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Saison 2019-2020 de Télé-Québec : la découverte est lancée!

En 2019-2020, Télé-Québec propose une programmation multiplateforme remplie de contenus en tous genres, accessibles partout, en tout temps et toujours gratuitement.

Étonnante, gourmande, musicale, numérique, documentaire, scientifique, familiale, vivante : la découverte est partout à Télé-Québec!

Découvrez notre programmation 2019-2020 vidéo

« Nous avons toutes les raisons d’être fiers de cette prochaine saison puisque nous proposons une offre solide qui mise sur des nouveautés audacieuses, notamment le thriller fantastique Le 422, mais aussi, bien sûr, sur le retour des dernières nouveautés, qui sont rapidement devenues des succès en se taillant une place dans le cœur et le quotidien du public. Que l’on pense à Passe-Partout, De garde 24/7, L’indice Mc$ween, 180 jours, Y’a du monde à messe, M’entends-tu? ou Cette année-là », affirme le directeur général des programmes de Télé-Québec, Denis Dubois.

« Télé-Québec se démarque également en mettant de l’avant une nouvelle stratégie de diffusion qui s’adapte aux différents comportements d’écoute du public. Il s’agit ici d’un modèle non conventionnel qui lui permet de faire découvrir ses contenus partout, en tout temps, et ce, gratuitement, en priorisant notamment sa plateforme numérique afin de permettre l’écoute en primeur et en rafale de ses séries de fiction de plus en plus nombreuses, ce qui n’est pas anodin dans le contexte actuel! Nous faisons le pari d’intéresser le public à une grande variété de contenus, de lui faire découvrir de nouveaux talents et de l’amener sur des terrains sur lesquels il n’aurait pas naturellement osé s’aventurer. M’entends-tu? en est un bel exemple. Cette année encore, nous poursuivons sur cette lancée. Nous continuons à offrir au public de nouveaux visages et de nouveaux contenus, nous permettant d’aller à la découverte de nouvelles idées, à la découverte de l’autre, à la découverte de nous. »

La fiction et la jeunesse au premier-plan

La jeunesse a toujours occupé une place de choix à Télé-Québec! Et plus que jamais, Télé-Québec s’impose cette année comme chef de file en production d’émissions de fiction jeunesse originales en offrant aux jeunes de nouvelles séries qui leur feront vivre toutes sortes d’aventures et d’émotions.

Dès septembre, les jeunes feront la connaissance d’Alix, qui les invitera – cinq jours par semaine – à entrer avec elle dans un passage magique vers une contrée où s’activent des personnages tous plus inattendus et attachants les uns que les autres (Alix et les Merveilleux). Les plus vieux retrouveront quant à eux Clovis (Conseils de famille), qui arrive à la télé dans une série portant son nom et dans laquelle il se donne comme mission de préparer son petit frère à sa dernière année de secondaire, à ses amours, à sa première fois, à ses parents, à son bal, etc. En décembre, les jeunes seront bien servis par le thriller fantastique fort en effets visuels de grande qualité et sa distribution réunissant acteurs établis et talents de la relève : Le 422. La série les plongera dans des univers parallèles où un trésor devra être trouvé et dont il faudra s’échapper, sans une minute de répit. Plus tard, le public fera également la rencontre des trois jeunes héros de la série Les Mutants qui, mobilisés par une grande détermination, s’imposeront l’ambitieux défi de sauver une famille hors de l’ordinaire – c’est le moins qu’on puisse dire – et en pleine mutation. Tout cela, sans oublier le retour de la marionnette Marc-en-peluche dans une quatrième saison riche en rebondissements.

Télé-Québec maintient également son incontournable offre jeunesse-famille mêlant l’éducation et le plaisir avec le jeu-questionnaire Génial!; les capsules Pourquoi? qui répondent de façon scientifique à une foule de questions qui pourraient pourtant paraître anodines telles : pourquoi la colle… colle-t-elle? ou pourquoi les pets puent-ils?; le magazine éclaté Cochon dingue, qui développe la curiosité en faisant exploser un thème à chaque rendez-vous (et qui présentera cette année une émission enregistrée avec grande énergie devant public, une fois par mois); et la nouvelle websérie La liste des choses qui existent, qui interroge la fonction des objets qu’on utilise tous les jours. Les nouvelles capsules de la série On parle de sexe aborderont d’autres sujets qui piquent la curiosité des jeunes de 13 à 15 ans (au grand bonheur des ados, des parents et même des enseignants d’éducation sexuelle) : l’exploitation sexuelle, la dépendance affective, l’image corporelle, les conflits amoureux, le french, etc.

Passe-Partout, la nouvelle émission préférée des tout-petits (et de leurs parents!), est aussi de retour. Désormais, les enfants pourront apprécier quatre nouveaux épisodes chaque semaine, en plus de profiter des tout nouveaux casse-têtes, jeu de mémoire, peluche de Biscuit, livres et jeu de devinettes. De toutes nouvelles séries d’animation jeunesse ultra colorées telles Loup, Chasseurs de trolls, Abby Hatcher et bien d’autres se joignent aussi à la programmation pour combler les tout-petits.

Du côté adulte, les irrésistibles M’entends-tu? et Like-moi!, reconnues à l’international et plusieurs fois récompensées par le milieu télévisuel et par le public, sont de retour. Alors que la deuxième saison de M’entends-tu? sera encore plus franche, touchante et mordante que la première (qui l’eût cru possible!), la quatrième saison de Like-moi! continuera de dépeindre la vie pas banale des milléniaux à travers pas moins de 80 nouveaux sketchs absurdes à tout coup. La nouvelle comédie dramatique La maison des folles relatera quant à elle la naissance d’une sororité improbable dans un demi-sous-sol beige de l’an 2000. Du côté des séries internationales, les saisons 3 et 4 du drame politique House of Cards iront toujours plus en profondeur dans les coulisses des hautes sphères de la politique américaine, alors que les passions seront troublées à l’heure de la Révolution française dans les saisons 3, 4 et 5 de Poldark.

Oui, on sait cuisiner! Mais comment manger mieux?

Aux performants magazines Ça vaut le coût, L’indice Mc$ween, Curieux Bégin, Un chef à la cabane et Format familial s’ajoute cet automne Moi j’mange, une émission culinaire déculpabilisante et créative animée par Stéphane Bellavance. Avec ses acolytes, Stéphane se lance en cuisine pour proposer des recettes délicieuses – dont une végétarienne chaque semaine –, faciles et colorées, mais apporte aussi une tonne d’idées pour consommer mieux, tant pour soi que pour la planète.

Toutes les recettes de Moi j’mange s’ajouteront d’ailleurs aux quelque 6 000 recettes déjà disponibles sur le site cuisinez.telequebec.tv. Cette même plateforme accueillera également la nouvelle série Porteurs de saveurs, qui nous fera entrer dans l’univers de producteurs agroalimentaires avant-gardistes et inspirants qui consacrent chaque jour leur énergie à définir l’identité agricole, gustative et culturelle du Québec : mise en barrique de bois d’une nouvelle bière sur la Côte-Nord, fabrication d’eau-de-vie d’érable en Estrie, culture des noisettes au Saguenay–Lac-Saint-Jean, etc.

Que du vrai!

Les séries documentaires diffusées à Télé-Québec se tiennent toujours adroitement sur la ligne de l’émotion et de l’observation. On n’a qu’à penser à De garde 24/7, qui nous fait entrer dans le milieu hospitalier, à Kebec, qui présente notre histoire telle qu’on ne l’enseigne pas à l’école, et à 180 jours, qui dépeint le quotidien de professionnels et élèves en milieu scolaire. Toujours aussi engagée, Télé-Québec ajoutera à sa programmation La course folle, une incursion passionnante dans le quotidien risqué des pêcheurs de homard des îles de la Madeleine. Courage, détermination, fatigue, adrénaline, pêche miraculeuse ou grande déception : La course folle fait tout voir de leur réalité peu commune et si intéressante.

