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Sept nouveaux courts métrages de l’ONF sur la COVID-19 présentés en première en ligne dans La courbe

Sept nouveaux courts métrages de l’ONF sur la COVID-19 présentés en première en ligne dans La courbe dès le 13 octobre 2020

Dès le 13 octobre, sept nouveaux courts métrages qu’ont réalisés des créateurs et créatrices de l’Office national du film du Canada seront mis en ligne dans La courbe, la destination de l’ONF proposant des histoires de distanciation sociale qui nous rapprochent.

Ces nouvelles œuvres portent sur les thèmes D’où je viens et Plans d’ensemble et gros plans.

La courbe, c’est le pouls d’un pays, qui bat au rythme de ses variations. Ce sont des créateurs et créatrices d’ici qui proposent un point de vue très personnel sur la façon dont la COVID-19 est venue toucher et changer notre quotidien. La courbe est une destination en ligne où ces expériences s’illustrent sous la forme d’animations, de documentaires ou de récits numériques.

La courbe est une production des studios de langue française et de langue anglaise de l’ONF à l’échelle du pays.

D’où je viens

D’où je viens nous présente quatre jeunes cinéastes qui défient les représentations stéréotypées de leurs communautés tout en s’aventurant sur le sol inconnu d’une urgence sanitaire mondiale dans ces œuvres produites par le Studio de l’Ontario à Toronto.

  • Nbisiing (5 min), de Cole Forrest

Craignant de ne plus revoir sa communauté, Cole Forrest quitte son lieu de résidence actuel, Toronto, pour revenir à North Bay. Durant son séjour, il affronte ses peurs et renoue avec ses ancêtres. Nbi signifie « eau », et en ces temps de pandémie, c’est vers le lac, les remèdes naturels, les baies et la terre qu’il se tourne pour obtenir du réconfort. Produit par Justine Pimlott.

Cinéaste ojibwé établi à Toronto, Cole Forrest est originaire de la Première Nation Nipissing. Nadine Pequeneza, qui doit sa renommée aux documentaires incisifs sur la justice sociale qu’elle signe à titre de scénariste, de réalisatrice et de productrice, lui a servi de mentore pour la réalisation de ce projet.

  • Retour à l’école (6 min), d’Olivia Coombs

À Brampton, en Ontario, Olivia enregistre les faits et gestes de son petit frère Nicolas (15 ans) et de sa petite sœur Natalie (11 ans), alors qu’ils attendent l’annonce des politiques provinciales de « retour en classe » pour l’année scolaire à venir. Le film donne un aperçu du quotidien d’une des nombreuses familles qui peuplent les banlieues du Grand Toronto. Produit par Lea Marin.

Olivia Coombs, surnommée Ollie, est une personne biraciale de genre queer à laquelle la réputée cinéaste, scénariste et militante Min Sook Lee a servi de mentore pour la création de ce projet.

  • Je suis gai (10 min), d’Ajahnis Charley

Après avoir travaillé à l’étranger pendant cinq ans, le cinéaste Ajahnis Charley rentre chez lui à Oshawa, en Ontario, en période d’isolement. Il revient pour retrouver sa famille et s’est donné pour mission de lui faire certaines révélations très personnelles. Un récit teinté d’humour, mais non moins déchirant sur ce besoin que nous avons de chercher l’amour et l’acceptation auprès de notre famille. Produit par Lea Marin.

Spécialiste de la géomatique, Ajahnis Charley a également écrit et présenté de nombreux spectacles de sketchs humoristiques. La cinéaste engagée Alison Duke, lauréate du prix Crystal de WIFT, lui a servi de mentore pour la réalisation de ce projet.

  • As-tu mangé ? (5 min), de Lina Li

Vivant au centre-ville de Toronto où elle étudie, Lina Li revient vers le confort du foyer et la cuisine de sa mère, à Thornhill. Dans ce film empreint de sincérité, la cinéaste et sa mère ont une conversation intime sur l’immigration au Canada, les incompréhensions, les obstacles à la communication, l’amour et le goût du chez-soi. Produit par Justine Pimlott.

Lina Li est une conteuse torontoise actuellement membre du comité de programmation du Festival international du film Reel Asian de Toronto. La documentariste primée Aeyliya Husain lui a servi de mentore pour la réalisation de ce projet.

Plans d’ensemble et gros plans

Réunissant des œuvres produites par le Studio du Nord-Ouest à Edmonton et le Studio de la C.-B. et du Yukon à Vancouver, Plans d’ensemble et gros plans nous présente des voix distinctes qui s’expriment depuis différents points de la carte de la COVID-19 et nous aident à mieux comprendre la pandémie.

  • Jia (10 min), de Weiye Su

Un jeune couple sino-canadien rend visite à sa famille à Wuhan, épicentre du virus, au moment même où la pandémie est déclarée. Interviewant les protagonistes de son film en respectant les nouvelles consignes de distanciation sociale, Weiye Su explore le concept culturellement marqué qu’est le jia — une idée qui évoque la famille ou le chez-soi, et qui revêt une nouvelle signification bien précise. Produit par Jon Montes.

Le réalisateur sino-canadien Weiye Su étudie le cinéma à l’Université de Regina. Gone, Gone, Gone with The Winn’s, un film qu’il réalise dans le cadre de ses études, lui vaut un franc succès. Au nombre de ses œuvres, citons My World Is No Longer the World I Knew, en sélection officielle au festival Antimatter [Media Art] 2019, et Evelyn and I, qui fait référence à la réalisatrice avant-gardiste de l’ONF Evelyn Spice Cherry.

  • Pandémie – À l’autre bout du monde (13 min), d’Allan Code

La pandémie de COVID-19 fait vibrer une corde douloureusement familière chez les Inuvialuits du delta du fleuve Mackenzie. Au début du 19e siècle, John Franklin et son équipe ont transmis la variole, maladie mortelle, à leurs ancêtres. D’autres épidémies dévastatrices suivront. L’historien Randal Pokiak retourne sur l’ancien site de Kitigaaruk, une communauté abandonnée après la grande épidémie de grippe de 1918, pour livrer un récit saisissant et révélateur. Produit par Allan Code (NahHO! Productions) et Shirley Vercruysse.

Le cinéaste Allan Code habite le nord du Canada depuis 1971. À titre de directeur général de NahHO! Productions, il produit des œuvres — courts métrages, longs métrages ou documentaires — qui reflètent les connaissances traditionnelles, la science, l’histoire naturelle et les récits du Nord en toute indépendance, authenticité et intégrité.

  • Very Present (6 min), de Conor McNally

Comment le confinement prolongé façonne-t-il notre expérience du temps ? Le cinéaste Conor McNally explore la question en compagnie de son frère Riley, un jeune homme qui apprend à composer avec une réalité nouvelle, pourtant étrangement familière. Produit par Coty Savard.

Membre de la Nation métisse de l’Alberta, le cinéaste et photographe Conor McNally vit dans la communauté amiskwaciy (Edmonton, Traité no 6). Il a jusqu’à présent réalisé de nombreux courts métrages, dont le plus récent, Iikaakiimaat, est paru en 2019.

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Suivez #TheCurveNFB #LaCourbeONF pour vous renseigner sur les créateurs et créatrices de La courbe et obtenir des nouvelles et des aperçus des œuvres à venir.

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Les RPCÉ au #FNC2020

Compétition nationale de courts métrages étudiants 

Gratuit et en ligne du 7 au 31 octobre 2020

Depuis 2014, le Festival du nouveau cinéma (FNC) poursuit sa volonté de rendre accessible et de soutenir le cinéma émergent avec les Rencontres pancanadiennes du cinéma étudiant (RPCÉ). Cette compétition nationale de courts métrages étudiants offre aux représentante.s de chaque école la possibilité d’échanger et de se rencontrer à travers un programme d’ateliers, de conférences et d’activités de réseautage qui créent des ponts avec l’industrie. Présenté par Netflix en collaboration avec l’INIS les RPCÉ sont conçus à la fois comme lieu de discussion et de réflexion, mais également à l’image du Festival, comme un lieu festif et convivial de découvertes!

Seize écoles canadiennes et une école internationale prennent part à la compétition, dont L’Inis, école hôte de l’événement. Cette année, nous sommes fiers d’accueillir l’école de cinéma et de télévision (ECYTV) de l’Université nationale de Colombie comme école internationale invitée. L’ECYTV est la plus vieille école de cinéma au pays. Fondée en 1988, elle axe son travail sur la pratique, l’enseignement et le travail académique du langage audiovisuel.

Retrouvez gratuitement ici l’intégralité des courts métrages RPCÉ

LES COURTS MÉTRAGES EN COMPÉTITION

Sleeping with the Fishes, de Jordan Dakota Beck Crouse

Pour leur 7e édition, les RCPÉ, dont le Grand Prix est présenté par Netflix, vous présentent 4 programmes de courts métrages, de quoi prendre le pouls de la jeune création de demain.Y sont rassemblés les talents d’étudiants des 4 coins du Canada, de l’école internationale invitée, l’ECYTV et comme chaque année, les RPCÉ s’associent à l’INIS en présentant 3 films de l’école Montréalaise.

Le médiateur de Philippe Besner
Le Froid de Natalia Duguay
Ève et Fatima de Julie Redon
Retrouvez le Programme 3 RPCÉ INIS ici

Le médiateur, de Philippe Besner

ÉCOLE INTERNATIONALE INVITÉE :
FESTIVAL EQUINOXIO (ECYTV), COLOMBIE

À chaque édition, les RPCÉ favorisent les discussions et les rencontres grâce à la venue d’une prestigieuse école internationale de cinéma, pour comprendre les différents enjeux de la production cinématographique mondiale.

No lo encuentro de Mariana Jiménez

Cette année, le FNC s’associe à l’école de cinéma et de télévision (ECYTV) de l’Université nationale de Colombie, la plus vieille école de cinéma colombienne. Fondée en 1988, elle axe son travail sur la pratique, l’enseignement et le travail académique du langage audiovisuel. L’ECYTV propose un programme complet sur le partage des compétences nécessaires à ses étudiants afin de créer des films expérimentaux, des fictions, des documentaires et des émissions de télévision, utilisant à la fois les approches traditionnelles et les techniques associées aux nouveaux médias. Les trois courts-métrages présentés par L’ECYTV sont aussi disponibles gratuitement, en ligne, au programme RPCE 4.

Umbral de Juan Francisco Rodríguez
Manacillo de Nicolás Garcés
No lo encuentro de Mariana Jiménez
Retrouvez le Programme 4 RPCÉ Festival Equinoxio (ECYTV) ici

UNE GRANDE VARIÉTÉ D’ACTIVITÉS ET DE RENCONTRES AUX RCPÉ
GRATUIT – SUR INVITATION

Présenté par Netflix – En collaboration avec l’INIS

Des ateliers interactifs, des cours de cinéma, des classes de maîtres, et des opportunités de réseautage sont mis en place pour faciliter les échanges formels et informels entre les étudiants et les représentants des écoles. Tous les participants ont un accès illimité aux projections et activités du festival et sont intégrés aux activités réservées aux cinéastes de courts métrages en compétition au FNC.

LUNDI 12 OCTOBRE 2020

10h. Bienvenue aux RPCÉ sur ZOOM
Vidéoconférence avec les réalisateurs·trices en compétition : présentation des réalisateurs·trices, des films et des écoles

MARDI 13 OCTOBRE 2020

10h. PANEL : LA DISTRIBUTION DE COURTS MÉTRAGES
Apprenez-en plus sur le métier de distributeur ainsi que sur la façon de bien cerner les différents types de festivals pour la sortie de vos films.

INVITÉS
Serge Abiaad, directeur général et cofondateur de La Distributrice de films.
Jean-Christophe J. Lamontagne, président et cofondateur chez H264 Agrégation et Distribution.
Jason Todd, directeur de la distribution chez H264 Agrégation et Distribution

13h. Q&A : PROGRAMME COMPÉTITION RPCÉ 1
Les réalisateurs·trices de la compétition 1 brisent la glace et seront en discussion avec la responsable et programmatrice des RPCÉ, Émilie Poirier. Venez poser des questions à vos collègues en compétition!

15h. ATELIER : L’ART DU PITCH
Présenté par L’Inis
Cet atelier permet de comprendre l’importance de bien présenter son projet à des partenaires potentiels et aborde un ensemble de stratégies pratiques permettant à un argumentaire de se démarquer et de faire une différence dans l’avancement du projet.

INVITÉS
Christine Falco, productrice et formatrice à L’inis.

