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Le Fonds Bell annonce ses décisions du Programme de séries numériques de format court.

 Le conseil d’administration du Fonds Bell annonce ses décisions faisant suite au dépôt du Programme de séries numériques de format court.

Plus de 2,7 M$ en contributions non remboursables sont accordés, incluant environ 700 k$ pour financer les activités de découvrabilité en lien avec les séries.

En tout, ce sont 15 sociétés de production indépendantes de la Colombie-Britannique, du Québec et de l’Ontario qui obtiennent du soutien financier pour 9 projets anglophones et 6 projets francophones.

Les projets francophones suivants ont reçu une contribution non remboursable du Programme de séries numériques de format court en production et en découvrabilité. Le public aura la chance de visionner deux séries de fiction et quatre de non-fiction. 

Séries numériques de format court
1111 – La mélancolite
Must Média
ICI Tou.tv
10 x 8 min
Bruno Blanchet décide de parcourir 1111 km afin de ramasser des fonds pour combattre la Mélancolite, maladie grave et rare du « c’était mieux avant » dont son ami Guy Jodoin est atteint. Bruno veut lui prouver que les gens ne l’ont pas oublié, et lui démontrer que le présent vaut aussi la peine d’être vécu.
Décoloniser l’histoire
Picbois Productions
Société Télé-Québec
10 x 5 min
Décoloniser l’histoire est une série de courtes vidéos documentaires qui mettent en lumière des pans méconnus de l’histoire canadienne, de façon à se débarrasser des biais colonialistes ou racistes qui ont modifié notre perception des personnes racisées ou autochtones.
Félix, Maude et la fin du monde
Trio Orange
ICI Tou.tv
10 x 13 min
Félix, Maude et la fin du monde est une comédie dramatique fantastique qui suit l’histoire de deux jeunes adultes qui croient être les derniers survivants de la planète Terre.
Fragments
Urbania
Urbania.ca
60 x 4 min
FRAGMENTS est une série numérique racontée au « je ». Dans un décor mobile, des hommes et des femmes de tous horizons partagent une expérience marquante de leur vie. Rassemblées, leurs confessions composent une trame dramatique aussi riche qu’éclatée, un album de famille au potentiel encyclopédique.
Ici comme nulle part ailleurs
1 ou 2 Cocktails
Page Facebook de 1 ou 2 Cocktails
8 x 10 min
Ils ont décidé de plonger tête première dans l’aventure de la microdistillation, par défi, par passion et animé par le désir de faire les choses à leur façon. Dans la série Ici comme nulle part ailleurs, Rose prend les routes du Québec afin d’aller à la rencontre des distillateurs d’ici, ces gens singuliers qui nous donnent envie de boire local.
Vivre ensemble
Eurêka! Productions
Savoir Média
12 x 14 min
La série documentaire Vivre ensemble s’intéresse aux Québécois issus de la diversité, comme Samina, Eduardo, Akli ou Aïcha, qui ont des réalités à raconter et des idées à transmettre à la majorité. Faisant de chacun d’eux l’acteur principal de son épisode. Vivre ensemble célèbre la cohésion culturelle !

Les projets anglophones suivants ont reçu une subvention du Programme de séries numériques de format court en production et en découvrabilité.

Séries numériques de format court
Auto Aficionado
N5 Pictures Inc
PetrolTV – YouTube
10 x 10 min
Dating Unlocked
Border2Border Entertainment
OUTtvGo
10 x 15 min
From the Shadows
Hammer & Tong
APTN lumi
6 x 5 min
Gay Mean Girls S2
Gearshift Films
KindaTV – YouTube
8 x 12 min
NarcoLeap S2
KGP Films
Highball.TV
6 x 15 min
Revenge of the Black Best Friend
iThentic
CBC Gem
6 x 10 min
Tokens S2
A Token Entertainment Company
Tokens On Call – YouTube
10 x 6 min
Unknown Canada
Tattle Inc.
Tattle – YouTube
16 x 8 min
Watch TV
Kelly & Kelly
CBC Gem
6 x 15 min

 

 

Téléfilm Canada : Phase 2 du Fonds de soutien d’urgence

Phase 2 du Fonds de soutien d’urgence : Détails et critères maintenant en ligne pour les partenaires de formation et de perfectionnement et les salles de cinéma

Le Gouvernement du Canada a dévoilé dernièrementles derniers volets de la deuxième et dernière phase du Fonds de soutien d’urgence, incluant notamment des investissements de 1 755 000 $ et 1 000 000 $ à être distribués par Téléfilm respectivement aux salles de cinéma qui présentent des films canadiens et aux partenaires de formation et de perfectionnement en audiovisuel qui n’ont pas déjà reçu de soutien financier dans le cadre du Fonds de soutien d’urgence.

Les détails et les critères du processus de dépôt des demandes sont maintenant en ligne.

Téléfilm commencera à accepter les demandes à compter du 17 août 2020.

Cette aide d’urgence annoncée par le gouvernement fédéral fait partie d’un écosystème de financement à plusieurs volets qui complète, sans les dupliquer, les autres mesures auxquelles les travailleurs et les entreprises du secteur sont admissibles. Ces fonds visent à aider les entreprises canadiennes des secteurs du film et de la télévision à demeurer actives et à garder leurs employés.

Toute question peut être adressée à covid-19@telefilm.ca.

Pour obtenir l’information la plus récente sur le Fonds d’urgence relatif à la COVID-19 pour soutenir les organismes chargés de la culture, du patrimoine et du sport, veuillez cliquer ici.

 

 

 

IATSE514 communique avec ses membres au sujet de la fusion des organisations syndicales

Montréal le 15 juillet 2020

À tous nos membres

OBJET : Importance de la fusion

Bonjour à tous et à toutes,

Depuis une semaine maintenant, vous en avez appris un peu plus sur nos intentions de fusionner nos organisations syndicales. Bien entendu, il s’agit d’un changement important dans votre vie professionnelle et nous sommes conscients de l’impact d’un tel changement sur les gens.

Cette fusion est la vôtre. Nous le faisons pour l’intérêt supérieur des membres et avec comme objectif d’unir nos forces derrière un projet rassembleur. Depuis plusieurs mois, nous nous sommes rencontrés avec nos équipes respectives afin d’établir les fondements d’une nouvelle organisation syndicale. Nous sommes tous et toutes en faveur de ce qui vous est présenté et nous croyons fortement que cette proposition est dans l’intérêt de tous les travailleurs et de l’industrie de l’audiovisuel.

Cette force syndicale du milieu de l’audiovisuel aura comme rôle, entre autres, de démontrer que la stabilité syndicale est présente au Québec. Cette même stabilité pourrait favoriser de nombreuses possibilités d’investissement dans notre industrie. Nous, la main-d’œuvre de l’industrie, avons une occasion unique de démontrer notre leadership, mais plus important, notre attachement à cette industrie de la production cinématographique et télévisuelle du Québec. Assurons-nous de ne pas manquer l’occasion d’envoyer un message fort !

Aujourd’hui, nous aimerions nous faire rassurants. Dans les prochaines semaines, nous procéderons à d’autres rencontres d’information vous permettant ainsi d’en apprendre plus et de mieux comprendre le projet. Nous vous invitons à soutenir ce projet de fusion afin de mettre définitivement de côté les querelles du passé.