L’année dernière, les documentaires québécois présentés à Télé-Québec ont été vus par plus de 2,8 millions de téléspectateurs(1). En 2019-2020, Télé-Québec continuera à proposer des documentaires québécois qui dérangeront, feront réfléchir et provoqueront assurément la discussion.

Dans les poignants Génération d’anxieux et Prisonniers de l’anxiété, Claire Lamarche se penchera sur ce problème de santé mentale, le plus courant chez les enfants et les adultes en Amérique du Nord, surpassant même la dépression. Puis, après le balado qui avait été diffusé sur telequebec.tv et qui avait fait grand bruit , le dérangeant documentaire télé Trafic nous plongera dans les rouages du monde de la prostitution juvénile. Fabrice Vil brassera la cage de la majorité québécoise avec Le code (titre de travail) en lui faisant prendre conscience qu’il existe toujours un code à suivre pour les personnes issues des minorités visibles. Un code pour éviter le plus possible d’être discriminé, un code pour ne pas déranger… Oui, encore en 2019 au Québec. Finalement, on se demandera si l’on prend nos vacances suffisamment au sérieux dans Que reste-t-il de nos vacances? et on conviera les Québécois à une rencontre privilégiée et exceptionnelle avec Paul « The Butcher » Vachon; l’homme de 77 ans profite de ce qui pourrait être l’ultime occasion pour raconter l’histoire fantastique des lutteurs de la famille Vachon, incluant évidemment son frère « Mad Dog », dans Les derniers vilains, diffusé en primeur.

De plus, Télé-Québec, le magazine L’actualité et Les Productions Bazzo Bazzo mettent en commun leurs forces éditoriales et médiatiques alors que des sujets d’impact feront l’objet du lancement simultané d’un dossier spécial dans L’actualité et d’un documentaire sur les ondes de Télé-Québec. À voir : Bitch! Une incursion dans la manosphère, un documentaire portant sur la masculinité toxique, et La décroissance (titre de travail), qui mettra en lumière une solution extrêmement efficace, mais aussi hautement dérangeante pour l’être humain, pour lutter contre les changements climatiques.

 

Fenêtre sur le monde

Chaque année, Télé-Québec réussit à mettre la main sur les meilleurs documentaires provenant des quatre coins de la planète. Seront entre autres offerts de nouveaux épisodes des séries signées National Geographic Urgences animales et Vol au-dessus de la Chine; la série événementielle en 6 épisodes produite par CNN Les Kennedy : secrets et tragédie; dse même qu’une foule de documentaires uniques tels Trous de cul : une théorie (un documentaire canadien sur le civisme), Le retour des envahisseurs invisibles, L’interrogatoire, Toilettes sans tabou (portant sur une crise mondiale de santé publique), etc.

Même qualité et diversité du côté du cinéma avec près de 300 films diffusés, tels, en grande primeur, les films québécois Les salopes ou le sucre naturel de la peau (une formidable performance de Brigitte Poupart) et Les affamés (un rare film de zombies tourné au Québec, gagnant de 10 prix au Gala du cinéma québécois), ainsi que le film d’animation Nelly et Simon : Mission Yéti (avec les voix de Sylvie Moreau, Guillaume Lemay-Thivierge et Rachid Badouri), ainsi qu’une foule de films primés, triés sur le volet, pour les petits, les familles et les plus grands cinéphiles. Que le meilleur du cinéma!

 

Ces grands plateaux qui brassent

En 2019-2020, Télé-Québec continue d’offrir de grands plateaux de tout genre qui se font un point d’honneur de faire tomber les barrières. Découvertes culturelles avec Belle et Bum, dont la première émission fera belle place aux 50 ans d’Éric Lapointe dans un spectacle présenté au Festival de montgolfières de Gatineau; le Premier Gala de l’ADISQ, animé en octobre par Pierre Lapointe; et Cette année-là, avec de nouvelles entrevues-sketchs de Marc Labrèche. Découvertes inspirantes avec MAMMOUTH. Découverte de nouvelles idées et de points de vue différents avec Les francs-tireurs, Dans les médias, Y’a du monde à messe encore tout l’automne, Deux hommes en or dès janvier et Zone franche maintenant le lundi soir… Télé-Québec fait une promesse : à la vue du générique de fin des émissions, le public saura qu’il aura avancé, appris, compris des choses.

 

#lafab : toute la culture, une seule adresse

La Fabrique culturelle demeure le rendez-vous numérique par excellence pour découvrir le talent qui foisonne sur tout le territoire du Québec. Parmi les nouveautés : l’expérience immersive Insaisissable 360° de poésie mettra en valeur les paysages incroyables des îles de la Madeleine, en plus des textes poétiques d’auteurs québécois. À la deuxième saison du balado La vie secrète des libraires s’ajoutera la nouveauté L’heure de radio McGarrigle, qui dressera le portrait d’une famille peu conventionnelle en abordant les thèmes du sentiment d’appartenance à un lieu, de la solidarité familiale et de la manière dont les cultures anglophone et francophone se sont croisées dans les œuvres du clan artistique McGarrigle-Wainwright.

 

À propos de Télé-Québec

Télé-Québec est le média multiplateforme public à vocation éducative et culturelle du Québec. Il propose une programmation unique qui a pour but de cultiver le goût du savoir, de favoriser l’acquisition de connaissances, de susciter la réflexion, de promouvoir la vie artistique et culturelle d’ici ainsi que de refléter les réalités régionales et la diversité du Québec. Outre son siège social établi à Montréal, la Société compte 10 bureaux régionaux. On peut suivre Télé-Québec sur Facebook et Twitter. telequebec.tv

À propos de La Fabrique culturelle

La Fabrique culturelle est la plateforme culturelle numérique de Télé-Québec. Elle est alimentée par les dix bureaux régionaux de Télé-Québec ainsi que par une centaine de partenaires du milieu culturel et les membres de la communauté. Elle a pour mandat de faire rayonner les arts et la culture en valorisant l’identité culturelle québécoise sur l’ensemble du territoire, principalement à travers la créativité de ses artistes et artisans. La Fabrique culturelle est sur Facebook, Twitter, Instagram. lafabriqueculturelle.tv

 

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Une Websérie à découvrir sur les Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal

Websérie sur les Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal

Douze comédiennes québécoises racontent des histoires remarquables sur hospitalieres.tv

André Waquant producteur-réalisateur-scénariste, en collaboration avec les Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal, lance aujourd’hui officiellement la Websérie Histoires extraordinaires d’Hospitalières. On y retrouve douze comédiennes québécoises de grand talent : Pascale Bussières, Louise Turcot, Monique Miller, Sophie Desmarais, Macha Limonchik, Catherine Renaud, Sylvie Potvin, Ève Landry, Sophie Faucher, Ariane Castellanos, Isabelle Vincent et Micheline Lanctôt.

Ces capsules vidéo proposent une forme hybride de docu-témoignage-fiction. Le concept dramaturgique permet en quelques minutes (5-6 approx.) de présenter avec émotion le genre de contexte de certaines missions de l’histoire des Hospitalières. Les actrices interprètent des récits étonnants sur des enfants, des femmes et des hommes que le destin ne favorise pas. Douze Hospitalières symbolisent à l’écran l’ensemble de la communauté. On retrouve dans des rôles muets les sœurs : Bibianne, Jacqueline, Marie-Claire, Cécile, Angélina, Huguette, Marie-Blanche, Mariette, Jeannine, Colette, Theany et Françoise.

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Depuis 1642, Jeanne Mance et ses amies les Hospitalières font partie intégrante de l’histoire du Québec. Bien des ouvrages de spécialistes ont traité le sujet. Histoires extraordinaires d’Hospitalières propose plutôt une perspective à l’échelle humaine de leurs missions. Depuis son origine jusqu’à aujourd’hui, la congrégation a été le témoin privilégié de milliers de drames humains chez les plus démunis. L’auteur de la Websérie s’en est inspiré pour développer douze histoires représentatives de la diversité de leurs missions humanitaires. Peu de gens savent qu’au cœur de la ville de Montréal, se trouve la Maison Mère des Hospitalières. L’enceinte de la rue des Pins abrite la crypte où ont été inhumées Jeanne Mance et plus de 600 religieuses. Des centaines de femmes d’action et de vision qui ont consacré leur vie au bien-être de leurs semblables depuis des siècles. Au-delà de Montréal, elles ont été actives au Québec, au Canada et aussi ailleurs dans le monde.