MERCREDI 14 OCTOBRE 2020

10h. DIRECTION D’ACTEURS AVEC SOPHIE DUPUIS
Discussion avec la réalisatrice Sophie Dupuis sur la direction d’acteurs et sur son importance dans son approche du cinéma de fiction.

INVITÉS
Sophie Dupuis, réalisatrice et scénariste.

13h. Q&A : PROGRAMME COMPÉTITION RPCÉ 2
Les réalisateurs·trices de la compétition 2 seront en discussion avec la responsable et programmatrice des RPCÉ, Émilie Poirier. Venez poser des questions à vos collègues en compétition !

16h. C’EST LA FIN ! – ZOOM DE CLÔTURE
Une dernière vidéoconférence avant la remise de prix afin de faire le bilan des RPCÉ 2020.

20h. REMISE DE PRIX – COURTS MÉTRAGES
Dédié au milieu du court métrage et aux RPCÉ, cet événement récompense les meilleurs courts métrages en compétition à la 49e édition du FNC. Exceptionnellement diffusée en Facebook Live, la remise de prix sera aussi festive et inspirante que les années précédentes. Retrouvez l’événement ici.

JEUDI 15 OCTOBRE 2020

14h. FNC FORUM. SPEED MEETING : RÉALISATRICES DE LA RELÈVE
En collaboration avec FCTMN
Rencontres virtuelles entre de jeunes réalisatrices de la relève et des professionnelles de l’industrie. Cette activité facilite le réseautage entre femmes et donne la possibilité aux nouvelles cinéastes de mieux appréhender leur travail et leur création.

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Kino Montréal – Projection Mensuelle d’octobre 2020

La tradition des projections mensuelles de Kino Montréal reprend enfin en octobre 2020 !

FLASHBACK KINO : Kabaret SPASM

C’est ainsi que nous lançons notre nouvelle série virtuelle : FLASHBACK KINO ! Chaque mois, nous célébrerons un événement des cinq dernières années en y sélectionnant des courts métrages coups de coeur. Et bien sûr qu’il y a un nouveau DÉFI (voir plus bas) ! Pour ce premier Flashback Kino, qui sera en ouverture du Festival SPASM, nous puisons dans les trois dernières éditions du Kabaret SPASM !

Le Kino Kabaret SPASM est un laboratoire de création de courts métrages qui offrait à chaque année à une dizaine de cinéastes la chance de plonger dans l’univers sans limite du cinéma de genre, et ce, dans le genre de leur choix, que ce soit le fantastique, la science-fiction, le film d’horreur ou d’un hybride tout droit sorti de leur imagination. C’est 35 courts métrages qui ont été réalisés depuis son édition de 2017 !

La projection mensuelle d’octobre sera présentée EN DIRECT sur notre page facebook le jeudi 29 octobre à 20h et marquera l’ouverture de la mini-édition virtuelle du Festival SPASM. Préparez-vous à revoir les frissons, sauts, rires et horreur de ces productions !

Dévoilement des courts métrages à l’affiche sous peu !

Événement Facebook

Esprits, fantômes, exorcisme, ovni, démons… Choisissez votre phénomène inexpliqué préféré et… donnez-nous des spasmes de frayeurs !
Ouvert à TOUT LE MONDE.

THÈME : Paranormal
DURÉE : 2 minutes et moins (générique inclus)
FORMAT : H264, MP4, Prores 422
DATE LIMITE : 27 octobre 2020 – 23h59

Envoyez vos films via kino.wetransfer.com

AVERTISSEMENT : Faites très attention à la musique et les images que vous mettez dans vos films. Facebook peut couper notre diffusion en direct lorsqu’il y repère des extraits sonores ou des images (vidéo, gif…) pour lesquels nous n’avons pas les droits.

Il est primordial de toujours tourner en respectant les consignes de la santé publique pour éviter la propagation de la COVID-19. On vous invite à consulter le guide de normes sanitaires en milieu de travail pour le secteur de la production audiovisuelle pour un tournage en toute sécurité.

Nouveau groupe de partage !

Kino Montréal a maintenant deux groupes Facebook pour sa communauté de kinoïtes :

Réseau Kino Montréal – APPEL

Pour les appels d’entraide comme la recherche de membres d’une équipe, un appel de casting, etc.

Réseau Kino Montréal – PARTAGE

Nouveau
Pour le partage de contenu tel que vos démos, de nouvelles créations, offres de service, etc.

Allez y jeter un coup d’oeil !

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ONF@FNC en ligne au Canada : Cinq productions et coproductions d’œuvres audacieuses qui repoussent les limites du récit grâce aux nouvelles technologies !

Cinq productions et coproductions de l’ONF au FNC 2020 : poursuivre l’innovation

Des œuvres audacieuses qui repoussent les limites du récit grâce aux nouvelles technologies

Cinq productions et coproductions de l’Office national du film du Canada ont été sélectionnées au Festival du nouveau cinéma (FNC) à Montréal, qui se déroulera en ligne du 7 au 31 octobre 2020 et sera accessible de partout au Canada. Créées par des artistes au talent exceptionnel, ces œuvres sont maintenant offertes au public canadien après avoir été présentées et remarquées dans plusieurs festivals internationaux prestigieux : Agence de Pietro Gagliano, The Book of Distance (Le livre de la distance) de Randall Okita et Le bourreau chez lui – RV de Michelle et Uri Kranot, en compétition dans la section FNC Explore, accessible du 7 au 18 octobre ; le court métrage d’animation Altötting d’Andreas Hykade, en compétition dans la section Les nouveaux alchimistes ; sans oublier la performance Motto Live de Vincent Morisset et du studio AATOAA, un événement à ne pas manquer.

Le FNC accueillera en outre une classe de maître virtuelle des artistes Michelle et Uri Kranot.

 

L’ONF au FNC 2020

FNC Explore – compétition Horizon

Ces trois œuvres ont été sélectionnées au prestigieux Festival international du film de Venise et ont fait partie de la sélection Venice VR Expanded au Centre Phi en septembre dernier à Montréal. Le FNC donne ainsi une autre occasion de découvrir ces productions remarquables, qui seront accessibles gratuitement sur la plateforme Viveport partout dans le monde du 7 au 18 octobre.

 

 

  • Agence de Pietro Gagliano

Une coproduction de Transitional Forms et de l’ONF

  • Agence remet entre vos mains le destin de créatures dotées d’une intelligence artificielle. Les aiderez-vous à poursuivre leur paisible existence, ou les plongerez-vous au contraire en plein chaos ? Ce film dynamique qui allie le récit cinématographique et l’intelligence artificielle à l’interactivité avec l’utilisateur n’est jamais le même.
  • L’œuvre a connu sa première mondiale à Venise.
  • En plus d’être accessible au FNC, Agence est aussi offert dès maintenant sur toutes les plateformes : RV, PC et mobiles.

 

  • The Book of Distance (Le livre de la distance) de Randall Okita

Une production de l’ONF

  • En 1935, Yonezo Okita quitte Hiroshima et commence une nouvelle vie au Canada. Puis, la guerre et le racisme cautionné par l’État viennent tout changer. Trois générations plus tard, son petit-fils nous convie à un pèlerinage interactif virtuel à la recherche d’un passé perdu.
  • En plus d’être accessible au FNC en français (avec la voix de Marc-André Grondin) et en anglais (avec la voix de Colm Feore), l’œuvre sera offerte gratuitement à compter du 8 octobre sur les principales plateformes de distribution d’applications de réalité virtuelle (Steam, Oculus, Viveport).
  • The Book of Distance obtient un franc succès et a été présenté à Venise à la suite de sa projection en première mondiale au Festival du film de Sundance et de ses invitations subséquentes à Tribeca Immersive, Cannes XR, Hot Docs et SIGGRAPH.

 

  • Le bourreau chez lui – RV de Michelle et Uri Kranot

Une coproduction entre Late Love Production (Danemark), Floréal Films (France), Miyu Productions (France) et l’ONF

  • À quoi le bourreau pense-t-il quand il rentre chez lui après sa longue journée de travail ? Inspirée du célèbre poème de Carl Sandburg The Hangman at Home (1922), cette expérience immersive en RV destinée à un utilisateur unique explore l’intimité gênante associée au fait d’être humain et le lien entre spectateur, témoin et complice.
  • L’expérience immersive en RV pour un utilisateur est accessible au FNC en français (avec la voix d’Anne Dorval), en anglais et en danois.
  • L’œuvre a tout récemment reçu le Grand Prix du jury pour la meilleure œuvre immersive en RV à la 77e Mostra de Venise, où elle a fait sa première mondiale.
  • Michelle et Uri Kranot offriront également au FNC une classe de maître virtuelle le 17 octobre à 10 h (HAE). Les œuvres multimédias de ces grandes figures du cinéma unissent l’animation et les nouvelles technologies pour créer des expériences contemporaines et se caractérisent souvent par leur sensibilité poétique et leurs récits fragmentés qui explorent le passé et le présent, la réalité et la fiction.

FNC Explore – événement diffusé en direct

 

Une performance produite par AATOAA et inspirée de l’expérience interactive Motto.io, créée par Vincent Morisset, Sean Michaels, Édouard Lanctôt-Benoit et Caroline Robert, développée par AATOAA et produite par l’ONF.

  • L’événement spécial sera diffusé le 15 octobre à 16 h en direct du studio de Vincent Morisset et de quelques rues de La Petite-Patrie à Montréal, en français. La narration sera assurée par la comédienne Marie Brassard et l’auteur Sean Michaels, et Philippe Lambert fera la musique en direct.
  • La performance est gratuite, mais les réservations sont requises.
  • Extraordinaire aventure interactive composée de milliers de petites vidéos, Motto.io raconte le parcours millénaire d’un sympathique esprit nommé Septembre. Une œuvre à mi-chemin entre une histoire de fantôme et une chasse au trésor, entre le documentaire et la fiction.
  • Motto Live a été présenté pour la première fois au festival Electric Dreams en Europe.

Compétition Les nouveaux alchimistes

 

  • Altötting d’Andreas Hykade (11 min)

Coproduit par le Studio Film Bilder, l’ONF et Ciclope Filmes

  • « Vous savez, quand j’étais petit, je suis tombé amoureux de la Vierge Marie. C’est arrivé dans une petite ville bavaroise appelée Altötting. » Envoûtant et profondément personnel, Altötting est le récit d’un passage à l’âge adulte marqué par l’amour, la foi, la mortalité et les illusions brisées, signé par l’animateur allemand réputé Andreas Hykade.
  • Le court métrage d’animation a connu sa première mondiale au Festival international du film d’animation d’Annecy et a été sélectionné un peu partout dans le monde, notamment au Festival international d’animation d’Ottawa.

 

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49e FNC : célébrons le cinéma et la création ensemble

49e Festival du nouveau cinéma (FNC) : célébrons le cinéma et la création ensemble

En ligne du 7 au 31 octobre 2020 à travers le Canada

Suite à l’obligation soudaine d’annuler les rendez-vous en salle de sa 49e édition, conformément aux normes de santé publique en vigueur, le Festival du nouveau cinéma de Montréal se déploiera exceptionnellement et exclusivement en ligne, du 7 au 31 octobre prochain et sera accessible pour tous à travers le Canada. 

Fidèle à son mandat, avec une programmation à la fois forte et audacieuse, composée de près de 200 oeuvres toutes sections confondues, dont plus de 50 longs métrages, le Festival permettra au public de découvrir en primeur des titres phares et attendus mais aussi de nouveaux auteurs du cinéma actuel ainsi que des œuvres de réalité virtuelle. De grands événements spéciaux seront également offerts gratuitement en ligne aux festivaliers. 

 

 

 

 

 

 

 

 

“Dès le printemps dernier, nous avons pris la décision de maintenir notre 49e édition sous une forme hybride, en ligne et en salle. Je nous félicite aujourd’hui de ce choix judicieux qui nous permet d’offrir aux cinéphiles, partout à travers le pays, une édition remplie de découvertes et de films attendus comme le veut la tradition au FNC. Toute notre équipe a fait un travail remarquable afin de livrer une programmation de haut calibre et de grande qualité. Je remercie tous les distributeurs et tous les partenaires qui nous ont renouvelé leur confiance et qui nous permettent, du 7 au 31 octobre, de célébrer le cinéma… de nous évader et de continuer à rêver!” déclare Nicolas Girard Deltruc, directeur général du Festival du nouveau cinéma

Compétition internationale : Louve d’or présentée par Québecor

Ayant pour mission de faire découvrir les voix émergentes du paysage cinématographique mondial, cette section phare du festival met en lumière le regard singulier des cinéastes qui façonneront le nouveau cinéma de demain. Parmi les 10 films en lice pour la Louve d’or, plusieurs titres se sont illustrés dans le circuit des festivals internationaux au cours de la dernière année : ATLANTIS, Valentyn Vasyanovych (Ukraine); BAD ROADS, Natalya Vorozhbit (Ukraine); THE CLOUD IN HER ROOM, Zheng Lu Xinyuan (Chine, Hong Kong); DESTERRO, Maria Clara Escobar (Brésil, Portugal, Argentine); ÊXTASE, Moara Passoni (Brésil, États-Unis); KILL IT AND LEAVE THIS TOWN, Marius Wilczynski (Pologne); SERVANTS, Ivan Ostrochovsky (Slovaquie, Roumanie, République Tchèque, Irlande); THE SHEPHERDESS AND THE SEVEN SONGS, Pushpendra Singh (Inde); THIS IS NOT A BURIAL, IT’S A RESURRECTION, Lemohang Jeremiah Mosese (Lesotho, Italie, Afrique du Sud); TOPSIDE, Logan George et Celine Held (États-Unis).

