court-métrages et en réalise quatre ; certains d’entre eux voyagent dans des festivals importants tels que Berlin, Varsovie, Dubai, Melbourne et le AFI Fest. Son travail se concentre sur l’étude sincère du comportement humain et est connu pour son chevauchement de la frontière entre fiction et documentaire via une lentille hautement cinématographique et emphatique. Après son premier long métrage Everything Outside (2019), mettant en vedette Louise Portal et Kati Outinen, et son nouveau court métrage Found me, présenté en première au TIFF, son premier documentaire Ndagukunda sera présenté au Festival International du Film de Reykjavik à la fin septembre.

À la production de FOUND ME, nous retrouvons Joaquin Cardoner et Livia Pizzamiglio Dion Céline (producteurs), Ceillier (productrice exécutive, maison de production Les Enfants), Neel Gupta et Ariel Ho Kjaer (co-producteurs), Farhad Ghaderi (chef opérateur), Elizabeth Cairns (directrice artistique), Alexander Farah (monteur) et Mitchell Allen (concepteur sonore). FOUND ME est produit en association avec La Raffinerie & Control Films.

Mettant en vedette
Michel Poudrier et Nahéma Ricci

Sélectionné
au Festival international de films de Toronto (TIFF)
au Festival de cinéma de la ville de Québec (FCVQ)
en Compétition officielle au Festival de Sitges (Espagne)

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Cinq œuvres de l’Office national du film du Canada en vedette au Festival international du film de Vancouver 2020 !

Cinq œuvres de l’Office national du film du Canada (ONF) en vedette au Festival international du film de Vancouver 2020 (VIFF)

The Magnitude of All Things, de la réputée cinéaste vancouvéroise Jennifer Abbott, sera présenté en première mondiale dans le cadre de BC Spotlight. À l’honneur également : une sélection de nouvelles œuvres documentaires ou d’animation primées.

Le Festival international du film de Vancouver (VIFF), qui se tiendra du 24 septembre au 7 octobre 2020, présentera en première mondiale The Magnitude of All Things (Cedar Island Films/Flying Eye Productions/ONF), le nouveau long métrage de la cinéaste vancouvéroise primée à Sundance Jennifer Abbott. Mais ce n’est pas tout : d’autres œuvres documentaires et d’animation produites ou coproduites par l’Office national du film du Canada seront aussi en vedette.

Deux longs métrages documentaires de l’ONF réalisés par des créatrices de renom seront présentés en première britanno-colombienne :

  • Inconvenient Indian, de Michelle Latimer, cinéaste, productrice, écrivaine et militante aux origines algonquines, métisses et françaises ;
  • John Ware Reclaimed, de la cinéaste, autrice et dramaturge originaire de Calgary Cheryl Foggo, dont la caméra filme fréquemment la réalité des Noirs au Canada.

Le Festival proposera aussi deux courts métrages d’animation de l’ONF :

  •  Le mal du siècle, de l’illustratrice et animatrice québécoise Catherine Lepage ;
  • Le fabuleux calendrier, de Meky Ottawa, originaire de la Nation atikamekw du Québec. Ce film a été produit dans le cadre du stage de formation Hothouse de l’ONF.

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Première mondiale — BC Spotlight

The Magnitude of All Things, de Jennifer Abbott

  • Lorsque le cancer emporte sa sœur, Jennifer Abbott, guidée par son chagrin, prend conscience de l’ampleur du dérèglement climatique. The Magnitude of All Things établit des relations étroites entre divers aspects du deuil — aussi bien personnel que planétaire.
  • Aux récits des manifestations du changement climatique observées en première ligne dans le nord du Canada, en Australie, en Équateur, en Suède et en Angleterre s’amalgament les souvenirs d’enfance qu’évoque pour la cinéaste la région de la baie Georgienne, en Ontario. Qu’ont en commun ces histoires ? Eh bien, tout, étonnamment !
  • Établie en Colombie-Britannique, Jennifer Abbott se consacre depuis 25 ans à la création de films portant sur les enjeux pressants de nature sociale, politique et environnementale. Elle a notamment coréalisé The Corporation, primé à Sundance en 2003. Cette année, elle est également de retour au VIFF pour la présentation du film The New Corporation: The Unfortunately Necessary Sequel, dont elle signe la coréalisation avec Joel Bakan.