En terminant, nous tenons à vous encourager à prendre le temps de bien vous informer et souhaitons que votre réflexion se fasse dans les meilleures conditions possibles !

Solidarité,

 

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Lettre ouverte à la ministre de la culture et des communications Nathalie Roy

L’objectif de la lettre est d’assurer que la relance en culture soit inclusive, paritaire, et que les artistes, groupes et entreprises culturelles autochtones et de la diversité puissent en bénéficier.

Mme Nathalie Roy
Ministre de la culture et des communications
Gouvernement du Québec

Madame,

Le mois dernier, votre gouvernement a annoncé un Plan de relance de 400 millions de dollars pour aider le secteur culturel à surmonter les effets de la pandémie. Cet investissement exceptionnel montre que vous valorisez les artistes et reconnaissez l’importance des activités et produits culturels. Le Québec a été rudement éprouvé par la pandémie et la reprise des activités du secteur culturel aura des retombées sociales et financières considérables.

Cependant, il est un peu décevant de constater que rien ne semble être mis en place pour assurer que cette relance soit inclusive, paritaire, et que les artistes, groupes et entreprises culturelles autochtones et de la diversité puissent en bénéficier. 

Le Plan de relance parle d’un nouveau départ – nous en avons tous besoin. Il se donne pour but de stimuler la production de « contenu culturel de nos artisans et nos créateurs [] reflétant notre société ». Nous ne doutons pas que les mesures et les termes employés se veulent englobants et bienveillants, mais force est d’admettre qu’il reste encore beaucoup de travail pour que la culture québécoise reflète la richesse et la diversité de ses artistes et de son tissu social. Et ce travail ne peut être accompli sans l’engagement du Ministère et des bailleurs de fonds. 

Puisque l’essentiel de l’investissement en question sera administré par la Sodec, le CALQ et le Ministère lui-même, nous aimerions vous suggérer d’être attentifs à cette réalité, voire de songer à des mesures pour favoriser l’accès des écrivains et artistes autochtones et des minorités à ces généreux fonds. Plus particulièrement, puisque la situation des femmes vous tient sûrement à cœur, gardez en tête que les femmes de ces groupes rencontrent un double écueil dans leur avancement professionnel ; une mesure les incitant à appliquer nous évitera de perdre des acquis encore fragiles.

À titre d’exemple, la Ville de Montréal a rendu public le rapport de sa Consultation sur le racisme et la discrimination systémiques dans les compétences de la Ville. Dans ce rapport paru le 15 juin, on reconnaît que la discrimination envers les personnes racisées et autochtones subsiste, et on propose des mesures pour tenter d’y remédier. En ce qui concerne la culture, nous saluons la recommandation #26 qui préconise de fixer des cibles claires pour assurer un meilleur financement des artistes racisés et autochtones, ainsi que de produire un bilan annuel afin de mesurer la progression de l’atteinte de ces cibles. [1]

Le Ministère a accompli un travail admirable en mettant sur pied six comités sectoriels dans le but de préparer cette relance. Lesdits comités comprennent pratiquement tous les regroupements et associations professionnelles, mais nous sommes inquiets de n’y voir aucun regroupement culturel dont les mandats concernent spécifiquement la condition féminine, la diversité et les artistes autochtones.  [2]

Les femmes et les Québécois des minorités ont joué un rôle crucial dans la traversée de cette pandémie – occupant une grande partie des postes considérés essentiels, fournissant des soins, gardant le fort à la maison. Paradoxalement, les recherches et analyses indiquent de façon plutôt unanime que ces mêmes personnes seront les plus durement frappées dans l’après-coup.

Il y a eu bien des remous sur la question du racisme et de l’exclusion ces derniers temps. Notre premier ministre y a répondu en préconisant l’action et le regard vers l’avenir. C’est ce que les groupes signataires font depuis des années, des décennies. Aidez-nous à bâtir une culture plus inclusive, solidaire et résiliente. Dans le contexte actuel, plus que jamais, la parité hommes-femmes et la représentation de la diversité doivent demeurer des priorités pour le Ministère et ses bailleurs de fonds.

 

[1] P. 33, Résumé du rapport de la consultation sur le Racisme et la discrimination systémiques dans les compétences de la Ville de Montréal, juin 2020, Office de consultation publique de Montréal.

[2] Le Secrétariat à la diversité culturelle du Ministère ne figure pas dans ces consultations et le contenu de sa page web ne fait part d’aucune initiative récente.

 

Bien à vous,

 

Réalisatrices Équitables

Femmes du cinéma, de la télévision et des médias numériques (FCTMN)

Festival Vues d’Afrique

Terres en vues (Festival international Présence autochtone)

Diversité artistique Montréal (DAM)

Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ)

L’Observatoire du documentaire

DOC Québec

Isuma Distribution / IsumaTV

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L’ex-PDG de Frima Studio, Steve Couture lance une entreprise de divertissement jeunesse à portée internationale

EPIC STORYWORLDS – Une nouvelle entreprise de divertissement jeunesse à portée internationale voit le jour à Québec

L’ex-PDG de Frima Studio, Steve Couture, dévoile Epic Storyworlds, une nouvelle entreprise de divertissement jeunesse vouée à propulser du contenu original sur le marché mondial. La nouvelle entité qui voit le jour à Québec en partenariat avec Epic Story Media et le producteur à succès Ken Faier, de Toronto, réalisera en 2021 une première web-série québécoise, Dex et les Humanimaux, en collaboration avec Radio-Canada et Tou.TV.

« Ce projet est l’aboutissement de deux ans de travail avec mon partenaire et ami de longue date, Ken Faier. Je rêvais depuis longtemps de mettre sur pied une entreprise qui permettrait aux créateurs de contenu jeunesse de se concentrer sur ce qu’ils font de mieux, soit créer des univers et des personnages extraordinaires, tout en leur donnant les moyens d’exporter leurs créations partout dans le monde. Epic Storyworlds était le chaînon manquant au Québec pour ces créateurs qui auront maintenant plus de facilité à commercialiser leurs idées », affirme Steve Couture, co-fondateur de Epic Storyworlds.

Le carnet de commandes de Epic Storyworlds est déjà bien rempli. Plusieurs projets sont en développement et seront lancés sur les marchés internationaux dans les prochaines années sous forme de séries d’animation pour les plateformes numérique et les télédiffuseurs, de jeux pour appareils mobiles et consoles, et de jouets électroniques innovants.

« Steve et moi croyons que le succès d’une création jeunesse s’explique par un habile mélange d’univers et de personnages qui font rêver, et de produits dérivés de jeux et de jouets qui maintiennent l’intérêt pendant des générations. Avec Epic Storyworlds, nous allons créer un catalogue de propriétés à succès qui vont atteindre le cœur d’enfants », mentionne Ken Faier, pdg de Epic Story Media et co-fondateur de Epic Story Worlds.

Une première production locale

La première production signée par Epic Storyworlds verra le jour en 2021 en partenariat avec Radio-Canada et Tou.TV. Il s’agit d’une web-série d’animation destinée aux 6-11 ans nommée Dex et les Humanimaux, une création québécoise de Raymond Boisvert et Paul Stoica.

« Le projet a été présenté dans le cadre de quelques événements internationaux et a généré beaucoup d’enthousiasme. Mais c’est avec des partenaires locaux que sera initiée cette première phase de la production de six épisodes en animation », précise Steve Couture.