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« Aujourd’hui, la congrégation met progressivement un terme à ses activités. En 2017, la Ville de Montréal a acquis l’ensemble de la propriété ainsi que tous les bâtiments patrimoniaux. Pour nous, l’heure est au devoir de reconnaissance pour ces femmes hors du commun qui ont toujours veillé sur nous. Également, nous espérons que ces histoires susciteront l’empathie et sensibiliseront l’auditeur de contribuer à la pensée citoyenne. J’aimerais souligner la générosité et le talent de nos comédiennes qui ont su révéler avec brio cet état d’esprit »,de souligner André Waquant, le producteur-réalisateur-scénariste à l’origine de ce projet.

De précieux partenaires et collaborateurs :

La production de cette websérie n’aurait jamais eu lieu sans la contribution aux tournages et la participation financière des Religieuses Hospitalières de Saint-Joseph et celles de généreux partenaires et commanditaires tels qu’Encore Télévision, la Fondation canadienne de la vidéo religieuse (FCVR), Gilbert Bastings CPA Inc., La Caisse Desjardins du Plateau Mont-Royal.

Beaucoup de personnes et d’institutions ont aussi apporté un précieux soutien dans le développement de ce projet : L’ONF, Luc Ferrandez, Amir Khadir, Line Rivard, Pascale Chassé, Danièle Joubert, Claude Garneau, Anne-Marie Cadieux, Roger Lincourt, Martin Bolduc, Bernard Dansereau, Annie Piérard, Jacques Payette, Émilie Laliberté, Christine Tixidre, Maryse Bienvenu, Louise Pothier, Lynn Phaneuf, Anne Plamondon, Hélène Dufresne, Louis Laverdière, Sylvie Fréchette, Hubert Neault, Michèle Waquant.

À propos des Hospitalières

La Congrégation des hospitalières de Saint-Joseph est fondée en 1636 à La Flèche, en France par Jérôme Le Royer de la Dauversière et Marie de la Ferre. L’objectif principal de cet institut est le soin des malades pauvres à l’Hôtel-Dieu de La Flèche. En 1659, les Hospitalières, amies de Jeanne Mance, arrivent à Montréal pour la seconder dans son hôpital, l’Hôtel-Dieu. Au fil des siècles, elles développeront avec envergure l’univers des soins hospitaliers et également déclineront une multitude d’oeuvres humanitaires au Québec, au Canada et à travers le monde. Les Hospitalières sont des femmes de terrain, elles ont œuvré en phase avec les besoins du moment, tels que ; la toxicomanie, la guerre, la violence envers les femmes, les sans-abris, les catastrophes naturelles, l’éducation, etc..

À propos d’André Waquant :

Il détient une maîtrise en arts visuels de l’UQAM et obtenu diverses récompenses dans l’univers des productions numériques. Il a créé le cours Atelier d’écriture médiatique et en a fait l’enseignement à la Faculté de communication, École des médias, Université du Québec, Montréal.

Concepteur, réalisateur et producteur de contenus pour divers médias dans les champs du marketing, de la culture et du divertissement. Il explore les possibilités narratives des médias. Il a fait ses débuts à la télévision (recherche-sketch-chroniques) à des émissions d’encyclopédie jeunesse, puis en variété comme chef de contenu. Ensuite, il a enchaîné un court métrage d’animation avec BASTA. Puis, il a consacré ses énergies aux nouveaux médias. Il réalise et produit des projets interactifs innovants pour le divertissement et la publicité. Il introduit le Cirque du Soleil dans l’univers du multimédia avec QUIDAM, un jeu de découvertes interactif. Le succès qui a suivi lui apportera plusieurs mandats dans les communications interactives. En 1999, il fonde madeinmedia.com, une boîte de communications numériques. Son intérêt pour la culture, l’histoire et les sujets scientifiques l’emmène à réaliser des projets culturels grand public, entre autres en muséologie. En 2010, les Hospitalières lui confie le mandat de réorganiser et d’assurer la diffusion des contenus de leur histoire. Chemin faisant, il découvre des femmes hors du commun et également la diversité exceptionnelle de leurs missions de bienfaisance. La richesse des destins qui s’y croisent devient un angle des plus intéressant pour faire connaître l’importance de cette communauté. Histoires extraordinaires d’Hospitalières.

LA PRODUCTION EN BREF

Scénario, réalisation et production | André Waquant
Collaboration aux dialogues | Étienne Piérard-Dansereau
Traduction anglaise et espagnole | Hospitalières de Saint-Joseph
Direction photo | Pierre-Luc Racine
Musique et prise de son | Yan Veillette, Studio La Shop
Montage | Pierre-Luc Racine, Olivier Bochenek, Gabriel Charbonneau-Richard, André Waquant
Recherche | Louisette Lelièvre, André Waquant
Maquillage | Catherine Payette, Poudrette et Cie, Sylvy Plourde, Anaïs Côté
Version originale en français, sous-titrage (anglais-espagnol).
Production | madeinmedia.com
Crédits complets sur http//:www.hospitalieres.tv

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Claire Dion reçoit le Prix NUMIX Hommage au Gala des NUMIX 2019 !

Entrevue avec Claire Dion à l’occasion de l’hommage qui lui sera rendue jeudi le 9 mai 2019 au Gala des Prix NUMIX

Depuis son entrée à la SOGIC au début des années 80, Claire Dion, Directrice générale adjointe du Fonds indépendant de production (FIP), du Fonds Cogeco de développement d’émissions et du Fonds Bell, participe activement à la production de contenus québécois et canadiens francophones.

Au cours d’une carrière riche et remplie de défis pendant laquelle elle aura aidé à la naissance de très nombreuses œuvres reconnues tant au Canada qu’à l’international, Claire Dion aura participé à l’évolution des plateformes, des modes de diffusion mais aussi des pratiques.

À l’occasion de l’hommage qui lui sera rendu dans le cadre de NUMIX 2019, nous nous sommes entretenus avec cette pionnière dynamique et passionnée.

Cet hommage vient à point car il te permet d’exprimer ta vision, et de discuter de ton expérience dans un contexte d’intenses transformations de l’industrie. Ton CV, mentionne tes capacités d’adaptation; ce n’est pas par hasard…

Tu as débuté à la SODEC, en cinéma dans les années 80 ?

Oui, en effet. À cette époque, il y avait des conseillers à la scénarisation, à la production et à la distribution dans le secteur du long métrage.

À ton départ de la SODEC, tu as ensuite travaillé sur des projets de télévision. Qu’est-ce qui t’as amené dans cette voie?

En fait, je ne me suis jamais posé la question. Je n’avais pas de plan de carrière. Les choses se sont présentées à moi. La vie m’a fait de beaux cadeaux. Quand j’ai quitté la SODEC, en 1987, je n’étais pas certaine de ce que je voulais faire, je pensais même retourner aux études pour entreprendre un doctorat. Mais j’ai plutôt fondé mon entreprise. J’ai fait de la rédaction, j’ai été script docteur sur un long métrage et rédactrice pour une revue, bref, j’ai vraiment fait des choses très différentes.

En 1991, on m’a appelé pour mettre sur pieds le Fonds McLean-Hunter. Un poste à temps partiel qui tombait à point nommé puisque ma fille Marjorie était encore petite et qu’il me restait encore beaucoup de choses à faire avec elle. Seule, dans mon petit bureau, j’ai pu organiser ma vie en fonction d’elle. Puis, les choses ont progressivement pris de l’ampleur, Marjorie a grandi, j’ai pu me concentrer d’avantage et prendre de plus en plus de responsabilités. Donc, c’est un peu la vie qui m’a amené là.