 

Compétition nationale

« La fermeture des salles et le report de nombreuses sorties de films québécois ont malheureusement bouleversé le calendrier et la sélection annoncée. Bien que réduite par les circonstances, la Compétition nationale ne s’enorgueillit pas moins d’oeuvres fortes et hautement originales, totalement ancrées dans les plus importants combats ou ouvertes vers la liberté pure. » de préciser Zoé Protat, directrice de la programmation du Festival du nouveau cinéma 

Les festivaliers pourront donc découvrir en ligne et en primeur: IL N’Y A PAS DE FAUX MÉTIER, Olivier Godin (Québec/Canada); SIN LA HABANA, Kaveh Nabatian (Québec/Canada, Cuba); VIOLATION, Dusty Mancinelli et Madeleine Sims-Fewer (Ontario/Canada); JUDY VERSUS CAPITALISM, Mike Hoolboom (Ontario/Canada).

Les Incontournables

Les plus grands noms du cinéma mondial sont traditionnellement réunis au sein de cette section. 2020 ne fera pas exception ici! Les spectateurs pourront découvrir: CONFERENCE, Ivan Tverdovskiy (Russie, Estonie, Royaume-Uni, Italie); THERE IS NO EVIL, Mohammad Rasoulof (Iran, Allemagne, République-Tchèque), Ours d’or de la Berlinale; UNDINE, Christian Petzold (Allemagne, France), prix d’interprétation féminine à la Berlinale pour Paula Beer; UPPERCASE PRINT, Radu Jude (Roumanie); le documentaire WIM WENDERS, DESPERADO, Campino et Eric Friedler (Allemagne).

Temps Ø

Parmi les films qui composent la sélection de Temps Ø, le public pourra, comme chaque année, voir plusieurs longs métrages d’avant-garde. Parmi les surprises de la sélection, les spectateurs pourront notamment découvrir la comédie antiraciste TOUT SIMPLEMENT NOIR, de Jean-Pascal Zadi et John Wax qui a reçu un bel accueil en France lors de sa sortie. Le film met notamment en vedette le rappeur JoeyStarr, Mathieu Kassovitz et Éric Judor. Également au programme : SIBERIA de Abel Ferrara (Italie, Allemagne, Mexique); THE BOOK OF VISION, Carlo S. Hintermann (Italie, Royaume-Uni, Belgique); CAUGHT IN THE NET, Vít Klusák et Barbora Chalupova (République-Tchèque, Slovaquie); SHELL AND JOINT, Isamu Hirabayashi (Japon), THALASSO et L’ENLÈVEMENT DE MICHEL HOUELLEBECQ, Guillaume Nicloux (France); RED POST ON ESCHER STREET, Sion Sono (Japon); THE TREMOR, Balaji Vembu Chelli (Inde); POISSONSEXE, Olivier Babinet (France) mettant en vedette India Hair ainsi que la version entièrement restaurée de OUT OF THE BLUE de Dennis Hopper. 

Notons que les titres de la sélection sont éligibles au Prix du public.

Les nouveaux alchimistes

Issus d’artistes provenant de disciplines variées, les films qui composent cette sélection se démarquent par leur traitement peu conventionnel. La section, dédiée à l’exploration formelle, aux nouvelles approches et au cinéma expérimental, présentera 8 longs métrages audacieux dont le projet monumental DAU. NATASHA, Ilya Khrzhanovsky et Jekaterina Oertel (Allemagne, Ukraine, Royaume-Uni, Russie); KHAMSIN, Grégoire Orio et Grégoire Couvert (France, Liban); LAST AND FIRST MEN, Jóhann Jóhannsson (Islande); LÚA VERMELLA, Lois Patiño (Espagne); MAGGIE’S FARM, James Benning (États-Unis); NIGHT HAS COME, Peter Van Goethem (Belgique); THE REPUBLICS, Huw Wahl (Royaume-Uni); TO THE MOON, Tadhg O’Sullivan (Irlande).

Panorama international

Cette section fait la part belle aux destins singuliers tout en révélant l’état du monde actuel. Du Brésil au Vietnam en passant par l’Argentine et la Grèce, le public pourra découvrir des œuvres aux accents engagés qui proposent des expériences subjectives uniques et des points de vue qui bousculent les idées reçues. Parmi les 11 longs métrages que les festivaliers pourront voir en vidéo sur demande notons : A YELLOW ANIMAL, Felipe Bragança (Brésil, Portugal, Mozambique); APPLES, Christos Nikou (Grèce, Pologne, Slovénie); COCOON, Leonie Krippendorff (Allemagne); DROWSY CITY, Dung Luong Dinh (Vietnam); LA HIJA DE UN LADRÓN, Belén Funes (Espagne); MAMÁ, MAMÁ, MAMÁ, Sol Berruezo Pichon-Rivière (Argentine); MOVING ON, Yoon Dan-Bi (Corée du Sud); OASIS, Ivan Ikic (Serbie,Slovénie, Pays-Bas, France); SI C’ÉTAIT DE L’AMOUR, Patric Chiha (France); SISTERS WITH TRANSISTORS, Lisa Rovner (Royaume-Uni); WISDOM TOOTH, Liang Ming (Chine).

 

Présentations spéciales et évènements

Initialement prévu en salle et en clôture du Festival, le dernier long-métrage de Philippe Falardeau, grand habitué du FNC, clôturera symboliquement cette édition spéciale le 17 octobre prochain avec MY SALINGER YEAR qui sera exceptionnellement disponible en ligne pendant 24h pour l’occasion. Présenté en ouverture de la dernière Berlinale, le film met en vedette Sigourney Weaver, Margaret Qualley, Douglas Booth, Colm Feore et Théodore Pellerin. 

Autre grand attendu de cette édition: SAINT-NARCISSE nouvelle réalisation de Bruce LaBruce, présentée à la Mostra de Venise plus tôt cette année. L’enfant terrible du cinéma queer canadien promet encore une fois de surprendre les festivaliers.

 

Les Rendez-vous #Cinémad’ici présentés par Québecor

Pour souligner les 50 ans de la crise d’Octobre, Québecor, partenaire présentateur du FNC, offrira, en collaboration avec Éléphant : mémoire du cinéma québécois, les versions restaurées de deux œuvres marquantes retraçant les événements survenus en octobre 1970 : LES ORDRES de Michel Brault, le vendredi 16 octobre, et OCTOBRE de Pierre Falardeau, le samedi 10 octobre. Les Rendez-vous #Cinémad’ici présentés par Québecor seront accessibles gratuitement en ligne durant 24h.

Soirée du cinéma pour la paix – Spécial Wapikoni

Dans le cadre de cette 49e édition, l’organisme présentera un programme de courts métrages créés lors d’escales internationales du Wapikoni mobile, dans le respect de leur méthodologie unique qui encourage la souveraineté narrative des communautés autochtones par la création cinématographique. Le programme de courts métrages sera disponible en vidéo sur demande mais pour vivre l’expérience complète, la Soirée du cinéma pour la paix – Spécial Wapikoni se déroulera le jeudi 15 octobre à 19h. Suite au programme de courts métrages, une discussion en direct permettra d’approfondir la réflexion avec des intervenants de plusieurs pays. La discussion sera retransmise en ligne et en direct sur Facebook et YouTube. Cet événement est présenté par BNP Paribas et le Wapikoni mobile, en collaboration avec le Réseau pour la paix et l’harmonie sociale, dans le cadre de la clôture des Journées de la paix 2020.

Courts-métrages

Avec plus de 88 courts métrages issus d’une trentaine de pays, la sélection fera la part belle aux cinéastes autant établi·e·s qu’émergent·e·s dont le travail s’est démarqué à l’international. Au programme, entre autres, FILIPIÑANA de Rafael Manuel Mendoza, récipiendaire de l’Ours d’argent à la Berlinale cette année; PLACES du lituanien Vytautas Katlus présenté à la Mostra de Venise; le Prix du meilleur court métrage à Locarno RED ANINSRI; OR, TIPTOEING ON THE STILL TREMBLING BERLIN WALL du thaïlandais Ratchapoom Boonbunchachoke ou, encore SUN DOG de Dorian Jespers, Prix du meilleur court métrage au Festival de Rotterdam. Mentionnons aussi le retour de cinéastes habitués du Festival tels que Marie Losier avec WHICH IS WITCH? ; Bertrand Mandico avec THE RETURN OF TRAGEDY ; Rainer Kohlberger et THERE MUST BE SOME KIND OF WAY OUT OF HERE, ou encore THE END OF SUFFERING (A PROPOSAL) de Jacqueline Lentzou à laquelle le FNC avait consacré une rétrospective en 2018 ; sans oublier THE UNSEEN RIVER du réalisateur vietnamien Phạm Ngọc Lân qui revient au Festival après y avoir remporté le Loup argenté en 2019.

Le public pourra également découvrir l’excellence de la programmation nationale dont le talent de ses cinéastes du Québec et du reste du Canada s’est démarqué au sein des festivals internationaux au cours de la dernière année. En voici quelques titres : ANISHKA de Vincent Toi, COMME UNE COMÈTE de Ariane Louis-Seize et POINT AND LINE TO PLANE de Sofia Bohdanowicz qui reviennent tout juste du TIFF, ainsi que BENJAMIN, BENNY, BEN de Paul Shkordoff (sélection Cannes 2020) et AUGUST 22, THIS YEAR de Graham Foy (Semaine de la Critique et NYFF).

La programmation complète des courts métrages est à découvrir ICI. 

Les P’tits Loups

Les enfants n’ont pas été oubliés cette année et une programmation leur sera également réservée ! Les P’tits Loups se déploient en ligne avec trois programmes de courts métrages accessibles à tous à travers le pays. Deux programmes s’adresseront aux enfants de 3 ans et plus tandis qu’un programme sera adapté pour les jeunes de 10 ans et plus. Notons que la programmation des courts métrages sera encore une fois en partie compétitive, et le Prix des P’tits loups sera décerné par un jury composé de jeunes cinéphiles de 8 à 12 ans.

Enfin, cette année, pour la première fois, la Grande Kermesse des P’tits Loups déplace son terrain de jeu en ligne, sur le groupe Facebook FNC P’tits Loups, du samedi 10 octobre à 9h jusqu’au dimanche 11 octobre à 17h : quatre ateliers gratuits avec les artistes Ian Langhor, Marianne Dubuc et Isabelle Guimond et les ateliers Namaste accompagneront un programme de courts métrages jeunesse gratuit le temps d’un weekend en famille.

Conférences, discussions et classes de maître

FNC Forum

Pour son édition 2020, le Forum s’adapte au contexte actuel et déploie sa programmation en ligne du 7 au 18 octobre. Au programme : activités de réseautage, conférences et ateliers avec différents spécialistes afin de favoriser les échanges entre professionnels. Le programme de FNC Forum est à découvrir ICI.

Classe de maître de Philippe Falardeau présentée par la DGC

Réalisateur et scénariste dont la réputation n’est plus à faire, nommé à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère avec Monsieur Lahzar, Philippe Falardeau tourne aussi aisément en français qu’en anglais et est aujourd’hui l’un des cinéastes québécois les plus reconnus et respectés dans le monde. À l’occasion de cette classe de maître modérée par le réalisateur et producteur Daniel Roby avec la participation du réalisateur Tristan Dubois, Philippe Falardeau se confiera sur sa carrière et partagera sa vision de l’industrie cinématographique actuelle, le tout en ligne le vendredi 16 octobre à 11h. Cette classe de maître est présentée par la Guilde canadienne des réalisateurs (DGC/GCR) dans le cadre des événements DGC Visionnaires.