Le projet de plus d’un million $ est soutenu financièrement par le Fonds Shaw-Rocket, le Fonds des médias du Canada et la Ville de Québec via le bureau des grands événements. Epic Storyworlds prévoit dévoiler plusieurs autres projets prometteurs au cours des prochains mois.

« La Ville de Québec est heureuse de contribuer à la réalisation de cette web-série d’animation produite et développée à Québec, a indiqué le maire, M. Régis Labeaume. Ce sont des projets originaux comme ceux-ci qui font rayonner largement l’expertise de nos artisans locaux et qui consolident la réputation de Québec comme étant un important pôle pour l’industrie cinématographique et télévisuelle. Nous pouvons en être très fiers. »

Le premier projet de Epic Storyworlds sera une web-série d’animation québécoise destinée aux 6-11 ans nommée Dex et les Humanimaux, produite en collaboration avec Radio-Canada et Tou.TV.

 

 

 

À propos de Epic Story Worlds

Entreprise de Québec qui exploite un catalogue de contenu jeunesse (série animée, jeu vidéo et jouets innovants) a été fondée par Steve Couture et Ken Faier (Epic Story Media).   Les projets du catalogue s’adressent à un publique de 3 à 12 ans et sont parfois des produits de divertissement, parfois des produits ludo-éducatifs, mais adressent systématiquement le marché mondial.

À propos des fondateurs Steve Couture et de Ken Faier

Steve Couture est connu dans le secteur du jeu vidéo comme co-fondateur et pdg de Frima Studio, l’un des plus grands studio Canadien de production de jeux vidéo. En plus de piloter Epic Story Media, Ken Faier est aussi connu dans le marché nord-américain du contenu jeunesse comme président du studio d’animation canadien Nerd Corps Entertainment et vice-président principal de la boite de production de contenu Wildbrain (anciennement DHX Media).

 

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Télétoon la nuit | Xavier Dolan et Guylaine Tremblay prêtent leur voix à la série web Mouvement Deluxe

Xavier Dolan et Guylaine Tremblay prêtent leur voix dans des épisodes de la saison 3 de la série web Mouvement Deluxe de Télétoon la nuit

Télétoon la nuit poursuit la diffusion de la deuxième moitié de la saison 3 qui s’amorce avec une perte bien importante pour le personnage de Bobby Botché. Le pauvre a perdu ses parties génitales et il consacrera les derniers épisodes à tenter de retrouver « son précieux péni », en passant par une surprenante quête médiévale. Il croisera sur sa route de nouveaux personnages interprétés par GuylaineTremblay et Xavier Dolan, qui s’ajoutent à la distribution cette année dans des rôles, disons-le, surprenants.

La série composée de 10 épisodes et de plusieurs contenus bonus sera mise en ligne à partir du 25 mai 2020 sur les pages Facebook et YouTube de Télétoon la nuit ainsi que sur le site : teletoonlanuit.com/mouvement-deluxe Les épisodes sont mis en ligne les lundis, tandis que les bonus seront disponibles les mardis, mercredis, jeudis et vendredis.

Mouvement Deluxe
Production : Sport – Johannie Deschambault Réalisation et conception : Mathieu Handfield

À propos de Corus

Corus exploite au Québec les marques de télévision spécialisée francophone Historia, Séries Plus, Télétoon et La chaîne Disney. Corus est une filiale de Corus Entertainment (TSX: CRJ.B), une compagnie leader de médias et de contenus qui développe, diffuse et distribue des marques et des contenus de haute qualité sur une variété de plateformes pour des publics à travers le monde. L’entreprise qui évolue depuis 1999 détient un portefeuille de services multimédias qui englobe 34 chaînes de télévision spécialisée, 39 stations de radio, 15 stations de télévision conventionnelle, un service de distribution internationale, des propriétés numériques, des logiciels d’animation, des services de technologie et de média. Corus est un créateur et un distributeur de contenus renommé, notamment grâce à son studio d’animation Nelvana, aux Studios Corus, et sa division d’édition de livres pour enfants : Kids Can Press. L’entreprise possède également un service de contenu numérique complet : so.da, et une unité dédiée à l’art de vivre et au divertissement : Kin Canada. Les marques de choix de Corus incluent entre autres Global Television, W Network, HGTV Canada, Food Network Canada, HISTORY®, Showcase, Adult Swim, National Geographic, Disney Channel Canada, YTV and Nickelodeon Canada, Global News, Globalnews.ca, Q107, Country 105 and CFOX. Visitez Corus au www.corusent.com

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Une entrevue de Gabriel Pelletier, président de l’ARRQ par Marc Lamothe

Une entrevue de Gabriel Pelletier, président de l’ARRQ par Marc Lamothe

« Les membres de l’ARRQ sont des créateurs professionnels et ce ne sera pas la première fois qu’ils devront s’adapter au changement. Je leur fais confiance. Ce sont les meilleurs… »

L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) a porté au fil de son histoire plusieurs noms. Fondée en 1973 en tant qu’Association des réalisateurs de films du Québec (ARFQ) avec, entre autres buts, celui d’obtenir des institutions du financement pour l’industrie du cinéma au Québec, ce qui a notamment mené à la création d’une loi-cadre pour le cinéma en 1975. Avec l’arrivée des réalisateurs de télévision de l’industrie privée qui désiraient aussi être représentés, l’association change de nom en 1991 pour devenir l’Association québécoise des réalisateurs et réalisatrices de cinéma et télévision (AQRRCT). C’est en 1997 qu’elle devient enfin l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ). Elle compte présentement près de 800 membres et la Loi sur le statut de l’artiste la reconnaît comme représentant tous les réalisateurs actifs œuvrant en français ou dans toute autre langue que l’anglais au Québec.

Gabriel Pelletier est devenu président de l’association en 2014 et y complète actuellement son troisième mandat. Il avait repris les rênes laissées par François Côté et Jean Pierre Lefebvre avant lui.

Né en 1958 à Montréal, Gabriel Pelletier est un réalisateur dont le parcours tergiverse entre le cinéma et la télévision. En 1991, il réalise son premier long métrage, L’AUTOMNE SAUVAGE. En 1996, KARMINA s’impose comme l’un des tout premiers longs métrages québécois de vampire et se mérite les accolades de nombreux festivals internationaux en plus de se mériter en 1997 les grands honneurs avec deux prix au Festival international du film fantastique de Bruxelles et de récolter onze nominations aux Prix Génie 1997, dont Meilleur film, Meilleure réalisation et Meilleur scénario. Il multiplie rapidement les projets, dont de nombreuses séries télévisées et les films LA VIE APRÈS L’AMOUR (1999), KARMINA II (2001), MA TANTE ALINE (2007) et LA PEUR DE L’EAU (2011). En 2000, Gabriel Pelletier s’associe à Nicole Robert et Jacques Langlois pour fonder Go Films.

Après le confinement, la vie sur les plateaux de tournage risque de ne plus être pareil pour les mois à venir. Nous avons voulu discuter avec le président de l’ARRQ de son mandat actuel, des divers enjeux défendus pas l’association et des défis qui attendent l’association au retour sur les divers plateaux au Québec.

Que pouvez-vous nous dire sur votre mandat actuel de président ? 