Par la suite, le Fonds Cogeco s’est ajouté ainsi que divers autres, comme le Fonds Beck, un fonds de promotion. À l’arrivée du Fonds Bell, ce fut une toute nouvelle étape. En effet, à cette époque, je faisais du développement, de la production en long métrage ou en télé… c’était très varié et cela me plaisait énormément. C’était un grand terrain de jeu. Le Fonds BELL, c’était du nouveau pour nous tous qui venions d’un milieu traditionnel. Ce fut aussi très nouveau pour les producteurs qui pouvaient désormais produire du contenu, et non plus seulement des applications ou des logiciels.

À l’arrivée du Fonds indépendant de production, quels ont été les défis rencontrés ?

Avec le FIP, ce qui était nouveau c’était la notion de fonds privé après le Foundation to Underwite New Drama (FUND), créé en 1986 par Astral.
Le grand défi à relever pour moi au bureau Montréal au début du FIP a été d’apprivoiser la gestion de fonds pancanadiens pour les contenus francophones, au Québec mais aussi hors Québec. Les choses se sont progressivement organisées avec l’ajout des règles du CRTC… Cependant, depuis quelques années, on assiste à la la décroissance, car les fonds sont alimentés par les contributions des cablos distributeurs, et, ce n’est un secret pour personne, que depuis quelques années, les abonnements sont en baisse. Cela a un impact important sur des petits fonds comme les nôtres. C’est difficile à gérer car il y a toujours beaucoup plus de créateurs qui veulent continuer à créer.

Sans surprise, lorsque la websérie est arrivée, l’engouement a été très fort.

Qu’est ce qui est radicalement différent dans la production de websérie par rapport aux autres médias, télé, cinéma?

En 2010 au FIP, lorsque nous avons commencé à financer de la websérie, nous étions les premiers à le faire. À l’époque c’était très différent de ce que l’on connait aujourd’hui. En 2010, on était dans le format court, des épisodes punchés, beaucoup d’humour, des récits de genres et de styles qui ne se faisaient pas à la télé.

Depuis, les frontières entre les genres bougent. On le voit à chaque comité de jury.

Netflix a aussi expérimenté ces nouveaux modèles avec des épisodes de longueur différente, un générique qui arrive cinq minutes après, des courts « repackagés »… Chez nous, lorsque la télé va éclater, il va y avoir de la place pour des formats et des genres différents. Il reste à voir quels modèles adopteront les grands diffuseurs.

Pourquoi le format de la websérie est-il si populaire?

Je ne suis pas analyste d’auditoire, mais la consommation de contenu en ligne explose dans tous les genres. Au point où c’est de plus en plus difficile de suivre! La websérie s’insère très bien dans les horaires chargés, ça se consomme plus facilement. Ça s’écoute peut-être mieux sur un téléphone, en déplacement… En plus, c’est du contenu qui, pour l’instant, ne coûte pas trop cher.

Actuellement, on est devant deux types de webséries. Celles qui ont des budgets plus importants et celles qui bénéficient de subsides plus limités. De manière importante, la websérie, permet à beaucoup de jeunes talents d’expérimenter. Réalisateurs, scénaristes et producteurs, tous peuvent acquérir de l’expérience et ‘se faire la main’ sans trop de risques. Pour l’instant c’est un secteur qui n’est pas complètement organisé, on n’est pas encore dans la pression des cotes d’écoute, les systèmes de comptabilisation des auditoires demeurent différents…

Une chose importante au FIP, c’est que vous accompagnez les gens. Je crois que c’est un élément très important pour toi.

Oui, en effet, l’accompagnement est un élément important, autrement, on est un simple guichet. Surtout que l’on commençait quelque chose. On ne pouvait laisser les jeunes de la relève sans direction, on s’est toujours dit qu’on devait les accompagner. Leur donner des outils. C’est ce que nous avons fait, par exemple, lorsque les crédits d’impôts ou la découvrabilité sont arrivés, on s’est renseigné, on a développé des balises et on a créé des outils.

Dans le même esprit, on a aussi développé un partenariat avec Marseille Web Fest, en France. Je trouvais qu’il y avait peu de place pour les séries francophones. Finalement, on a une belle relation avec le directeur Jean-Michel Albert, qui est d’ailleurs devenu programmateur à CannesSéries, le festival international des Séries de Cannes. Créer des liens comme celui-là, ça donne un vrai coup de main à ceux qui en ont besoin. Ça a rendu mon travail plus intéressant. C’est une particularité que nous avons développé au FIP et à laquelle nous tenons beaucoup!

 

Peut-on dire que le multiplateforme c’est la véritable révolution dans ton domaine?

Aujourd’hui… la véritable révolution, c’est Netflix! Le jour où les plateformes ont été assez robustes pour supporter la diffusion en continu, ça a tout changé. Évidemment, maintenant, ils se rendent compte que ça coûte cher de produire du contenu de qualité… Au Canada, on est choyé d’avoir du financement public et de bénéficier de mesures comme les crédits d’impôts.

Mais oui, la démocratisation des contenus, ça a été une grande révolution. Même si les plateformes n’ont pas encore des modèles d’affaires soutenables. Jusqu’à présent, Netflix avait le gros bout du bâton, mais on voit arriver les nouvelles plateformes de contenus d’Amazon, Apple, Google… Ce qui m’inquiète dans cette montée des GAFAM, c’est la part des productions francophones. Netflix a fait beaucoup d’efforts pour apaiser le climat et faire plaisir aux politiques, et c’est vrai que les contenus sont traduits ou sous-titrés, mais je m’inquiète de l’avenir réservé à nos créations qui sont le reflet de nos valeurs, de notre vision du monde.

Est-ce qu’il n’y a pas un risque justement que les contenus francophones soient uniformisés en fonctions de goûts et de saveurs internationales?

Tout à fait. On le voit bien d’ailleurs. On le lit de plus en plus dans les contenus qui nous sont proposés et dans les intervenants de spécialistes du secteur. En ce moment, ce sont des polars qui sont à la mode. Les gros budgets, les lieux exotiques, les effets spéciaux… Alors oui, c’est un risque. Si l’on examine l’époque des grands diffuseurs télé américains, il n’y avait pas ce risque. C’est HBO qui a parti le bal…. Il faut dire que notre écosystème reste assez fragile. Et nos diffuseurs ne veulent pas toujours prendre des risques… sans oublier que ce sont parfois des projets ambitieux difficiles à financer…

Alors maintenant, d’après toi, quels seraient les défis qui attendent nos créateurs?

Oh, mon Dieu! La question à un million de dollars… Je ne sais pas. J’en parle d’un point de vue strictement culturel, de québécoise de langue française… Des podcasts, ça ne coûte pas cher, on en fait beaucoup, des webséries, on en fait beaucoup aussi, mais est-ce vraiment ça notre avenir? Je ne sais pas… Au Québec et au Canada , on est tributaires des volontés politiques… que va-t-il se passer dans l’avenir? Je ne sais pas.
Ce que je sais par contre, c’est qu’au Québec, même si on râle souvent contre les institutions, il y a énormément de monde qui se battent pour l’augmentation des crédits pour soutenir une industrie en pleine expansion… Là, je vais ouvrir une porte toute grande, au risque de me faire lancer des tomates, mais je pense qu’à l’avenir, tout le monde devra travailler ensemble, incluant les syndicats. Le monde a changé et le monde continuera de changer. Présentement, il y a des façons de faire qui nous limitent. Il va falloir que tout le monde mette la main à la pâte pour explorer ce nouveau monde et imaginer le futur de nos productions…
Dans le cas des webséries, par exemple, il y aurait une place pour faire des petites ventes, mais les droits de suite sont tellement chers que les producteurs n’y ont pas accès. Notre modèle de financement, qui fonctionnait bien jusqu’à maintenant, et dans lequel on arrivait à se nourrir, aujourd’hui n’est plus protégé. Il va vraiment falloir que les gens s’assoient à la même table…

 

Et pour la suite de votre carrière ?

Comme projet de retraite, j’aimerai travailler sur la découvrabilité. C’est le nerf de la guerre! La promo, c’est important, mais ça se perd vite. Ce qui compte, à mon avis, ce sont les données structurées. Les nouveaux « majors » du web contrôlent toutes les données. Les moteurs de recherche ne cessent de se perfectionner… Il faut être présent sur ce front-là. C’est quelque chose que j’aimerai faire… j’y pense… on verra. Je quitte le Fonds Bell à la fin de l’année. Je reste encore un peu au FIP pour assurer la transition. Depuis quelques années, il y a énormément de changements, dans l’industrie et dans nos organisations. Je me sens un peu usée (rires), mais j’ai vécu de très belles expériences qui effacent nettement tous les moments difficiles.