The Magnitude of All Things est produit par Andrew Williamson et Henrik Meyer pour Cedar Island Films. Shirley Vercruysse en assure la production et la production exécutive pour le Studio de la Colombie-Britannique et du Yukon de l’ONF. Produit avec la participation du Fonds TELUS, ainsi que de Téléfilm Canada et du Groupe de Fonds Rogers, dans le cadre du Programme pour le long métrage documentaire.

Synopsis, biographies, images (en anglais seulement) : mediaspace.nfb.ca/the-magnitude-of-all-things

 

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Première britanno-colombienne — True North

John Ware Reclaimed, de Cheryl Foggo

  • John Ware Reclaimed accompagne Cheryl Foggo dans la quête qu’elle poursuit afin de revoir la mythologie entourant John Ware, le cowboy noir qui s’est établi en Alberta à la fin du 19e siècle. Les recherches de la cinéaste mettent au jour le profil possible de cette personnalité emblématique et le sens que revêt son héritage au regard du racisme qui s’exerçait — et s’exerce toujours — contre les Noirs.
  • Champion du monde de rodéo à huit reprises, Fred Whitfield incarne John Ware dans le film. Celui-ci comporte également des entretiens, notamment avec l’auteur Lawrence Hill, le chercheur Bertrand Bickersteth et l’historien David Breen, filmés dans des lieux clés de la vie de Ware.
  • Le film contient des chansons inédites de l’auteur-compositeur country lauréat d’un prix Juno Corb Lund, ainsi que de Miranda Martini, laquelle a créé certaines de ces compositions alors qu’elle étudiait à l’Université de la Colombie-Britannique.

John Ware Reclaimed est produit pour l’ONF en Alberta par Bonnie Thompson et David Christensen ; David Christensen en assure aussi la production exécutive.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/john-ware-reclaimed

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Première britanno-colombienne — Special Presentation

Inconvenient Indian, de Michelle Latimer

  • En cette période de changements décisifs et de réexamens essentiels, Inconvenient Indian donne vie au livre à succès de Thomas King, déboulonnant les récits coloniaux d’Amérique du Nord et recadrant l’histoire.
  • Le film de Michelle Latimer est un percutant poème ancré dans la terre et amplifié par les voix de ceux et celles qui perpétuent la tradition de la résistance autochtone : artistes militants, protecteurs du territoire, chasseurs et chefs de file de la revitalisation culturelle.

Inconvenient Indian est produit par Stuart Henderson (90th Parallel Productions), Justine Pimlott (ONF) et Jesse Wente. Gordon Henderson (90th Parallel Productions) et Anita Lee (ONF) en assurent la production exécutive.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/inconvenient-indian

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Courts métrages

 

Le mal du siècle, de Catherine Lepage

  • Une jeune femme tente de se décrire sous un jour idyllique, mais la narration visuelle raconte une tout autre histoire : elle illustre avec une force poignante la charge anxiogène que porte cette hyperperformante.
  • Le film a reçu le Prix du public et la Mention spéciale du jury – Compétition canadienne aux Sommets du cinéma d’animation à Montréal, et a fait partie de la sélection officielle dans la section Generation 14plus à la Berlinale 2020.

Le mal du siècle est produit pour l’ONF par Marc Bertrand ; Julie Roy en assure la production exécutive.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/mal

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Le fabuleux calendrier, de Meky Ottawa

  • Ce film aux tons fluos porte sur l’ingéniosité qu’il nous faut parfois déployer afin de contourner les obligations sociales pour prioriser notre espace intime.
  • À l’occasion de sa 12e édition, le stage de formation Hothouse de l’ONF destiné aux animatrices et animateurs émergents a fait équipe avec imagineNATIVE, ainsi qu’avec les productrices associées Amanda Strong et Amanda Roy, pour contribuer à mettre fin à la sous-représentation des créatrices et créateurs autochtones dans le secteur du cinéma d’animation. 

Le fabuleux calendrier est produit pour l’ONF par Maral Mohammadian et Jelena Popović ; Michael Fukushima en assure la production exécutive. Produit en partenariat avec imagineNATIVE.

Synopsis, biographies, images : espacemedia.onf.ca/fabuleux

 

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