Gabriel Pelletier : C’est mon troisième mandat qui se termine et, donc, ma sixième année à titre de président. Je compte solliciter un nouveau mandat aussitôt que nous pourrons tenir une assemblée. Elle risque d’être virtuelle dans les circonstances. Dans ce mandat qui s’achève, j’ai donné la priorité à nos négociations d’ententes collectives. Nous avons négocié une nouvelle entente pour la réalisation de longs-métrages, renouvelé l’entente pour la télévision et nous avons débuté la négociation d’une entente pour les réalisateurs de l’ONF œuvrant en français ainsi qu’une autre entente pour la réalisation d’œuvres destinées au numérique avec l’AQPM.

Sur le plan politique, nous avons comparu et déposé des mémoires au Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie chargé de l’examen de la Loi sur le droit d’auteur et au Comité permanent du patrimoine canadien sur les modèles de rémunération pour les créateurs et les artistes afin de militer pour une rémunération juste et équitable pour les réalisateurs et les scénaristes. Nous avons aussi comparu aux audiences du CRTC, la plus récente concernant l’achat de V par Bell Média, avec nos partenaires syndicaux AQTIS, SARTEC et UDA. Nous avons aussi comparu avec eux devant le Groupe d’experts sur l’examen de la législation en radiodiffusion et télécommunications du gouvernement du Canada et ce, dans le but de faire contribuer les plateformes numériques au système de radiodiffusion canadien.

J’ai aussi été très impliqué dans les deux grandes coalitions dont l’ARRQ fait partie: la Coalition pour la diversité des expressions culturelles (CDEC) que l’ARRQ a d’ailleurs initiée en 1998 ainsi que la Coalition culture et médias (CCM) qui ont toutes deux défendu la souveraineté culturelle du Canada dans l’univers numérique.

Que souhaitez-vous accomplir au regard du leg de vos prédécesseurs

G.P. : Je compte élargir le champ de nos ententes collectives pour pouvoir représenter le plus de réalisateurs possibles. Il y a trop de réalisateurs qui travaillent sans filet social. C’est le cas des réalisateurs qui travaillent sur les œuvres destinées au numérique. La diffusion d’œuvres sur le web n’était pas encore le phénomène qu’il est aujourd’hui lors des mandats de mes prédécesseurs. Le financement des œuvres destinées au numérique est encore déficient, bien que ce soit largement répandu. Non seulement les cachets y sont la plupart du temps inadéquats mais on demande souvent aux réalisateurs de cumuler des fonctions comme tenir la caméra ou le micro et faire le montage. Sans compter qu’on n’y offre pas d’avantages sociaux.

Ce sont surtout les jeunes de la relève qui travaillent sur le web et on y exploite leur désir de tourner à tout prix. Mais à long terme ce n’est pas viable. Il faut non seulement actualiser les ententes collectives mais aussi modifier les lois qui régissent tout notre système de radiodiffusion. Le numérique est arrivé, il est consommé partout, par tous, mais l’encadrement n’a pas suivi. Ainsi beaucoup d’argent transite des consommateurs vers des grands diffuseurs mais les artistes sont laissés pour compte. Je suis arrivé à la présidence de l’ARRQ à un moment charnière alors que le mode de rémunération des artistes est en complet chambardement. On l’a d’abord vu pour la musique. C’est maintenant au tour de l’audiovisuel de passer au rouleau compresseur numérique. Il reste beaucoup à faire pour que les créateurs obtiennent leur part de cet énorme gâteau. J’espère y contribuer et à tout le moins tracer le chemin pour mes successeurs.

Outre la récente crise, quel dossier ou combat qui te tient le plus à cœur au sein de l’association ? 

G.P. : Je voudrais faire en sorte que les réalisateurs puissent enfin collecter des redevances de droits d’auteur sur les exploitations secondaires de leurs œuvres au Canada. Ainsi, après les diffusions originales de leurs films ou de leurs émissions de télé, les réalisateurs n’obtiennent rien quand les œuvres sont revendues à d’autres diffuseurs. Avec l’arrivée des plateformes numériques, ce manque à gagner ira grandissant. Pourtant, quand nos œuvres sont vendues à l’étranger, nous n’avons aucun problème à faire valoir nos droits. Il n’y a qu’au Canada qu’on n’obtient pas une rémunération juste et équitable.

Comment mesurez-vous l’impact actuel du confinement sur les tournages et l’industrie ? 

G.P. : Évidemment nous avons vécu un arrêt complet ou quasi-complet des productions. Les compagnies de production ont été affectées mais les deux niveaux de gouvernement sont rapidement venus à leur rescousse en débloquant des sommes supplémentaires. Patrimoine canadien a distribué 115 millions aux entreprises de l’audiovisuel par le biais de Téléfilm Canada et du FMC tandis que le ministère de la Culture et des Communications leur a débloqué un autre 91 millions à travers la -SODEC. Ces sommes devraient éponger les pertes dues au report des tournages. Ce sont les artistes et les artisans qui seront le plus affectés car ils n’ont eu que la PCU pour survivre pendant le confinement et quand les tournages vont recommencer tous en même temps, les conflits d’horaire ne leur permettront pas d’être partout à la fois et de rattraper les contrats perdus. À travers le Fonds de secours ARRQ et la Fondation des artistes, nous avons vu beaucoup de détresse financière et ce n’est pas fini. Ce n’est pas vrai que les subventions aux entreprises vont se rendre jusqu’aux artistes pigistes. Elles devaient servir, au moins partiellement, à maintenir les emplois mais elles vont surtout servir à maintenir les entreprises à flot et éponger les pertes et les coûts associés aux nouvelles mesures sanitaires à respecter sur les plateaux.

La reprise des tournages sera d’ailleurs laborieuse avec les mesures sanitaires de distanciation sociale. Reste à voir comment on pourra raconter nos histoires en respectant la distanciation physique et la désinfection de tout ce qu’on touche. Les scènes intimes, les scènes d’amour et les mouvements de foule vont être plus difficiles à tourner. Ce n’est pas si mal pour les émissions de variété et de nouvelles, mais pour employer un mauvais jeu de mots, ce sera plus dramatique pour les dramatiques.   L’impact va se faire sentir pendant au moins un an, jusqu’à ce qu’on trouve un vaccin et qu’on puisse revenir à des conditions « normales ». Quoiqu’il y ait probablement des habitudes de travail qui vont changer de façon permanente, même si on trouve un vaccin pour la COVID-19. Ce n’est pas la première ni la dernière pandémie qui peut nous affecter. J’ai tout de même confiance que la production audiovisuelle va retrouver sa vigueur éventuellement. Le financement des productions a été maintenu et même augmenté. Tout le monde a hâte de reprendre le travail. La question qui se pose c’est quand on pourra revenir à une certaine normalité et combien de victimes économiques causera cette crise. Mais il y aura des jours meilleurs, ça c’est certain.

Les grands défis qui vous attendent à l’ARRQ au retour des choses à la normale? 

G.P. : Les plus grands défis seront économiques, autant pour l’ARRQ que ses membres. Heureusement l’association était en excellente santé financière avant le début de la crise et pourra faire face. Il faudra quand même revoir notre planification stratégique et nos priorités pour appuyer nos membres au plus près pendant qu’ils se refont une santé financière.