Entrevue réalisée par Jean-Pierre Tadros et Charles-Henri Ramond, à Montréal, le 3 mai 2019.

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DELPHY PRODUCTION aux « Rendez-vous d’affaires et coproduction France-Canada »

Patricia Kwende, scénariste, réalisatrice et productrice chez Delphy Production sera à Montréal dès le 24 avril 2019 dans le cadre des Rendez-vous d’Affaires et coproduction France-Canada pour partager sa passion du cinéma avec des créatifs montréalais.

Patricia Kwende fonde DELPHY PRODUCTION en 2014, société spécialisée dans la production et la distribution de films de fiction, de séries, de documentaires.

Originaire du Cameroun, elle vit en France depuis quelques années maintenant. Elle retrouve toujours son pays d’origine avec bonheur. Fascinée par les histoires que lui racontait sa grand-mère et par les contes qu’elle a pu lire et découvrir au cours de ses études, c’est tout naturellement qu’elle a commencé à écrire des nouvelles teintées par les ambiances de son pays.

L’équipe de Delphy production accompagne également les jeunes réalisateurs en leur proposant une campagne de marketing et de communication pour leurs films, les aidants à se construire une image forte et populaire.

 

Filmographie

Patricia Kwende sera à Montréal dès le 24 avril 2019 pour rencontrer des producteurs québécois et explorer les possibilités de partenariats d’affaires et de coproduction.
https://www.delphy-production.com

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SODEC – Appel de projets pour Focus Québec au Mifa 2019 le jeudi 13 juin 2019

Dans le cadre de la programmation officielle du Marché international du film d’animation (Mifa), la SODEC organise une session Focus Québec, le jeudi 13 juin 2019, de 15 h 15 à 16 h 30.

Cette session permettra de présenter le Québec comme partenaire de choix pour la coproduction et en tant que prestataire de services. Ce Focus Québec donnera l’opportunité à cinq producteurs de présenter un projet en développement devant une audience internationale.

Critères d’admissibilité

  • être inscrit ou avoir l’intention de s’inscrire au Mifa avant le 3 mai 2019;
  • être producteur et avoir un projet d’animation en développement à la recherche de financement international.

Formats : œuvre d’animation de long métrage, court métrage, série TV, websérie, interactif ou en RV/RA.

Pour soumettre votre candidature, veuillez remplir le formulaire d’inscription et joindre par courriel une photo couleur du projet (1920 x 1080 pixels, 72 dpi, jpg ou tif, portant la mention des droits d’auteur) à camille.legault-moffett@sodec.gouv.qc.ca.

Date limite pour soumettre votre candidature : 26 avril 2019.

Renseignements
Véronique Le Sayec
Déléguée aux affaires internationales
SODEC
514 841-2209
veronique.lesayec@sodec.gouv.qc.ca

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Le FMC investira 353 $M dans les industries de l’écran au Canada en 2019-2020 et autres nouvelles !

Quelques nouvelles récentes du Fonds des médias du Canada : Financement, Journée du cinéma Canadien, Canada au MIPTV, Workin’ Moms.

Le FMC investira 353 $M dans les industries de l’écran au Canada en 2019-2020

Le FMC a mis en place de nouveaux programmes et apporté quelques changements aux programmes actuels, dont certains font partie des plus importants depuis l’établissement du FMC en 2010. Ces modifications visent à assurer que les programmes du FMC continuent de suivre l’évolution du marché.

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Célébrez la Journée du cinéma canadien avec Encore+

Encore+ est un fier partenaire de la Journée du cinéma canadien (JCC), qui aura lieu d’un bout à l’autre du pays le 17 avril prochain. Pour l’occasion, Encore+ a créé une liste de lecture pour tous les âges et tous les goûts présentant des films canadiens marquants des six dernières décennies. Célébrez la Journée du cinéma canadien avec nous en assistant à l’une des projections ou installez-vous devant l’écran de votre choix avec la liste de lecture de la JCC sur Encore+!

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Le Canada au MIPTV

Le FMC, en partenariat avec Téléfilm Canada, accueillera plus de 50 entreprises au pavillon du Canada au MIPTV. Le Canada a un trio de webséries en compétition dans CANNESERIES (la compétition dédiée aux formats courts); un projet dans la course au International Format Awards; une série dans la course au International Emmy® Kids Awards; plus quatre projets qui seront présentés dans le volet In Development. Réunissant plus de 10 000 professionnels de la télévision et des médias numériques, le MIPTV constitue une excellente occasion de promouvoir le Canada en tant que partenaire de coproduction et de générer des opportunités commerciales pour les créateurs canadiens.

[button bgcolor= »# » hoverbg= »# » textcolor= »# » texthcolor= »# » bordercolor= »# » hoverborder= »# » link= »https://rdvcanada.ca/fr/evenements/des-projets-canadiens-en-vedette-au-miptv/ » target= »_blank » radius= »0″ outer_border_color= »# » icon_color= »# »]En savoir plus[/button]

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Dans les coulisses : Workin’ Moms

Workin’ Moms nous rappelle que la réalité d’une mère est souvent loin d’être parfaite… mais c’est parfait ainsi. Après tout, chacun tente de faire de son mieux devant les bouleversements de la vie. Catherine Reitman est arrivée à rire d’elle-même en racontant les travers de la maternité dans une série inspirée de sa propre histoire. Une histoire qui est peut-être, au fond, celle de toutes les mères.

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Le FMC près de vous

MIPTV
8 au 11 avril 2019

Congrès de l’AQPM
17 au 18 avril 2019

Hot Docs
25 avril au 5 mai 2019

Gala des Prix de la Guilde des écrivains du Canada
29 avril 2019

 

Dates à retenir

Programme de développement : Enveloppes de développement (langue anglaise et langue française) – Première date d’ouverture le 18 avril 2019

Programme des enveloppes de rendement – Première date d’ouverture le 18 avril 2019

Programme de partenariats avec des accélérateurs (2PA) – Première date d’ouverture le 18 avril 2019

Programme de développement : développement régional de langue française au Québec – Première date d’ouverture le 25 avril 2019 

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Alliance Média Jeunesse – Les nommés des Prix d’excellence anglophones sont choisis!

Les nommés des Prix d’excellence anglophones sont choisis!

L’Alliance Médias Jeunesse (AMJ) est heureuse de dévoiler les productions en lice pour remporter un Prix d’excellence lors du prochain gala anglophone.

 

Cette grande fête de l’industrie de la production de contenu jeunesse se tiendra le 29 mai prochain au CBC Glenn Gould Studio, à Toronto. En se basant sur l’énoncé de qualité de l’AMJ, les membres du jury ont choisi comme nommés :

Prix d’excellence pour la meilleure émission, catégorie prise de vues réelles – préscolaire

  • Cutie Pugs (Bubbles) – produite par Little Engine Moving Pictures; diffusée par TVOKids, TFO, Knowledge Network et Radio-Canada
  • Dino Dana (A Dino Never Forgets) – produite par Sinking Ship Entertainment; diffusée par TVOKids et Amazon
  • Opie’s Home (The Big Blowout) – produite par marblemedia; diffusée par TVOKids, Knowledge Kids et City Saskatchewan
  • Studio K (The Ghost of Studio K ) – produite par CBC; diffusée par CBC

Prix d’excellence pour la meilleure émission, prise de vues réelles, contenu scénarisé – 6-9 ans et 9+

  • #Roxy – produite par Mosaic Entertainment; diffusée par SuperChannel
  • Big Top Academy (The Show Must Go On) – produite par Apartment 11 Productions, en association avec Discovery Kids Latin America, TVOKids et en collaboration avec le Cirque du Soleil Images; diffusée par Discovery Kids Latin America et TVOKids
  • Odd Squad (There’s No O in Obot) – produite par Sinking Ship Entertainment; diffusée par TVOKids et PBS
  • Reboot The Guardian Code (Identity Theft) – produite Mainframe Studio’s / Reboot 1 Productions; diffusée par YTV