Classe de maître de Michelle et Uri Kranot

Les artistes MICHELLE ET URI KRANOT, véritables sommités du cinéma d’animation, offriront une classe de maître en ligne le samedi 17 octobre à 10h. Leur approche transcende l’animation traditionnelle, fusionnant la peinture, le dessin et les nouvelles technologies dans des expériences contemporaines. Leur travail est souvent caractérisé par une sensibilité poétique et des récits fragmentés explorant le passé et le présent, les faits et la fiction. Le public pourra d’ailleurs apprécier toute la maîtrise de leur art dans l’œuvre LE BOURREAU CHEZ LUI – RV en compétition, tout juste couronné du Grand prix du jury pour la meilleure œuvre immersive VR de la 77ème Mostra de Venise.

 

FNC Explore présenté par Viveport de HTC Vive

Pour une 11e année, le public est invité à découvrir des contenus narratifs et immersifs aussi novateurs qu’emballants à travers cette section entièrement dédiée aux œuvres nouveaux médias. Au programme de cette plongée sensorielle : films interactifs, contenu immersif ainsi que deux catégories compétitives d’œuvres en réalité virtuelle. Cette année, toute la programmation de FNC EXPLORE sera accessible en ligne à travers tout le Canada via la plateforme Viveport de HTC Vive. La sélection complète est à découvrir ICI.

MOTTO LIVE

Présenté en première nord-américaine, MOTTO LIVE, une performance inspirée de l’expérience interactive Motto.io, sera diffusée en direct du studio de Vincent Morisset sur Youtube et dans quelques rues de la Petite-Patrie à Montréal. La narration sera assurée par la comédienne Marie Brassard et l’auteur Sean Michaels. Composé de milliers de petites vidéos, Motto.io oscille entre le documentaire et la fiction, tissant les images créées par chaque participant dans la trame émotive de son récit. Ni un livre ni un film, c’est une incroyable histoire de fantôme qui prend forme grâce à notre perception unique du monde. MOTTO LIVE est une production de AATOAA, basée sur l’œuvre Motto.io, créée par AATOAA et produite par l’ONF. Le jeudi 15 octobre à 16h. Événement gratuit sur réservation. Les réservations sont désormais ouvertes au lien suivant :

www.eventbrite.ca/e/billets-motto-live-122262750177 

Rencontres pancanadiennes du cinéma étudiant présentées par Netflix

Depuis 2014, le FNC poursuit sa volonté de rendre accessible et de soutenir le cinéma émergent avec les Rencontres pancanadiennes du cinéma étudiant (RPCE). Cette compétition nationale de courts métrages étudiants offre aux représentant·e·s de chaque école la possibilité d’échanger et de se rencontrer à travers un programme d’ateliers, de conférences et d’activités de réseautage créant des ponts avec l’industrie. Cette année, 16 écoles au Canada participeront à la compétition de courts métrages dont les programmes seront disponibles gratuitement en ligne. Dans le cadre de ces Rencontres présentées par Netflix en collaboration avec L’Inis, les étudiant(e)s et les représentant(e)s de chaque établissement auront la possibilité d’élargir leur réseau et d’échanger à travers de nombreux ateliers participatifs et tables rondes en ligne, auxquels participera aussi une école internationale invitée, la Universidad Nacional de Colombia affiliée au Festival Equinoxio (Colombie).

Prix et jurys

Comme à chaque année, pour célébrer et soutenir les cinéastes, le festival remettra plus de 100 000$ en bourse et prix en services. Rappelons que depuis l’an passé, le Festival fait désormais partie du circuit du prestigieux du  Prix de critique internationale de la FIPRESCI – Fédération Internationale de la Presse Cinématographique. Au FNC ce prix sera décerné à un premier long-métrage issu de la programmation, toutes sections confondues, par un jury composé de trois critiques de la FIPRESCI : Daniel Medeiros (critique et rédacteur en chef du blog 7Marte, Brésil), Jasmina Sepetavc (critique et programmatrice au Festival du film LGBT Slovène, Slovénie) et Victor Stiff (critique et rédacteur en chef du magazine web That Shelf, Toronto). 

Le jury de la compétition internationale, qui décernera la Louve d’or présenté par Québecor, le prix d’interprétation et le prix d’innovation Daniel Langlois est composé de l’actrice Pascale Bussières, de la chorégraphe Louise Lecavalier et du réalisateur Félix Dufour-Laperrière.

Le jury de la compétition nationale, qui attribuera le Grand Prix présenté par Post-Moderne et le Prix de la diffusion Québecor, sera composé de trois personnalités de l’industrie internationale : la dramaturge Evelyne de la Chenelière; le distributeur français Timothée Donay et la productrice polonaise primée aux Oscars Ewa Puszynska. Le jury Main Film de la compétition longs métrages Les nouveaux alchimistes sera composé de Karl Lemieux (réalisateur), Jacquelyn Mills (réalisatrice) et Erin Weisgerber (plasticienne). Ils remettront le Prix des nouveaux alchimistes présenté par Main Film.

Du côté des courts métrages, le jury de la Compétition internationale, qui remettra le Loup argenté présenté par TFO, sera composé de Carmine Pierre-Dufour, scénariste et réalisatrice; Deragh Campbell, cinéaste et actrice; et Odile Joannette, directrice générale du Wapikoni mobile. Le jury de la Compétition nationale, qui remettra le Grand Prix présenté par CineGround, sera composé de Mathieu Janssen, programmateur au Festival international Go Short de Nijmegen et collaborateur pour la présélection de Vienna Shorts; Sarah Schlüssel, coordinatrice de la Short Form Station de Berlinale Talent et membre du comité de sélection de la Berlinale Shorts; et la réalisatrice et productrice Mathilde Delaunay. Toujours pour la Compétition nationale, ce sera aux festivaliers de décerner le Prix du public présenté par SLA Location. Enfin, le jury de l’Association québécoise des critiques de cinéma (AQCC) remettra trois prix pour la compétition Les nouveaux alchimistes: le Prix Dada national présenté par Main Film et l’AQCC, le Prix Dada international et le prix de la meilleure animation présenté par TVPaint. 

Par ailleurs, le jury des Rencontres pancanadiennes du cinéma étudiant sera composé de Sophie Dupuis (Réalisatrice), Jean-Christophe J. Lamontagne (Directeur général de h264) et Carlos David Valendia Vargas (Responsable de la programmation du Festival Equinoxio en Colombie). Le jury remettra le Grand Prix présenté par Netflix.

Enfin, deux prix seront remis du côté de FNC Explore : le Prix Horizon et le Prix Panorama VR. Annick Blanc (Productrice chez Midi La Nuit), Charlotte Corchète (Programmatrice courts-métrages au Festival de Locarno), et Victoire Thevenin (Directrice générale du VR Arles Festival) composeront ce jury.

Tarifs et mise en vente des billets

Tous les billets sont désormais en vente. Notez qu’il n’y a aucune vente en personne cette année. La billetterie étant uniquement en ligne, via le site web du FNC ou directement sur la plateforme: online.nouveaucinema.ca

TARIF FILMS EN LIGNE – Billets en vente dès maintenant

Le FNC en ligne propose une formule flexible qui permet de louer un film puis de l’écouter au moment choisi entre le 7 octobre et le 31 octobre. Une fois un film débuté, le festivalier aura toutefois 30 heures pour en terminer le visionnement.

Billet individuel – long métrage : 10$ (taxes incluses)

Billet individuel – programme de courts métrages : 6$ (taxes incluses)

FORFAIT PAR SECTION

Un forfait par section inclut tous les films (en ligne) d’une même section

  • Dans un forfait long, chaque long métrage d’une même section est à 8 $
  • Dans le forfait court, chaque programme de courts métrages est à 5 $

TARIF PASSE FNC FORUM

Passe FNC FORUM (activités professionnelles) : 50$

TARIF FNC EXPLORE

Plateforme Viveport de HTC Vive : programmation presque entièrement gratuite

La 49e édition du Festival du nouveau cinéma de Montréal (FNC) aura lieu en ligne accessible à tous partout au Canada du 7 au 31 octobre. Dirigé par Nicolas Girard Deltruc, le FNC est présenté par Québecor et rendu possible grâce à l’aide financière de la SODEC, de Téléfilm Canada, de la Ville de Montréal, du Ministère du Tourisme, du Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, de Tourisme Montréal, du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts de Montréal, de Patrimoine canadien et du Fonds des médias du Canada. Le Festival remercie également ses partenaires privés et fournisseurs officiels ainsi que tous les distributeurs pour leur appui.

 

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RENDEZ-VOUS QUÉBEC CINÉMA vous transmet l’appel de films pour sa 39e édition

RENDEZ-VOUS QUÉBEC CINÉMA vous fait parvenir l’appel de films pour sa 39e édition

Les RENDEZ-VOUS QUÉBEC CINÉMA lancent un appel à tous les réalisateurs, producteurs et distributeurs québécois ou franco-canadiens pour son édition 2021. Festival entièrement dédié au cinéma québécois, les RVQC proposent le plus vaste éventail de genres et d’approches cinématographiques, rassemblant autant les œuvres de la relève que de nos cinéastes établis. Dans cette lignée, le festival accueille les œuvres de fiction, documentaires, d’animation, d’art et expérimentation et de productions étudiantes de langue française, anglaise, autochtone et/ou autres langues.

Les 39es RVQC auront lieu du 24 février au 6 mars 2021, dans une formule hybride en ligne et en salles, selon l’évolution de la situation. Ainsi, cette année, les publics des quatre coins du Québec pourront vivre les Rendez-vous au gré de sa riche programmation en ligne et de rencontres mémorables avec les artistes d’ici. Une opportunité intéressante d’élargir la portée des Rendez-vous et de votre travail et permettre à encore plus de festivaliers de profiter de ces 11 jours pour faire le plein de cinéma d’ici!

APPEL DE SOUMISSIONS | LONG ET COURT MÉTRAGE

DATE LIMITE D’INSCRIPTION → 1er novembre 2020
Les œuvres doivent avoir été produites ou sorties en salle entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020.

TARIF SPÉCIAL LÈVE-TÔT DU 30 SEPTEMBRE AU 14 OCTOBRE 2020 !
Grille tarifaire disponible ici.

COMPÉTITION LONG MÉTRAGE

Les RVQC offrent chaque année une vaste sélection de films, incluant une centaine de premières. Parmi les longs métrages de fictiond’une part et les longs métrages documentaires d’autre part, des sélections de premières et deuxièmes œuvres d’un•e réalisateur•trice seront éligibles aux prestigieux Prix Gilles-Carle et Pierre-et-Yolande-Perrault, tous deux assortis d’une bourse de 10 000 $ en argent.

COMPÉTITION COURT MÉTRAGE

Les RVQC proposent la plus grande vitrine de courts métrages québécois sous toutes ses formes. Parmi les films sélectionnés dans les sections Court métrage de fiction, Court métrage documentaire, Film étudiant, Art et expérimentation et Animation, jusqu’à une quarantaine de films seront choisis pour faire partie de la Compétition court métrage du festival. Visant à célébrer le talent de ces créateurs et artisans, la section Compétition verra un jury de professionnels récompenser les meilleurs courts métrages dans chaque catégorie.

Formulaire d’inscription et règlements 2021 | Films — disponibles ici.

The 2021 Films Registration Form and rules are available here.

Consultez la foire aux questions

Toutes questions relatives à la soumission des films peuvent également être acheminées à Gabrielle Pariseau, responsable | coordination de la programmation à programmation@quebeccinema.ca ou au 514 526-9635, poste 228.

Pour tout savoir sur la 39e édition des Rendez-vous Québec Cinéma : #RVQC

Facebook | Twitter | Instagram | Vimeo | YouTube | quebeccinema.ca

À PROPOS DE QUÉBEC CINÉMA

Québec Cinéma a pour mission d’assurer le rayonnement du cinéma québécois et de ses artistes par la promotion et l’éducation. La découvrabilité de notre cinématographie nationale et la sensibilisation des publics sont au cœur des préoccupations de l’organisme qui offre notamment plusieurs activités de sensibilisation et de médiation culturelle tout au long de l’année. Québec Cinéma est le producteur des quatre plus grandes vitrines pour le cinéma québécois, les Rendez-vous, la Tournée, le Lab et le Gala Québec Cinéma, rejoignant annuellement près de deux millions de personnes ici et ailleurs dans le monde.

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Wapikoni et le mouvement « Chaque enfant compte »

Wapikoni s’implique en grand cette année; joignez-vous au mouvement!

« Chaque enfant compte » : un mouvement social important.