Sur les plateaux de tournage les réalisateurs auront un beau casse-tête à gérer. Pendant un bout de temps, ce sera un laboratoire d’essais-erreurs. Ça va demander plus de planification pour les réalisateurs afin de tourner avec les nouvelles contraintes sanitaires qui vont ralentir la cadence, changer les mises-en-scène et les découpages techniques. Mais les membres de l’ARRQ sont des créateurs professionnels et ce ne sera pas la première fois qu’ils devront s’adapter au changement. Je leur fais confiance. Ce sont les meilleurs…

Un article de Marc Lamothe pour CTVM.info

 

 

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Éditorial du président de l’ARRQ publié en juin 2020
L’ESPOIR REVIENT par Gabriel Pelletier

Les activités reprennent peu à peu autour de nous et dans notre domaine mais elles n’auront finalement jamais cessé à l’ARRQ, ou devrais-je plutôt dire à l’ARRQ virtuelle. Même si, pour beaucoup, cette pandémie a représenté un congé forcé, à l’association nous avons été plus occupés que jamais. Juste avant que le confinement commence, votre directrice et moi avons eu la chance de faire une tournée parlementaire à Ottawa et de serrer la main (la pandémie n’avait pas encore été officiellement déclarée!) à des politiciens et des fonctionnaires liés aux dossiers de la culture. Nous y avons défendu les intérêts des réalisateurs dans les révisions des lois sur le droit d’auteur et celle de la radiodiffusion ainsi que d’autres dossiers qui nous préoccupent. Mais ce fut surtout une chance d’avoir pu établir le contact de façon personnelle car littéralement quelques jours plus tard, le parlement fermait ses portes et nous pouvions poursuivre le dialogue de façon virtuelle pendant tout le temps de la pandémie. Nous avons ainsi pu intervenir auprès du ministère du Patrimoine canadien afin que les travailleurs pigistes constitués en compagnie puissent être éligibles à la prestation canadienne d’urgence quand ils se payaient en dividendes. Cette demande a été entendue et nombre d’entre vous ont ainsi pu se prévaloir de la PCU.

Nous les avons aussi saisis de l’importance d’ouvrir le « programme de premières étapes de développement » du FMC aux réalisateurs. Ce programme d’aide directe n’est présentement ouvert qu’aux scénaristes sans producteur ou aux producteurs sans diffuseur. Au FMC, malgré nos représentations répétées en compagnie de la DGC, on nous a jusqu’ici refusé de l’ouvrir aux réalisateurs sous prétexte qu’il manquait de fonds. Mais depuis, Patrimoine canadien leur a octroyé 88.5 millions de dollars pour venir en aide au secteur de la télévision et ce, dans le but de préserver les emplois et d’essuyer les pertes des compagnies de production. Malheureusement, ces sommes doivent passer par des programmes existants et sont octroyées automatiquement aux compagnies de production déjà subventionnées qui verront une bonification de 20 à 25%. Rien ne garantit qu’elles serviront à préserver les emplois des travailleurs pigistes, particulièrement les réalisateurs qu’on engage typiquement à l’étape de la production d’une émission alors que toute la production télévisuelle est arrêtée depuis des semaines et qu’ils sont en grand besoin de travailler. Un programme de pré-développement qui permettrait aux réalisateurs d’élaborer de nouveaux projets en attendant la reprise arriverait à un moment opportun. Le programme de premières étapes de développement du FMC est le seul programme qui s’adresse directement à des créateurs mais on n’y semble pas considérer que les réalisateurs puissent contribuer au développement de projets. Nous allons revenir à la charge au FMC et nous espérons enfin leur faire voir la lumière.

Nous nous sommes aussi tournés du côté de Québec en nous adressant au ministère de la Culture et des communications afin que soit créé un programme d’aide directe aux créateurs à la SODEC. Mais il semble que la loi constitutive de la SODEC lui interdit de subventionner des individus. Là encore les entreprises ont reçu une bonification de leurs subventions à hauteur de 25%. On ne les a pas oubliés de ce côté non plus.

Cette crise nous rappelle qu’en cinéma comme en télévision, l’aide du gouvernement s’adresse uniquement à l’entreprise privée et que les artistes en sont tributaires pour gagner leur pain. Nous sommes évidemment contents que le MCC s’assure de la pérennité des entreprises de production avec une injection d’argent frais mais les plus vulnérables, ce sont les créateurs à la base de ce système de production audiovisuelle. Ce serait bien qu’on s’assure de leur survie aussi.

En fait, pratiquement tous les efforts de l’ARRQ ces deux derniers mois l’ont été en vue de venir en aide aux réals frappés par cette crise; des demandes nombreuses d’aide financière auxquelles nous avons dû répondre par le biais du Fonds de secours de l’ARRQ et du Fonds Netflix jusqu’à notre intervention de la semaine dernière auprès du ministère du Patrimoine canadien pour prolonger la prestation canadienne d’urgence.

Avec l’annonce d’une prolongation probable de la PCU, le Canada gagne haut la main quand il est question d’aider les artistes.  Comme ce fut le cas lors des « consultations » du MCC sur la reprise des tournages, Québec a surtout été à l’écoute des besoins des entreprises avant ceux des créateurs. La mise en place des mesures sanitaires en audiovisuel sera largement à la discrétion de chaque employeur.

Outre les subventions additionnelles qu’elles viennent de recevoir du fédéral et du provincial, les entreprises de production attendent une autre aide avant de relancer les tournages à plein régime, particulièrement dans le cas des dramatiques. La semaine dernière le Regroupement des producteurs indépendants de cinéma du Québec adressait une lettre ouverte à la ministre de la Culture Nathalie Roy afin qu’elle crée un fonds d’assurance de 50 millions de dollars pour assurer le risque du nouveau coronavirus. En effet, les assureurs privés ne veulent plus assumer le risque d’une infection virale sur les plateaux. Dans le même temps, la CMPA (Canadian media producers association) acheminait une demande semblable au ministère du Patrimoine canadien en sollicitant l’appui des intervenants de l’industrie audiovisuelle dont nous sommes. L’ARRQ appuie cette aide aux entreprises, qu’elle vienne du provincial ou du fédéral, car elle est essentielle à une véritable reprise des tournages. Mais du même souffle, nous demandons qu’une assurance gouvernementale couvre prioritairement les salaires des artistes et artisans dans le cas d’une interruption de production. Encore une fois, il faut aussi penser à protéger les travailleurs pigistes.

La bonne nouvelle c’est que les tournages vont progressivement recommencer. On ne sait trop encore dans quelles conditions ni avec quels risques mais pour beaucoup d’entre nous, il sera plus que temps.

Gabriel Pelletier, président de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec

 

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Pour ados en déconfinement : C PLAAATE ! en exclusivité sur ICI TOU.TV

Pour ados en déconfinement : C PLAAATE ! en exclusivité sur ICI TOU.TV dès le 22 juin 2020

Les séries pour ados sur ICI TOU.TV ont su divertir le jeune public durant le confinement et figurent au palmarès des contenus les plus regardés ce printemps sur la plateforme. Pour continuer d’accompagner les jeunes cet été, ICI TOU.TV leur offre aujourd’hui une nouvelle série d’épisodes originaux : C PLAAATE!