Prix d’excellence pour la meilleure émission, prise de vues réelles, contenu non-scénarisé – 6-9 ans

  • Raven’s Quest (Madison) – produite par Apartment 11 Productions; diffusée par TVOKids
  • Super Mighty Makers (Fantastic Flexi Fish) – produite par marblemedia; diffusée par TVOkids et Knowledge Kids
  • TVOKids – This is My Family (Amy & Corey) – produite par TVO; diffusée par TVOKids
  • When I Grow Up! (Space Technician) – produite par Riverbank Pictures; diffusée par TVO

Prix d’excellence pour la meilleure émission, prise de vues réelles, contenu non-scénarisé – 9 ans et +

  • It’s My Party! (It’s My Party! Sadeh) – produite par Bristow Global Media; diffusée par TVO
  • Just Like Mom and Dad (Oatmeal Raisin’ the Roof) – produite par marblemedia; diffusée par YesTv et BYUtv
  • The Mystery Files (The Mystery of Nostra Culpa) – produite par Apartment 11 Productions; diffusée par TVOKids

Prix d’excellence, catégorie meilleur contenu numérique, première diffusion en ligne – tous âges

  • According to Kids – produit par CBC
  • Bravest Warriors – produit par Nelvana et Frederator Studios
  • Emerald Code – produit par Shaftesbury
  • Hope Works, Little Lights – produit par CBC
  • Miss Persona Season 2 – produit par Nelvana et Balloon House Productions
  • Princess Sparkly Butt & the Hot Dog Kid – produit par Balloon House Productions

Prix d’excellence pour la meilleure émission, catégorie animation – préscolaire

  • Daniel Tiger’s Neighbourhood (Daniel’s Fish Dies) – produite par 9 Story Media Group, Fred Rogers Productions; diffusée par Family Junior
  • Dot. – Super Ruby (Super Ruby) – produite par Industrial Brothers, The Jim Henson Company; diffusée par CBC
  • Esme and Roy (Hugo, We Have a Problem/A New Chapter) – produite par Nelvana, Sesame Workshop; diffusée par HBO et Treehouse TV
  • Ollie! The Boy Who Became What He Ate (Bean Raider) – produite par Radical Sheep; diffusée par Universal Kids, CBC
  • The Cat In the Hat Knows A Lot About That! (Mind Changing Fun) – produite par Portfolio Entertainment; diffusée par Teletoon
  • The Snowsnaps (What’s Your Treasure / The Monster) – produite par Carpediem Film & TV; diffusée par Treehouse TV
  • True and the Rainbow Kingdom (The Living Sea) – produite par Guru Studio; diffusée par CBC

Prix d’excellence pour la meilleure émission, animation – 6-9 ans

  • Chop Chop Ninja (Camping at Kami’s) – produite par Sardine Productions, Gamerizon Studio; diffusée par Teletoon
  • The Deep (Finn Comes Aboard) – produite par DHX Media, A Stark Production; diffusée par Family CHRGD
  • The Magic School Bus: Rides Again (The Good the Bad and the Gnocchi) – produite par 9 Story Media Group; diffusée sur Netflix
  • Total Dramarama (That’s a Wrap) – produite par Elliott Animation; diffusée par Cartoon Network et Teletoon
  • Wild Kratts (Choose Your Swordfish) – produite par 9 Story Media Group; diffusée par TVO

Prix d’excellence pour la meilleure émission, animation – 9 ans et +

  • Cupcake & Dino: General Services (Cupcake Days) – produite par Entertainment One, Birdo; diffusée par Teletoon et Netflix
  • The Dragon Prince (Bloodthirsty) – produite par Bardel Entertainment, Wonderstorm; diffusée sur Netflix
  • Wishfart (Does This Please The Jigmaster? / Baby… Seal… Thingy) – produite par Wishfart Productions; diffusée par Teletoon

Prix d’excellence, meilleur contenu interactif – préscolaire

  • Cutie Pugs Games – produit par Little Engine Moving Pictures, Sticky Brain Studios, TVOKids, TFO et Radio-Canada
  • Dino Dana Digital – produit par Sinking Ship Entertainment
  • Opie’s Home – produit par marblemedia
  • Ping and Friends – produit par Kondolole Films et TV PinGuim

Prix d’excellence, meilleur contenu interactif – 6-9 ans

  • CBC Kids Olympics – produit par CBC
  • Giver 150 – produit par Sinking Ship Entertainment
  • Mystery Files HQ – produit par Apartment 11 Productions
  • Odd Squad 2.0 – produit par Sinking Ship Entertainment
  • Raven’s Quest Online – produit par Apartment 11 Productions

Prix d’excellence, meilleur contenu interactif – 9 ans et +

  • CBC Kids News – produit par CBC
  • mPower – Grades 3-6 – produit par TVO
  • NFL Rush Gameday – produit par Relish et NFL

Prix d’excellence, jeune artiste exceptionnel

Attribué par un comité spécial, ce nouveau prix met en lumière un jeune interprète talentueux, de moins de 18 ans, qui se démarque par son rayonnement, son audace et sa présence positive sur toutes les plateformes.

  • Anna Cathcart
  • Saara Chaudry
  • Millie Davis
  • Isaac Kragten
  • Michela Luci

 

Lors de la soirée du gala, l’AMJ remettra le Prix carrière vouée à l’excellence à Fred Penner et le Prix de la relève à Rita Claire Mike-Murphy.

Les billets pour assister au gala sont en vente sur le site de l’AMJ. Cette célébration des contenus média jeunesse comprend un cocktail, le gala et une réception.

 

Les Prix d’excellence 2019 sont réalisés grâce à la participation financière de nos commanditaires : Principal – CBC Kids; Cocktail et Réception: DHX Media; Prestige – 9 Story Media Group, le Fonds des médias du Canada / NOUS, le Fonds indépendant de production, le Fonds Shaw-Rocket et Sinking Ship Entertainment; Excellence – Apartment 11 Productions, Fresh TV, Guru Studio, marblemedia et Landslide Entertainment.

Félicitations à tous les nommés, rendez-vous le 29 mai !

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Streamers : Une websérie documentaire qui plonge au cœur d’un phénomène mondial : le streaming de jeux vidéo

Lancement de Streamers (ONF/ARTE France), créé par Guillaume Braun, en collaboration avec Marie-Eve Tremblay

Une websérie documentaire qui plonge au cœur d’un phénomène mondial : le streaming de jeux vidéo

 

L’Office national du film du Canada et ARTE France lancent dès le 27 mars, sur la chaîne YouTube et la page Facebook de l’ONF, la websérie documentaire Streamers, réalisée par Guillaume Braun, spécialiste de l’interactivité et du numérique et passionné de jeux vidéo, en collaboration avec Marie-Eve Tremblay, spécialiste des mouvements sociaux à l’ère numérique et chroniqueuse à Radio-Canada.

La série Streamers donne la parole à 14 streamers de jeux vidéo professionnels sur la célèbre plateforme Twitch, où ils diffusent leurs performances en temps réel devant leur communauté.

En quatre épisodes d’une dizaine de minutes chacun, tous tournés avec les mêmes outils que ceux que les streamers utilisent quotidiennement pour se mettre en scène sur Twitch, la série expose les questions et les réflexions issues des quatre ans d’immersion du créateur et narrateur Will (l’avatar de Guillaume Braun) au cœur de cette plateforme comptant plus de 100 millions d’utilisateurs par mois. Les protagonistes s’ouvrent avec générosité et lucidité et donnent un accès privilégié à leur rapport au monde, à un nouveau mode d’interaction sociale et aux codes générés par ce phénomène, et ce, à partir de leur univers quotidien. Pour les non-initiés, le streaming peut paraître étrange, voire inconcevable comme phénomène culturel. Et pourtant, Twitch fait partie des plus grands utilisateurs de bande passante aux États-Unis, aux côtés de Google, Facebook et Netflix. En fait, à travers l’univers du streaming de jeux vidéo, la série traite de notre besoin fondamental d’exister et d’appartenir à quelque chose de plus grand.