Le Wapikoni est fier de s’associer au mouvement « Chaque enfant compte» et s’y impliquera de diverses façons cette année. Il invite d’ailleurs les organismes, les institutions scolaires et culturelles, les communautés autochtones, les entreprises et les citoyen.nes ainsi que les familles de partout au monde à s’y intéresser et à choisir d’adhérer à ce mouvement important, né en plein coeur des travaux de la Commission de vérité et de réconciliation en 2013.

« Chaque enfant compte », quel est ce mouvement?

Le mouvement a pour but de rendre hommage aux survivant.e.s des pensionnats indiens, à leurs familles et à leurs communautés. Lors de la « Journée du chandail orange », ayant lieu le 30 septembre de chaque année, tous et toutes sont invité.e.s à porter un chandail orange afin de soutenir le mouvement. La Journée est un héritage de l’événement de commémoration du pensionnat de la Mission Saint-Joseph tenu à Williams Lake, en Colombie-Britannique au printemps de 2013. C’était l’histoire de Phyllis Webstad, dont la nouvelle chemise orange avait été enlevée lors de son premier jour d’école à la mission, qui est devenue le symbole de la réconciliation en reconnaissance du tort que le système des pensionnats indiens a fait au sentiment d’estime de soi et de bien-être des enfants; et comme une affirmation de notre engagement à faire en sorte de s’assurer que tout le monde autour de nous compte.

« Chaque enfant compte », pourquoi y participer ?

Puisque la réconciliation passe nécessairement par l’éducation, plus nous serons nombreux à porter nos chandails orange, à comprendre pourquoi nous le faisons et à expliquer à notre entourage pourquoi ça nous importe, plus nous contribuerons à l’éducation de nos sociétés. D’ailleurs, c’est dans cet élan que le Wapikoni a fait produire et a offert gracieusement des t-shirts orange avec la mention du mouvement inscrit en français, en anglais et en espagnol pour l’édition 2020. Restez à l’affût des éditions suivantes où plusieurs langues autochtones seront mises à l’honneur !

Le Centre national pour la vérité et la réconciliation, gardien d’une collection réunissant près de 7000 déclarations et quelque 5 millions de dossiers sur les survivant.e.s des pensionnats, organise annuellement un événement spécial chaque 30 septembre. Se déroulant cette année en mode virtuel, l’événement permettra aux jeunes auditeurs d’apprendre directement des survivants des pensionnats, des aînés, des gardiens du savoir, des artistes et des dirigeants des Nations et des cultures de partout au pays. Les enseignant.e.s peuvent sélectionner les événements qu’ils souhaitent diffuser en direct à leurs élèves et télécharger des ressources éducatives gratuites. Wapikoni encourage les enseignant.e.s des niveaux scolaires allant de 5 e année du primaire à secondaire 5 à s’inscrire ici , aujourd’hui. Déjà, on compte près de 10 000 enseignant.e.s et plus de 320 000 étudiants qui ont confirmé leur participation !

 

Cette année, la formule d’un programme ‘’télévisuel en direct’’ sera offert en 2 blocs de 45 minutes. Dans ces deux programmes éducatifs, on a fait appel, entre autres, au Wapikoni pour la sélection de quelques extraits de courts métrages illustrant les propos de vérité et de réconciliation, films sélectionnés par deux commissaires du collectif Wapikoni, soit Jazmine Smith, de la nation cree, demeurant à Vancouver, et Christopher Grégoire-Gabriel, un artiste innu originaire de la communauté de Uashat mak Mani-utenam.

« Les films constituent des ressources de premier ordre pour soutenir tous les apprenantes et les apprenants. Ils offrent au personnel enseignant et aux élèves une occasion rare d’entendre des récits livrés dans les langues autochtones ainsi qu’en français et en anglais. » – Ry Moran, Directeur du Centre national pour la vérité et la réconciliation.

Des outils éducatifs et plus d’informations seront acheminés aux enseignant.e.s inscrit.e.s afin d’amorcer une préparation à la diffusion du programme. De plus, dans le cadre de cet événement, le Wapikoni lance officiellement son guide pédagogique destiné aux écoles et réalisé en collaboration avec la Commission canadienne pour l’UNESCO, un outil éducatif introduisant la diversité des cultures autochtones du Canada. Il le rendra accessible à tous les enseignantes et enseignants qui s’inscriront à l’événement.

« Nous sommes ravis d’avoir collaboré avec Wapikoni à l’élaboration de ce superbe guide pédagogique. Cet outil pertinent et nécessaire est une excellente introduction à la richesse des histoires et des cultures autochtones – trop longtemps ignorées par les programmes scolaires. L’école et l’éducation ont un rôle crucial à jouer pour faire avancer la réconciliation et amener la pleine reconnaissance des droits des Premières Nations, des Métis et des Inuits. » – Sébastien Goupil, Secrétaire général, Commission canadienne pour l’UNESCO.

Le Wapikoni et la CCUNESCO ont produit ce guide, en collaboration avec des partenaires autochtones et des enseignants et enseignantes du Réseau des écoles associées de l’UNESCO. Les enseignantes et enseignants pourront trouver de plus amples informations sur le contenu du guide pédagogique et sur la façon de l’utiliser en consultant le lien du blogue de la Commission canadienne pour l’UNESCO ou sur la page dédiée du site web du Wapikoni.

« Nous nous impliquons pour offrir la variété des points de vue présentés à travers les yeux de notre collectif de créatrices et créateurs, mais aussi pour faire connaître le mouvement et l’événement. Au Wapikoni, nous savons que les enfants d’hier nous guident encore par le partage de leurs savoirs, ceux d’aujourd’hui nous inspirent pour le leadership à venir et nous comprenons que nous avons la responsabilité de réfléchir les actions à mettre en place dès maintenant pour assurer la protection des enfants de demain. Nous voulons attirer l’attention sur ce mouvement, raconter notre histoire et parler de notre chemin de résistance et de résilience car il s’agit du seul parcours dans lequel pourra s’inscrire la réelle réconciliation. » – Odile Joannette, directrice générale du Wapikoni.

À propos du Wapikoni

Wapikoni est une organisation autochtone qui encourage la création artistique et l’excellence au service de la souveraineté narrative des nations. Notre mission est de promouvoir l’expression des talents créateurs autochtones via les courts métrages, la musique et les projets XR, à faire rayonner leurs oeuvres à travers le Canada et le monde entier, à offrir à notre collectif d’artistes un espace de développement personnel, artistique et professionnel où ils peuvent se rencontrer, s’inspirer, se reconnaître et se réaliser et à favoriser la création de ponts et de rencontres au service des transformations sociales et sociétales.

À propos du Centre national pour la vérité et la réconciliation

Le Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR) était créé afin de préserver le souvenir du régime des pensionnats indiens et son héritage. Non seulement pour quelques années, mais pour toujours. Ce Centre est la création de la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens , signée en 2007 par les représentants des anciens élèves des pensionnats, le gouvernement du Canada, les églises, l’Assemblée des Premières Nations et l’Inuit Tapiriit Kanatami.

À propos de la Commission canadienne pour l’UNESCO

La Commission canadienne pour l’UNESCO (CCUNESCO) est le lien entre les Canadiennes et Canadiens et le travail essentiel de l’UNESCO – l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture. Par l’entremise de ses réseaux et partenaires, elle assure la promotion des valeurs, priorités et programmes de l’UNESCO au Canada et fait entendre la voix des experts de la société civile à l’international. La CCUNESCO relève du Conseil des arts du Canada.

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Le 8e Festival de Films Au Contraire passe au numérique du 5 au 19 octobre 2020, durant la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales

Dans la plus pure tradition du Festival de Films Au Contraire : « Et maintenant, place à quelque chose de complètement différent ». Lumières! Caméra! Visionnement virtuel!

8e édition du FFAC, du 5 au 19 octobre 2020 prochain

Pour sa 8e édition annuelle, le Festival de Films Au Contraire (FFAC) est ravi de lancer une passionnante version en ligne et sur demande, qui se tiendra du 5 au 19 octobre 2020.

Cette année, l’édition spéciale numérique du FFAC, qui aura lieu durant la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, rejoindra le public de Montréal et des quatre coins du globe avec sa sélection de films unique offrant des points de vue singuliers sur les enjeux liés aux maladies mentales.

Grâce à la générosité de son commanditaire « Diamant », Lundbeck Canada, le FFAC 2020 sera accessible gratuitement au public, et proposera une programmation regroupant plus de 20 films provenant de 9 pays et sélectionnés par un jury parmi les 250 films soumis à l’échelle internationale.

« Cette année, la 8e édition du FFAC se tiendra entièrement en ligne, offrant ainsi au public de tous azimuts l’occasion de profiter de la magnifique programmation de films soigneusement sélectionnée par le jury. Le FFAC 2020, qui propose des œuvres du monde entier, est un rendez-vous international célébrant la crème du cinéma portant sur la santé mentale, explique Philip Silverbergfondateur du FFACLe devancement de la date d’ouverture du festival coïncide avec la Journée mondiale de la santé mentale et le début de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, ce qui nous ravit. »

Le FFAC 2020 se tiendra en ligne et sur demande : il suffit de créer un compte gratuit sur le site web du festival, puis d’ouvrir une session pour avoir accès au festival du bout des doigts!

PORTE-PAROLE

Animatrice à CBC et musicienne dotée d’un disque platine, de deux disques d’or, de deux prix Félix et de plusieurs nominations aux prix Junos, Florence K est enchantée de reprendre son rôle de porte-parole pour la 8e édition du FFAC.

« C’est avec grand plaisir que je serai porte-parole de l’édition 2020 du Festival de Films Au Contraire, car j’estime qu’il est crucial d’enrayer les tabous qui, malheureusement, pèsent encore sur la maladie mentale, explique Florence Kporte-parole du FFAC 2020Je me sens particulièrement interpelée par la mission du festival, puisque cet événement reconnaît le pouvoir de l’expression créative en tant qu’élément catalyseur de déstigmatisation et de mobilisation. Je vous invite donc chaleureusement à participer à la 8e édition annuelle du FFAC. »

Étudiante en psychologie et santé mentale et ambassadrice de Bell Cause pour la causeFlorence K a été reconnue en novembre 2017 par le CAMH (Center for Addiction and Mental Health de Toronto) comme étant l’une des 150 leaders canadiens en santé mentale. Après avoir lancé son livre à succès Buena Vida, dans lequel elle raconte sans détour un épisode dépressif majeur et son internement psychiatrique, Florence K donne aujourd’hui des conférences partout dans le pays où elle raconte à cœur ouvert sa propre histoire et offre sa perspective de la place de la santé mentale dans notre société actuelle.

PROGRAMMATION

La 8e édition du FFAC diffusera en continu sa programmation de films taillée sur mesure à travers les différents volets du festival :

LONGS MÉTRAGES

  • ALEXANDRE LE FOU, film canadien du réalisateur Pedro Pires, dépeint l’histoire d’un homme sensible et raffiné, souffrant de schizophrénie, à la croisée des chemins. Lauréat du Grand prix du jury – Meilleur long métrage documentaire au Festival international du documentaire de Moscou, et des prix Meilleur documentaireCinématographie d’exception et Meilleure réalisation d’un long métrage aux Istanbul Film Awards (IFA).
  • Les États-Unis sont représentés par PATIENT’S RITES, d’Issa Ibrahim, interné dans un asile pendant 18 ans. En puisant dans l’univers de la chanson populaire et dans les codes propres aux clips de musique, il a élaboré un documentaire musical autobiographique qui explore les clichés et les stéréotypes associés au milieu de la santé mentale tout en ouvrant le dialogue sur les idées préconçues qui alimentent les préjudices.
  • La Belgique nous offre PETIT SAMEDI, un film de Paloma Sermon-Daï qui plonge le spectateur au cœur de la relation complexe et déchirante entre une mère et son fils de 43 ans aux prises avec la dépendance.

COURTS MÉTRAGES

La programmation de courts métrages présente des perspectives très variées, tant réelles qu’imaginaires, y compris :

  • ABOLIR LES CALÈCHES… ET L’HUMAIN DANS TOUT ÇA?, film local de Vincent Laliberté, dresse un portrait de l’impact humain de la récente abolition des calèches tirées par des chevaux dans la ville de Montréal au sein de la communauté de cochers.
  • SOMETIMES I THINK ABOUT DYING, de Stefanie Abel Horowitz, examine avec une honnêteté rafraîchissante les thèmes de la dépression et de l’isolement social. Le film était en nomination pour le prix du Meilleur court métrage de fiction à la 92e cérémonie des Oscars.
  • La France est représentée par le court métrage musical de Lucie PlumetLA JEUNE FILLE ET SES TOCS, lauréat du Prix TV5 Monde.