Seul ou avec la complicité de membres de sa famille, Alfred Poirier, 15 ans, se met en mode déconfinement et aborde avec humour une foule de sujets en lien avec l’adolescence et ses nombreux questionnements en cette période déconcertante. La série sera diffusée en exclusivité sur ICI TOU.TV à raison d’un nouvel épisode chaque lundi à compter d’aujourd’hui, le 22 juin 2020.

Ici, pas de ton moralisateur. L’objectif premier est de créer une complicité avec les jeunes, de démontrer qu’ils ne sont pas seuls et qu’il est normal de ressentir des émotions contradictoires. Au fil des 10 nouveaux épisodes, Alfred devient une figure rassurante pour les ados.

Dans le premier épisode, mis en ligne aujourd’hui, Alfred se sent invincible et a vraiment envie de baisser la garde devant le virus. Porter un masque et garder ses distances, est-ce encore important? Le deuxième épisode, qui sera en ligne le 29 juin 2020, porte sur l’achat local. Alfred prend conscience que le Québec c’est comme une grande famille et qu’encourager un commerçant du quartier ou encore écouter des artistes d’ici, ça peut vraiment faire une différence.

Tout au long de cette série initiée par la Maison Jean Lapointe, Alfred se questionne sur les impacts de la pandémie et du déconfinement. Il suivra aussi de près la prochaine rentrée scolaire pour nous partager ses préoccupations sur la nouvelle « normalité » qui s’installe en présence d’un virus toujours menaçant. Mais d’ici là, qu’aura l’air sa vie sociale et celle de ses congénères cet été? À voir dans la nouvelle série C PLAAATE!

Scénariste : Nadia Aubert
Réalisateur : Jean-François Poirier
Production : Lucie Veillet et Élisabeth Gervais, Téléfiction Productions inc.

En complément aux séries comme L’effet secondaire, Avec moi, Mère et fille, Nomades, Les frères Scott, Degrassi – La nouvelle génération, ICI TOU.TV invite les ados à entreprendre l’été et le déconfinement avec humour en leur proposant des séries comme Cultive ton comique et C Plaaate! ICI TOU.TV continuera de les accompagner tout au long de l’année et de leur offrir d’autres nouveautés tout aussi divertissantes.

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AGA 2020 du BCTQ : Une année pleine de contraste

AGA 2020 du BCTQ : Une année pleine de contraste

Jeudi le 18 juin 2020, la Présidente du conseil d’administration, Mme Émilie Dussault, et le Président-directeur général, M. Pierre Moreau, dévoilaient dans le cadre de l’Assemblée générale annuelle, le bilan de l’année 2019-2020 devant les membres du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ).

Ce bilan souligne les nombreux efforts déployés par le BCTQ pour resserrer ses liens avec l’industrie et développer des réflexions structurantes ainsi que des propositions concrètes visant à répondre aux besoins de ses membres. Alors que l’année 2019 aura été une année très dynamique pour le secteur des tournages étrangers et des effets visuels, le début de l’année 2020 a été marqué par le report et l’arrêt de nombreux projets dû à la crise sanitaire actuelle.

« Au moment où j’écris ces lignes, l’année 2019 semble déjà de l’histoire ancienne. Alors que notre industrie traverse une crise sanitaire majeure, jamais avons-nous autant communiqué et réfléchi collectivement sur nos pratiques et sur les enjeux de santé qui s’y rattachent. Tout au long de cet épisode singulier, le BCTQ et ses partenaires ont travaillé sans relâche pour que s’élaborent les solutions qui nous permettent aujourd’hui d’envisager de sortir de cette crise sanitaire en vie, grandis et plus forts. Ma considération sincère va aux entreprises et à leurs employés qui ont dû faire preuve d’une résilience considérable et indispensable dans ces circonstances. Je nous souhaite donc à tous une reprise ordonnée, diligente et empreinte de bienveillance. » souligne Pierre Moreau, Président-directeur général du BCTQ.

Faits saillants

Projet de bonification hors Grand Montréal

À l’automne 2019, le BCTQ a initié, en consultation avec des organismes et associations de l’industrie du cinéma, une nouvelle proposition de bonification au crédit d’impôt pour les tournages à l’extérieur du grand Montréal, accordée en fonction du nombre de jours de tournage hors studio et hors grand Montréal, et applicable sur la base du cumul des dépenses admissibles. Celle-ci n’a toutefois pas été retenu dans le budget 2020-2021. Considérant l’unanimité de l’industrie sur cette question, le BCTQ poursuivra ses efforts pour la mise en place de cette mesure en 2021-2022.

Effets visuels

En 2019, le volume des retombées économiques a atteint un sommet historique en clôturant à 622 M$, une hausse spectaculaire de 129 M$ sur l’année précédente (493 M$). Ensemble, les secteurs des effets visuels et de l’animation ont, au fil des années, créé près de 6000 emplois de qualité et bien rémunérés.

Tournages étrangers

L’industrie des tournages étrangers termine l’année 2019 avec des retombées de 360 M$, en léger recul par rapport à l’année précédente (378 M$). La deuxième moitié de saison a été extrêmement dynamique, puisque la presque totalité du volume d’affaires réalisé en 2019 a été concrétisée sur une période d’environ 35 semaines, ce qui donne une bonne indication sur la capacité du Québec en termes de volume de production.

Le réseau des bureaux du cinéma canadiens

Grâce au Programme d’appui aux relations canadiennes du Secrétariat du Québec aux relations canadiennes, le BCTQ a obtenu le soutien nécessaire à l’organisation et à la réalisation de quatre sommets à travers le Canada dans trois provinces différentes. Ces rencontres ont eu pour objectifs, notamment, de promouvoir la compétitivité du territoire canadien en tant que centre de production multi-écrans, d’initier un dialogue et le transfert d’expertise entre les bureaux canadiens de cinéma, et d’accroître le volume d’affaires en provenance des États-Unis.

Propriété Intellectuelle

En concertation avec l’industrie, le BCTQ a poursuivi ses efforts visant à adapter l’arsenal fiscal actuellement disponible pour la production d’animation ou de jeux vidéo de façon à développer et maintenir au Québec la propriété intellectuelle. Deux mesures liées à la propriété intellectuelle ont été annoncées dans le budget 2020-2021 du Gouvernement du Québec.

Impact de la crise de la COVID-19

L’ensemble de ces résultats a bien sûr été fortement bouleversé par la crise actuelle. Le BCTQ a travaillé dans les dernières semaines à mesurer l’impact de cette crise sur les entreprises, mettre en place les protocoles de retour au travail avec les différents partenaires et représenter l’industrie auprès des comités mis en place par les gouvernements provinciaux et fédéraux.

Consulter le bilan d’activité annuel 2019-2020

Les nouveaux membres et membres réélus du Conseil d’administration

L’assemblée générale annuelle aura aussi permis de procéder aux élections de plusieurs sièges au Conseil d’administration. Ainsi, M. Gilles Charland, Directeur général de l’AQTIS, a été réélu pour le sous-comité conseil « organisation syndicale sans affiliation canadienne et/ou internationale » ; et M. Christian Lemay, Directeur des affaires régionales à IATSE 667 a été réélu par acclamation pour le sous-comité conseil « organisation syndicale avec affiliation canadienne et/ou internationale ». Le BCTQ félicite les nouveaux élus et se réjouit de compter sur leur appui pour les activités des deux années à venir.