Twitch en chiffres : un phénomène mondial et actuel

15 millions d’utilisateurs uniques quotidiens
Plus de 100 millions d’utilisateurs par mois
Plus de 2,2 millions de diffuseurs par mois
(Chiffres récents de Twitch)

Le cinéma direct à l’ère du numérique

La série a été réalisée sur quatre ans, avec une approche par étapes semblable au documentaire d’observation. Le contact s’est établi directement avec les protagonistes et un lien de confiance s’est tissé à travers le temps, afin qu’ils puissent mettre en lumière leur réalité et que leur travail soit reconnu et compris. Leur position sur leur pratique est complexe et profonde. La série veut aller bien au-delà de la performance des streamers, des préjugés simplistes et du sensationnalisme, et donne la parole aux acteurs de ce phénomène mondial. Streamers explore cette culture médiatique qui transforme la façon dont les communautés émergent et la manière dont les gens créent des relations, interagissent et s’engagent.

 

Une websérie en quatre épisodes

Quatre grands thèmes y sont explorés : l’engagement de la communauté, le langage et les codes de Twitch, la monétisation du streaming, et l’équilibre entre la vie en ligne et la vie hors ligne.

Épisode 1 : Bâtir sa communauté

Will, le créateur et narrateur de Streamers, parle de ce qui l’a amené à s’immerger durant les quatre dernières années de sa vie dans l’univers du streaming de jeux vidéo. Les communautés qui entourent les streamers sont constituées de gens provenant de partout dans le monde, qui discutent, se rassemblent, se soutiennent, se rencontrent dans la vraie vie, brouillant ainsi les frontières entre le réel et le virtuel.

Épisode 2 : Décoder le langage

Will vous emmène au cœur du chat, lien fondamental d’interaction entre les streamers et leur communauté. La plateforme possède son propre langage, constitué de codes et d’univers graphiques uniques. Le chat permet de créer un esprit de village dans lequel la communauté fixe ses propres règles, et où les streamers sont les chefs qui élaborent leurs stratégies contre les trolls.

Épisode 3 :Streamer.Manger. Dormir. Recommencer.

Will explore, avec les protagonistes, les différentes façons dont les streamers peuvent monétiser leur présence en ligne, et de quelle manière ils perçoivent leur succès. Les revenus proviennent principalement des abonnés, ce qui permet à certains streamers de vivre de leur passion, et donc de produire plus de contenu. Cet engagement total envers la communauté peut cependant mener à un rythme de vie effréné, source d’isolement à long terme.

Épisode 4 : Trouver son équilibre

Les streamers font part de leur expérience avec vulnérabilité, honnêteté et lucidité. Ils pensent au futur de leur carrière, de leur chaîne et de leur communauté, et à l’avenir du streaming. Définir la limite entre leur vie en ligne et leur vie hors ligne est une quête qui leur permet souvent de trouver leur voie et de bâtir la communauté dont ils ont envie. Cependant, trouver son équilibre peut être difficile, car l’excès est souvent récompensé.

Les streamers participant à la série

Will a rencontré les 14 protagonistes pendant son immersion au cœur de Twitch. Les streamers, hommes et femmes, viennent d’Amérique du Nord et d’Europe, des États-Unis au Canada en passant par la France et l’Allemagne :

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L’ONF et ARTE France

Au fil de leurs collaborations (pensons à la série documentaire Traque interdite de Brett Gaylor, qui a connu plus d’un million de visionnages en ligne), l’ONF et ARTE France continuent à appuyer des démarches de création explorant les sujets actuels avec les moyens technologiques et les plateformes d’aujourd’hui. Ils permettent ainsi aux créateurs de rendre accessibles des phénomènes sociaux par les personnes mêmes qui les vivent et les façonnent, allant bien au-delà des préjugés pour créer des ponts avec le public qui connaît peu ces réalités.

Équipe de création

Idée originale : Guillaume Braun
Réalisation : Guillaume Braun, en collaboration avec Marie-Eve Tremblay
Identité visuelle et animation graphique : Akufen
Narration : Guillaume Braun
Production : Louis-Richard Tremblay et Marie-Pier Gauthier (ONF), Lama Serhan et Marianne Lévy-Leblond (ARTE France)

L’ONF en bref

Au carrefour mondial des contenus numériques, l’Office national du film du Canada (ONF) crée des animations et des documentaires interactifs d’avant-garde, du contenu pour appareils mobiles ainsi que des installations et des expériences participatives. Les productions interactives et plateformes numériques de l’ONF ont remporté 100 récompenses, dont 18 prix Webby. Pour accéder au contenu primé de l’ONF, allez à ONF.ca ou téléchargez ses applications pour appareils mobiles.

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Connexion en cours avec Mani Soleymanlou

CONNEXION EN COURS

Ce n’est pas parce qu’on s’entend…qu’on se comprend.

TV5 Québec Canada et TV5MONDE dévoileront le 27 mars prochain la deuxième saison de Connexion en cours, une fiction originale lancée en exclusivité sur Facebook. Écrite et interprétée par Mani Soleymanlou, la série comporte 22 épisodes d’environ 5 minutes qui présentent les regards croisés de trois générations. Les vidéos seront diffusées sur Facebook à raison de 3 ou 4 par semaine et seront intercalées d’échanges entre les personnages.

La première saison a dépassé 3,2 millions de visionnements sur Facebook dans plus de 50 pays à travers le monde.

 

Soutenir des liens intimes dans une société plus connectée que jamais

Qui sommes-nous dans cette multitude de cultures alors que les distances sont autant virtuelles que physiques? Comment appréhende-t-on la différence, la nouveauté, les changements? Cette saison aborde les communications familiales à l’ère des technologies virtuelles, les racines, les origines et l’identité. La fiction intègre la réalité du fil d’actualité Facebook, alors que les protagonistes publient des messages, tiennent des conversations, échangent des photos et des commentaires.

Après son expérience parisienne, Mani est de retour à Montréal pour se rapprocher de sa mère et de sa fille. Mais les retrouvailles sont de courte durée. À 16 ans, Lili prend son envol et participe à un échange scolaire aux États-Unis. Installée chez une famille afro-américaine de Détroit, elle découvre un univers d’injustices, de racisme et une collectivité en reconstruction… Mamie, elle, a vendu tout ce qu’elle possédait pour réaliser le rêve de sa vie : s’installer à la campagne! Mais même les mains dans la terre, sa tête semble ailleurs…

De nouveau seul face à lui-même, Mani cherche un équilibre dans ce Montréal qu’il réapprivoise. Son début de quarantaine sonne l’heure d’une crise existentielle. Il sent le besoin de créer et de trouver un nouveau sens à sa vie. Une démarche intérieure mise au défi par ces connexions incessantes qui parfois brouillent les pistes, parfois les éclairent.

facebook.com/ConnexionEnCoursLaSerie

Avec Mani Soleymanlou (Mani), Tayna V. Lavoie (Lili), Monique Miller (Mamie), Hasani Freeman (Deyon), Preach (Tyrell), Adrien Bletton (Didier), Charles Bender (Charles), Ève Duranceau (Stéphanie)

Réalisation : Jean-François Leblanc
Scénarisation : Mani Soleymanlou
Production : Benoit Beaudoin, Samuel St-Pierre, Judith Brès

Une collaboration qui rejoint les francophones partout sur la planète

Connexion en cours s’inscrit dans un environnement de création collaboratif instauré par TV5 Québec Canada et TV5MONDE. Depuis quatre ans, des projets numériques communs explorent différents thèmes pertinents pour les francophones d’ici et d’ailleurs. En 2015, l’expérience interactive Climat sous tension est lancée en marge de la Conférence de Paris sur les changements climatiques. L’année suivante, les 35 épisodes de la première saison de Connexion en cours sont diffusés en primeur sur Facebook. En 2018, 60 jours d’intelligence artificielle propose une série de blogues vidéo sur l’intelligence artificielle et son intégration au quotidien.