ANIMATION

Entre autres courts métrages présentés dans le cadre de la série de films d’animation du FFACLE MAL DU SIÈCLE, fiction canadienne signée Catherine Lepage, met en scène les pensées et les inquiétudes d’une personne souffrant d’anxiété liée à l’hyperperformance et à la course au bonheur, tandis que ELI, du réalisateur new-yorkais Nate Milton, propose une autobiographie basée sur ses expériences dans les sphères de l’étrangeté absolue, de la pensée magique et de la folie des grandeurs.

ONCLE THOMAS – LA COMPTABILITÉ DES JOURS, produit par l’ONF et réalisé par Regina Pessoa, est un cri d’amour puissant envers son oncle, un homme marginal qui aura été déterminant dans la vie de la cinéaste, en plus d’avoir été son étincelle artistique. Son œuvre a été en lice pour l’oscar du Meilleur court métrage d’animation et est lauréate du Prix du jury du Festival international du film d’animation d’Annecy.

MINI-FESTIVAL – VARIATIONS SUR UN MÊME THÈME

Cinéma en classe redirige son programme de sensibilisation destiné aux jeunes et passe des écrans de cinéma aux projections scolaires dans les écoles et en ligne. Œuvre phare de la programmation 2020, UNSTUCK: AN OCD KID’S MOVIE, en anglais avec sous-titres français, plaira à toute la famille. Il met en vedette des enfants et des ados qui parlent en toute honnêteté de leur trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et explique comment ils ont appris à affronter leurs peurs et à reprendre le contrôle de leur vie.

Cinéma Clubhouse poursuit sa tradition et présente des films qui touchent ses adeptes. En 2020, sa portée s’étend et rayonne désormais dans plus de 300 groupes Clubhouse dans 29 pays.

Cinéma communautaire rejoint cette année encore le milieu de la santé mentale à Montréal, notamment par le biais du RACOR (Réseau Alternatif et Communautaire des Organismes) et de projections virtuelles interactives et thématiques, comme CE QUI NOUS LIE, un projet d’investissement en matière de démence dans les communautés, et propose des films divertissants qui mettent en lumière des thématiques dans le but d’éduquer les gens.

Cinéma corporatif offre à ses commanditaires et à ses donateurs des séances « Lunch and Learn » (midis découvertes) qui donnent un aperçu de l’univers de la maladie mentale et invitent à discuter des impacts des films.

L’ensemble de la programmation du 8e FFAC est disponible ici.
Les films sont présentés en français ou dans leurs versions originales avec sous-titres français.

PARTENAIRES

Paradis Urbain

Organisme de bienfaisance canadien enregistré, Paradis Urbain a pour mission de venir en aide aux personnes qui, en raison de leur maladie mentale, ont du mal à aller de l’avant et à reprendre leur vie. Reconnaissant le pouvoir de l’expression créative comme catalyseur qui inspire les citoyens montréalais à prendre de l’action, Paradis Urbain, à travers le FFAC, s’efforce d’appuyer des programmes de réhabilitation pour les personnes souffrant de maladie mentale, et de dissiper les stéréotypes en faisant la promotion de la justice sociale, de la diversité et des droits humains pour donner une voix à une communauté marginalisée.

Maison UP Donald Berman

Fondée en 2010, la Maison UP a pour mission de promouvoir une communauté d’entraide et de soutien entre pairs afin de mettre un terme à l’isolement social, de rebâtir la confiance, de donner un nouvel élan et un sens d’appartenance à des adultes vivant avec une maladie mentale sévère. La Maison UP a adopté le modèle Clubhouse de réhabilitation psychosociale et rétablissement, un programme complet et dynamique offrant soutien et opportunités aux personnes vivant avec une maladie mentale importante.

À PROPOS

À travers la caméra, le Festival de Films Au Contraire s’efforce d’irradier le stigmate et de dissiper les mythes qui entourent la santé mentale. Il vise à présenter des films dans le but de divertir et d’éduquer le public, et de redéfinir les perspectives entourant la santé mentale.

Le FFAC a ceci d’unique qu’il privilégie les films d’avant-garde, suscitant la réflexion, de partout dans le monde et qui explorent des enjeux pluridimensionnels en faisant appel à de multiples points de vue. Le FFAC va encore plus loin pour encourager le public à prendre conscience des perceptions entourant la maladie mentale en favorisant la participation et la discussion, et en organisant des tables rondes réunissant des participants à des films, des réalisateurs, des producteurs, des personnes recevant des soins en santé mentale et des professionnels de la santé mentale.

 

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Dévoilement des 88 courts métrages du FNC 2020

Le Festival du nouveau cinéma (FNC) dévoile les 88 courts métrages issus d’une trentaine de pays et des présentations en salle

Le Festival du nouveau cinéma (FNC) est heureux de dévoiler les courts métrages qui composeront la programmation de sa 49e édition évolutive qui se tiendra en salle du 7 au 18 octobre 2020 à Montréal et en ligne du 7 au 31 octobre 2020 partout au Canada. Avec plus de 88 courts métrages issus d’une trentaine de pays, la sélection fera la part belle aux cinéastes autant établi·e·s que émergent·e·s dont le travail s’est démarqué au cours des derniers mois dans le circuit festivalier. Le public pourra également découvrir en salle la programmation nationale au Cinéma Impérial en présence des équipes!

UNE SÉLECTION AUDACIEUSE

Feront partie de la programmation: de nombreux titres et cinéastes établi·e·s dont le travail s’est distingué cette année que ce soit lors de leurs passages au TIFF, Berlin, Venise, Sundance, Locarno ou encore en recevant le label Cannes 2020 et Semaine de la Critique.

Sun Dog de Dorian Jespers

Au programme, entre autres, FILIPIÑANA de Rafael Manuel Mendoza, récipiendaire de l’Ours d’argent à la Berlinale cette année; PLACES du lituanien Vytautas Katlus présenté à la Mostra de Venise; le Prix du meilleur court métrage à Locarno cette année RED ANINSRI; OR, TIPTOEING ON THE STILL TREMBLING BERLIN WALL du thaïlandais Ratchapoom Boonbunchachoke ou, encore, SUN DOG de Dorian Jespers, Prix du meilleur court métrage au Festival de Rotterdam.

Which is Witch de Marie Losier

Mentionnons aussi le retour de cinéastes habitués du Festival tels que Marie Losier avec WHICH IS WITCH? ; Bertrand Mandico avec THE RETURN OF TRAGEDY ; Rainer Kohlberger et THERE MUST BE SOME KIND OF WAY OUT OF HERE, ou encore THE END OF SUFFERING (A PROPOSAL) de Jacqueline Lentzou à laquelle le FNC a consacré une rétrospective en 2018 ; sans oublier THE UNSEEN RIVER du réalisateur vietnamien Phạm Ngọc Lân qui revient au Festival après avoir remporté le Loup argenté pour le meilleur court métrage de la compétition internationale au FNC en 2019.
PRÉSENTATIONS EN SALLES

Dans le cadre de cette édition toute particulière soulignons que les programmes de courts métrages nationaux de la Compétition nationale et de la Compétition Les nouveaux alchimistes, en plus d’être disponibles en ligne, seront également présentés au Cinéma Impérial, en présence des cinéastes et des équipes, dans le respect des consignes sanitaires en vigueur.

LES JURYS

Trois personnalités différentes composeront le jury de chacune des compétition. Les prix décernés seront remis en ligne via Facebook Live et Youtube Live le mercredi 14 octobre à 20h sur les réseaux sociaux du Festival.


Le jury de la Compétition internationale, qui remettra le Loup argenté (présenté par TFO), sera composé de Carmine Pierre-Dufour, scénariste et réalisatrice ; Deragh Campbell, cinéaste et actrice ; et Odile Joannette, directrice générale du Wapikoni mobile.


Le jury de la Compétition nationale, qui remettra le Grand Prix (présenté par CineGround), sera composé de Mathieu Janssen, programmateur au Festival international Go Short de Nijmegen et collaborateur pour la préselection de Vienna Shorts; Sarah Schlüssel, coordinatrice de la Short Form Station de Berlinale Talent et membre du comité de sélection de la Berlinale Shorts; et la réalisatrice et productrice, Mathilde Delaunay.

Toujours pour la Compétition nationale, ce sera aux festivaliers de décerner le Prix du public (présenté par SLA Location).


Enfin, le jury de l’Association québécoise des critiques de cinéma (AQCC) remettra trois prix pour la compétition Les nouveaux alchimistes : le Prix Dada national (présenté par Main Film et l’AQCC), le Prix Dada international et le prix de la meilleure animation (présenté par TVPaint). Ce dernier jury sera composé de trois journalistes et critiques de cinéma, tous membres de l’AQCC à savoir, Justine Smith (critique pour Hyperallergic, Roger Ebert et Little White Lies et programmatrice pour Fantasia) ; Claire Valade (critique pour Panorama-cinéma) et Julie Vaillancourt (journaliste pour Fugues et critique pour Séquences).

Comme une comète de Ariane Louis-Seize

La programmation offre une vitrine de choix aux talents nationaux s’étant démarqué·e·s au cours de la dernière année. ANISHKA de Vincent Toi, COMME UNE COMÈTE de Ariane Louis-Seize et POINT AND LINE TO PLANE de Sofia Bohdanowicz reviennent tout juste du TIFF tandis que BENJAMIN, BENNY, BEN de Paul Shkordoff a été labellisé Cannes 2020 et AUGUST 22, THIS YEAR de Graham Foy sélectionné à la Semaine de la Critique et au NYFF. Autres habitué·e·s du FNC, Marie-Ève Juste présentera COMME LA NEIGE AU PRINTEMPS et le prolifique Mike Hoolboom offrira deux courts, ZEN BASKETBALL et INSTRUCTIONS FOR ROBOTS en plus de son long métrage JUDY VERSUS CAPITALISM.

La 49e édition du Festival du nouveau cinéma aura lieu en salle, à Montréal du 7 au 18 octobre et en ligne partout à travers le pays. La programmation en ligne sera proposée dans une formule souple de vidéo à la demande et sera exceptionnellement disponible jusqu’au 31 octobre.

Tarifs et mise en vente de billets – Les billets pour les projections des programmes de courts métrages nationaux de la Compétition nationale et de la Compétition Les nouveaux alchimistes au Cinéma Impérial sont désormais en vente. Cette vente se fait uniquement en ligne sur le site du Festival à l’adresse suivante : https://nouveaucinema.ca/fr/billetterie-2020

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Un début d’automne généreux en nouveautés accessibles gratuitement sur ONF.ca

Un début d’automne généreux en nouveautés accessibles gratuitement sur ONF.ca

Voyez les plus récentes œuvres de la collection de projets La courbe, abordant la pandémie, des documentaires attendus comme Les Rose de Félix Rose et des courts métrages d’une grande sensibilité, en documentaire comme en animation

En cette fin de septembre et tout le mois d’octobre, de nombreuses nouveautés continueront d’être lancées sur ONF.ca. Cette sélection à voir gratuitement, issue des studios de l’ONF d’un bout à l’autre du pays, compte notamment les plus récentes œuvres de La courbe, une collection de projets des plus actuels abordant la pandémie ; des longs métrages documentaires suscitant l’engouement, comme Les Rose de Félix Rose ; ainsi que des courts métrages documentaires et d’animation tout en finesse, comme À ciel ouvert, portrait d’un pavillon à Venise de Katerine Giguère, Shannon Amen de Chris Dainty ou L’instant d’une vie de Samuel-A. Caron et France Gallant, lancés en lien avec des journées mondiales consacrées à leurs thèmes respectifs. Ces nouveautés toujours pertinentes, d’une grande humanité, viennent encore bonifier l’offre de plus de 4000 titres déjà accessibles sur ONF.ca, sans oublier la collection d’une centaine d’œuvres interactives, dont la presque totalité est offerte gratuitement en ligne.

 

Dès le 21 septembre 2020

La courbe, c’est le pouls d’un pays, qui bat au rythme de ses variations. Ce sont des créateurs et des créatrices d’ici qui, avec leur talent et leur sensibilité, amplifient la voix de Canadiens et de Canadiennes de partout au pays, touchés de près ou de loin par la COVID-19. La collection La courbe propose des récits, réunis par thématiques, sous forme de documentaires, d’animations et d’œuvres numériques qui seront accessibles graduellement au cours des prochains mois, suivant de près les développements actuels de la pandémie.