Conférencières invitées, Pamela Grant et Sandrine Gros D’Aillon, productrices de The Bold Type

Dans le cadre de l’assemblée générale annuelle, Madame Pamela Grant, Vice-Présidente Production chez NBC Universal et Sandrine Gros D’Aillon, productrice exécutive, ont participé à une séance de questions-réponses animée par Chanelle Routhier, Commissaire, film et télévision. Cette conférence a permis d’en apprendre plus sur l’expérience de la productrice américaine Pamela Grant au Québec dans le cadre du tournage des 4 saisons de la série The Bold Type et d’un épisode pour la série Little America.

« Le Québec est devenu une importante destination de tournage pour nous, le succès connu par une série comme The Bold Type est en grande partie dû aux avantages présents ici : des incitatifs fiscaux concurrentiels, des équipes de tournage de talent et l’accès à une variété de fournisseurs et de services de production. Nous sommes impatients de tourner d’autres saisons de cette série dans une province qui soutient autant l’industrie du cinéma et de la télévision. » explique, Pamela Grant, Vice-Présidente, Production, NBC Universal

Remerciements

Le BCTQ remercie chaleureusement l’ensemble de ses partenaires publics et privés ainsi que les membres pour leur soutien et leur confiance.

À propos du BCTQ

Créé en 2006, le BCTQ est un organisme sans but lucratif qui contribue au développement et à la compétitivité du Québec comme centre de production-multiécran de calibre international. En tant qu’agence de développement économique, il a la mission de générer des investissements en territoire québécois en s’appuyant sur des programmes d’incitatifs fiscaux compétitifs, le savoir-faire des membres de la filière, la diversité architecturale, la qualité des infrastructures et la capacité de l’industrie à exporter ses produits sur les marchés étrangers.

Le BCTQ reçoit le soutien de ses partenaires : Air Canada, BNC, BFL, Corporate Stays, Demers Beaulne, Difuze, EP Canada, Fairmont Hotels & Resorts, Hôtel Gault/Monville, Hybride, MELS, Miller Thomson, Grandé Studios, Raymond Chabot Grant Thornton, Rodeo FX, Hôtel William Gray, Hôtel Mount Stephen ainsi que celui des différents paliers gouvernementaux : fédéral, provincial, et municipal.

Pour toute information supplémentaire : www.bctq.ca

 

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La série « L’ADISQ fait une scène » est de retour avec trois nouveaux épisodes !

La série « L’ADISQ fait une scène » est de retour avec trois nouveaux épisodes !

Tout juste avant le confinement, l’ADISQ avait repris le tournage de sa série L’ADISQ fait une scène, série qui se veut une immersion dans la vie de tournée des artistes. Les trois premiers épisodes de la série sont maintenant disponibles pour visionnement et mettent en vedette Sarahmée, Matiu et Lou-Adriane Cassidy.

Les capsules sont disponibles en exclusivité sur la plateforme PalmarèsADISQ, puis seront diffusées sur la chaîne télé PalmarèsADISQ par Stingray et Télé-Québec cet été, et à ICI Radio-Canada cet automne.

L’arrêt complet des tournages en raison de la COVID-19 a forcé l’ADISQ à mettre sur pause la production des capsules qui devaient être au nombre de dix. Toutefois, l’ADISQ compte reprendre la production de sa série dès que possible, sachant pertinemment que les artistes en développement auront besoin de ce soutien, plus que jamais.

« En cette période de crise, artistes et entreprises culturelles ont dû faire le deuil improbable, pour toute la saison estivale, des fêtes nationales ainsi que des grands et petits festivals, à Montréal et à la grandeur du Québec : bref, d’une pléthore d’événements qui conquièrent, ravissent et fidélisent les publics et qui, par leur nombre et leur impact, occupent une place centrale dans la carrière des artistes en musique. », mentionnent Solange Drouin, vice-présidente aux affaires publiques et directrice générale de l’ADISQ et Philippe Archambault, président de l’ADISQ.

L’ADISQ fait une scène, qui a l’objectif de faire la promotion du spectacle auprès du grand public, est une initiative incontournable pour démontrer toute l’importance de l’activité scénique dans le parcours d’un artiste et pour encourager le public à consommer un spectacle et découvrir de nouveaux artistes. La série est rendue possible grâce au soutien du Fonds RadioStar, dans le cadre de son programme Projet collectif.

Rappelons que la première saison mettait en lumière Andréanne A. Malette, Koriass, Safia Nolin, Yoan, Les Louanges, Jean-Michel Blais et Elisapie.

Pour visionner les capsules, consultez : https://palmaresadisq.ca/fr/videos/ladisq-fait-une-scene/

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Claire et les vieux, vent de jeunesse dans une résidence sur Unis TV

Unis TV dévoile Claire et les vieux, une fiction du programme Créateurs en série, disponible sur le site web de la chaîne dès le 19 juin 2020.

Après un appel de détresse pour sauver sa mère toxicomane, Claire (Irlande Côté), âgée de 9 ans, est prise en charge par les services sociaux. Elle aboutit chez sa grand-mère Pauline (Muriel Dutil) dans une résidence pour personnes âgées. Réalisée par Charles Grenier et produite par UGO Média, cette courte série dramatique de 6 épisodes s’inspire d’une histoire vraie.

Au fil des jours, Claire développe un lien spécial avec la seule famille qui lui reste : sa grand-mère. Née de parents dysfonctionnels – un père absent et une mère ayant des problèmes de consommation et de santé mentale – Claire est bien souvent laissée à elle-même. Pauline l’accueille dans sa vie et reste forte pour sa petite-fille, bien que l’Alzheimer de son mari et la triste situation de sa fille toxicomane la bouleversent profondément. Le besoin d’amour et d’attention de Claire est comblé à la résidence, où elle devient le centre d’attention. Aux yeux de certains, surtout Stéphanie (Dominique Quesnel), une préposée, elle trouble la paix de l’établissement, tandis que pour d’autres, sa venue leur permet de s’évader de leur quotidien souvent morose. Grâce à son imagination fertile et à sa capacité à faire rire, Claire marque les esprits. Elle se lie d’amitié avec Bertrand (Raymond Cloutier), un homme affectueux qui s’étonne lui-même des sentiments qu’il développe pour Pauline. La jeune fille s’accroche à l’affection et la stabilité que les plus vieux savent bien lui offrir, mais la situation n’est que temporaire. Greg (Reda Guerinik), son travailleur social, ne manque pas de volonté et de sensibilité à son égard. Il fait tout pour lui trouver un milieu sain et une famille d’accueil.

La série sera également disponible sur ICI TOU.TV en 2021.
D’après une idée originale d’Edith Morin.
Conçue par Sarah Pellerin, Charles Grenier et Patrick Bilodeau.

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Prix Écrans canadiens 2020 les récipiendaires sont annoncés lors…

Les récipiendaires des prix Écrans Canadiens 2020 seront annoncés lors de présentations virtuelles 

Les remises de prix seront diffusées dans les médias sociaux et au Academy.ca du 25 au 28 mai 2020

L’Académie canadienne du cinéma et de la télévision, en partenariat avec CBC et CTV et avec l’appui de Téléfilm Canada et du Fonds des médias du Canada, a annoncé aujourd’hui que les récipiendaires des prix Écrans canadiens 2020 seront dévoilés dans le cadre d’une série de présentations virtuelles qui se dérouleront du lundi 25 mai au jeudi 28 mai 2020.