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La Fabrique culturelle de Télé-Québec lance sa nouvelle série Ceux qui content !

La Fabrique culturelle de Télé-Québec lance sa nouvelle série Ceux qui content

 

La Fabrique culturelle présente sa toute nouvelle série Ceux qui content, un projet qui dresse le portrait de cinq conteurs et conteuses du Québec et nous ouvre les portes de leurs univers.

Cinq artistes à l’imagination débordante

Simon Gauthier, de Saint-Élie-de-Caxton, nous invite dans son monde magique et lumineux. Ses contes sont remplis de rêves, d’étoiles, d’étincelles, de liberté, de foi et d’idéaux.

Melissa Mollen Dupuis nous entraîne de Montréal à Mingan et nous offre des contes aux dimensions érotiques, absurdes ou humoristiques.

Frank Sylvestre propose un univers fantastique où s’entremêlent la spiritualité, la sorcellerie et la musique des Caraïbes.

Marie-Anne Dubé habite Cap-au-Renard, en Gaspésie. Son style de vie axé sur la décroissance, l’écologie et le retour à l’essentiel influence grandement son œuvre.

François Lavallée présente des histoires à la fois tendres et cruelles, empreintes d’une grande poésie, qui rappellent parfois l’univers de Tim Burton, de Terry Gilliam ou encore des westerns classiques.

La série a été produite grâce à l’appui financier du ministère de la Culture et des Communications du Québec, qui soutient des initiatives de promotion et de valorisation de la langue française dans l’espace public. Elle s’arrime au programme Circuit Paroles Vivantes, un projet du Regroupement du conte au Québec, appuyé par le CALQ.

Un échantillon de la grande richesse de cette forme d’art qui retrouve ses lettres de noblesse depuis près de vingt ans au Québec. À voir sur lafabriqueculturelle.tv.

 

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À propos de La Fabrique culturelle

La Fabrique culturelle est la plateforme culturelle numérique de Télé-Québec. Elle est alimentée par les dix bureaux régionaux de Télé-Québec ainsi que par une centaine de partenaires du milieu culturel et les membres de la communauté. Elle a pour mandat de faire rayonner les arts et la culture en valorisant l’identité culturelle québécoise sur l’ensemble du territoire, principalement à travers la créativité de ses artistes et artisans. La Fabrique culturelle est sur Facebook, Twitter, Instagram. lafabriqueculturelle.tv

À propos de Télé-Québec

Télé-Québec est la chaîne de télévision publique à vocation éducative et culturelle du Québec. Elle propose une programmation unique qui a pour but de cultiver le goût du savoir, de favoriser l’acquisition de connaissances, de susciter la réflexion, de promouvoir la vie artistique et culturelle d’ici ainsi que de refléter les réalités régionales et la diversité du Québec. Outre son siège social établi à Montréal, la Société compte 10 bureaux régionaux. On peut suivre Télé-Québec sur Facebook et Twitter. telequebec.tv

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Trois séries pour ados débarquent demain sur ICI TOU.TV !

Trois nouvelles séries destinées spécialement aux ados prennent l’affiche sur ICI TOU.TV

Le magazine C’EST QUOI L’TRIP? sur la section gratuite d’ICI TOU.TV et les dramédies AVEC MOI et NOMADES sur ICI.TOU.TV EXTRA.

Les deux premiers épisodes seront mis en ligne dès demain et tous les autres, le jeudi 28 mars.

AVEC MOI est une dramédie en 8 épisodes signée par l’autrice et comédienne Marie-Ève Larivière qui y incarne la mère de Rosie, une fille de 16 ans incarnée par Milya Corbeil Gauvreau. Cette dernière connaît un succès fulgurant sur YouTube, mais vivre son adolescence tout en étant une webcélébrité n’est pas la plus simple des propositions tant pour elle que pour ses proches.

Réalisatrice : Sarah Pellerin
Producteurs : Laurie Caron et Micho Marquis-Rose (Attraction Images)

 

NOMADES écrite par Érika Mathieu et Julie Roy est une dramédie en 10 épisodes qui nous fait partager le parcours initiatique de Sam (Romane Denis), une fille de 17 ans de Trois-Pistoles, qui décide de passer un mois dans une auberge de jeunesse à Montréal où elle fera de nombreuses rencontres au fil d’aventures et de mésaventures.

Réalisateur : Yannick Savard
Producteurs: Julia Langlois, Julie Lavallée, Carlos Soldevila (Trio Orange)

 

 

C’EST QUOI L’TRIP? Laisser pousser son poil, montrer ses fesses sur Instagram, devenir végane : Rosalie Bonenfant décortique les tendances du moment! Avec son franc-parler et sa curiosité, elle interroge ses invités et affronte ses préjugés en se mettant à l’épreuve. Réussira-t-elle à comprendre c’est quoi l’trip? 8 émissions de 10 à 12 minutes sont consacrées à un trip en particulier.

Animatrice, autrice et collaboratrice au contenu : Rosalie Bonenfant
Réalisateur : David Noiseux
Productrice : Christine Beaudet (Attraction Images)

 

Trois séries super cool sur ICI TOU.TV!

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Le FMC annonce des investissements de plus de un million de dollars avec le Danemark et la Nouvelle-Zélande

Le Fonds des médias du Canada (FMC) a dévoilé les résultats de deux de ses partenariats avec des organismes de financement étrangers.

 Grâce aux collaborations avec l’Institut danois pour le cinéma (IDC) et NZ On Air, de la Nouvelle-Zélande, six projets recevront un total de plus de un million de dollars canadiens.

Le partenariat entre le FMC et l’IDC en est à sa deuxième année consécutive. Les deux organismes verseront des investissements équivalents, pour un total de plus de 278 000 $CA, destinés au codéveloppement de quatre projets de médias numériques.

De son côté, le partenariat entre le FMC et NZ On Air en est à sa cinquième année. Il financera cette année la production de deux projets de médias numériques pour enfants et jeunes. Les deux organismes investiront plus de 740 000 $CA; ils verseront chacun environ la moitié de cette somme.

Pour chacune des deux mesures incitatives, un comité de sélection composé de représentants du FMC et de l’autre organisme de financement concerné a évalué et sélectionné les projets.

À propos du Fonds des médias du Canada

Le Fonds des médias du Canada (FMC) favorise, promeut, développe et finance la production de contenus canadiens et d’applications pertinentes pour toutes les plateformes audiovisuelles. En outre, il oriente les contenus vers un environnement numérique mondial concurrentiel en soutenant l’innovation de l’industrie, en récompensant le succès, en favorisant la diversité des voix et en encourageant l’accès à des contenus grâce à des partenariats avec l’industrie et le secteur privé. Pour en savoir plus, veuillez visiter cmf-fmc.ca.

À propos de l’Institut danois pour le cinéma

Relevant du ministère de la Culture, l’Institut danois pour le cinéma (IDC) est l’organisme national pour le cinéma et la culture cinématographique du Danemark. L’IDC offre du financement au développement, à la production et à la distribution de films, de séries, de jeux vidéo et d’autre contenu audiovisuel. L’IDC souhaite encourager la diversité et le goût du risque dans l’industrie, notamment en offrant de nombreuses formes de financement, en mettant de l’avant l’émergence de talent, en demeurant à l’affût des nouvelles plateformes numériques et en nouant des partenariats internationaux. Situé au centre-ville de Copenhague, l’IDC constitue également un lieu de rencontre pour les universitaires et les cinéphiles. Il présente des projections à la Cinémathèque et possède une bibliothèque ainsi que des archives photographiques. Pour en savoir plus : dfi.dk/en.

À propos de NZ On Air

NZ On Air est un organisme gouvernemental de financement à la télédiffusion qui investit dans divers médias locaux, notamment la télévision, la radio, la musique et les médias numériques, pour les auditoires néo-zélandais. Le contenu financé par NZ On Air reflète et renforce l’identité et la culture néo-zélandaises en vue d’accroître la diversité sur les écrans, en ondes et sur la scène numérique. Pour en savoir plus, veuillez consulter nzonair.govt.nz

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