Seront lancés le 21 septembre :

Histoires de chevet animées pour rebelles en herbe dans le monde de l’après-COVID-19, qui présentent la vision de quatre éminents penseurs (Armine Yalnizyan, Munira Abukar, David Suzuki et Bruce Mau). Les films, d’une durée d’environ trois minutes chacun, sont produits par le Studio d’animation du Programme anglais.

Économie (Economics) de Philip Eddolls

Gouvernance (Governance) de Ho Che Anderson

Perceptions (Worldviews) de Malcolm Sutherland

Espace de vie (Cities) de Lillian Chan

 

Inspirants, révélateurs et follement imaginatifs, ces projets explorent les aspects physiques et affectifs de l’isolement en temps de pandémie.

Amour en quarantaine (Love in Quarantinede Millefiore Clarkes (Studio du Québec et de l’Atlantique)

À la maison (How to Be at Home) d’Andrea Dorfman (Studio du Québec et de l’Atlantique)

On se calme (Come to Your Senses) d’Alicia Eisen et Sophie Jarvis (Studio de la Colombie-Britannique et du Yukon)

Hier, aujourd’hui, demain (Yesterday, Today, Tomorrow) de Laura Cortes, Alexandra Hook, Mel Eshaghbeigi et Jam3 (Studio interactif du Programme anglais et Jam3) (En ligne dès le 23 septembre)

Suivez #TheCurveNFB #LaCourbeONF pour vous renseigner sur les créateurs et créatrices de La courbe et obtenir des nouvelles et des aperçus des œuvres à venir.

Dès le 27 septembre 2020

 

  • Les Rose de Félix Rose (2020, Babel Films/Studio documentaire du Programme français)

Long métrage documentaire (127 min 58 s)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/les-rose

En octobre 1970, des membres du Front de libération du Québec enlèvent le ministre Pierre Laporte, déclenchant une crise sans précédent au Québec. Cinquante ans plus tard, Félix Rose tente de comprendre ce qui a pu mener son père Paul et son oncle Jacques à commettre un tel acte, qui a abouti à la mort tragique de leur otage. Le film est toujours à l’affiche dans plus de 25 salles au Québec : evenements.onf.ca/en-salle

 

Dès le 28 septembre 2020

 

Long métrage documentaire (107 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/quest-ce-que-la-democratie/

À une époque de profonde crise politique et sociale, Qu’est-ce que la démocratie ? s’intéresse à un mot qu’on tient trop souvent pour acquis. Donnant la parole à diverses personnalités — éminents théoriciens, chirurgiens traumatologues, militants, ouvriers d’usine, demandeurs d’asile, anciens premiers ministres et autres —, le film fait le lien entre passé et présent, entre ce qui est d’ordre émotif, intellectuel, personnel et politique pour susciter la réflexion et inspirer.

Dès le 5 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale de l’architecture

Court métrage documentaire (25 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/a-ciel-ouvert

Depuis 1958, le pavillon du Canada à la prestigieuse Biennale de Venise accueille des artistes et des architectes contemporains canadiens ainsi que leurs œuvres. Le film est un portrait intimiste de ce bijou architectural, conçu par le célèbre Studio BBPR de Milan et récemment restauré, tout comme ses jardins, par le Musée des beaux-arts du Canada.

Dès le 10 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale de la santé mentale

  • Shannon Amen de Chris Dainty (2019, Studio d’animation du Programme anglais)

Court métrage d’animation (15 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/shannon-amen

S’appuyant sur les œuvres, les mots et la musique de Shannon Jamieson et réalisé par son ami Chris Dainty, Shannon Amen révèle les sentiments passionnés et parfois empreints de souffrance d’une jeune femme submergée par la culpabilité et l’anxiété, qui lutte pour concilier son identité sexuelle et sa foi religieuse. Le film est un véritable hommage qui reconstitue le mal de vivre de Shannon, qu’éprouvent certains jeunes LGBTQIA+ comme elle qui font face à la discrimination.

 

Dès le 15 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal

  • L’instant d’une vie de Samuel-A. Caron et France Gallant (2020, Productions Appalaches/Studio de la francophonie canadienne à Moncton)

Court métrage documentaire (20 min)

Dossier de presse (synopsis, biographies, images et générique) : espacemedia.onf.ca/linstant-dune-vie

Posant un regard éclairant sur le deuil périnatal, le film suit la démarche d’un groupe de parents endeuillés. Animés par leur désir d’apporter du réconfort aux mères et aux pères qui vivent cette expérience douloureuse, ils contribuent à briser l’isolement et l’incompréhension sociale.

Dès la semaine du 26 octobre 2020 – pour souligner la Journée mondiale du cinéma d’animation (28 octobre)

  • L’ONF propose la Semaine de l’animation, une programmation spéciale composée de nouvelles œuvres vibrantes et audacieuses d’animateurs et d’animatrices de partout au Canada.

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Entrevue de Laura Rohard, directrice de la programmation du FCVQ réalisée par Marc Lamothe

« L’obligation d’aller en ligne a été un enjeu majeur pour nous… De là est née notre volonté de recréer l’esprit d’un festival, de provoquer un sentiment de rassemblement et cette idée de rendez-vous… » 

Laura Rohard, nouvelle directrice de la programmation du FCVQ

Une entrevue réalisée par Marc Lamothe

Le Festival de cinéma de la ville de Québec accueille le Canada tout entier à sa dixième édition qui a commencé mercredi 15 et se poursuit jusqu’au 20 septembre.

 

Les festivaliers ont accès à une plateforme de quatre « salles » virtuelles, trois payantes et une gratuite. Outre les dix longs métrages de la compétition officielle, les participants auront droit à trois classes de maître, une nouveauté, des sections riches en découvertes et le partage de plusieurs contenus exclusifs.

En ce début de festival, on a eu envie de s’entretenir une trentaine de minutes avec Laura Rohard, la nouvelle directrice de la programmation qui a eu un baptême de feu tout à fait singulier, en réalisant son premier mandant en contexte de COVID-19 qui a fait migrer la manifestation cinématographique vers un festival de salles en ligne.

 

Le festival fête ses 10 ans dans des circonstances bien particulières. Que signifie pour vous ce passage et comment soulignerez-vous cette décennie ?

Laura Rohard — C’est un bien drôle de moment pour fêter son anniversaire. Dix ans, normalement, ça se prépare et ça se fête, mais on a choisi de ne pas trop insister sur l’anniversaire vu le contexte et le virage en ligne qu’il impose. C’est tout de même l’âge de raison pour un festival qui n’a cessé de grandir depuis 2011. Une décennie d’efforts pour remettre le cinéma à l’honneur dans la région de la Capitale-Nationale. Je pense à tous ces gens au fil des dix ans qui ont contribué à faire ce que nous sommes aujourd’hui. Particulièrement à Marie-Christine Laflamme, Olivier Bilodeau et Christopher Lemonnier qui ont fondé le FCVQ en 2011 et dont la vision nous guide encore.

 

 

 

Vous prenez la place d’Olivier Bilodeau, co-fondateur et directeur de la programmation jusqu’en 2019. Qu’avez-vous appris au contact d’Olivier et que reste-t-il de lui ou de son lègue dans la programmation de cette année ?

Laura Rohard — Le départ d’Olivier, c’est en effet une page qui se tourne. Dès mes premiers échanges avec Ian Gailer, on était tous deux d’accord pour continuer son œuvre et garder la même approche, un travail d’orfèvre sur la grille horaire, le maintien des sections, des regards sur les cinémas nationaux, des hommages, des rétrospectives, des cartes blanches et des sections bien définies. Nous poursuivons donc ce qu’il a admirablement réalisé et implanté. On a tous nos mentors, j’ai eu la chance de le côtoyer toutes ces années et il m’a beaucoup appris. Je suis arrivée en 2014. J’ai eu six belles années à ses côtés. J’espère porter son flambeau avec panache et enthousiasme.

 

À titre de directrice de la programmation, quels étaient vos objectifs en 2020, considérant entre autres la crise de la COVID-19 ?

Laura Rohard — À titre de directrice de la programmation, je suis à même de décider de certaines couleurs du moment ou du festival. J’ai à cœur de poursuivre le travail d’Olivier, mais je souhaite aussi insuffler un peu de moi-même et de mes goûts distincts dans cette continuation. Ça se fera en partageant un socle de principes et de valeurs que nous avons en commun, tout en espérant orienter certaines sections et changer certaines choses, tout en restant fidèle à l’esprit de curiosité et de cette volonté d’être un peu décapant parfois dans nos choix. On est pas mal dans la continuité de l’an dernier.

Un de mes grands objectifs était d’avoir plus de jeunes au festival. Je crois à l’éducation par l’image. Il faut aller vers les jeunes et inspirer leur appétit de films et d’images, de cultures et d’arts. La COVID nous empêche de créer les rencontres que je souhaitais cette année. Je voulais aussi laisser le plus d’espace possible au travail des femmes ; et cela tombait bien puisque les talents féminins étaient nombreux cette année. En fait, je désirais surtout continuer à programmer un festival généraliste, qui reflète bien l’équipe, mais surtout les goûts de notre ville.

L’obligation d’aller en ligne a été un enjeu majeur pour nous. Il a fallu convaincre les ayants droit et les distributeurs de notre solution. Certains ont choisi une approche « vidéo sur demande » alors que nous avons privilégié un mode de diffusion en direct, à des heures précises, dans des salles virtuelles avec une seule diffusion. Notre volonté était de recréer l’esprit d’un festival, provoquer un sentiment de rassemblement et cette idée de rendez-vous. Convaincre les distributeurs du bien-fondé de notre approche pour qu’ils acceptent de nous livrer les films que l’on voulait et pouvoir ainsi proposer une programmation cohérente, voilà qui résume bien mon mandat cette année.

 

La politique des premières dicte une partie des choix des festivals de films. Est-ce que la proximité des festivals comme le TIFF, le FNC ou Cinémania complexifie réellement votre travail au FCVQ ?

Laura Rohard — Non, pas trop. On deal avec, certes, ça vient avec l’industrie. On comprend qu’on est encore le petit dernier sur le plan canadien des festivals de films. La proximité augmente en effet la compétition pour certains titres, mais on a toujours su bien tirer notre épingle du jeu. C’est un nos défis en fait, d’aller chercher d’autres titres que ceux qui inspirent des festivals comme le FNC ou Cinémania. On a fait nos preuves avec sérieux et audace auprès de nombreux partenaires qui nous font maintenant confiance.

 

Festival en ligne versus en salle, est-ce qu’il a été plus difficile de boucler une programmation puisque certains grands distributeurs sont frileux à partager de grandes premières en ligne ?

Laura Rohard — Oui, effectivement, ça été sportif, car non seulement ça été ma première année à titre de directrice, mais elle devait se faire en ligne… Devenant ainsi pancanadien, cela a provoqué des questions de territoires avec certains ayants droit. Certains distributeurs nous ont carrément dit non en expliquant clairement pourquoi et nous respectons ces décisions d’affaires. Pour les vieux films, cela a été évidemment difficile. Finalement, je suis fière de notre programmation, même si elle a été un peu plus difficile à assembler tous les morceaux puisqu’il a fallu convaincre des gens pour chaque film et chaque choix.

Vous avez programmé de nombreux documentaires cette année, dont certains sont des portraits intimes. Votre coup de cœur documentaire va vers quelle personnalité ?

Laura Rohard — J’ai déjà beaucoup parlé de Joséphine Bacon dans d’autres entrevues ces derniers jours, c’est un de mes grands coups de cœur et j’ai si hâte de la rencontrer. C’est une dame d’une grande sagesse, d’une si belle luminosité et d’un tel appétit de la vie. Elle est inspirante. Je vais plutôt te parler de ce documentaire en compétition qui se veut un projet un peu fou fou, Africa Mia. Ça raconte la quête de Richard Minier qui est un compositeur, producteur, auteur et réalisateur de documentaire, qui décide un jour de partir à la recherche de musiciens Maliens qui ont eu un certain succès à La Havane et à Cuba en général dans les années 60. C’est en partie l’histoire de ces musiciens qui sont partis étudier la musique à Cuba et qui sont revenus éventuellement dans leur pays d’origine, mais le groupe s’y est rapidement désagrégé. Il est question de socialisme. Question de musique. Pendant 18 ans, ce producteur a cherché ces musiciens. Un seul est encore vivant. Quelqu’un de très connu et respecté en Afrique du Sud, Boncana Maiga. Mon coup de cœur documentaire va à ce personnage formidable.