Après l’annulation de toutes les activités de la Semaine du Canada à l’écran en raison de la pandémie de COVID-19, y compris le gala télédiffusé des prix Écrans canadiens, l’Académie canadienne a travaillé à la conception d’une approche créative pour célébrer les finalistes et annoncer les récipiendaires de prix.

Inspirées du documentaire, du balado et du vidéoclip, les présentations virtuelles des prix Écrans canadiens consisteront en huit épisodes préenregistrés, chacun au thème distinct, composés d’extraits sur les finalistes narrées par une personnalité canadienne. Parmi les narrateurs, citons Eric McCormackHerbie Kuhn et Lloyd Robertson qui feront l’introduction des présentations virtuelles. Nous encourageons les finalistes à se réunir virtuellement pour visionner les annonces des gagnants. Les récipiendaires seront invités à partager du contenu de leurs « moments gagnants » et leur discours de remerciements sur le média social de leur choix en utilisant le mot-clic #CdnScreenAwardWinner.

Ces présentations virtuelles seront diffusées en direct dans les pages Facebook et Twitter et sur la chaîne YouTube de l’Académie, ainsi qu’au Academy.ca.

« Tandis que nous nous adaptons à cette nouvelle normalité, nous avons dû réfléchir à d’autres façons de réunir notre communauté », a affirmé Beth Janson, chef de la direction, Académie canadienne du cinéma et de la télévision. « Ces présentations mettront nos œuvres locales à l’avant-plan, et nous espérons que les équipes se réuniront virtuellement pour assister aux célébrations des meilleurs talents canadiens de la dernière année. »

« Quoique presque toutes les facettes de notre industrie se sont transformées dans les dernières semaines, la créativité et l’innovation perdurent », a souligné John Young, président, Académie canadienne du cinéma et de la télévision. « C’est plus important que jamais de témoigner notre soutien envers nos pairs, et nous avons hâte de célébrer virtuellement les finalistes et les gagnants qui ont contribué à une autre année exceptionnelle de créations canadiennes. »

« En ces moments difficiles où les gens se tournent de plus en plus vers une nouvelle approche pour s’informer, s’inspirer et se divertir, c’est important de prendre le temps de reconnaître les réussites des équipes de nouvelles, de sports et de création au Canada », a indiqué Barbara Williams, vice-présidente principale, CBC. « Ces remises de prix virtuelles mettront à l’honneur le talent canadien et renforceront le rôle essentiel que notre industrie joue à l’échelle du pays et partout au monde. »

« Maintenant plus que jamais, l’excellent travail et les réussites de l’industrie médiatique canadienne pour informer et divertir les Canadiens méritent d’être reconnus et applaudis », a souligné Randy Lennox, président, Bell Média. « Merci à l’équipe de l’Académie d’avoir conçu et déployé ce nouveau format pour les prix Écrans canadiens. »

« La dernière année a révélé des talents inspirants, des histoires touchantes et surprenantes qui ont permis de joindre et de rassembler les Canadiens d’un océan à l’autre », a déclaré Christa Dickenson, directrice générale de Téléfilm Canada. « Cette année encore, nous pouvons compter sur les prix Écrans canadiens afin de célébrer ensemble les succès et l’excellence de notre industrie. Il s’agit d’un rendez-vous incontournable pour nous tous afin de démontrer toute notre fierté et notre soutien. »

« Le Fonds des médias du Canada (FMC) est ravi d’appuyer l’Académie canadienne tandis qu’elle réinvente les prix Écrans canadiens 2020 en cette période sans précédent », a affirmé Valerie Creighton, présidente et chef de la direction, FMC. « Nous partageons avec l’Académie l’objectif commun de reconnaître et de célébrer le talent et le contenu canadiens. Nous avons hâte de rendre hommage – de façon virtuelle et à distance – à nos talents et nos conteurs extraordinaires. Les artistes et les créateurs du Canada continuent de démontrer une créativité exceptionnelle et une capacité inébranlable à s’adapter face à un bouleversement sans égal. Ils méritent d’entendre les applaudissements chaleureux qui fuseront des maisons, de Vancouver à St. John’s, en passant par Iqaluit et toutes les régions d’un océan à l’autre. »

Les finalistes des prix Écrans canadiens 2020 dans 144 catégories en cinéma, en  télévision et en médias numériques ont été annoncés en février. Finaliste dans 26 catégories, la comédie Schitt’s Creek, diffusée sur les ondes de CBC, trône au sommet des nominations en télévision et toutes catégories confondues. Du côté du cinéma, l’œuvre de François Girard, Le Chant des noms, domine avec neuf mises en nomination au total. La liste complète des finalistes est disponible au  academie.ca.

Les remises virtuelles des prix Écrans canadiens 2020 sont présentées par CBC et CTV, avec l’appui de Téléfilm Canada et du Fonds des médias du Canada. Les prix Écrans canadiens 2020 dans les catégories jeunesse sont présentés par Shaw Rocket Fund.

Prix Écrans canadiens 2020, présentés par CBC et CTV, avec l’appui de Téléfilm Canada et du Fonds des médias du Canada :

Lundi 25 mai 2020
19 h (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories nouvelles télévisées
19 h 30 (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories sports
20 h (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories documentaire et docuficton

Mardi 26 mai 2020
19 h (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories jeunesse présenté par Shaw Rocket Fund
19 h 30 (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories magazine style de vie/services et téléréalité

Mercredi 27 mai 2020
19 h (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories métiers en fiction
19 h 30 (HAE) : Les prix Écrans canadiens dans les catégories fiction et interprétation

Jeudi 28 mai 2020
19 h (HAE) : Les prix Écrans canadiens pour les arts cinématographiques

Pour la liste complète des catégories présentées à chacune des remises de prixcliquez ici.

Ces présentations virtuelles seront diffusées en direct sur les pages et les sites suivants :

Site national de l’Académie : academy.ca

Twitter : @TheCdnAcademy
Instagram : @thecdnacademy
Facebook : @TheCdnAcademy
Mot-clic : #CdnScreenAwards

À propos de l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision

L’Académie canadienne du cinéma et de la télévision est la plus importante association professionnelle sans but lucratif au Canada. Elle est vouée à la promotion, à la reconnaissance et à la célébration des talents canadiens dans les secteurs du cinéma, de la télévision et des médias numériques. Elle compte plus de 4 500 membres, dont des figures emblématiques et des professionnels chevronnés, ainsi que des artistes émergents et des étudiants. Collectivement avec ses membres, elle offre des programmes de perfectionnement professionnel et des occasions de réseautage qui favorisent la croissance, l’inclusion et le mentorat au sein de l’industrie.L’Académie canadienne du cinéma et de la télévision est fière de souligner l’appui de son partenaire médiatique principal, CBC; de son premier partenaire, Téléfilm Canada; de son partenaire platine, CTV; de son partenaire principal, Netflix et de ses grands partenaires : le Fonds des médias du Canada, Cineplex et le Fonds Cogeco.Pour plus d’information sur la programmation et les membres, prière de visiter : academie.ca.

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