J’aurai aussi aimé te parler de Petit Samedi, documentaire belge de Paloma Sermon-Daï sur un héroïnomane dans la trentaine qui vit encore chez sa maman. C’est un portrait mère-fils réalisé avec tendresse et humour et c’est sa demi-sœur qui filme, il me semble. C’est un peu dur, oui, mais c’est très beau. C’est fait avec tant de sobriété. Ce duo mère-fils m’a beaucoup touché.

 

Vous avez programmé de nombreux films de fiction cette année. Quel personnage de fiction t’as le plus marquée ou habitée ces derniers mois ? Et pourquoi ?

Laura Rohard — Personnage de fiction ? J’ai ici le goût de te nommer Jay, le personnage principal de Residue, le premier film de Merawi Gerima. Son film a été à SlamDance et la section alternative du Festival de Venise. J’ai eu un franc coup de cœur pour ce film coup de poing qui s’articule autour de ce Jay qui revient à Washington après des années. Il réalise que son quartier a beaucoup changé, qu’il s’est gentrifié alors qu’il tente de retrouver un ami d’enfance. Un film politique engagé. Mon coup de cœur personnage de fiction va à ce Jay.

 

Le FCVQ a entamé l’an dernier l’exploration d’images de la féminité. Parlez-nous de cette section et de ce qu’elle nous réserve cette année ?

Laura Rohard — La section Transform’her !  Il m’est difficile d’en parler, car celle-ci est programmée par Laurence Reymond, notre programmatrice à Paris. Elle traite du genre féminin à l’image à l’écran. Une programmation qui tourne autour de la transformation du genre féminin. C’est une section très importante et Laurence a écrit un texte magnifique que je t’invite à lire sur notre site pour mieux saisir le propos et la thématique.

« TRANSFORM’HER Comment le cinéma peut-il participer à la transformation et la réinvention du genre féminin ? »  https://www.fcvq.ca/transform-her

 

Howard Shore est un compositeur de musique de film, chef d’orchestre, orchestrateur et saxophoniste canadien. Parlez-nous un peu de ce choix et de ce qu’il faut attendre de ce grand entretien.

 

Laura Rohard — On commence une tradition qui se perpétuera, je l’espère, avec de grandes personnalités qui ne peuvent pas toujours se déplacer, mais qui peuvent apporter un rayonnement à notre festival et notre ville. Aller chercher des invités de prestiges de manière virtuelle et avoir une belle discussion avec eux, partager leur parcours et nous parler de qui ils sont. Jaser 60 minutes avec quelqu’un qui a un talent fou. C’est intéressant de parler de cinéma avec des gens qui ne sont pas nécessairement à l’avant ou à l’arrière. Des gens qui ont contribué au succès d’un film, mais dont le travail est en parallèle au tournage. Howard Shore était l’un de mes premiers choix. Ses collaborations parlent d’elles même. On parle de Cronenberg, Scorsese et Jackson pour ne nommer que ceux-là. C’est quelqu’un qui nous a dit oui tout de suite. Il avait ce double bagage cinéma et musique qui me plaisait. C’est Catherine Pogonat qui animera l’entretien. C’est un des bons coups du festival cette année.

 

L’édition 2020 du FCVQ porte notamment son attention sur le cinéma du Brésil. Après l’hécatombe de la COVID-19, il était important de revenir sur ce cinéma, notamment sous le thème central qui est la résistance. Que pouvez-vous dire de cette section ou de ce cinéma national ?

Laura Rohard — C’est quelque chose qui me tenait vraiment à cœur. L’an dernier, on avait un focus sur le court métrage polonais. Cette année, je me suis intéressé au Brésil qui me semblait tout indiqué étant donné le contexte des derniers mois. Quand la COVID a finalement frappé, mon idée était en fait déjà prise. L’idée de la résistance me semblait découler de soi. Ça fait des années que je suis la carrière de Kleber Mendonça Filho. Mon idée était faite et un bassin de films m’inspirait. Je voulais élargir le sens du terme « résistance à l’écran » en parlant de résistance sociale, politique, artistique, mais aussi de celles des genres et des sexes. La résistance des communautés qui résistent aux injustices, certes, mais aussi la résistance au-delà, dans la vie de tous les jours, dans tous ces aspects.

On a rassemblé des films issus d’un milieu réellement complexe, mais il y a tellement d’enjeux. Que l’on pense aux Premières Nations, aux problèmes environnementaux, au racisme et aux enjeux politiques. Évidemment, la place de la femme à travers le temps et les images m’interpellent. Dans cet esprit, j’espère que vous aimerez notamment le personnage de Linn Da Quebrada dans le documentaire Bixa Travesty qui attaque le machisme brésilien et qui risque encore de secouer les stéréotypes et tabous de quelques conservateurs, brésiliens ou d’ailleurs.

 

À titre de programmatrice, à quel film ou événement spécial êtes-vous particulièrement fière d’être associée ou d’avoir même initiée ?

Laura Rohard — J’ai beaucoup travaillé au développement de la section Le Campus, un talent lab dont je suis très fier. Notre but est de créer une démarche pour outiller, former et faire réseauter les jeunes réalisatrices. Rencontrer des collègues francophones provenant de partout au Canada et voir des conférences sur plein de sujets, de la production à la photographie, de la scénarisation à la réalisation, en passant par les outils de développement et de financement d’un projet. C’est un projet qui accueille du beau monde et a bien su migrer en ligne cette année.

Lien vers LE CAMPUS 2020 : https://www.fcvq.ca/campus

 

 

Photo : Photobox Studio

 

FCVQ 2020 – Votre programme du 18 septembre 2020!

Programmation du 18 septembre 2020 du FCVQ 2020

SALLE QUÉBECOR 

COMPÉTITION INTERNATIONALE
DES COURTS MÉTRAGES 2
18 SEPTEMBRE DÈS 13h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

PETIT SAMEDI DE PALOMA SERMON-DAÏ
18 SEPTEMBRE DÈS 16h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son village wallon en bord de Meuse, on l’appelait le « Petit Samedi ». Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu’elle n’a jamais abandonné lorsqu’il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout, cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions et qui fait face à son histoire pour s’en sortir.

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LA BUVETTE – JE M’APPELLE HUMAIN
18 SEPTEMBRE DÈS 18h30 •
SALLE QUÉBECOR ET RESTOS PLAISIRS  | BILLETTERIE

Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission La Buvette du FCVQ, enregistrée depuis le Diamant, et sera diffusée tous les soirs dès 18h30 sur plusieurs chaînes en simultané ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont dans la programmation du Festival !

Ce vendredi, Marième s’entretient avec Kim O’Bomsawin, réalisatrice de Je m’appelle humain, et sa productrice Andrée-Anne Frenette : retour sur l’origine de ce projet, portrait lumineux de la grande Joséphine Bacon, présenté en première mondiale à 19h.

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JE M’APPELLE HUMAIN
DE KAREN BEN RAFAEL ET ÉLISE BEN ROUBI
18 SEPTEMBRE DÈS 19h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Julie et Yuval, deux amoureux, vivent ensemble à Paris. Du jour au lendemain, le couple fusionnel se voit contraint de se séparer. Lui à Tel Aviv, sa ville natale, elle à Paris, avec leur bébé, ils continuent de partager leur quotidien, mais à travers leurs écrans. Cette vie par procuration va vite connaître ses limites. La distance mettra leur amour à rude épreuve…

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AFRICA MIA DE RICHARD MINIER & ÉDOUARD SALIER
18 SEPTEMBRE DÈS 21h • SALLE QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Africa Mia est un voyage dans l’espace et le temps, à la recherche de l’âme de la musique afro- cubaine. Du début des années 60 sur fond de Guerre Froide et jusqu’à aujourd’hui, de La Havane à Bamako, les deux villes qui forment le berceau de la « Sono Mondiale », nous partons à la découverte du premier groupe de « World Music », les légendaires « Maravillas de Mali ».

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SALLE RESTOS PLAISIRS

NASIR DE ARUN KARTHICK
18 SEPTEMBRE DÈS 13H30 • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Nasir est un homme bon à la vie difficile. Malgré tout, il demeure optimiste. Écrivant des lettres d’amour à sa femme et partageant sa poésie sans retenue, il fait ainsi taire la plus stupide des grandes gueules. Musulman en Inde, il va à l’encontre du nationalisme hindou, qui y a pris une place de la plus haute importance dans les dernières décennies. Un exposé sincère sur la vie d’un citoyen pauvre qui fait face à l’intolérance d’une société toxique sur le point d’exploser.

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BAAMUM NAFI DE MAMADOU DIA
18 SEPTEMBRE 16H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Tokara veut épouser sa cousine, la belle Nafi, ce qui met leurs pères en conflit l’un avec l’autre. Le plus jeune frère est un religieux de haut rang, l’autre un candidat à la mairie de la petite ville du nord-est du Sénégal où se déroule le film. Au début, leur lutte fraternelle semble porter uniquement sur le bonheur de leurs enfants, mais peu à peu, ces derniers deviennent les pions d’une dispute amère sur la tradition, le progrès et la vraie nature de l’islam. Leurs liens familiaux peuvent-ils les aider à surmonter ces différences idéologiques?

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LA BUVETTE – JE M’APPELLE HUMAIN
18 SEPTEMBRE DÈS 18h30 • SALLE RESTOS PLAISIRS ET QUÉBECOR  | BILLETTERIE

Nouveau rendez-vous pour cette édition, l’émission La Buvette du FCVQ, enregistrée depuis le Diamant, et sera diffusée tous les soirs dès 18h30 sur plusieurs chaînes en simultané ! Dans ce segment décontracté et pop, l’animatrice Marième Ndiaye reçoit des artistes et artisans qui sont dans la programmation du Festival !

Ce vendredi, Marième s’entretient avec Kim O’Bomsawin, réalisatrice de Je m’appelle humain, et sa productrice Andrée-Anne Frenette : retour sur l’origine de ce projet, portrait lumineux de la grande Joséphine Bacon, présenté en première mondiale à 19h.

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MEU NOME É BADGA DE CARU ALVES DE SOUZA
18 SEPTEMBRE 19H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Bagdad est une skateuse de 17 ans habitant Freguesia do Ó, un quartier de la classe ouvrière de São Paulo, au Brésil. Bagdad fait du skate avec des garçons et passe beaucoup de temps avec sa famille et avec les amis de sa mère. Ensemble, les femmes de son entourage forment un réseau de personnes extraordinaires. Lorsque Bagdad fait connaissance avec un groupe de skateuses, sa vie n’est plus la même.

Adapté librement à partir de la nouvelle Bagdá, o Skatista de Toni Brandão.

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BIXA TRAVESTI DE KIKO GOIFMAN ET CLAUDIA PRISCILLA
18 SEPTEMBRE 21H • SALLE RESTOS PLAISIRS |  BILLETTERIE

Bixa Travesty dresse un portrait électrisant de Linn Da Quebrada, artiste à la présence scénique extraordinaire qui réfléchit sur le genre et ose affronter avec un rare panache le machisme brésilien. Le corps féminin trans est utilisé comme moyen d’expression politique.

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SALLE HYDRO-QUÉBEC 

COURTS D’ANIMATION 1
18 SEPTEMBRE 16H30 • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

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LA FORTALEZA DE JORGE THIELEN ARMAND
18 SEPTEMBRE 19H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

Renvoyé de la maison familiale, Roque, dans la quarantaine, se retrouve dans les rues de Caracas, alors en plein chaos politique et économique. Dans un effort pour reprendre sa vie en main, il décide de retourner dans la jungle amazonienne où, à une époque plus heureuse de sa vie, il a bâti une cabane. Alors qu’il combat les vignes luxuriantes, les délires causés par la fièvre et l’eau empoisonnée, de vieux amis aux activités douteuses lui font miroiter un avenir rempli d’or. Vulnérable, Roque se joint à eux dans l’exploitation illégale d’une mine d’or, convoitée par des guérilleros colombiens. Confronté aux côtés sombres d’un monde sans merci, il devra puiser au plus profond de lui-même pour s’en sortir.

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EL FATHER COMO SÍ MISMO DE MO SCARPELLI
18 SEPTEMBRE 21H • SALLE HYDRO-QUÉBEC |  BILLETTERIE

Un jeune réalisateur revient au Venezuela pour faire un film basé sur la vie de son père. Le fils réalise aujourd’hui un film de fiction (La Fortaleza, Jorge Thielen Armand) sur le passé trouble de ce géniteur dans les mines d’or illégales de la jungle amazonienne. El Father Plays Himself brosse le portrait d’une relation filiale complexe et de rapports de force mouvants.

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SALLE DESJARDINS – GRATUITE

ACCESSIBLE SEULEMENT LE 19 ET 20 SEPTEMBRE PROCHAIN

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